Alors, arrive le destructeur.

Alors, arrive le destructeur.

Plongé au coeur de la nuit en affrontant une tempête mémorable, des compagnons d'infortune rament avec l'énergie du désespoir afin de lutter contre la tempête qui fait rage. Offrant leurs visages à la pluie cinglante et au vent mordant, comme un défi silencieux adressé aux éléments qui se déchaînent tout autour de l'embarcation qui semble bien frêle dans cette immensité chaotique.

Chaque vague soulève l'esquif taillé pour la vitesse, déversant des paquets d'eau de mer sur le pont, chaque coup de tonnerre résonne dans leurs cœurs, éclairant fugitivement les visages de tous les compagnons, ces derniers laissant entrevoir une palette variée d'émotions. La concentration, la résignation, la terreur, ... Certains invoquent à voix haute les dieux Thor, Odin ou Freiyja afin qu'ils épargnent leur vie ....

Fugace espoir qui se mue bien vite en terreur absolue lorsque leurs yeux se posent sur la chose qui émerge des flots. Nombre d’entre eux se demande s'ils ne sont pas en train de perdre la raison, mais le cri alarmé de certains compagnons confirment la chose terrifiante qui se dresse devant eux.

Là ! Droit devant le navire, émerge une titanesque forme sombre qui semble se prolonger à l'infini. La chose semble lentement s'extraire des flots telle une île noire d'ébène et l'équipage n'allez pas tarder à rejoindre le banquet du père des dieux, victimes du plus grand fléau de Midgard. Mais, l'apparition aussi soudaine et improbable d'Iormungand coïncide avec la fureur des océans.

Une force indomptable surgit des eaux, qui se déferlèrent sur les terres, parce que le serpent de Midgard, saisi par sa fureur de géant, gagne le rivage en soufflant tellement de venin qu'il en asperge l'air tout entier ainsi que la mer. Ainsi, un peu avant l'aube, les montagnes de Gamma est le premier domaine à être submerger par cette soudaine déferlante. Tous les hommes encore en vie, désertent leur demeure, tout espoir leur est drainer ...

Il fend l’espace et les cieux avec sa monture, arrive aussi vite que le givre qui s’installe à l’aube. Au loin, la plaine de Gamma porte déjà les stigmates de celui qui vient d’arriver des eaux du Fjord. Odin est inquiet, on peut le voir sur son visage. La détermination est aussi claire que l’eau de roche. Il compte bien s’interposer le temps qu’il faudra à ses guerriers pour revenir des lieux où ils sont tous partis. Missions, quêtes, pèlerinages. Tout cela est Asgard et restera Asgard. Cependant, il n’y a presque plus de guerriers sur les terres du Nord. Avec les précédents événements, avec la somme de souffrances qu’a connu le peuple d’Asgard, il était temps que le père des Ases se dévoile et prenne les choses en main. Les éclairs zèbrent le ciel, dans son sillage apparait une aurore boréale. Personne ne peut ignorer qu’arrive le Seigneur d’Asgard ; Et c’est dans un fracas assourdissant qu’il touche le sol de Gamma alors que son cheval va se perdre dans une direction indéterminée.

Il est là, devant lui, le fléau de Midgard, celui qui causera la perte du royaume, du monde… le dévoreur. Sans perdre un instant, il tend la main au ciel, fait appel à sa lance, Gungnir qui apparait. Il s’en saisit. Le souffle glacé de la région est toujours là mais il commence déjà à être corrompu par le poison que vomit Iormungand. S’il n’est pas arrêté, ce sont tous les domaines qui seront empoisonnés. Alors, reconstruire ce qui est détruit, certes, mais sur du poison, voilà qui semble sérieusement compromis. Sans plus tarder, Odin parle, d’une voix ferme, sans détours.

- Retournez à l’Abime !

Une injonction directe telle qu’un dieu peut en faire pour mettre en garde. Mais c’est surtout une phrase unique qui prépare le reste. Alors que les mots viennent de trouver leur cible, Odin concentre son énergie pour apparaitre nimbé de lumière. Tout autour de lui, le décor semble réagir à sa présence. La température est en train de diminuer. Elle était déjà en dessous de 0, elle ne fait que plonger encore plus. Toute la zone sera affectée dans peu de temps. Le maître des lieux ne compte pas laisser le destructeur agir à sa guise. Et alors que tout prend forme, que Odin est prêt à agir, voilà que l’énergie qu’il a emmagasiné est libérée. Il frappe le sol de sa lance sans un mot. Une onde de choc se propage, destinée à faire reculer, à propulser l’adversaire infâme et informe qui se dresse non loin de lui.

- Vous ne pouvez aller plus loin.

Combien d’autres guerriers viendront ici, combien de valeureux seront appelés par leur devoir ? Odin ne le sait pas. Beaucoup affrontent leur destin ailleurs. Il espère encore que peu seront ceux qui porteront les futures meurtrissures infligées par le fléau. Son peuple a trop souffert et à présent c’est à lui de livrer bataille, jusqu’à la fin des temps s’il le faut.

ODIN a écrit:: Points de Vie : 350
Points de Cosmos : 350 - 30 + 10 = 330
Attaque : 30 points
Parade 0

Descriptif de l'attaque :
Projection de Sleipnir. 30pts de Cosmos. Attaque Moyenne.
Odin utilise un pouvoir télékinétique sur son adversaire. Il peut d’un geste de la main le balayer et le projeter sur une distance considérable, lui faire traverser les obstacles le cas échéant. Le choc qui en découle est violent.

Alors, arrive le destructeur. 1424127235-test2

Donnez-lui du sang, un festin de conflits, de discordes et de massacres ... Et les rares mortels, dont le courage et la noblesse de l'âme dictent leurs cœurs d'affronter le serpent de Midgard. Leurs oppositions se meurent aussitôt nées, à cause de la colossale et monstrueuse puissance de Jörmungand. Le monstre détruit tout sur son passage, terre, montagne, humains. Ce que les eaux ne détruisent pas, Jörmungand s'en exécute avec malice. Un véritable destructeur, son appétit, bien que vorace, s'estompe fugacement, lorsque des bruits de sabots orientent son museau sur le lointain horizon. Les formes se distinguent à peine par des ombres. Des formes qui peu à peu se dévoilent ... L'homme en armure, adosser sur son cheval n'est nul autre qu'Odin ...

Le dieu avale la distance qui le sépare de la bête. Et bien avant que la divinité parvienne jusqu'au monstre, la bête s'enroule vers des pans de montagne, sifflant dans l'atmosphère, son haleine putride et nauséabond. Le domaine de Gamma est drapé d'un brouillard verdâtre, rongeant comme de l'acide, n'importe quelles matériaux, roche, métal, peaux, os ... Mais, le combat à venir s'annonce comme un affrontement de titans. Et très vite, le seigneur d'Asgard arrive au-devant du destructeur, pour aussitôt, tenter de lui faire courber l'échine. En guise de première élocution, le serpent ne siffle nul mot, nulle réaction. Jusqu'à ce que le seigneur d'Asgard s'emploie à une première salve cosmique ... Le destructeur secoua la tête avant de pointer son museau en direction d'Odin.

Alors, arrive le destructeur. 1424127229-test3

J'irais aussi loin que je le souhaite Odin car je suis le destructeur. Celui qui happent tout sur son passage. Et je faucherais ta vie, aussi puissant sois-tu ...

Achevant sa tirade d'un sifflement sourd. Le monstre agite le haut de son corps tout en se redressant, surplombant magistralement le seigneur d'Asgard. Ses pupilles s’affinent et ne laissent entrevoir qu'un mince filé noirâtre.

Je vais t’attaquer Odin, je vais m’en prendre à ton esprit, à ta conscience, à ton corps et essayer de te tuer. Repousse-moi si tu y parviens. Recouvre ton esprit du plus puissant sentiment qui t’habite et laisse-le éclater. A moins que lâche que tu es, tu préfères t'aider de tes guerriers divins. Que choisis tu Odin, l'honneur de me combattre en un contre un, ou la lâcheté de faire gagner du temps à tes pathétiques humains ?

Lentement et tout serpent qui l'est, Jörmungand vint faire pression sur la conscience d'Odin, y allant doucement dans un premier temps pour laisser le dieu se préparer et s’adapter, avant de rendre sa présence plus pesante, essayant d’attendre sa conscience pour la stranguler et le tuer.

PV : ??? - 30 = ???
PC : ???

Le voyage à bord du bateau semblait bien plus long que les estimations qu’avait faites Alectryon. De plus la température à bord n’avait de cesse de baisser et cela semblait étrange mais comme il n’était pas marin, il n’avait aucune voix à ce chapitre. Il devait prendre son mal en patience car le bout du chemin serait bientôt en vue et même s’il faisait de plus en plus froid, rien ne le détournerait, ni lui, ni son compagnon de leur objectif.

Il venait de réparer l’armure de son compagnon et celui-ci dut aller se coucher pour se reposer tant les efforts et sacrifices pour sa remise en état avait été intense. Il le portât donc son camarade au repos en espérant qu’il se remette vite. Il remontât ensuite pour essayer de discuter avec le capitaine et son grec approximatif.

En arrivant sur le pont, il découvrit que tout l’équipage semblait nerveux voir anxieux, ils s’affairaient en tous sens sous les aboiements du capitaine. Le cardinal vint voir le capitaine pour lui demander les raisons de cette agitation. Celui-ci lui dit qu’il ne reconnaissait pas les lieux, qu’il naviguait sur cette voie maritime depuis trente ans mais, que là, tout semblait avoir changé. Il lui conseillât de réveiller son compagnon car le chemin serait surement plus chaotique qu’à l’accoutumé.

Le berzerker alla réveiller son compagnon, cela lui coutait mais, il n’aimerait pas qu’il arrive quelque chose et que son camarade ne puisse pas réagir. Ceci fait, il entendit un grondement venant du fond des eaux et le navire tout entier se mit à bouger dangereusement. Montant les marches quatre à quatre, le jeune homme se jetât sur le pont pour voir ce qu’il se passait. Le brouillard de tout à l’heure semblait se dissiper et la terre se voyait non loin de là. Ils avaient rejoint la côte ou ce qui devait en être une mais, là n’était pas la raison de la panique de l’équipage.

Grondant sous les eaux, quelque chose semblait se mouvoir sous la coque du navire menaçant de le faire chavirer, les hommes hurlaient de terreur à mesure que les mouvements de la créature se faisaient plus violent. Un orage violent secouait déjà l’esquif et les soubresauts de l’abomination déversaient des vagues entières sur le pont emportant avec elles quelques mousses et marins imprudent.

Fous de panique, les pauvres humains s’en remettaient à leur dieux par diverses prières, en vain car, bientôt, surgissant des flots, une immense créature serpentiforme aussi terrifiante que le pire des cauchemars apparu. Il fendit en direction des terres, ne se souciant guère du navire et de son équipage, prêt à accomplir sa sombre destruction. Avant que le navire ne fût réduit en miette, Alectryon pris le guerrier du déluge dans ses bras et d’un bon se jetât dans les airs en quête d’un peu de terre ou la créature ne serait pas. Cependant, le saut ne fut pas assez preste et la créature percutât les deux hommes les projetant au loin.

Après un moment qu’il n’aurait sut jauger, il se remit du choc et découvrit une immense steppe gelé, véritable désert de glace. Mais qu’avait-il put arriver à sa patrie, qu’avait-il put arriver à Sparte ? Il était hors de lui, frapper de stupeur et de colère. Il ne ressentait même plus le cosmos de ses dieux. Rien ! Les spectres… ce devait être eux et leur perfide magie qui étaient responsable de ça. Non content d’avoir transformé en pays de glace le royaume de la guerre, ils avaient en plus de ça appelé un monstre marin pour finir de détruire le pays.

Alectryon essayât de repérer le monstre qui s’en était pris à eux et, le vit un peu plus loin, il semblait que son corps ne connaissait aucune fin, comme s’il n’avait de limite que l’imagination humaine. Il sentit que la température déjà glaciale, refroidissait encore. Jusqu’où pouvait-elle descendre et combien de temps supporterait-il le froid. Il fit appel à son cosmos pour se réchauffer un peu et son ami aussi.

Soudain, une sorte d’onde puissante se fit ressentir, manquant de renverser le cardinal, quelque chose avait dû exploser, peut être un dernier dispositif de défense de sparte. La créature s’enroulât près d’une montagne toujours aussi superbe et terrifiante mais là n’était pas la question, le royaume d’Arès devrait être préservé. Il laissât à Zyss le temps de reprendre ses esprits et se ruât en direction du serpent.

Au fur et à mesure qu’il s’approchait de l’immonde fléau, il dut faire face aux volutes empoisonnées que la créature exhalait. S’il n’avait été un puissant guerrier d’Arès, mue par cette volonté de préserver le royaume de son maître, il aurait été liquéfié corps et bien. Il atteignit la créature par derrière son immense crâne, dans un angle ou son attaque ne pouvait, lui semblait-il, aucunement échoué. Il formât de son cosmos une colossale croix de feu qu’il fit s’abattre sur la bête.

Ton empire de destruction s’arrête ici monstre !

Une fois son attaque porté, il atterrit sur la terre et se remit en position, prêt à repartir à l’attaque. Et c’est là qu’il le vit, splendide, puissant et irradiant de sagesse et de force, un seigneur à n’en pas douter, monté sur un cheval au nombre de pates non commun. Il sentit que c’était là une personne extraordinaire, peut être autant même que ces dieux. Il ne sentait pas pour autant qu’il dut s’inquiéter de sa présence, ou peut-être son jugement était-il faussé. Ou bien était-ce lui qui était responsable de cette action qui avait ralenti la terrifiante créature. Il entreprit de remercier le majestueux personnage.

Je ne sais pas qui vous êtes mon seigneur mais, sachez que je vous remercie d’avoir protégé les terre de mon seigneur Arès le temps que mon camarade et moi revenions. Nous allons tenter de mettre à bas cette abomination et votre aide nous serait précieuse.

Attaque a écrit:: Fire Cross 30 points de cosmos [feu]

L'épée d'Alectryon s'embrasse si fort que le ciel si sombre soit-il est comme illuminé, alors à ce moments il imprime devant lui deux mouvement en croix tranchant son adversaire dans un flot de sangs et de flammes.

Points de Vie : 154
Points de Cosmos : 240-30+10=220
Attaque : 30 points

Dernière édition par Ryuken le Dim 15 Mar 2015 - 22:54, édité 2 fois

Asgard devait avoir connu des guerriers valeureux et bien particuliers. Mais, avait-il déjà rencontré un adversaire comme moi ? Encore un adversaire bien bizarre dans la veine d’Apollon en mode Dragon ? Ou quelque chose comme ça ? Bah ! Qu’importe ! Là… Quel que soit l’ennemi qui était en face de moi, il avait foulé une terre qui était, désormais, sous ma protection. Cet ennemi posait son pied là où il ne le fallait pas. Qu’importe que je sois remis de ma précédente et pathétique aventure ! Rien qu’un bon combat où sa vie était en jeu pour faire passer ses nerfs ! Qu’importe qu’il soit un animal mythologique de leur coin, il ne franchirait pas le seuil de ce premier endroit sans que je lui fasse connaître une douleur dont il s’en souviendra pour le reste de son existence. En tout cas, il y régnait une aura véritablement malsaine lorsque je me dirigeais vers la zone de combat d’où je pouvais voir un grand serpent menacer Odin et un autre chevalier dont je me moquais complètement. Ce qui était visible et encore plus perceptible, c’était ce regard que je portais à mon nouvel adversaire. Un sourire carnassier se dessina sur mon visage alors que les paroles entraient dans ma cervelle. Odin : le Serpent n’avancerait plus. Et l’autre Chevalier qui avait parlé d’Arès… Un Berserker… Il aurait pu être un ancien camarade ou quelque chose comme ça. Et cette Chose, dont je m’en fichais éperdument, qui sortait son baragouin habituel de vilain méchant… Et, puis, on entendit ma voix à mesure qu’on me voyait. Cependant, mon regard n’observait que cette chose qui n’avait rien à faire ici. Déjà, mon aura malveillante se mit en marche lorsque le Serpent s’annonça comme être le Destructeur. Alors, il allait faire ma connaissance.

Si tu es le Destructeur, alors, je suis l’Exterminateur…

S’il était vraiment ce qu’il prétendait être, c’est-à-dire un machin extraordinaire, sorti tout droit des temps anciens, il devrait peut être voir ou ressentir toute l’horreur que j’avais derrière moi : un véritable océan de sang et de cadavres symbolisé par un regard rouge sang et un visage déformé par une déterminante furie. La signification même que, quoiqu’il arrive, il connaîtrait une terrible douleur offerte par mes poings et mes pieds. Déjà, je demeurais très longtemps silencieux : en fait, je cherchais à percevoir les points faibles de ce Serpent Gigantesque. Après tout, qu’il soit divin ou humain, il possédait toujours un schéma qui lui était propre et qui définissait son existence. Je souriais d’un air totalement machiavélique lorsque je les aperçus.

Hé… Vilain Serpent ! Au lieu de ne parler pour ne rien dire… Dis-moi… De quelle couleur est ton sang ?

Instantanément, mes cheveux prirent une teinte rouge alors que mon regard se remplit d’une teinte sanguine. Tout mon être respirait le mal à l’état pur alors que je laissais l’Ombre en moi prendre le dessus. Ce devait être impressionnant de voir à quel point un homme pouvait changer d’apparence et c’était loin d’être un maléfice mais seulement la véritable expression de ce que j’étais vraiment : un être capable de passer de l’Ombre à la Lumière comme il le désirait.

Ici, c’est chez moi… Je ne vais pas te demander de quitter cet endroit, je veux juste dévorer ta chair et vomir tes entrailles sur ta sale carcasse fumante !! AH AHAH AH !!!!

Déjà, dans mon plus pur style de combat, j’intensifiais une cosmo énergie rouge menaçante et effrayante lorsque je me précipitais vers ce monstre gigantesque. Je ne sais pas trop ce qu’il cherchait à faire avec Odin mais j’étais bien décidé à être ce grain de sel qui l’enverrait pourrir dans les profondeurs d’Asgard. Je commençais par une succession d’attaques physiques somme toute basique alors que je m’élevais dans les airs pour me mettre à la hauteur de la grande gueule de cet adversaire qui faisait déjà partie d’une sacré liste. Pour commencer fort, je projetais mon poing gauche et mon poing droit dans ses immenses yeux globuleux tout poisseux à la vitesse de la lumière. Profitant certainement d’un aveuglement, je laissais l’air qui m’entourait, se muer en un vent qui augmentait ma chute alors que je le frappais avec mon pied gauche et mon pied droit au niveau très précis de son cœur, et plus particulièrement au niveau de son oreillette droite et de son oreillette gauche. Puis, avant que je ne redescende sur le sol, je donnais un dernier coup de poing au niveau de son intestin grêle. Chacun de mes coups était ajoutées avec une profonde onde de choc qui amplifiait les dégâts. Pas encore assez suffisant mais je révélerais mon véritable art bientôt.

Une fois sur le sol, profitant de la confusion de l’attaque du Berserker, j’entrais dans un nouvel état de rage qui augmentait instantanément la puissance de mes attaques tandis que je fis apparaître un clone en tout point semblable de moi. Nous nous élancions alors vers cet adversaire et frappions de toute part son corps en apparence. En réalité, le Clone frappait l'adversaire selon un schéma précis, partant du bas vers le haut, avec seulement son index, laissant un impact sur son corps. Puis, je frappais ses mêmes points avec toute la force de ma colère, provoquant, à chaque fois, une puissante onde de choc. À la fin de l’attaque, quand le Clone disparut, les points ciblés explosèrent littéralement, le sang coule à flot tandis qu’une intolérable douleur naquit en mon ennemi. Puis, je rechargeais mon cosmos. Voilà, l’annonce était faite : il existait, en ce monde, un être humain qui pouvait se montrer impitoyable et destructeur. En attendant, ou en espérant que les autres Guerriers d’Asgard arriveraient pour défendre leur Roi, Odin était épaulé par un Berserker d’Arès et un Taré psychopathe de premier rang à faire pâlir de jalousie le Diable lui-même. Et il fallait espérer que la Prêtresse dégage les deux Morpions du Châteaux pour donner un coup de main. Car, et c’était la vérité de toute chose, un très beau combat était en train de naître !

Tu sais quoi Vilaine Bébête !!! On s’en fout complètement de ce que tu penses !!! Tout le monde veut ta peau ! Alors, faisons partager les joyeusetés et laissons les autres pourfendre ta chair et annihiler ta misérable gueule !!

TECHNIQUE DÉFENSIVE:
TECHNIQUE PHYSIQUE: 05 Point de dégâts.
TECHNIQUE COSMIQUE: Shun Goku Satsu - La Mort Instantané Infernale. [Élément Ombre]40pts de Cosmos. +10 si subit de plein fouet

POINT DE VIE: 200
POINT DE COSMOS: 299-40+10= 269
POINT D'ARMURE: 200

"hahaha encore une fois on est obligé de me sauver..."
Emplit de honte et de regret, Zyss Berserker du Déluge regardai les alentours, tout était clairsemé de neiges et de glace, un froid infernal régnais gelant jusqu'au fibre de ses habits.
Le cliquetis de la pose de son armure résonnais dans cette toundra, étonnamment l'armure de métal lui tint chaud, et ce n'était pas plus mal.
Mais ce rustre confort n'était rien face à l'auto flagellation que s'infligeai le Déluge, il se traitai intérieurement de tout les noms, se reprochant sa faiblesse et son manque de chance, sans Alectryon qui sais où il serait et dans quel situation?
Cependant un bruit de fond horrible perturbais ses réflexion et conflit intérieur, un vacarme sans pareil régnais dans ce lieu qui d'ordinaire devait être un royaume de silence des plus apaisant.

Il se souvint brièvement du naufrage de leur navire, la bête qu'il avait senti se mouvoir était donc réel!
Ce serpent défiais toute les lois de la logique et du bon goût, son haleine putride avec infesté les lieux et le moindre de ses mouvement causait une destruction incroyable.
Non loin il aperçut son ami se tenir au près d'un vieil homme à la carrure royale, qui était-ce? Mais surtout qu'était-il arriver à Sparte?! Comment en aussi peu de temps les Spectres avait-il pu bouleversé le royaume de son Dieu! Mais surtout cela prouvais une chose : les Spectres avait vaincu.
Cette idée le rendit fou de rage et il ne pu contenir des larmes emplit de désir de vengeance! Cette bête infâme devais venir des tréfonds des Enfers pour détruire ce qu'il restai de Sparte, c'était certain!
Zyss continua d'attiser sa haine, l'adrénaline créé lui permettant d'oublier son manque de sang et ainsi il pu se relever et partir en direction de la bête qui devait mourrir sur le champs...

Au loin un être suintant la haine et la violence était apparu, un camarade rescapé? Qu'importai qui il était le fait est qu'il en avait lui aussi après le Serpent. De violent coup se firent entendre, le cuir du monstre était dur mais pas aussi dur que l'homme, ou plutôt le démon qui le tannais. Mais était-ce vraiment efficace? Une telle chose pouvait elle souffrir des poings d'un humain?
Le Déluge pria alors Arès de lui donner le courage mais aussi la force de faire face!

Rejoignant Alectryon et le vieil homme, non sans tituber de temps en temps, Zyss constata que le vieux guerrier dégageai quelque chose de différent, il n'était pas qu'un soldat ou un général, non il possédai la même aura que les fils d'Arès et Arès lui même, une aura le différenciant des Hommes, quelque chose de Divin. Mais cela devait-être dut à la fatigue qui pesait sur le Déluge, son armure lui semblait lourde tellement lourde qu'il fini par plier le genou à coté d'Alectryon, mais très vite il lui fit un signe voulant dire qu'il ne désirai pas d'aide, non il ne voulait pas être plus humilier.
Rassemblant ses forces il réussit à se relevé et se tenir droit, avec fierté malgré la fatigue évidente que son corps montrai.

"Eh bien, on dirait qu'Hadès n'en a pas fini avec Sparte... Que désire-t-il à ton avis? Détruire le royaume tout entier?" demanda Zyss en soufflant.
Il tourna sa tête vers le vieille homme puis dans ce qui pouvais paraitre comme un râle il enchaîna :
"Merci à vous pour votre mobilisation Messire, j'ignore qui vous êtes et ce que vous faites ici, mais je peux le sentir, vous faites parti de quelque chose de grand, d'un tout n'ayant nul semblable parmi les humains. Mon ami et moi somme ravi de votre présence et espérons que tous ensemble nous pourrons vaincre cette abomination!"

Les mots était une chose mais les accomplir en sont une autres, et dans son état il doutai fortement de ses chances de survie ou même de blesser le Serpent. Aussi il se demanda si le froid ne lui poserai pas de soucis avec ses dons, manipuler l'eau dans ce froid glaciale risquerai de compromettre ses attaques cosmique... Mais ne pouvait-il pas manipuler la glace?
Il y a peu, à Venise, il avait ressenti un cosmos de nature totalement différente, emplit de froid et aussi transperçant qu'une aiguille, cosmos qui avait donné la mort à un pauvre agresseur...
Le défi qui l'attendais était de taille mais peut être lui révélerait-il une nouvelle facette de lui même...

Palais d'Odin

La course effrénée d'un homme dans le vif de l'action peut parfois être terriblement impressionnante. Lors de ses chasses diverses, il avait déjà pu rencontrer d'autres que lui réussir à courser un cerf de façon loyale, mais le fait restait terriblement rare, et l'exploit aussi inintéressant qu'il puisse paraître restait gravé dans les hauts faits de la vallée pour plusieurs décennies. La course... Jamais il n'avait courut aussi vite... Holvir avait imaginé ce jour depuis le début, celui où son armure et son arme, les cadeaux offert par les dieux, ne seraient plus là que dans un unique but de prestige et de décoration, il était ici pour se battre, et il y comptait bien. Il avait imaginé les coups rudes et les souffrances des lames froides et mordantes, il avait imaginé les os brisés en un millier de morceau et les cris environnant, il avait imaginé que son armure, terriblement lourde au bout de l'effort finirait par être un poids mort qui lui coûterait probablement l'avantage au moment fatidique... Et pourtant, il courait comme jamais... Le métal prodigieux épousait parfaitement ses mouvements, et réagissait, vibrait et vivait en même temps que lui. Au titre de son arme, il sentit pour la première fois la vie réelle et en harmonie totale de cette "autre", qui lui semblait pourtant être lui en tout point.

Il arriva. Il se stoppa, les yeux et l'âme abasourdi par la vision d'horreur qui se jouait à son arrivée. Jörmungand... Une mèche de ses cheveux blond lui tomba devant le visage, cachant une expression dont on aurait pu mettre de nom dessus, à mi-chemin entre la réflexion, la peur, l'enthousiasme et la rage. Il lui fallait un plan d'attaque et rapidement... Ses yeux se mirent alors à scruter les moindres recoins de la scène, et à identifier les potentiels angles d'approche, ainsi que les forces en présences. Ryuken venait de foncer tête baissée à l'assaut de la bête, et semblait lui avoir porter des coups durs... Il leva la tête et vit Odin, le souffle de l'animal englobant toute la scène d'une atmosphère putride et pesante, le dieu semblait se battre, mais à un niveau plus profond que les autres... Les autres... Un cri et un bruit de choc lui firent élever un peu plus le regard afin de prendre en compte un nouveau personnage. Celui-ci semblait... Différent... Son teint approuvait le fait qu'il n'était pas d'Asgard, bien que la Guerrière d'Eta fut une exception à la règle. Que pouvait-il faire ici ? Il aurait la question plus tard, le moment était à l'action.
Holvir attrapa la gourde qui traînait à sa ceinture, et en arracha le goulot avec ses dents, puis d'un mouvement de revers, dégagea ses cheveux broussailleux de son visage et plongea la tête en arrière afin de profiter du fond restant de breuvage. S'arrêtant dans son geste au bout de moins d'une seconde, il jeta le récipient en grognant, remis son casque en place, et empoigna son arme, bien décidé à porter le premier coup avec sa voix rauque :

- L'heure du Ragnarok n'est pas encore venu gros tas de vers ! Tu va comprendre ce que c'est que l'honneur pour un Nordique en colère ! Et qui n'a pas finit de décuver !

Holvir prit appuis sur son talon gauche, et faisant basculer tout son poids vers l'avant, se mit à charger l'animal en hurlant, mais sa trajectoire ne décrivait nullement une bête ligne droite : Son analyse lui avait permit de repérer un rocher sur lequel prendre impact. Le tout était d'y arriver avec la force suffisante... La course effrénée d'un homme dans le vif de l'action peut parfois être terriblement impressionnante... Il grimpa le pic avec une facilité qui le surpris lui-même, puis au dernier instant avant le vide sauta.

- Odiiiiiiiiiin !

Il cria ainsi, les deux mains assurées sur la hampe de sa lance qu'il tenait au-dessus de lui afin d'infliger le maximum de dégâts à l'arrivée sur le cuir de la bête, non en tant qu'injonction, mais en tant que cri de ralliement. Et ce fut le choc. La lance percuta l'animal dans un bruit strident de métal, et dans le même moment, fort de la vitesse qu'il avait pu prendre lors de sa course, le Guerrier s'agrippa sur la bête afin de glisser sous un angle possiblement plus prospère à tout dégâts. Il chuta ainsi de quelques mètres, mais dans un mouvement de rotation se retrouva dans le "dos" de la bête, se servit de ses écailles et instinctivement concentra ses forces afin de grimper en courant le long de sa colonne, tout en traînant le tranchant de son arme sur la carapace. La tête...

L'important lors d'une traque et de ne laisser aucune avance à ta proie. S'il le faut, tu la poursuivra nuit et jours pendants des semaines, mais si tu lui inflige de petites blessures à chacune de vos rencontres, tu finira par l'avoir.

Holvir releva la lance, et fit un bond pour prendre plus d'altitude, se laissant alors chuter sur la tête de l'animal plantant de toutes ses forces l'arme dans le cuir impénétrable. Puis, comme prit de rage, il releva une nouvelle fois l'arme et l'y planta de nouveau dans un grand bruit d'acier que l'on tord. Mais il sentait dans sa fureur que son arme n'était pas prête de plier... Alors dans une surenchère de coup, il s'y reprit une dernière fois. Retirant l'arme, il sauta en direction de la terre en s'élevant haut dans les airs, et alors qu'il se retrouvait le visage en direction de la bête et le reste du corps au-dessus, des éclairs vinrent frapper le Guerrier de toutes part et la lance se mit à briller fortement d'une lumière bleu glaciale. Il la lança alors, et elle se divisa en une multitude de clones, tous aussi lumineux et inquiétant les uns que les autres, qui s'abattirent sur Jörmungand.

En retombant sur le sol, la lance était miraculeusement, de nouveau entre ses mains, et sans perdre une seconde, il se mit en garde.

Citation :: *Gungnir (Gungnir) : 40 pts de cosmos. [Foudre] Attaque forte.
Le guerrier divin s'en remet à sa lance légendaire, concentrant son cosmos lié à la Foudre dans celle-ci, qui se traduit par une giclé d'éclairs sortis de nulle part. Il lance ensuite Gungnir qui se multiplie et poursuit sa cible jusqu'à ce que l'un de ses clones l'ait atteint. Puis la lance revient dans la main de son propriétaire.
Si subit de plein fouet, l'adversaire ne pourra se défendre à votre prochaine attaque cosmique.

Coups donnés: Coups physique 5 + Attaque cosmique 1
HP(points de vie) : 147
CS(points de cosmos) : 145 - 40 + 10 = 115
Armure: 280

Alors, arrive le destructeur. 1424116582-test1

L’esprit de Jörmungand s'étend petit à petit sur cette vaste étendue montagneuse, l’entourant, l’écrasant, l’air se faisant plus dense, se viciant de sa colère. Bientôt, le destructeur expulse son cosmos qui émane de lui. Au flot de sa colère se mêle un flot cosmique. Lentement, tel un millier de mains délicates, ce flux vint enserrer chaque parcelle de vie qui s’agite comme secouer par une brise inexistante. Jormungand cherche la destruction. Mais, sa haine des humains est plus forte que ses propres ambitions. Car, son flair ne se trompe pas et ce sont ses yeux qui ensuite, descellent l'arrivée lointaine de ces abjectes créatures. De vulgaire bipède osant l'affronter. Lui, le fléau d'Asgard ....

Son esprit est à présent focalisé sur ces vermisseaux, accourant vers lui et Odin. Eux qui souhaitent soutenir le seul être capable de l'affronter. Cette seule pensée, aussi abjecte soit-elle. Martèle sa haine sur le territoire de Gamma. Et lorsque ce microbe ose s'attribuer le titre d'exterminateur. La haine agressive du fléau d'Asgard n'est plus. Simplement une douce et chaude couleur semblable au feu. Oui, comme si l'eau et la neige sous les bipèdes se sont soudainement embrasées. Mais, son action, bien que spectaculaire, le destructeur n'oublie pas le mortel qui vient d'apparaitre entre lui et Odin. L’œil et sa conscience, figé sur cet humain, Jörmungand ne bouge pas, il attend, il jauge ... Cet insecte est là pour combattre et le fléau d'Asgard, aussi perfide est vil qu'un démon. Reste inerte, sans énoncer la moindre parole jusqu'à ce que ce bipède lui porte une attaque qui ne le fait à aucun instant, trembler. Le colosse tourne légèrement la tête faisant mine de regarder autour de lui. Puis, abaissant finalement ses yeux vers le Berzeker, le fléau d'Asgard s’exclame d'une voix ténébreuse.

Tu n'es pas apte à prononcer de tels mots, simple humain. Car je suis le fléau d'Asgard, celui qui détruira le monde des hommes et ta misérable vie. Je te laisse deux choix, la fuite, ou la mort ... Je ne te dirais pas que je ne t'ai pas prévenu. Mais, fait ton choix et vite ...

Son cosmos s’expulse de son museau et se propage sur le Berzeker, le faisant reculer de plusieurs mètres. Cet action fait figure d'ultime avertissement. S'il persévère à combattre, seul la mort fauchera sa misérable vie. Mais, lentement, Jörmungand se tourne vers un autre humain. Ce qu'exprime ce bipède irrite le fléau d'Asgard. Mais, a au moins le mérite de faire glousser le destructeur.

La seule chose que tu parviendras à exterminer sera ta propre vie, abjecte bipède ... Le seul être capable de me défier est ici, là, devant toi. Et il se nomme Odin. Mais, je te laisse une seule et unique chance de me toucher et de te donner l'illusion que ton pouvoir peu me blesser, moi, le destructeur ...

Le colosse s'exécute rapidement à se redresser de toute sa stature, tel le géant parmi les géants. Alors, sa gueule vint s'ouvrir, comme pour afficher un fin sourire, dévoilant ainsi ses dents. Acérer comme l'acier. Il fait à nouveau sortir subtilement, le cosmos de son être, l'envoyant contre la terre qui s'en gorgea. Ryuken ne perçoit pas l'action du destructeur, trop enclavé à gesticuler, telle la mouche qu'il est, aux yeux de Jörmungand. Mais, sa vie ne tient plus qu'à un fil et la mort va le happer, inexorablement ... Puis, survient l'attaque du bipède et tel l'insecte au regard du colosse. Jörmungand expulse quelques flammes par ses naseaux avant de pencher sa tête en sa direction.

Ne parle pas au nom des autres petit homme. Tout comme ton monde, ta vie va prendre fin, aujourd'hui. Alors, ne t'avise plus de me barrer la route entre moi et Odin ... Ton pouvoir et semblable à ta vie, inexistante.

Le fléau d'Asgard n'eût pas le temps de terminer ses dires que d'autres insectes surgissent tout autour de lui. Grouillant comme ils l'ont toujours fait à toutes époques. La colère de Jörmungand s'échappe une fois encore de sa conscience. Lorsque le dernier bipède eut la trop grande liberté de le frapper, lui, le fléau d'Asgard ... Ouvrant grand sa gueule, Jörmungand rugit avec méchanceté et violence contre les humains. Pour la première fois, il se trouve courroucer. Et ces humains vont-être les premiers à périr de sa sombre fureur ....

Beaucoup de bruit et de fureur. Beaucoup de guerriers sont arrivés. Pour certains, leur présence serait incompréhensible si Odin n’avais pas saisit les propos évoqués. Des Berzerkers au pays d’Asgard et qui croient se trouver chez eux ? Etrange mais pas dénué d’explications. Ce n’était pas le moment de se poser autant de questions, le temps viendrait, mais pas maintenant. Et avant qu’Odin n’ait pu répondre au Serpent, tous y allèrent de leurs attaques, de leurs entrées fracassantes, de leurs mots. Impossible pour eux de comprendre qu’en l’état, la créature qui se tient devant eux est hors normes. Pas invulnérable, certes, mais hors normes. Serait-elle immunisée au Cosmos de tous ces guerriers ? Rien n’est moins sûr. Alors Odin prend la parole et les dirige plus particulièrement en direction des Berzerkers.

- Que chacun entende ce que j’ai à dire. Ici, la bravoure et le courage ne vous serviront à rien d’autre qu’à vous exposer inutilement. Il n’est pas nécessaire que vous versiez votre sang pour Asgard, d’où que vous veniez.

Dans le même élan, la présence d’Odin semble assez forte pour que la température des lieux, en plus d’être déjà basse, ne continue à chuter. Inexorablement, Odin se prépare pour un affrontement sans précédent. Car le Serpent a encaissé les assauts des guerriers sans vraiment reculer. Chacun fait preuve d’une dévotion sans bornes. Hélas, les choses ne semblent pas si simples. La riposte est cinglante : le serpent pousse un cri puissant et destructeur qui semble saisir les guerriers dans leur intégralité. Odin encaisse le choc, violent et puissant, il n’est qu’un préambule de l’énergie que son adversaire est capable de libérer.

Il est ainsi temps pour Odin de prendre en compte les dires du destructeur, de ce défi qu’il semble prompt à avoir avec le seigneur des glaces. Odin se souvient de ce qu’il s’est passé pendant l’hiver inextricable ; il a un arrière-goût de sa captivité, du lieu dans lequel il s’est retrouvé avant d’être libéré. Rancune tenace, larvée et patiemment gardée, il est temps de la faire ressortir.

- Les choses ne seront pas si simples désormais. Vous n’êtes pas étranger à ma disparition lors du grand hiver ; une faiblesse que vous avez exploité mais soyez assuré que plus personne ne tombera dans vos pièges. Personne ici n’aura à subir plus longtemps vos assauts ni votre souffle empoisonné. Je suis le Maître d’Asgard et je ne laisserai pas aller plus loin l’engeance que vous êtes.

Son énergie est déjà montée d’un cran, au paroxysme ? Pas encore. Et pendant ce temps, Le sol se met à trembler. Tout autour d’eux, la banquise semble se fracturer, se briser, se condenser en blocs et s’élever sous la pression et les énergies libérées. Là, une zone a été délimitée, non pas pour cloisonner le combat, non pas pour créer une arène, pour être au contact avec la Terre. Et la température qui chute encore et toujours. Au loin, alors que Odin n’en finit plus de fixer son adversaire dans les yeux, un souffle de vent apporte les chants de Valkyries. Portées par les lueurs d’une Aurore Boréale, elles se placent en silence, sans un bruit, sentinelles vigilantes du royaume d’Asgard, prêtes à observer et à garder les limites du duel.

Des formes semblent s’extraire du sol, nimbées d’un bleu irréel. Elles déploient leurs ailes, prennent leur envol et se placent tout autour d’Odin. Les corbeaux d’ombre et de lumière sont là par centaines, ils sont prêts à agir sur ordre. Tout semble prêt, les augures n’auraient pu rêver une telle circonstance. Et alors que Odin n’a toujours pas quitté des yeux son adversaire, il prononce une phrase unique et frappe le sol de sa lance comme pour enfoncer le clou et définitivement sceller les prochains instants d’Asgard. L’énergie qu’il déploie est la même que celle de sa précédente attaque mais investie d’une conviction toute particulière.

- Vous ne passerez pas…!

Le temps est venu.

( Défi accepté ! )

Citation :: Points de Vie : 350 - 60 + 10 = 300
Points de Cosmos : 330 - 30 - 30 - 40 + 10 = 240
Attaque : 30 points / Lumière
Parade 0

Air glacial. 30pts de cosmos. Défense Faible ou Moyenne. (Effet cumulable)
Odin dieu des glaces éternelles fait souffler les vends nordiques les plus froids du monde Asgardien. L’ambiance chute de plusieurs dizaines de degrés et devient rapidement glaciale. Aucune cérémonie ni concentration n’est nécessaire Lorsque cette technique est lancée, les attaques et les défenses de l’adversaire sont affectées, elles diminuent en intensité. C’est une technique évolutive, C’est-à-dire que plus elle est utilisée, plus elle gagne en puissance. Pendant le même tour le cumul défense et air glacial, ne peuvent pas excéder 40 points.
Si Odin a invoqué les Corbeaux d’ombre, cet air glacial sera lié au royaume des morts, non la lié à la glace mais aux ombres. On pourra même entendre les Valkyries chanter et les guerriers d’antan prononcer quelques mots.
5à20pts = Aucun effet
30pts = -10pts sur les 3 prochaines attaques cosmique de son adversaire. (Une charge utilisée, reste 2, tout le monde bénéficie de la réduction sur l'attaque de zone)

Les corbeaux d’Ombre du royaume des morts. 40pts de Cosmos. Attaque Forte.
Attaque placée en réserve comme l'indique la description

Depuis le monde des morts arrivent les corbeaux accompagnateurs des âmes des défunts. Ils tournoient autour d’Odin et n’attaquent que sur ordre. Lorsqu’ils sont invoqués, la température ambiante chute très rapidement, des volutes de fumée bleutée s’extirpent du sol, preuve que le royaume des morts est proche. Lorsqu’ils passent à l’attaque, les corbeaux se jettent sur la cible en la traversant. Certains explosent au contact.
Si l’attaque touche l’adversaire de plein fouet il subira un handicap de 10pts sur sa prochaine action, pour refléter l’influence du monde des morts sur lui.

Projection de Sleipnir. 30pts de Cosmos. Attaque Moyenne.
Odin utilise un pouvoir télékinétique sur son adversaire. Il peut d’un geste de la main le balayer et le projeter sur une distance considérable, lui faire traverser les obstacles le cas échéant. Le choc qui en découle est violent.

Les nouvelles n’étaient pas bonnes, loin de là. Les guerriers se massèrent au-devant de cette puissante créature, tous prêt à en découdre mais, pour les berzerkers, était-ce leur combat ? Le Serpent parlait d’être le fléau d’Asgard, plongeant l’esprit du cardinal dans le doute. Se pourrait-il que Zyss et lui soient arrivés par erreur dans un autre royaume ? Si cela était le cas, alors il n’y avait pas là, la magie des spectres à l’œuvre et, ce monstre n’était pas destinée à être leur ennemi.

Le doute l’assaillait, cela aurait pu vouloir dire qu’ils avaient fait ces sacrifices pour rien et qu’il avait humilié Arès et le soldat sous son commandement. Ces implications étaient insupportables et l’idée de s’être fourvoyé de la sorte le rendait furieux contre lui-même. Il espérait que ce ne soit pas le cas mais bien des choses s’expliqueraient s’il en obtenait la confirmation, ce que fit Odin comme l’avait appelé un guerrier plus tôt.

- Que chacun entende ce que j’ai à dire. Ici, la bravoure et le courage ne vous serviront à rien d’autre qu’à vous exposer inutilement. Il n’est pas nécessaire que vous versiez votre sang pour Asgard, d’où que vous veniez.

Les paroles de la divinité nordique résonnaient d’une puissance peu commune, rien à voir avec les pitoyables braillements que lui ou les autres guerriers avaient poussé. Il avait bien là affaire à un dieu et se rendit compte qu’il s’était perdu. Il n’y avait plus de doute possible, ce n’était pas Sparte, ni même leur combat. La créature rugit avec violence, repoussant les combattants et signifiant de cette manière sa puissance. Les paroles d’Odin semblaient prendre tous leur sens.

Mais que faire quand on est un berzerker, qu’on représente une divinité qui symbolise le massacre et le plaisir du combat ? Peut-on fuir, tourné les talons et rentrer chez soi comme si de rien n’était ? Peut-on faire fit de sa nature de combattant et déshonoré plus encore ses dieux et cracher à leurs face que leur soldats préfèrent reculer ? Non cela ne sera pas et il le dit à Odin.

Puissant Odin ! Vous qui êtes connu comme le père de la sagesse, c’est avec elle que vous nous conseillé de repartir chez nous. Visiblement ce n’est ni notre pays, ni notre combat. Mais un berzerker ne fuis pas ! Dussé-je aller au-devant de mon destin, je ne me défilerais pas ! Comment pourrais-je d’ailleurs, rentrer chez moi et dire à mes dieux que je me suis conduis comme un lâche. Ce combat est désormais aussi le mien, ne vous déplaise, vous devrez compter sur moi comme allié dans celui-ci.

Il se tournât vers Zyss, le regard emplis de honte, le jeune homme l’avait suivi et il lui avait fait confiance. Pourquoi ne l’aurait-il fait, il était son supérieure et, censé savoir ce qu’il faisait. La responsabilité de ce fiasco lui incombait pleinement. Il devrait en assumer l’entière responsabilité et dans ce but s’adressa au berzerker.

Zyss ! Tu n’es pas seulement un soldat, un compagnon d’armes, tu es aussi mon amis. Je regrette de t’avoir mené dans l’erreur et en assumerait la faute devant nos dieux si on doit les revoir. Cependant, comme le seigneur Odin l’a dit, ce n’est pas notre combat. Je suis déterminé à le continué, ne serait-ce que pour expier ma faute mais, je ne saurais te retenir ici. Je te libère de mon commandement, tu peux de ton propre choix, t’en retourner à Sparte ou rester ici mais, si en ces lieux, un destin funeste nous attend. Je te laisse seul juge mon frère !

Il y avait dans l’air une atmosphère de chaos et de fin du monde, quelque chose que même durant la guerre contre les spectres, il n’avait pas ressenti. Le combat qui allait se dérouler sur ses landes gelées verrait naitre des héros ou mourir des martyres, tous témoins de la tentative de quelques un pour empêcher la destruction d’Asgard et peut-être même du monde. Il se tournât vers les autres combattants.

Donnez-moi vos noms, guerriers, que je puisse dire quels sont les personnes qui furent témoin qu’un guerrier d’Arès ne fuis pas et Retenez le mien. Je suis Alectryon, le cardinal du feu !

A peine eut-il fini de parler qu’il fit s’abattre du ciel une colonne de feu sur la créature, espérant qu’elle en soit affecté. S’il devait perdre ce combat, au moins le ferait-il avec honneur.

attaque a écrit:: Ennetsu Jigoku (Enfer Torride) 30 à 40 points de cosmos

Alectryon se concentre et, soudain, la terre tremble puis, surgissant du sol, sept à huit colonnes de feu s'élèvent pour embraser le ciel. La température est étouffante et l'air irrespirable et, le moindre mouvement est pénible. Les colonnes continue de brûler mais, se rapproche inexorablement de l'adversaire. Elle forment un cercle autour de lui et s'il tente d'en sortir, elle se jettent sur lui. Il n'y a aucune échappatoire , bientôt, elle réduiront son espace vitale et néant et, ensuite, ce sera son tour.
Effet (40 point) si subit de pleins fouet: l'attaque gagne 10 points d'efficacité.

Points de Vie : 194 - 60 + 10 = 144
Points de Cosmos : 240 - 40 +10 = 210
Attaque : 40 points / Feu
Parade 0

La bête était d'une puissance prodigieuse, le damné qui l'avait attaqué c'était que largement fourvoyer et s'il n'avait ne serait-ce que déloger une écaille avec son déchainement cela tiendrai du miracle...

Enfin les mots avait été dit : ils n'étaient nullement à Sparte mais à Asgard.
Le vieux guerrier, comme il l'avait bien ressenti n'était autre qu'une divinité nommé Odin! La déception emplit le coeur de Zyss, se fourvoyer ainsi devant un dieu! Quel honte mais quel soulagement! En effet cela révéla bien une chose, Sparte n'était nullement sous le joug de la bête et n'avait pas subit l'horrible malédiction à laquelle lui et Alectryon pensai.
Soupirant de soulagement il écouta alors le discours de la bête, qui vantai sa supériorité manifeste mais négligeai horriblement le pouvoir des Dieux et des hommes élu par ces derniers puis vint Odin qui parla avec toute la sagesse et la force qu'on lui accordai.
Pas notre combat à nous les fils de la guerre? Nul combat n'est n'autre! Avait envie d'hurler Zyss avec courage et force, mais la faiblesse dont il faisait preuve pour le moment lui en empêchai, ne serait-ce que par pur humilité. Cependant il trouva la force et le courage de dire au Père d'Asgard la chose suivante :
"Ô Dieu, si cela n'est pas notre combat entend ma pensé, pense-tu réellement que cette bête se contentera d'Asgard? Pense-tu qu'elle y trouve son compte de mort et de chaos? J'en doute... Après ces terres viendrons celle de notre Dieu, Arès, puis s'en suivra les autres domaines et la terre des Hommes. Laisse nous t'aider et nous sacrifier pour assurer ta victoire, de plus moi et mon ami ne voyons pas cela comme un simple combat, il s'agit de protéger nos Dieux!"
Ainsi il parla, peut être allait-il sembler arrogant et présomptueux mais Zyss voyais les choses ainsi et ce Dieu, dans son combat, jouai la vie de toute la Terre et nullement juste son domaine enneigé.

Soudain Alectryon se tourna vers lui et s'engagea dans une tirade qui prirent au dépourvu le Déluge :
Zyss ! Tu n’es pas seulement un soldat, un compagnon d’armes, tu es aussi mon amis. Je regrette de t’avoir mené dans l’erreur et en assumerait la faute devant nos dieux si on doit les revoir. Cependant, comme le seigneur Odin l’a dit, ce n’est pas notre combat. Je suis déterminé à le continué, ne serait-ce que pour expier ma faute mais, je ne saurais te retenir ici. Je te libère de mon commandement, tu peux de ton propre choix, t’en retourner à Sparte ou rester ici mais, si en ces lieux, un destin funeste nous attend. Je te laisse seul juge mon frère !

Alors voilà à quoi pensai le Cardinal dans un moment aussi tragique? Zyss ria à gorge déployé faisant trembler tout son corps qui fit cliqueté toute son armure dans une symphonie métallique, il y a bien longtemps qu'il n'avait pas ri ainsi, séchant une larme de joie il posa sa main ganté sur l'épaule de son ami, faisant entrechoqué le métal, un son des plus plaisant en temps de guerre.
Il plongea son regard dans le sien et lui fit alors :
"Comment pourrai-je regarder en face Arès et ses fils si j'abandonnai mon frère d'arme sur le champ de bataille? Bien que je sois faible en ce moment je lutterai à tes coté, non pas comme soldat mais comme un ami. Unisson nos poings! Unissons notre Cosmos et montrons à cette abomination de quoi les Flammes et le Déluge sont capables en travaillant de concert!"

Cependant ils devrons faire vite car Zyss ne pourra encaisser bien longtemps les assauts cosmique du monstre...
Pensé fugace qu'était un retour aux enfers, devoir de nouveau subir les remarques de l'Acheron et subir une énigme aussi approximative qu'ennuyeuse...

Citation :: Points de Vie : 75 - 60 + 10 = 25
Points de Cosmos : 151 - 0 = 151
Armure : 280
Attaque : 0
Parade 0

Dernière édition par Ryuken le Dim 1 Mar 2015 - 15:08, édité 1 fois

La puissante attaque de zone m’éjecta comme un fétu de paille et m’envoyer valser dans les décombres. Je venais tout juste de revenir d’une expérience traumatisante et je repartais au charbon, ne me posant aucune question. Sous une épaisse couche de neige, des arbres recouvrant ce monticule qui bloquait mon corps, je me relevais en dégageant tout sur mon passage, faisant exploser mon cosmos rageur. J’avais des ecchymoses sur mon corps et du sang coulait du con de ma bouche. Il en faudrait beaucoup plus pour me tuer comme ça d’un seul coup. Après tout, Odin m’avait pris sous son aile et j’avais des dettes incommensurables envers ce peuple et ses Guerriers. Et, j’avais un autre objectif aussi. Un peu plus personnel. Alors, comme à mon habitude, je marchais d’un pas décidé vers ce combat, la colère remplissant mon âme, se mêlant à une détermination inflexible. Rien à faire de mourir ! Qu’importe si je passe encore une fois devant le Juge ! Pas grave si je me trompe dans la question et que je fais un tour dans les profondeurs infernales, châtié, meurtri et découpé en morceau ! J’en ai affronté des monstres, j’ai combattu et envoyé balader des dieux, j’ai guerroyé face à de terribles adversaires. Alors… Cette chose de Midgard, ce n’est rien de plus qu’un simple adversaire comme les autres qui construira ma marche vers la puissance absolue.

J’entendais un chant qui m’inspirait alors que les Corbeaux semblaient voler vers le « Destructeur ». L’air devenait de plus en plus glacial, la température descendait à toute vitesse mais ma soif de combat réchauffait mon ardeur. On ne me tue pas ainsi, je suis tenace. C’est alors que je passe à côté du dénommé Holvir. Je m’arrêtais à côté de lui, regardant la scène avec un appétit vorace et une soif de destruction sans limite. Ma mâchoire se serrait tandis que mon regard flamboyant fixait ce monstre avec une volonté hors norme. Je regardais Odin combattre, j’observais le Spectre, qui se faisait appeler Alectryon. Je ne sais pas ce qu‘ils veulent et je ne connais pas leurs motivations. Et, l’autre se faisait nommer Zyss. Il parlait un peu trop à mon goût. Il m’énervait. Je ne jetais aucun regard à mon compagnon d’arme mais, sous un aspect démoniaque, l’envie de meurtre s’étalant au grand jour et sans aucune retenue, mes poings se serrèrent lorsque j’observais Odin.

Est-ce que je te fais peur Holvir ? Chez moi, c’est ainsi que s’exprime l’Ombre à son extrême. Si proche de la mort. Vous avez accueilli un Démon de la pire des espèces. Odin a accepté que je sois des vôtres. Vous m’avez aidé alors que des êtres censés m’auraient laissé disparaître. Je vais mourir pour Odin et je vais défier les Enfers pour le peuple d’Asgard et pour vous, Guerriers Divins. Ce ne sera ni la première, ni la dernière fois. Et, c’est sans regret. Alors, si tu as confiance en moi, si je ne t’effraie pas, jetons-nous dans la bataille et mourrons pour Odin. Car, il est assuré que si mon corps sera inerte et que mon âme ira en Enfer, cette chose, qui menace, notre peuple et notre dieu, va connaître une souffrance et une douleur qu’il n’est pas prêt d’oublier !

Sous une voix malsaine, où on pouvait percevoir le mal absolu, les paroles, que je prononçais, avait une connotation quelque peu lumineuse. Je ne m’en rendais compte qu’au moment où je quittais le Guerrier Divin pour m’avancer vers le combat. Je me souvins d’une discussion que j’eus avec Cronos et d’un échange avec l’Ancêtre. Mais, pour le moment, je n’y pensais pas trop. Peut-être que plus tard, aurais-je le temps d’analyser et de méditer sur tout cela. En attendant, le Serpent avait prononcé des paroles qui m’avaient bien excité. Vraiment !! Il ne savait pas à qui il avait affaire. Odin balançait ses paroles aux Berserkers. Qu’importe leurs volontés et leurs devoirs du moment qu’ils se battaient et qu’ils mourraient. La victoire en vivant, la mort en perdant. La survie par ma propre volonté. Le Seigneur d’Asgard était motivé à en découdre avec cet adversaire et j’allais lui apporter toute mon aide. Au moins, Alectryon semblait se comporter en véritable guerrier, ce qui n’était pas le cas de son comparse qui discutait au lieu de se battre. Je n’avais pas l’intention de lui donner mon identité pour lui faire plaisir et lui servir d’alibi ou pour mettre en avant son comportement. Je passais à côté de lui avec un sourire carnassier tandis que je me dirigeais vers l’autre Berserker. Soudain, sans crier garde, je lui envoyais un puissant atémi sur la gorge.

Tu parles trop ! Tu combats ou tu fuis ! On n’a pas besoin de Beaux Parleurs mais de véritables et féroces combattants qui sont prêt à mourir ! Tu subis mais tu ne répliques pas ! Alors, frappes ton adversaire et rends lui coup pour coup comme un vrai Berserker ! Comme ton ami là-bas ! Mauviette !!

Je me dirigeais à côté de Odin, peut être suivi de Holvir. Toujours sous cet aspect effrayant. Je regardais mon adversaire, un grand sourire satisfait sur mon visage.

Il ne passera pas Odin. Il ne fera pas un pas supplémentaire car je ne laisserais aucune malfaisance s’incruster dans ce lieu que je dois protéger. Tu m’as accepté parmi les tiens, je vais tenir mon serment sur le champ ! Je n‘ai pas mis mes plus beaux vêtements pour l’instant mais le spectacle ne fait que commencer et il ne cessera que lorsque je serais mort. Je suis avec toi, je ne t’abandonnerais pas…

J’enflammais mon cosmos qui avait toujours cette teinte rouge sang alors que mon regard furieux se mua en une puissante détermination destructrice. Je tendis mon poing en le regardant, un air paradoxalement mauvais et satisfait s’affichant sur un visage déformé par la haine, l’expression même de ma maîtrise de l’Ombre à l’extrême. Puis, je m’avançais vers la Menace, non sans jeter un message télépathique à Odin. « J’aime beaucoup ce chant… » Les attaques fusent et, dans ce capharnaüm, j’avance sans état d’âme, reflétant l’expression de ce que j’étais : un Guerrier Indomptable et sans Peur. J’avance et ne recule jamais. La température chute spectaculairement mais le feu du combat brûle en moi, mon cosmos rouge comme le sang irradie autour de moi. Je m’adressais au Serpent sans aucun état d’âme.

J’ai affronté les Dieux et les Hommes. J’ai reçu des malédictions divines. Je suis mort un nombre de fois incalculable. Je suis revenu à la vie maintes et maintes fois. Je suis le Disciple de Cronos, j’ai été au service d’Arès le Dieu de la Guerre et maintenant, ma détermination va à Odin. Tu es le Fléau d’Asgard ? Je me moque de qui tu es ! Je ne fuis pas, je ne crains pas la mort je vais de l’avant. Comme tous les autres adversaires que j’ai eus auparavant, tu souffriras et ton corps saignera…

Soudain, à la vitesse de la lumière, je me précipitais au combat, me déplaçant dans la zone que je visais. Je visais la trachée du Serpent pour l’empêcher de respirer normalement. D’abord un coup de poing gauche, sous la forme d’un uppercut, produisant une onde de choc s’incrustant dans la peau du Monstre, atteignant sa bouche. Puis un coup de poing droit pour atteindre sa trachée et lui priver d’air momentanément. Encore et toujours avec une violente onde de choc qui creusait un cercle profond dans le corps ciblé de l’Ennemi. Puis, j’enchaînais avec deux coups de pieds en direction de la zone cardiaque du Monstre. Ma Science du Combat me permettait d’impacter directement sur les zones artérielles et veineuses du Monstre, lui procurant des douleurs immédiates et l’affaiblissant soudainement. Puis, j’atterris non loin derrière lui. J’en profitais pour prendre appui sur l’extrémité de sa queue, non sans le frapper avec mes deux talons, provoquant une sorte d’électricité corporelle qui parcourrait son corps du bas vers le haut. Ce faisant, je décollais du sol, aider de ma maîtrise de l‘élément air, sous la forme d’une brise qui me propulsa assez haut pour arriver un peu plus haut que le sommet de son crâne. Précisément, où je percevais un de ses nombreux points faibles. Là, où, à court ou moyen terme, je lui ferais subir des dégâts irrémédiables.

Shun Goku Satsu !!! Tu n’es pas un Destructeur ! Tu n’es rien de plus qu’une Chose sortie de ton trou pour causer le mal à Celui que je sers et à Ceux et Celles que je dois protéger ! Et rien que pour ça, tant que je serais toujours vivant en ce monde, non seulement je serais l’Exterminateur mais aussi ton… TOURMENTEUR !!!!

J’entrais dans un nouvel état de rage qui augmentait instantanément la puissance de mes attaques tandis que je fis apparaître un clone en tout point semblable de moi. Nous nous élancions alors vers cet adversaire et frappions de toute part le sommet de son crâne et sa tête en apparence. En réalité, le Clone frappait l'adversaire selon un schéma précis, partant du bas vers le haut, avec seulement son index, laissant un impact sur son corps. Puis, je frappais ses mêmes points avec toute la force de ma colère, provoquant, à chaque fois, une puissante onde de choc. À la fin de l’attaque, quand le Clone disparut, les points ciblés explosèrent littéralement, le sang coule à flot tandis qu’une intolérable douleur naquit en mon ennemi. Puis, je rechargeais mon cosmos alors que j’étais en face d’Odin, tel un véritable protecteur de son Dieu qui ne reculerait devant rien pour sa sauvegarde.

TECHNIQUE SUBIE: Gigan Loud: 60 Point de dégâts
TECHNIQUE DÉFENSIVE:
TECHNIQUE PHYSIQUE: 05 Point de dégâts.
TECHNIQUE COSMIQUE: Shun Goku Satsu - La Mort Instantané Infernale. [Élément Ombre]40pts de Cosmos. +10 si subit de plein fouet

POINT DE VIE: 200-60= 140
POINT DE COSMOS: 269-40+10= 239
POINT D'ARMURE: 200-60= 140

Le choc fut terrible. L'atmosphère se faisait de plus en plus pesante, prouvant l'immense puissance de la créature et la véracité probable de ses dires... Mais Holvir était horrifié par tout autre chose témoin de la même cause, toutes les attaques portées jusqu'ici semblait avoir été sans effet. Cependant, il réussit à trouver un point positif, tout relatif qu'il pu être : Le Destructeur s'énervait, et cela finirait par jouer en leur faveur, bien que cela signifie aussi que les prochains coups allaient être durs. La réponse lui fut aussitôt apporté. Alors qu'il se retournait vers le Vers, celui-ci fit érupter une vague de haine lié à un cosmos malsain et extrêmement puissant. Les dires de la bêtes n'étaient pas infondés. Holvir fut projeté en arrière avec une force inhumaine, ainsi que tout les autres chevaliers et tout les éléments naturels environnant, la destruction était déjà en marche. Le Guerrier traversa plusieurs objets dans sa course, qui n'auraient jamais du se retrouver sur son chemin en temps normal. La douleur hurla au fond de lui-même, il sentait sa colonne vertébrale se briser à chaque instant. Le premier feu des combats, il ne s'attendait pas à cela... Il finit sa course en impactant une paroi rugueuse givrée, puis fut suivis d'un amoncellement organique et minéral. C'est alors qu'il se rendit compte de la vraie douleur dont il soufrait, là, sous cet amas d'objets, son corps entiers semblait brisé, désintégré, son âme inexistante sous la pression monstrueuse qu’exerçait l'ennemi. Mais pourtant... Une lueur montait au fond de lui, quelque chose était en train de brûler, plus fort que la rage et la colère, quelque chose qu'il ne pu identifier. Il se dégagea des décombres dans une explosion, et pointant son arme au ciel, un éclair vint le frapper. Il se mit à hurler sous la lumière vive qui parcourait ses membres, et son cosmos prit une ampleur bien plus imposante que ce qu'il avait pu atteindre jusqu'à maintenant, bien que moindre par rapport à celle du Dieu. Il baissa les yeux, parcourut de la foudre d'Asgard, et se mit à courir pour rejoindre le combat.

Une fois à portée, il fit une pause afin d'observer la situation. Du sang coulait de ses lèvres, et ses cheveux lui collaient au visage, mais de cela, il ne se souciait guère.

- Donnez-moi vos noms, guerriers, que je puisse dire quels sont les personnes qui furent témoin qu’un guerrier d’Arès ne fuis pas et Retenez le mien. Je suis Alectryon, le cardinal du feu !

Ainsi, voilà à quoi ressemble les élus des autres dieu. Ils ne semblaient pas si différent... Et combatifs. Ce dernier point était particulièrement appréciable, dotant plus en ce moment. Un démon apparut alors aux yeux d'Holvir, le regard plein de flammes et de haine. Le Guerrier finit par reconnaître Ryuken, dont la métamorphose se faisait de plus en plus imposante.

- Est-ce que je te fais peur Holvir ? Chez moi, c’est ainsi que s’exprime l’Ombre à son extrême. Si proche de la mort. Vous avez accueilli un Démon de la pire des espèces. Odin a accepté que je sois des vôtres. Vous m’avez aidé alors que des êtres censés m’auraient laissé disparaître. Je vais mourir pour Odin et je vais défier les Enfers pour le peuple d’Asgard et pour vous, Guerriers Divins. Ce ne sera ni la première, ni la dernière fois. Et, c’est sans regret. Alors, si tu as confiance en moi, si je ne t’effraie pas, jetons-nous dans la bataille et mourrons pour Odin. Car, il est assuré que si mon corps sera inerte et que mon âme ira en Enfer, cette chose, qui menace, notre peuple et notre dieu, va connaître une souffrance et une douleur qu’il n’est pas prêt d’oublier !

Le Guerrier imprégné de foudre crachat sur le sol, souillant la blancheur vierge du sol d'Asgard par le sang qui coulait de ses poumons.

- On se reverra au Valhalla alors. Holvir sourit, et partit à la suite de Ryuken.

Les Valkyries étaient désormais là, sous le commandement du Père de Tout. La bataille devait être décidément désespérée. Ne restait donc que l'honneur de protéger son Dieu et de mourir au côté de vrais combattants. Car il le pensait fermement, bien que le Père de Tout soit aussi Dieu de Sagesse, le Serpent insistait beaucoup trop à vouloir le combattre seul à seul. Il cachait quelque chose, de plus profond que sa haine envers Asgard, les Guerriers ne devaient pas le laisser faire, quoi qu'en dise l'honneur du Nord. Il suivait toujours Ryuken, quand celui-ci interpella... amicalement, un des guerriers d'Arès :

- Tu parles trop ! Tu combats ou tu fuis ! On n’a pas besoin de Beaux Parleurs mais de véritables et féroces combattants qui sont prêt à mourir ! Tu subis mais tu ne répliques pas ! Alors, frappes ton adversaire et rends lui coup pour coup comme un vrai Berserker ! Comme ton ami là-bas ! Mauviette !!

Secoué par le coup, le pauvre devait se sentir blessé au plus profond de son honneur. Comme pour le rassurer, Holvir lui offrit un sourire en passant. Le seigneur Odin avait donné pour ordre aux membres d'Arès de ne pas mourir pour cette terre qui n'est pas la leur, et le Nordique respectait cette idée.

Ils arrivèrent enfin aux côtés d'Odin, Holvir laissa Ryuken parler le premier, puis ajouta :

- Je suis désolé Seigneur de ne pas vous laisser cet honneur, mais j'ai l'infime conviction que cette bête compte agir avec couardise à votre égard. Sa demande de duel ne peut que cacher une intention bien plus déshonorante encore.

Ryuken prit l'assaut, blessant enfin l'animal, en apparence. Holvir espérait sincèrement que celle-ci soit enfin atteinte pour de bon. Venait son tour, il le sentait, il l'attendait, que Ryuken se pousse et revienne vers lui, car la lumière qui montait au fond de lui atteignait son paroxysme. Ses yeux se remplirent d'un bleu glacial, et son cosmos ne fut alors que foudre et tempête, il s'éleva alors rapidement dans les airs en hurlant en brandissant sa lance. Celle-ci se chargea d'une force inouïe, le métal devint énergie pure, et la lumière émise par le Guerrier aveuglante. Dans un flash et un éclat tonitruant, la lance fusa en direction de Jörmungand, et le traversa de part en part. Le guerrier descendit de sa position aérienne lentement et crépitant, la lance de nouveau en main, et tomba à genou aux côtés de ses compagnons d'armes.

- Holvir, guerriers d’Ares, je suis Holvir.

Citation :: *Divine Throw (Lancer Divin):60pts de cosmos. Attaque 7ème sens.
Attaque imparable. 70 pts de dégâts. Le chevalier fait un gigantesque saut en l'air et envoie la lance divine directement vers le coeur de son adversaire, laissant ainsi un trou béant à sa place. La lance revient ensuite dans les mains de son juste propriétaire.

Coups reçus :1 Gigan Loud
Coups parés: 0
Coups donnés: Attaque cosmique 1
HP(points de vie) : 147 - 60 = 87
CS(points de cosmos) : 115 - 60 + 10 = 65
Armure: 280 - 60 = 220

Un grondement sourd retentit sur tout le pays d'Asgard. Faisant trembler les vastes domaines, couramment protéger par les guerriers divins. Le courroux du destructeur sera démentiel, mais s'assurant préalablement que ses proies se tiennent devant lui. Jormungand détaille chaque visage avec une attention sans précédent. Lui, qui n'a jamais souhaité courber l'échine face à de pareilles créatures. l'effervescence du combat et l'entêtement des bipèdes mettent ses nerfs à dure épreuve. Mais, si son duel contre Odin ne peut se faire, alors, le destructeur usera d'une fourberie sans pareil pour parvenir à ses fins. Jormungand gronda légèrement alors que son museau est braqué en direction de la troupe de bipède, Odin compris. L’agacement monte dans l’esprit du destructeur, son regard se limbe d'une teinte volcanique et ses crocs lui démangent de gouter toutes ces chairs, à portée de gueule ... C'est donc sans retenue que Jörmungand redresse son museau, tout en faisant trembler de sa voix gutturale, les montagnes de gamma.

Humains, prenez garde à vos paroles. N’oubliez pas à qui vous vous adressais. Je ne suis pas sourd à vos paroles. Mais, elles ne trouvent simplement pas d’échos en moi.

Braquant son regard sur Odin et lui seul. L'esprit du destructeur supplante à présent toute autre énergie, même celle du maitre d'Asgard. Jörmungand reste un court instant silencieux, comme pour jauger l'âme et l'esprit du seigneur d'Asgard. La peur et le désespoir ne semble pas gagner petit à petit le cœur de la divinité ! Le destructeur retint un léger grondement.

Odin, je n'ai cure de tes menaces. Mon pouvoir est absolu et ces bipèdes vont connaitre l'étendue de mon courroux. Et toi qui te prétend maitre d'Asgard, assure toi de tenir ton rang ...

Peut-être doit-il mettre son ire de côté et cesser de vouloir nuire au pays d'Asgard ? Non, chose impossible que cela, Asgard mérite d'être détruit. Son esprit rugit soudainement à ces pensées pour les chasser aussi loin que possible. Il n'a pas le temps de penser à cela pour le moment. Le fils de Loki tourne son museau en direction de l'ensemble de ses adversaires, Odin compris, la bête ouvre grande sa gueule pour y générer une puissante onde de choc grâce à sa voix. Cette technique est en mesure de repousser simultanément tout ce qui se dresse face à lui. Mais, en parallèle, il fait résonner son esprit dans celui des humain comme un fouet dans l'air. Une attaque sournoise que le destructeur c'est réserver d'utiliser qu'en cas de réelle nécessité.

Tomber sous le joug de ma malédiction ...

Ichor Loud : 60 points de Cosmos utilisé pour 60 Points de dégâts. Attaque de zone.

Effet ( Uniquement les humains ) :

Spoiler:

Le fléau d'Asgard vient de frapper, son attaque, nourri par cette putride atmosphère et son esprit empli de cette ire. Une marque apparait sur chaque bras des mortels après que le destructeur est exécuter son ultime assaut. Le destructeur est face à l'exclamation et la surprise de ses adversaires. Jörmungand se decide, une fois encore, à tourner légèrement sa tête en direction du maître d'Asgard.

L'entretien au palais d'Asgard était terminé pour Vaflan qui sous l'ordre de Dame Selené partit telle une étoile filante en direction des montagnes de Gamma où un destructeur faisait face à Odin lui meme. La vitesse de déplacement de l'épée Ardente était littéralement impressionnante, puisqu'il arriva en un éclair sur place. Il était facile de rejoindre Odin au vu du cosmos que déployait celui ci. Cela faisait très longtemps que Vaflan n'avait pas vu le Seigneur d'Asgard et il était quelque peu ému de le voir. Mais un combat des plus terribles se deroulait sous ses yeux et Odin n'etait pas seul sur place. Un Bersecker visiblement, Ryuken, le Chevalier Noir de ¨Pegase et Holvir le Guerrier Divin de Gungnir etaient également en train de lutter. Vaflan jeta sa peau de bete au loin et fonca aux cotés de son Roi, l'épée ardente en mains.

Vaflan de l'épée Ardente en renfort Seigneur Odin...Que se passe t-il? Qu'arrive t-il à Holvir ?....et qui est ce....ce truc ?

Un danger et des pulsions meurtrieres émanaient de cette chose qui visiblement en avait clairement à Odin lui meme. Vaflan se mit devant Odin pour le protéger et augmenta férocement son pouvoir. L'un des plus puissants guerriers d'Odin entra en action. Le cosmos de Vaflan devint surpuissant, montrant pour ceux qui en doutaient encore que son pouvoir dépassait celui de bien des chevaliers d'Or. Il etait désormais pret à pourfendre son vis à vis au premier battement de cil...

Spoiler:

Les choses s’enchainent trop vite, qu’il s’agisse des Berzerkers, de Ryuken, d’Holvir ou encore de Vaflan qui vient d’arriver sur le théatre de ce combat. Trop vite les esprits enragent, se percutent sur la carcasse du serpent qui n’attends qu’une chose : qu’on lui déverse de la haine. Déjà, un des Berzerkers vient d’encaisser presque plus qu’il ne peut, proche de la mort, il peine à se relever, il ne tiendra pas longtemps à ce rythme. Il va falloir agir et vite. Un des Berzerkers est le premier a attaquer. Il se lance à corps perdu dans la bataille suivi de près par Ryuken et Holvir.

Hélas, autant d’énergie consommée qui n’aura eu que l’effet de la caresse d’un rossignol, selon les dires de la bête ; mais comment le savoir ? Ses paroles sont dures, remplies de colère et alors que le derniers des guerriers présent vient à planter sa lance par une attaque spectaculaire, Jörmungand prend la parole. Odin reste de marbre, silencieux tout d’abord lorsque sont fustigés les guerriers. Et puis c’est l’attaque, puissante, meurtrière. Odin n’a que quelques instants pour réfléchir. D’un geste de la main, il déforme la glace avec célérité pour l’agglomérer en une barrière unique devant l’un des Berzerkers.

- Personne ne mourra aujourd’hui sur les terres d’Asgard.

Zyss qui était presque mort n’aurait pas supporté une nouvelle attaque. Et alors que ces derniers instants semblent arriver, l’intervention divine le sauve in-extremis. Le regard d’Odin envers la bête est grave, posé, indéfectible. Et alors qu’encore une fois Jörmungand expose ses conditions, il ne faut que quelques instants à Odin pour lui répondre de la manière la plus cinglante qui soit. Prenant sa lance, le voilà qu’il là projette avec toute la force de sa volonté en direction du Fjord tout proche, là où trônent de puissantes falaises. La lance vole un court instant, fluctuante entre terre et air. Un sillage multicolore accompagne l’arme divine jusqu’à ce qu’elle touche le lieu visé par Odin. L’impact est tel que la falaise et tout ce qui lui est proche se disloque dans un éclair et un fracas indescriptible.

- Personne ne mourra de ton fait aujourd’hui Jörmungand. Tu veux ta part du monde, alors vient me défier lorsque 12 Lunes se seront écoulées, là-bas, sur les terres que je viens de remodeler. Ni toi, ni moi, ni personne ne pourra ôter cette lance tant que les temps ne seront pas venus. Ainsi je scelle notre destin. Ainsi il ne te reste qu’à partir.
Moi aussi, j’ai hâte d’en finir avec toi, Jörmungand. Tu es venu en belligérant, souffre alors que l’on te fasse la guerre !

Les corbeaux s’activent, Odin n’a toujours pas donné l’ordre, il s’en faut de peu. Ils sont là, sous l’ordre d’Odin, menaçants. Mais le père d’Asgard n’en use pas pour le moment. Il se réservera le droit de les commander contre le destructeur s’il tente de profiter d’une pirouette avant de partir. Ce serait d’ailleurs une attaque en prévision de quelque chose de beaucoup plus puissant. User de sagesse c’est aussi s’efforcer de garder un atout, regarder son adversaire droit dans les yeux, le prévenir qu’un simple geste suffira pour que la colère d’Asgard ne s’abatte sur lui.

Spoiler:

Quel joyeux foutoir... Un monstre géant, bon nombre de guerriers inconnus déjà moribonds, et au devant du danger le seigneur des glaces éternelles. Aussi discret qu'une ombre, le tigre viking vint se placer entre la créature et son souverain. En tant que guerrier le plus redoutable d'Asgard, l'honneur d'Arbhaal ne pouvait tolérer qu'il laisse plus longtemps ce monstre s'en prendre aux autres combattants, ou pire encore à Odin en personne. Le cosmos et la puissance brute qui émanaient de cette chose avaient de quoi paralyser de frayeur bien des âmes guerrières ou non. Mais depuis ses longues années de bataille, Arbhaal avait vu bien des horreurs. Tout monstre mythologique qu'il soit, l'envahisseur ne pourrait venir à bout d'une telle assemblée.

Seigneur Odin... Navré d'avoir mis tant de temps à vous rejoindre.

Durant bien trop longtemps, Arbhaal et les autres guerriers du nord n'avaient fait que défendre le nom du seigneur des glaces éternelles et sa réputation. Maintenant qu'Odin était enfin incarné, il était hors de question de le laisser aller seul au combat. C'est dans l'adversité que le sang d'Asgard se fait corps en une seule âme, un seul coeur vibrant à l'unisson. Prédateur furieux, Arbhaal usa de sa vitesse pour se ruer sur la créature et l'assaillir de coups de griffes rapides. Une frappe, et le tigre d'Asgard se retrouvait à l'opposé de la zone d'impact. Tel un moustique tenace bien décidé à saper les forces adverses... Jusqu'à ce que le cosmos du tigre ne dévoile son réel potentiel.

Galaxian Explosion !

Une nuée de planètes jaillirent du ciel pour venir exploser sur la carcasse de l'ignoble créature, provoquant de nombreux souffles de neiges et de glaces.

Citation :: HP = 220
Cs = 280 - 40 = 240

Coups donnés = 5 + 40 (+10 si non esquivés)

Son compagnon et ami répondait avec fierté à son appel au courage, éclatant d’un rire tonitruant, il semblait se rire de la mort, comme un vrais berzerker le fait. La seule défaite du berzerker c’est de fuir ou de renoncer au combat. Il ne faillirait point et son commandant non plus, tous deux faisant partie momentanément de l’ost du seigneur Odin le temps de renvoyer cette créature aux abysses. Ils feraient face ensemble comme les frères d’armes qu’ils sont.

La personne qui se présentait comme un ancien berzerker approchât et se permit de frapper le déluge, lui reprochant son inactivité. Sans doute son esprit étriqué ne lui donnait pas les moyens de comprendre que l’on peut combattre un adversaire sans pour autant se ruer sur lui comme un buffle enragé et que parfois l’économie précède la victoire.

Si Zyss n’avait pas encore fait preuve d’initiative guerrière, cela venait surement d’un plan qu’il avait murement réfléchis, quelques choses de mieux préparé que les attaques hargneuses de son chef qui ne savait même pas s’il atteignait sa cible. Le serpent refusant de donner ses impression se figeait dans une expression de défis et sans doute que le gardien d’Arès se mettrait à frapper l’adversaire quand celui-ci présentera son point faible. Du moins était-ce là ce que pensais Alectryon.

Le monstre se mit à rugir a nouveau et exhalait son souffle corrosif sur l’assemblé menaçant son compagnon de perdre la vie avant de pouvoir mener son plan à bien. Mais c’était sans compter sur l’intervention d’Odin qui protégeât le jeune homme et tous les autres guerriers comme le puissant dieu qu’il était. Alectryon, en complément, se protégeât du mieux qu’il put pour éviter d’être engloutis par le souffle délétère.

Merci seigneur Odin pour votre soutient, je sais que je ne suis pas de vos hommes et je vous suis d’autant plus reconnaissant. Comptez sur moi pour vous assister au mieux dans ce combat.

Cependant, l’attaque était pourtant violente et les répercutions se ferait bientôt sentir. Les combattants virent une marque apparaitre sur eux leur montrant que la malédiction du destructeur les avait atteints. Mais Odin ne laisserait pas faire cela et était bien décider à mener une guerre totale contre l’abomination et ce faisant lutter contre son sort.

Et voilà deux autres guerriers, qui se mêlent au combat, tous deux semble redoutable et, le sont surement s’ils viennent de l’armée du seigneur d’Asgard. Définitivement le destructeur a du souci à se faire, les rangs de ses adversaires ne cessent de croitre et bientôt, même ses bravades ne lui serviront plus. Il goutera bientôt la fureur de cette assemblée dressée contre lui.

Le combat reprendrait bientôt avec plus de violence encore, et il fallait au cardinal, prouver qu’il méritait sa place sur ce prestigieux champ de bataille. Il concentrât en lui un cosmos sombre comme les enfers eux même et, bientôt plusieurs éclairs noirs jaillirent de son épée et fendirent vers le monstre.

Citation :: Nine Shades of death 20 à 30 points de cosmos (mort)

Deux coups transversale, un coup horizontal, un coup vertical et une fente en même temps. Neuf points de morts sont ouvert par l'épée en une fraction de seconde créant un fresque sanglante à la gloire du combat et du massacre, laissant à l'adversaire le soin de retrouver tout ses morceaux.

Points de Vie : 144-20+10 = 134
Points de Cosmos : 210 - 30-30 +10 = 160
Attaque : 30 points / Mort
Parade 30+ 10(def Odin)

Citation :: (HRP = Pensez bien à indiquer les éléments de vos attaques ^^)

Palais d'Odin

Une colonne de lumière aveuglante frappa le sol, à une trentaine de mètres de l'abominable créature. La neige propulsée dans les airs se mua alors en une nuée de feuilles verdoyantes et de pétales de fleurs sauvages. Deux hommes, l'un vêtu d'une toge blanche, le second d'une armure immaculée, firent leur apparition, au sein de ce chaos. Et j'étais l'auteur de cette arrivée peu commune. Sans attendre, je m'avançais d'un pas avant de tourner le regard en tout sens pour tâcher de définir les forces en présence et l'ampleur de la situation. Cette créature monstrueuse me rappelait celles qui avaient profiter de l'étrange hiver pour assaillir tant de royaumes. Il serait bien ardu de la vaincre, bien que le nombre de combattants me réconforta quelque peu. Une silhouette attira immédiatement mon attention. Son maintien, son charisme, son cosmos, nul doute. Il s'agissait du seigneur Odin, en personne. L'ironie du sort voulait qu'à peine le pacte ratifié entre le Sanctuaire et Asgard, je me retrouvais aux cotés du maitre des lieux pour prouver par les actes la sincérité de nos promesses. Les paroles ont beau être belles, les preuves demeurent le meilleur ciment de la confiance. En tant que Grand Pope, je ne pouvais lutter comme Orion du Bélier l'aurait fait. Néanmoins la vigueur de mon cosmos et mon expériences des combats ne souffraient nullement de la perte de mon armure d'or. Outre un soutien à nos alliés, je me devais de faire en sorte que Kurayami survive, en donnant le meilleur de lui même. Usant de mes dons de télékynésie, je fis jaillir de ma toge cinq sceaux frappés de l'énergie d'Athéna. Aussitôt les parchemins vinrent flotter autour de moi, attendant mon signal.

Chevalier du loup... Laisse moi veiller à ce que nul mal ne t'arrive.

Une aura émeraude vint nimber ma silhouette, en même temps que celle de Kurayami. En avant, chevalier de l'Espoir !

Citation :: Hp = 228
Cs = 400 - 50 = 350
Armure = 420

Coups donnés = 0
Pouvoir utilisé sur Kurayami = "Chevalier de l'Espoir"
Au début d'un combat débuté dans le domaine où il se trouve, le Grand Pope peut dépenser 50 pts de cosmos pour renforcer la combativité et le courage du chevalier d'Athéna sous sa protection. A chaque tour, les attaques cosmiques du Saint seront augmentées de 10 pts jusqu'à ce que la somme investie par le prêtre soit décomptée.

La bête aussi motivé que pouvait l'être des vautours autour d'une carcasse fraiche lâcha de nouveau une vague pestilentielle de son cosmos aussi noirs que les Enfers, qu'il n'avait eu l'occasion d'observer que brièvement, mais n'allait-il pas pouvoir vérifier par lui même cette comparaison très prochainement?

Zyss le savais la mort allait le frapper en même tant que ce cosmos, alors résigné il ferma les yeux, lâcha un dernier soupire et se décida à embrasser la mort comme une il avait volé son premier baisé à ce spectre.
Étrangement il ne ressenti rien, il resta alors quelques instant totalement immobile, la mort avait-elle été suffisamment violente pour ne rien ressentir? Était-il déjà en enfer, près à se faire insulter de nouveau par se batelier?

La curiosité eu raison de lui et le Déluge ouvrit les yeux et sursauta alors de stupeur! Un mur épais de glace c'était construit entre lui et la bête, peu après avoir constater cela il entendit Odin faire une déclaration qui n'eut pour effet que d'induire une profonde honte et un sentiment d'infériorité, voila où était sa place dans ce combat, derrière un mur, loin de tous et seul.
Sa manifeste inaction lors de ce combat et son psyché n'était qu'un fardeau pour eux.

L'oesophage en miette, à cause de la brute qui aurait très bien pu être un berserker au vue de sa violence dénoué d'intelligence, l'empêchai de prononcer mot. De toute façon ses sages paroles était ignoré ou moquer, ce guerrier fou devait avoir raison : la pensé et la raison était superflu lors d'un combat.

Et pourtant, son brave père lui avait appris que le combat ne faisait pas qu'avec son Cosmos ou ses poings, le combat le vrai était dans la tête, les mots sont plus aiguisé que n'importe qu'elle épée. Voila ce qu'on lui avait enseigné durant des années et maintenant qu'il était face à l'opposé il se rendait compte de sa faiblesse...
Alors emplit de rage et alors que la bestialité qu'il essayai de maintenir au plus profond de lui resurgissait peu à peu, comme une armée de d'insecte remontant des galeries souterraines pour rejoindre la surface, il eut un éclair de lucidité.

Le Serpent n'avait aucun dommage extérieur! malgré les assauts répétés de tout les combattant le monstre ne semblait souffrir d'aucun maux!
Une idée folle le foudroya, il se mit à rire comme un dément, rire quasi inaudible et qui le faisait souffrir le martyre, mais se rire révélait un peu plus le Berserker du Déluge, malgré des airs de nobles il sommeillai un être d'une violence inouïe, son Cosmos s'élevais tout autour de lui des gerbes d'eau montais vers sa tête et formais une images complètement folle, l'illusion semblait attribuer a Zyss une tête de d'oiseau au bec crochue et pourvue d nombreuse dent acéré le tout orné d'une paire de corne de bélier, la bête était caché mais disparut aussi vite que le rire était apparu.
La tension alors palpable autour d lui chuta brutalement, et non sans peine le Déluge se releva, et dans son regard on n'y voyais qu'une seule t unique chose : la détermination.

L'adrénaline aidant, il sauta par dessus le mur, dont la face la plus exposé au Serpent était comme fondu, un liquide malodorant "rongeai" la paroi. Les choses seront amusante pour Wyss il n'en doutai pas.
Il s'approcha alors d'Election et le regarda droit dans les yeux, il rassembla ses forces et lui dit :
"Je te la laisse prend en soin pour moi mon ami"
Il ignora si son ami avait compris le gargouille qui s'échappa de sa bouche mais il ne lui laissa pas le temps de réagir, d'un claquement de doigt son armure se détacha du Déluge, formant alors se matérialisa, au rythme des claquements métalliques que produisait les pièces qui une à une, telle un casse tête, s'imbriquèrent jusqu'à former un Axolotl Pourpre, symbole choisit par Wyss lorsque qu'Arès la lui remis.
L'armure ne resta que peu de temps sous cette forme et assez vite un halo de lumière se forma et forma une plaque de marbre noir encadré de pourpre, un axolotl stylisé était gravé en or en son centre. La lourde plaque fit virevolté de la neige sous son poids et ne bougea plus.

Le moment était venu, avançant d'un pas assuré il s'arrêta cependant pour écouter la dernier discours d'Ondin et sa provocation en duel adresser à la Bête, le Seigneur Odin venait sans le savoir de lui donner le signal et l'occasion parfaite pour Zyss!
Très vite il fit une courbette au Seigneur d'Asgard en signe de reconnaissance et de respect, chose qui lui était dû en tant que Dieu, même s'il n'était pas le sien.

Le Serpent semblait quelque peu confus, mais comment lire les pensées d'une tel abomination? L'ignorant il ne s'arrêta pas et accéléra sa course jusqu'à se stopper net à quelque mètres du Dieu et de son frère d'armes.
Concentrant son cosmos sur la base de ses pieds, il s'agenouilla pour ensuite être propulser par un puissant geyser d'eau, éclaboussant et faisant fondre la neige autour de lui, révélant alors des herbes gelées et diverses choses caché par le tapis blanc.

Le vent provoqué par la propulsion était glacé, sa peau souffrait du froid et les flocons de neiges étaient semblables à des grêlons mais là où il allait son armure aurait trop souffert. À mesure qu'il approchait du Jormungand l'atmosphère était comme plus épais, plus malsain. Les effluves de poisons l'avait envahi et il en ressenti les effets bien plus vite qu'il ne l'aurait pensé mais il était trop tard pour faire demi-tour, bien trop tard...

La gueule béante de la bête était comme une porte près à l'accueillir et cela tombait bien car Zyss avait bien l'intention d'y entrer, il ne prit pas le temps de s'essuyer les pieds qu'il réutilisa un geyser pour atteindre son objectif plus vite, le temps lui manquai et sa vie s'envolai au fur et à mesure que les secondes passaient. Comme un boulet de canon la détonation résonna dans tout l'oesophage du Serpent et bien plus vite qu'il ne le pansa il atteint l'estomac : sa destination finale.

Les sucs gastrique du monstre firent très vite leur office et les chaussures que portait alors le Déluge furent dissoute à une vitesse hallucinante, il n'avait pas de temps à perdre avec ses constatations. Du meilleur qu'il pu il ignora la douleur que provoquai la chair qui fondai, ses cheveux se liquéfièrent commençant à laisser le champs libre à sa boîte crâniennes.
Oui il avait bien fait de laisser son armure à Alectryon, il était hors de question de l'endommagé comme il l'avait fait face au Bénou.

Dan cette enfer gastrique le calme envahit la moindre parcelle de son corps, son esprit plus vif que jamais se plongea au plus profond de son Cosmos et son corps pris naturellement une nouvelle pose, une pose jusqu'alors inédite pour lui même!
Le dos droit la tête vers le bas il formait un triangles du bout de ses dix doigts, formes qui "encadrais" son coeur. Aussi soudainement que s'abat la première goutte de pluie, le Cosmos du Déluge augmenta de façon phénoménal, l'estomac de la bête se chargea alors de sombres nuages et l'acidité ambiante fut remplacer par une humidité égal à celle des fond marins. Doucement une pluie commença à tomber, pluie elle s'intensifie encore et encore et encore et encore.
Maintenant voir n'était plus possible, l'averse était devenu déluge et recouvrait l'horizon d'une draps de gouttes. Personne ne pourrait le croire mais la pluie s'intensifiai encore créant un vacarme digne de la plus grande chute d'eau dans l'estomac du monstre. Le suc gastrique était maintenant dilué dans un raz de marée, mais la pluie ne diminuai pas et s'intensifiai toujours, les parois de l'estomac, bien qu'élastique commençais à atteindre leur point de rupture mais ne cédai pas et se contentai d'accumuler la pluie.
L'eau avait depuis longtemps entièrement submergé Zyss mais cela ne l'inquiétait nullement car il se tentai bien, vraiment bien.

Il venait d'atteindre le Septième Sens

Cependant il était trop tard pour le sauver, son cosmos s'activai encore et encore jusqu'a épuisement, le coeur du déluge avait lâché il y a peu et des larmes coulais et se perdait dans l'eau, des larmes de fierté car peut être grâce à lui Jormungand alors remplit comme un ballon de baudruche serait ralenti.
Le poison de la bête sera bien moins efficace maintenant qu'il avait été dilué par un déluge, un déluge de larmes provenant d'un Berserker : le berserker du Déluge.

Attaque utilisé et Résumé des stats:

Porte des enfers

Sujet: Re: Alors, arrive le destructeur. Dim 1 Mar 2015 - 2:08

Happé par le comos du Grand Pope, nous ne tardâmes pas à nous retrouver téléportés dans une éblouissante colonne de lumière, vers les montagnes de Gamma. Clignant plusieurs fois les yeux pour retrouver la vue après cette aveuglante mais spectaculaire apparition, je jetai un rapide coup d'oeil qui me permit de reconnaître les lieux. Nous nous étions téléportés au large des frontières d'Asgard, par où nous étions arrivés quelques temps plus tôt. Que faisions nous ici ? Rentrions nous au Sanctuaire alors que Orion avait pourtant fais part de sa volonté à soutenir les Asgardiens ? Qu'est ce que cela signifiait ?

Un deuxième regard aux alentours me permit de me rendre compte que d'autres personnes étaient là également, non loin, face à un gigantesque serpent de plusieurs têtes de haut. Bon sang ! Mais qu'est ce que c'était que ça ! D'où pouvait il bien provenir, un monstre pareil ça devait sans doute avoir du mal à se cacher aussi longtemps jusqu'à atteindre cette taille là non, et pourquoi s'attaquait il à ces terres ? S'agissait il donc du fameux ''Destructeur'' dont j'ai entendu le nom de la bouche de Séléné ? Je comprenais mieux à présent que cette dernière n'ait pas hésité une seule seconde avant d'envoyer Arbaal et Vaflan prêter main forte. Un léger sourire à peine perceptible s'étira sur mon visage. Voilà qui annonçait un combat intéressant. Oh ça oui que nous allions les aider !

En tâchant de distinguer les personnes présentes, je reconnus le maître des lieux, le dieu Odin lui même se trouvait sur le champs de bataille. Et dire que la grande prêtresse nous avait signalé que la divinité guerrière viendrait à notre rencontre que plus tard. En le voyant ici, je comprends mieux l'épineux problème qu'il avait à régler avant de pouvoir nous rejoindre. Si nous l'avions su plus tôt, nous aussi nous aurions accouru plus vite. Enfin bref. L'essentiel c'était que nous étions là au moins là pour remplir notre part du marché, l'alliance à peine signée qui plus est. Alors comme on dit, mieux vaut tard que jamais. Nous allions tenir notre parole et ce, dès maintenant pour bien prouver que nous étions bien sincères dans nos intentions.

Reportant quelques instants mes yeux sur le second dirigeant en chef du Sanctuaire, pour voir si lui aussi avait constaté la présence de cette personne si particulière, je le vis user de capacités que jamais je n'aurais soupçonné lui voir posséder. Sa silhouette s'auréola d'un couleur émeraude avant que la mienne n'en fit de même. C'était donc comme cela que se battait le Grand Pope ? Si on me l'avait dis, jamais je n'aurais pu le croire. Bon hé bien j'imaginais que c'était à moi de faire tout le boulot bien entendu plaisantais-je intérieurement. Néanmoins, je fus surpris de découvrir que la manoeuvre de mon supérieur - hormis le fait qu'elle me faisait à présent briller comme un ver-luisant attirant tous les regards - me permettait de me doter d'une force nouvelle, et raviva mon courage et ma combativité. Je n'avais pas non plus froid, au contraire je me sentais étrangement bien. C'était comme si on venait de me donner des ailes et j'avais hâte de m'en servir pour constater le changement qui s'opérait en moi. Je hochai la tête en guise de remerciement à l'ancien Saint du Bélier avant de m'empresser de rassembler mon cosmos afin de lancer ma première attaque dans ce combat et très vite de féroces loups cosmiques noirs aux yeux injectés de sang ne tardèrent pas à sortir des zones d'ombre pour se jeter eux aussi à corps perdu dans la bataille.

Citation :: Wolf of the Darkness (Loups des Ténèbres): 30 à 40 pts de Cosmos. [Ombre]
Des loups sortent de l'ombre pour venir encercler, puis terrasser l'adversaire.
(Si subite de plein fouet, l'adversaire ne pourra se défendre à votre prochaine attaque cosmique)

Alors que mes précieux canidés s'étaient jetés un à un sur leur seul et unique proie, j'en profitai pour aller me mettre à la hauteur du Dieu du Nord et avec une rapide révérence, je lui adressai quelques mots avant de me remettre à suivre la bataille qui se déroulait.

'' Seigneur Odin, c'est un très grand honneur de croiser votre route à nouveau. Je suis Kurayami, Bronze Saint du Loup et comme je vous l'ai promis il y a de cela quelques temps à présent, je viens honorer ma parole en venant joindre nos forces aux vôtres, le Grand Pope et moi même...''

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Coups reçus : /
Coups parés : /
Coups donnés : 40

PA : 200
PV : 172
PC : 180 - 40 = 140

Sujet: Re: Alors, arrive le destructeur. Dim 1 Mar 2015 - 11:30

Ce genre de duel fût assez amusant à vrai dire et contrairement à un combat contre Odin. Jormungand n'a pas à se soucier de sa survie immédiate vu que le combat contre les bipèdes n'est pas à mort. Le fléau de Midgard n'a pas à craindre pour sa propre survie puisque les assauts répétés des humains lui font l'effet d'un chatouillement, plus qu'autre chose. Même le style de combat de ce bipède, ayant eu l'idée folle de mourir dans le corps du serpent de Midgard. Était d'une certaine façon bien représentante de sa personne, agressif, mais réfléchit et assez audacieux. Avec ses points faibles et ses qualités. Et d'un regard conscrit envers les bipèdes, le fléau inonde l'atmosphère de son venin, sifflant l'air de sa perfide langue. À cet instant, les humains ne l'intéressent plus, quoi qu'ils fassent, quoi qu'ils disent. Seul Odin échappe à cette indifférence absolue.

Odin, j'ai bien entendu tes mots. Mais, comment pourrais te croire, alors que tu n'es pas capable de tenir à l'écart de notre combat. Tes propres guerriers et ses autres bipèdes. Ma puissance est telle que je peux détruire ton royaume et tes guerriers sans l'ombre d'un doute. La grande bataille de Ragnarök causera assurément la perte de tes petits humains et tes semblables Odin. Mais, en attendant ce jour funeste, j'accepte ton défi.

Toutefois, le mécontentement se lit sur le visage de la bête, c'est dû moins l'impression que cela donna à Odin ! Orgueil, force et impatience, un mélange pour le moins explosif. Dans tous les cas, le seigneur d'Asgard ne peut que se réjouir de voir que le fléau d'Asgard accepte aussi facilement un futur duel. Néanmoins, fronçant le regard et abaissant son museau en direction des humains, la bête gronde de colère. Eux, qui sont incapables de se tenir à l'écart, malgré les demandes du maitre d'Asgard. Si la bête était aussi fourbe que Loki, ses bipèdes seraient tombés bien plus tôt sous le joug du fléau d'Asgard.

Abject humain. Le sacrifice des uns ne suffit pas à estomper ma haine à votre égard. Ma puissance et ma colère sont sans limite, mais soyer rassurer. L'heure du Ragnarök n'est pas encore venu, mais lorsque ce jour viendra. Je me délecterais de vos chairs et de vos os, comme cet humain qui a décidé de mourir par mes crocs acérer. Vous qui ne craignez plus rien et qui ne respecte plus la parole de vos dieux. Je serais votre fléau, celui qui happera vos misérables vies.

La bête se tut, attendant la réaction des humains qui serait peut-être sulfureuse. Ils auraient du mal à le croire à ne pas en douter, mais Jörmungand peut sans difficulté prouver ses dires. On ne peut mentir face à lui désormais. On ne peut camoufler ses véritables émotions face à lui. Puis, se redressant de toute sa hauteur. La bête surplombe le royaume d'Asgard comme jamais auparavant. D'un regard empli d’animosité lorsque ses iris se posent sur le temple d'Odin. Son museau se rebaisse, une fois encore vers les bipèdes.

Que le Fimbulvetr vienne bientôt frapper votre monde, abject mortel. Votre monde souffre d'une décadence dont vous êtes les acteurs. Et les dieux ne pourront pas éternellement vous guider, humains. Méditer sur vos actes, vos actions et de votre présence face à moi. Il y a un sens plus profond que ce que vos yeux perçoivent. Lors de mon prochain retour, ma colère vous sera fatale, alors soyer prêt à combattre pour la survie de votre monde ...

Relevant le museau, la bête hume l'air avant que son énergie grandisse crescendo. En réaction, la terre se met à trembler avant que l'eau réapparaisse tout autour de la bête. En maître des eaux, la créature se mouve avec aisance et finit par disparaître dans un fracas assourdissant, sous les yeux des bipèdes. Il venait d'accepter le défi d'Odin, mais quel avenir est réserver au pays d'Asgard ...

Sujet: Re: Alors, arrive le destructeur. Dim 1 Mar 2015 - 15:31

Confrontation Ombre & Lumière dans l'Espritde Ryuken. Strictement personne ne peut leur conversation.:

Je contrôlais ma part d’ombre car je l’avais vécu sur le Chemin de Kwatu. C’était cette part maléfique en moi que j’acceptais pleinement et que je dominais par la seule force de ma volonté. J’étais un Démon après tout : une engeance tellement sale et pourrie que le Diable lui-même avait bien le droit de baver sur mes actions. Mais il y avait eu un duel d’annoncé entre le Roi d’Odin et son grand ennemi. L’affrontement était déclaré officiellement : par respect envers cette annonce, mon âme de guerrier m’interdisait d’en faire plus. Néanmoins, il n'était pas dit que je ne pourrais pas débuter ma vengeance envers les deux Saints ici présents s'ils venaient à se joindre au combat. C'était plus fort que moi: ma vengeance surpasserait toute chose... Néanmoins, maintenant, ça se passait entre Odin et Jormungand. L’attaque du Monstre Mythologique aurait dû augmenter la violence de mes actes. C’était mal connaître tout ce que j’avais enduré par le passé pour maîtriser cette part, semblable au néant, qui faisait de moi un être complètement dérangé. Pour autant, alors que les attaques se succèdent et que le Beau Parleur disparait avec une certaine classe pour lui faire plaisir, arriva les deux êtres présents avec qui j’avais des comptes à régler. Orion, le Saint du Bélier et un autre chevalier dont l’identité m’échappait mais dont je n’en avais strictement rien à faire. Ils étaient là...

Confrontation Ombre & Lumière dans l'Espritde Ryuken. Strictement personne ne peut leur conversation:

Parvenant à combiner ma vitesse, mon cosmos et mon élément des Ombres, je parvins à créer des clones de moi-même grâce à la maîtrise de cet élément. Je parvins, ainsi, à esquiver les attaques adverses. Du moins, j’atténuais exactement comme je le désirais la puissante attaque du « Destructeur ». J’avais envie de tuer, j’avais envie de faire souffrir car je n’étais pas encore rassasié. Cette puissante attaque me projeta bien au loin mais je parvins à me rétablir, feignant la difficulté et la douleur pour aller m’aplatir le dos derrière les Deux Guerriers de la Divine Garce. Lorsque je me relevais, ils étaient de dos. Je pourrais facilement les blesser gravement et trouver n'importe quel prétexte pour les tuer. Mais, ce ne serait pas aujourd'hui. Encore une fois, pourrait-on dire. Qu'importe ! Les évènements se dérouleront selon mon propre code. Là, pour le coup, volontairement, je fis disparaître l'ombre en moi et laissais cette petite lumière surnager dans cet océan de ténèbres. Puis, au dernier moment, alors que je faisais intensifier ma cosmo énergie à son paroxysme, une lumière bleue jaillit de moi, inondant la scène du combat et j'avertis les deux Saints qui se trouvaient dans ma ligne de mire.

Poussez-vous...

J’intensifiais ma cosmo énergie. La circulation de mon chi, dans mon corps, bouillonnait à son maximum. Dans un premier temps, je traçais plusieurs cercles avec mes deux bras alors que des petites boules d’énergies, bleues, apparaissaient autour de moi. Puis, j’écartais les bras et deux boules d’énergies apparurent dans mes deux mains. Je rejoignis les deux mains et rassemblais les deux boules d’énergies pour en créer une autre, plus grosse et beaucoup plus puissantes. Je la façonnais pour contrôler l’amas de puissance tandis que de l'énergie électrique spirituelle apparaissait autour de la boule. Enfin, je la projetais vers l'Ennemi d'Odin. C’est la version ultime du Hadoken issu du Kodai Bujutsu No Kami. Elle est capable de briser le corps et l’esprit de son adversaire.

SHINKU... HADOOOOKEN !!!

Il y aura un Duel entre le Serpent et Odin. Néanmoins, on ne me frappait pas sans que je rende coup pour coup. Cette attaque, la plus puissante de mon Art, était ma réponse à celui qu s'en était pris à Odin et un avertissement. Quoiqu'il arrive et quoiqu'il se passe, si cet être devait battre le Seigneur des Glaces, même à la régulière, je le pourchasserais et je le détruirais. Observant les deux Saints, je savais que je les avais mis en danger et s'ils devaient en réchapper ou ne pas être considéré comme des dangers collatéraux, je ne m’excusais pas de ce geste pour autant. Je les observais avec un profond silence le plus neutre possible avant de reprendre mon chemin vers le Gigantesque Serpent et mes compagnons d’armes. Pour moi, c’était un message clair : je n’oubliais pas, je ne pardonnais pas et la traque était toujours en cours. J’allais tenir mon serment de briser les Espoirs d’Athéna avant de faire plonger Alistair dans la haine, la rage et la folie. Je voyais la Lance d’Odin incrustée dans le sol. Je devrais peut-être rendre des comptes. Comme d'habitude, serais-je tenté de dire. Encore une fois, je demeurais complètement silencieux, ne disant mot à mesure que notre ennemi disparut. J’avais des choses à faire ici, à Asgard. Il me fallait contrôler avantage l’élément de la Lumière car, au bout du compte, l’Ombre prenait bien trop souvent une place essentielle malgré le fait que je la contrôlais. Mais, personne ne le savait : il n’y en avait qu’un qui savait et un seul. J’allais profiter de mon état de faiblesse et du fait que je doive réparer mon armure pour entamer un nouveau chemin tant que je le pouvais.

TECHNIQUE SUBIE: Gigan Loud: 40 Point de dégâts
TECHNIQUE DÉFENSIVE: Reflection des Âmes: 20 PC
TECHNIQUE PHYSIQUE: -
TECHNIQUE COSMIQUE: Shinku Hadoken : attaque imparable: ne pourra se défendre à la prochaine attaque cosmique.

POINT DE VIE: 140-40= 100
POINT DE COSMOS: 239-20-60+10= 169
POINT D'ARMURE: 140-40= 100

Sujet: Re: Alors, arrive le destructeur. Dim 1 Mar 2015 - 20:13

Citation :: 40 Points de dégâts subis : Le contrôle de la marque activera ses effets à l'issue de votre troisième RP. Quelqu’en soit le sujet RP.

En conséquent, le RP de Ryuken est invalidé. Vu que tu considères la marque activée aussitôt.

Le sujet est donc bloqué, jusqu'à ce que ton RP soit édité !

Sujet: Re: Alors, arrive le destructeur. Lun 2 Mar 2015 - 9:58

Le sujet peut reprendre .

Sujet: Re: Alors, arrive le destructeur.

» L'eau, un élément destructeur
» Le désespoir est arrivé...
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» L'arrivé d'Hattori
» Arrivé de Hyunkell