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 The Adventure of Zyss : Oracle of God

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Zyss

Zyss
Rôle : Cardinal des Calamités, création dePhobos et Gardien des Portes de la Guerre, monstre tentaculaire du forum, seigneur du temps en formation, éducateur de jeune recru...
Messages : 535

Caractéristiques
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Cosmos Cosmos:
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Armure Armure:
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MessageSujet: The Adventure of Zyss : Oracle of God   The Adventure of Zyss : Oracle of God EmptyLun 17 Aoû 2015 - 19:08

Arrow épisode 1

Silence, solitude et sérénité.

Du fond des eaux tumultueuse de Méditerranée, notre brave berserker avançait avec un rythme soutenu. Les premiers kilomètre furent simple mais lents, l’eau dans lequel il lui était si facile d’évoluer en nageant devenait un réel frein quand on désirait marcher comme sur terre. Le liquide autour de lui entravais son avancé ne lui permettant pas d’avancer à une vitesse satisfaisante pour lui. Forçant sur ses jambes et le reste de son corps pour parvenir à bouger normalement, le berserker ne ressentait alors qu’une faible tension musculaire.
Au rythme des kilomètre il gagnait en aisance mais au prix d’une fatigue plus grande, de plus pour ajouter de la difficulté à son exercice, Zyss devait laisser son cosmos en permanence autour de lui pour maintenir une réserve d’air suffisante pour qu’il n’ai pas à remonter à la surface.
Jusque là il ne prêtait pas grande attention à la faune et la flore qui l’entourait, il devait se concentrer avant tout sur cet exercice plus ou moins infligé par son Dieu Arès.
« Je doute qu’il aurait souhaité cela mais bon… Cet exercice ne peux que m’être bénéfique » se disait notre héros.

Son avancé continuai inlassablement, le fond de la mer l’empêchait d’évaluer l’heure qu’il était, au fond de l’eau nul lumière pour se repéré, nul son a écouté, quoique…
Bien que les mers et océan soit peu propice à la création des sons elle en permet néanmoins la propagation, il n’était donc pas rare d’entendre le cliquetis d’une ancre que l’on remonte, l’explosion d’un navire en surface où encore les résidu d’une frappe colossal entre deux élu de Dieux. Mais d’où provenaient ces sons? impossible à évaluer dans l’immensité de ce 7eme continent, on entend les sons mais on ne peux en évaluer la provenance et encore moins les suivre tant ils sont diffus.

Les lieux était propices à la méditation et à l’exercice, Zyss en prenait conscience et au fil de ses pas sous-marins il travaillais à restructurer ses sentiments, ses ambitions, son caractères…
Était-il encore trop doux? Cette Titan lui avait montrer de "l’affection » et de la considération lors de leur combat, pourquoi? Alors qu’il avait fait la morale sur l’impuissance des Hommes face à la météo et qui, sous ses yeux, il tentai de briser la barrière cosmique, cette enfant lui avait montré de la reconnaissance!
Où avait-il échouer?
Aurait-il dû la frapper?
Serait-ce ce qu’Arès attendait de lui?
Oublier son humanité et violenter femmes et enfants si ces derniers se tenait devant lui?
Au fil de ses réflexions il tomba sur la réponse qu’il estima comme étant le destin des berserker, une réponse qui pris alors dans son esprit une forme de règle qu’il devrait désormais appliquer quoiqu’il lui en couterait : tout ce qui se tiens devant les ambitions d’Arès ou des Berserkers doit être détruit ou écarté.

Se stoppant alors dans sa marche, Zyss réalisa alors ce qu’impliquait le fait d’être un soldat d’Arès, il devait être un destructeur et non un bâtisseur! Son intellect ne devait lui servir uniquement à préparer des stratégies qui lui permettrait de détruire ses obstacle et non les éviter ou les contrôler. Arès ne veux s’encombrer avec ce qui lui est inutile.
Levant alors la tête pour observer le ciel aqueux qui se tenait au dessus de lui, il réalisa une autre chose, au fond de l’eau vous pouvez hurler on ne vous entendre pas, au fond de l’eau vous êtes impuissant et… seul.

Balayant cette dernière réflexion d’un geste, Zyss compris qu’il restait encore trop humain et qui lui faudrait faire bien plus d’effort pour devenir ce que son maître désirait de lui. Reprenant alors sa route il observa qu’il avait acquit un peu plus de rapidité et de faciliter à se mouvoir, mais pas suffisamment.
Des heures passèrent de nouveaux et sa vitesse ne montais que trop peu, cette triste observation lui fit réalisé qu’il lui faudrait bien plus de temps qu’une traversé comme celle la pour pouvoir bouger aussi bien sur terre que sous l’eau. Attristé par cette constations une idée folle lui vont alors : il arrivait facilement à repousser l’eau autour de sa tête pour respirer, alors pourquoi pas tout autour de lui?
Concentrant son cosmos, le Déluge fit un premier essai d’abord simple, il repoussa autour de lui l’eau à un diamètre de 1 mètre, il y arrivait sans trop de difficulté et n’utilisait pas encore une quantité phénoménal de cosmos.
Annulant alors sa « bulle » il se posa en tailleur, dans l’obscurité de la mer son cosmos commença à bouillir, les mains jointes et le visage fermé le Déluge concentrait tout ses efforts à la visualisation d’une sphère énorme autour de lui.
Des courants marins commencèrent à se former autour de lui, d’abord faible puis de plus en plus tumultueux l’eau commença à s’écarté de lui, son corps ne put contenir la surprise de pouvoir respirer de nouveaux avec aisance, le berserker garda sa concentration pour étendre de plus en plus cette sphère.
L’eau perlait sur son visage, son armure trempé lui procurait une sensation de froid désagréable, bien plus que quand il était entouré de liquide. Il commençait à entendre le bruit des poissons qui, priver de leur eau, tombait sur le sable mollement et se débattaient pour retrouver cette dernière, désormais du fond de la méditerranée, une serre d’air s’étendait encore et encore.
« Plus vite, plus grand! »
Désormais debout et les bras écarté le berserker faisait vibrer son cosmos comme jamais, son corps tremblait sous l’effort de l’exercice.
« POUR ARÈS!! »
Hurlant pour se donner de la force, la sphère s’étendit brusquement pour enfin percer la surface de la mer créant une énorme explosions d’air, pour la première fois depuis des heures, les rayons du soleil vinrent frapper de nouveaux le Déluge lui procurant durant un court instant de la chaleur.
Cependant l’effort accomplit l’épuisa et lui fit plier le genoux, l’eau qui fut déloger reprit alors avec fracas sa place initial, dévastant les fonds marins et balayant de remous la terre du silence. Alors trop faible pour lutter face au désastre qu’il avait causé, Zyss fut emporter par les eaux jusqu’à se fracasser la tête contre un rocher qui lui fit perdre connaissance durant de longues minutes…

« Huff… Où… Où est-ce que j’ai atterri? »
Se relevant avec difficulté, son corps endolori par l’exercice, le Déluge constata très vite qu’il avait atteint al terre ferme, ou du moins une plage.
Les embruns le caressait, les mouettes et albatros se déchiraient les restes d’un poisson… bref le lot habituel de la surface.
Se relevant après un bref repos pour récupérer de ses efforts sous-marins, le berserker entrepris d’explorer les environs, il ignorait s’il était bel et bien à Delphes mais qu’importait, il devait trouver des renseignements où qu’il soit.
Suivant un chemin reliant la plage à, ce qu’il put observer au loin, un village de pêcheurs, le Déluge observait les lieux qu’il trouva tout à fait banal et sans intérêt et il jugea que même englouti ce lieu serait plus intéressant.
Après une petite heures de marche le berserker réalisa deux chose : d’une sa randonnée sous-marine l’avait rendu plus rapide sur terre et à cela il s’en félicita, la seconde fut qu’apparemment les habitants le craignais sans trop de raison.
Le village ne suintait pas le luxe et le développement économique qu’il avait put observer à Venise mais il devrait s’en contenter.

*grrrrrouik*

« Huf… Voila que la faim me tiraille… Bien allons se restaurer dans ce taudis… »
Entrant dans ce qui semblait se faire appeler un restaurant, le berserker avança au milieu des badauds qui le regardaient avec une certaine appréhension mêlée de curiosité, l’attention qu’on lui portait l’agaçais quelque peu mais il l’ignora, après tout il ne désirait que manger.
S’installant à un table dans un recoins baigné par la lumière des bougies, une jeune et plutôt jolie serveuse vint vers Zyss, tremblant et regardant son patron qui lui faisait signe d’aller à la rencontre du mystérieux voyageur en armure.
« B-Bonjour Voyageur, que puis-je vous servir? »
Ses mains tremblait et peinait à tenir correctement le crayon qu’elle tenait, le berserker lui adressa un regard amusé mais non moins irité par son incapacité à faire son travail correctement.
« Tout d’abord donne moi de ta meilleur bière, puis tu me servira ton meilleur morceaux de viande, cru la viande.
-*gloips* Cru? vous êtes sur? Car… »
Zyss se leva alors de sa chaise puis se tint alors devant la pauvre fille, il faisait aisément une tête de plus qu’elle, mais plus que sa taille son regard soutenu lui permettait de facilement l’impressionner.
« Cru c’est bien ce que j’ai dit. Que ne comprenez vous pas?
-Eh bien… V-Votre demande est quelque peu… Atypique… répondit elle les larmes aux yeux
-Il suffit! Laisse cette fille tranquille! »
Sorti de nulle part, un vieille homme était intervenu alors que l’éducation de la belle allait être fait. Le vieux boiteux approcha alors de Zyss l’air sévère. Décontenancé par le nouveaux protagoniste l’attention du berserker se détourna de la serveuse qui en profita pour fuir en courant.
« Hmpf, alors c’est ça un berserker? Un soldat privilégié d’un dieu assassin et qui ont pour loisir de tourmenter les jeunes filles?
-Tiens ta langue vieu gâteux, que tu m’insulte soit, mais ne bafoue pas le nom d’Arès!
-Sinon quoi? Tu t’en prendra à moi?
-Tu ne le sais pas encore, mais tu es déjà mort vieillard… »
Secoué par ce dernier propos le vieillard fut décontenancé puis horrifier quand il s’aperçut qu’autour de lui des tentacules aqueuse se tenaient prête à le rouer de coup.
« Répond moi grand-père, toi qui doit être un sage, comment retrouve-t-on une déesse?
-Tiens donc, fit il avec désinvolture, en plus de vous en prendre à de simple jeune femme vous souhaitez vous en prendre aux déesse?
-Qu’il en soit ainsi."
Une tentacule vint s’abattre sur l’homme qui plia sous la force, une épaule déboîter se fit entendre ainsi qu’un râle de douleur, tout les clients s’en allèrent vers la sorti mais le chemin fut barrer par les autres tentacules qui, au passage, vinrent faucher les fuyard et leur bloqua l’issue la plus proche.
« N’ayez point peur, je ne vous ferait aucun mal tant que vous répondrez à mes questions et ne vous montrerez pas insolent. »
Un lourd et pesant silence s’abats alors que seul les gémissement du vielle homme haletant continuait se faisait entendre.
« Bien je répète la question pour vous tous maintenant, où puis-je trouver une déesse? »
Le silence se fit persistant et l’assemblé semblait stupéfaite par la question, rien de plus normale sauf que, sauf que devant eux se tenait un berserker avide de réponse.
Après un effort considérable le vieille homme se releva, aidé par un pêcheur borgne qui le soutenait, le regard haineux il eut encore la force et la malice de provoquer le berserker :
« Ne sais-tu donc pas où tu es chien d’Arès? Tu es sur l’île de Circé, la demeure d’un clan de sorcière millénaire! Va les voir, elles auront surement une réponse à te transmettre…
-Tiens donc? Je ne suis donc pas à Delphe… zyss regarda alors l’assemblé et retrouva de vue la serveuse puis l’interpella, toi amène moi à elles. »
L’intonation était claire, nul palabre ne sera possible et c’est résigné que la demoiselle fit un geste pour accepter ce qui lui était demandé.

Alors accompagné de la serveuse, Zyss quitta le taudis et entama sa route vers une potentielle réponse, la jeune femme se mua dans le silence et tenait nerveusement un pan de sa robe, dissimulant avec force ses pleurs. Étant loin d’être stupide Zyss avait pu observer tout cela mais n’en tint pas compte, cela lui importait peu qu’elle soit triste ou non, tant qu’elle répondait à son ordre tout irait bien pour elle.
Après une bonne heure de marche, le duo silencieux arriva au cours de son voyage et alors le Déluge rendit la liberté à la jeune fille, qui ne se fit pas prier pour partir.
Souriant à la vue de la fuyarde, Zyss regarda la demeure se tenant devant l’entrée d’une grotte, il senti alors qu’on l’attirait dans se lieu, une sensation fugace d’un appel charmeur…
Suivant cette appel notre héros pénétra dans la demeure qui se révéla vide et poussiéreuse, l’aurait on dupé?
« Montrez-vous »
Une sommation neutre mais ferme qui ne souleva que le silence pesant du lieu, soudain une porte s’entrouvrit remuant la poussière et laissant échapper un souffle chaud nuancé d’encens.
Son hôte était joueur, méfiant Zyss suivit ce nouveau chemin qu’on lui traçais et pénétra alors dans une étrange pièce qui devait se situer dans la grotte. L’air y était humide et chargé de vapeur d’encens qui couvrait des relent de souffre qui devait s’échapper des faille profonde de la terre.
« Ô toi Berserker, soldat élu d’Arès, toi qui est investi d’une mission divine et cruelle je te vois et te salut »
S’élevant du néant de l’endroit, des voix féminines, jeunes et vieilles, s’entremêlaient pour ne former qu’un, rendant leur monologue lugubre et enchanteur.
« Nous voyons, savons et devinons tout.
-Oh? fit le berserker? Alors quel est ma mission?
-Retrouver Aphrodite on t’as demandé mais tu ne sais où avancer. »
Pensif et confus le berserker resta silencieux un instant puis une femme fit :
«  Nous pouvons te donner la réponse,
-Mais nous voulons quelque chose en échange, fit une autre
-Que me voulez vous? demanda alors Zyss
-Du cosmos et du sang de ta part, firent elles toute en coeur.
-Rien que ça? Et bien soit vous l’aurez. »
Soudain une marque au sol s’illumina d’une lueur sombre et morbide, une femme indiqua à notre héros d’avancer en son centre et de se préparer, à quoi? il l’ignorait mais qu’importait, si une réponse lui était donné…
« Aphrodite n’est plus, pour la trouver tu devra te rendre dans un lieu en dehors de la compréhension des hommes et des dieux. »
Au fil des mots, des coupures se formèrent sur les poignets du berserker, son sang s’en échappa en volute comme drainés par le cercle magique au sol, son cosmos le quittait lentement se joignant à son sang, donnant une intensité nouvelle aux tracés.
« Dans le Tartare nous allons t’envoyer et là tu pourra demander Aphrodite, du moins si tu le pourra »
Alors que Zyss allait demander plus détails quand à cette dernière phrase que ce dernier se senti tomber, une sensation tellement proche de la mort qu’il crut mourrir de nouveaux.
Était-ce le cas?
Aucune certitude mais il eut une satisfaction dans ce tourment, sa quête connaissait un certain avancement, à moins qu’il fut trompé par ces sorcières…

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