Misfortune has still not been ! - [Pv Zyss - FB ][TERMINÉ]

Misfortune has still not been ♪

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Étendue d'eau ! Paysage sereins et calme, un endroit qui ne pouvait que me plaire, solitude, et en y regardant de plus près, le désespoir était tout autour, le malheur était à sa place, tapis dans l'ombre près a frapper et laisser son emprunte malsaine sur quiconque s'acharnerait à l'éviter ! Quand est il du détendeur de l'une des plaies de l'humanité ? Le malheur à un nouveau visage, celui d'un homme marqué par la rancœur, obnubilé par la vengeance.

Ani, qu'es tu devenu ?

L'homme autrefois appelé Anatoli, n'était plus qu'une ombre incapable de voir la beauté ou toute autre forme de bonté dans ce monde, il n'était pas foncièrement mauvais, bien loin de là, il était gentil mais le fardeau qu'était son talent lui ouvrait les yeux sur le chaos que l'humanité avait déchaînée en ouvrant la boite de pandore.
Ani était son surnom adoucissant ce qu'il était, un vestige du malheur, du moins du bonheur qu'il entrevu durant un cours instant dans une vie destinée à apporter peine et déception.

Anatoli, l'abandonneras tu une nouvelle fois ?

Malheur avait accepté de servir le dieu de la guerre pour libéré son envie inassouvie de vengeance, allait il, comme avec sa femme, abandonner cette promesse et laisser le dieu du carnage sans son serviteur ? Il n'en était nullement question, c'était son dernier engagement, libérer ce que l'homme avait de pire en lui, laisser les tourments du peuple créer par les dieux ressortirent de chacun.

Es tu homme ou simple chimère ?

Peut on réellement donner a une créature n'apportant qu'envie de mort et de suicide un homme ? Peut on lui assigner le nom de chimère alors qu'il est tout ce qu'il y a de plus réel ? Nul ne sait réellement ce qui pousse Anatoli a fouler le sol de la terre, nul outre le dieu de la guerre lui même, ce n'était certainement pas le gardien de ce lieu presque idyllique qui allait le lui dire. Malheur vétu de son armure d'effroi se mit à parler, sa voie était ce qu'elle était, grave et douce à la fois, mélancolique et annonciatrice d'une catastrophe.

« Puis-je savoir le nom du protecteur de ce lieu ? J'aime savoir à qui je m'adresse. »

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Allons bon...

Des tréfonds les plus profond et sombre du domaine s'échappa une nuée de bulle qui, remontant mollement à la surface, vinrent émettre le souffle froid du Cardinale, maître de la Porte et Gardien du domaine qui lui était liée.
Lentement son corps vint retrouver la clarté du jour et vint le soumettre à nouveau à la gravité terrestre, jusqu'à calme et serein, la colère commença à poindre quand à l'entente des mots de son visiteur.
Immergeant du liquide omniprésent, son armure vint de poser sur sa masse nue, tel un draps qui jusqu'ici flottait à la surface de l'eau et venait l'enrouler dans une transition hypnotique et sublime.

Alors que le sombre Cardinal commençait à avancer vers l'impudent, ce dernier le toisa comme s'il était un vulgaire bout de viande dans une belle chape de fer, son cosmos ne le trahissait pas, ce dernier portait la marque des berzerkers, l'aura des élus d'Arès mais surtout, s'échappant de sa bouche, une incroyable confiance en soi.
L'analyse se terminant, Zyss le Calamiteux poussa un long soupire qui révéla une impatience certaine ainsi qu'un agacement profond, il avait une mission à accomplir et n'avait que trop peu de temps à consacrer à une nouvelle recrue.

"Et puis-je savoir celui qui bafoue mon domaine ainsi que les lois d'Arès?"
Les mots claquèrent tel un coup de tonnerre, brisant alors le silence qui avait suivi la demande du malheureux. L'envie de lui assener un de ses fameux coup de poing d'accueil lui brûlait le corps mais, privilégiant l'accueil de cette nouvelle recrue, il préféra laisser échapper sa colère sous la forme d'une voute de cosmos qui vint tordre la réalité, changeant le doux paysage en un immonde marécage où chaque touffe d'herbe se révélait être des scalps humains, ceux des intrus ayant foulé la terre bénit d'Arès, l'eau bleu et cristalline s'épaissit pour devenir une mélasse goudronneuse et puante...
Si la peur était visible alors le Cardinal prendrait les mesures adéquate, les épreuves pour cet homme ne faisait que commencer!

The lack of happiness ♪

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Ani aimerais tu t'intégrer ?

La paix était présent en ce lieu fut un temps, sa présence semble avoir totalement disparu, elle est si proche de l'homme que je suis aujourd'hui, si souriant et heureux, si aimant et protecteur, aujourd'hui plus rien de tout ceci ne me qualifie. Aujourd'hui ce lieu représente la guerre est la seule trace dominante ici bas ! La peine, de l'humanité toute entière était palpable ! La mienne beaucoup moins, seul un sentiment de colère était perceptible. Elle était si forte qu'il était impossible de passer à coté de celle-ci.
Sans réellement faire attention à la présence du gardien de ce lieux, je me mis à écouter ses dires, mais c'est davantage ses actions qui me parlèrent, son aura qui vint me heurter avec violence, les mots en eux même qui étaient prononcé d'une manière qui ne pouvait dégager que du mépris, cet homme n'était pas du même niveau que moi, c'était un fait, cependant, bien que sa puissance me surpasse je n'en serais pas pour autant soumis.

« ainsi donc les grands de ce monde ignorent les réclamations des plus petits, s'en est navrant. »

tournant la tête de manière a laisser la moitié de son visage visible, Anatoli esquissa un petit sourire et montra son regard vide au cardinal, ainsi qu'une bribe de pouvoir en laissant son aura bleu azur jaillir de ses yeux formant une poussière s'en échappant, montrant ainsi à mon nouveau supérieur que bien qu'inférieur, je n'en maîtrisais pas moins l'essence même du cosmos. Le malheur repris avec un voix calme voir même blasée.

« Berserker du Malheur, Kala pour vous servir. »

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De la part d'un berzerker, le Cardinal ne s'attendait pas à un mouvement de recule, une émanation de peur ou encore de la panique quand il déployait son cosmos. Il ne cherchait pas à intimider mais à tester le mentale de ces recrues qui, trop souvent, se gargarisent et font els fières affublé de leur armures et au final meurt dès le premier tour de chauffe d'entrainement...
Faisant disparaître son voile de putréfaction, redonnant splendeur et paix au lieu auquel le Cardinal était fortement attaché, il pu "apprécier" la présentation concise du Malheur.
Cependant il retint bien plus la remarque qu'il avait fait à son encontre, une marque de fierté et de volonté d'indépendance mal placé au sein de l'armée Divine D'Arès!

La mine blasé de cet homme était une façade grossière qui dénotait totalement avec la férocité de son cosmos bleuté et semblant être poussiéreux. Malgré son impudence il aimait son regard déterminé à ne pas se faire marché dessus mais l'honneur et la fierté du Cardinal ne pouvait passer outre la remarque déplacé q'avait fait son invité.

« ainsi donc les grands de ce monde ignorent les réclamations des plus petits, s'en est navrant. »
Qu'avait elle de déplacé? Son contexte uniquement, car la Calamité ne pouvait qu'approuver ces mots mais énoncer à son encontre et dans cette situation, voilà ce qu'il trouvait impardonnable!

Affichant son sourire carnassier et prenant un ton des plus calme et froid, le Cardinal vint rectifier les dire de son désormais sous-fifre :
"Ce qui est navrant est ton manque de respect envers les plus Grand, berzerker. Tu fais montre d'une grande confiance en toi et en ta puissance mais sache qu'au sein des rang d'Arès ta personne n'es rien. Tu es désormais le chien de notre Dieu ainsi que de ses enfants..."
Laissant un petit temps pour marquer la fin de sa phrase, là ou il voulut mettre en avant une grande ironie, le Cardinal ne pu contenir une voix quelque peu malicieuse et presque moqueuse :
"... mais aussi le mien"

Se redressant alors et adressant une brève révérence que la politesse imposait il conclut :
"Je suis Zyss, Cardinal des Calamités et Gardien des Portes de la Guerre. Que le règne d'Arès puisse s'accomplir par nos efforts"
Il n'avait hélas que trop peu de temps à accorder à cet recrue, le devoir l'appelait bien au delà des terres d'Arès mais une chose était sur, il s'occuperait de lui dés son retour mais avant il voulut savoir une chose de son nouveau larbin :
"Le devoir m'appel Kala, cependant je souhaite connaitre la raison de ta venu ici. L'issue de notre future rencontre dépendra de tes mots."

L'impatience du Cardinal était palpable, il était aussi bien rongé par la curiosité des propos que tiendrait le Malheur que par sa mission qu'il se devait d'accomplir...

Woe is a likely partner ♪

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Anatoli, je vais t'apprendre à aimer la haine.

Des mots dures, des mots avec de profondes répercutions, une enfance sous le signe de la dureté, de l’agressivité et de la souffrance. Le cardinal n'avait que faire de ma vie, cependant il souhaitait connaître les raisons de ma présence au sein de l'armée d'Ares. Pour moi c'était simple, la vengeance un sentiment à jamais assouvie d'insuffler les sévices de la vie à l'homme. Montrer au monde que vivre est plus noble quand on connaît la souffrance. L'ignorance étant à mes yeux un fardeau. Arborant cette mine blasée qui était mienne et non un masque comme le pensais le cardinal, je me dressa à coté de lui, toujours cet air stoïque et sans expression, je me mis à répondre avec un ton plus prononcé qu'à l'accoutumé.

« Vengeance, mépris de l'humanité, soif de punir l'ignorant. L'homme se complaît dans un monde qu'il ne mérite pas. Comment peut il y voir la beauté alors qu'il ne connaît pas l'immondice dont il fait preuve. Il se plaint de vivre dans un monde inadapté. Le malheur les frappera et peut-être je dis bien peut-être, comprendront-il que la terre est une chose pour laquelle il faut se battre. »

marquant une courte pause, je jeta mon regard sur les terres qui nous entouraient, admirant ce que la guerre avait apporté, observant le calme qui régnait ici bas et repris d'un ton plus pausé qu'auparavant, retrouvant cet aspect méprisant qui ne l'était pourtant pas. Le cardinal comprendrait que j'étais ainsi en temps normal et qu'il n'était en rien offensant de me voir ainsi.

« La calamité que vous êtes ne semble pas avoir d'homme à gérer, si vous souhaitez apporter le fléau des dieux sur ce monde, je vous demanderai de bien vouloir me considérer comme un partenaire répondant à vos ordres que comme un chien n'aboyant que pour vous faire plaisir. Les chiens sont faibles et peuvent aisément se retourner contre leurs maîtres, des partenaires sont loyaux et donneraient leurs vie volontiers pour quelqu'un qu'ils respectent. Vous avez mon respect, cependant ma loyauté ce gagne et à ce jour, seul Ares la possède. »

Mes mots avaient été choisie avec soin, le fléau, le partenariat, la loyauté, si le cardinal était la moitié de ce que je pensais qu'il était il y verrait une opportunité de trouver un homme capable de le suivre dans le plus sombre cachot des enfers, il y trouverait un camarade capable de retourner la terre s'il le lui ordonnait. À l'inverse il y perdrait quelqu'un s'il le sous estimait. Le malheur n'était pas homme à être dompté ni à être martyrisé, la vie d'Anatoli n'avait pas épargné celui-ci, calamité s'en rendrait compte, et comprendrait que les mots sur la vie n'étaient pas prononcé dans le vent.

Spoiler:

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Inlassablement l'homme qui se tenait face à lui répondit à la question du Cardinal, aurait-il du préciser qu'il désirait une réponse courte et précise? Peut être, mais une chose était clair, ce dernier possédait les mêmes objectifs que la Calamité et cela n'était pas pour lui déplaire.

Chaque mot était choisit judicieusement, essayait-il de flatter son supérieur? À cette pensé Zyss eu un petit sourire empreint d'un certain dégoût mais encore une fois il ne pourrait juger de tout cela qu'une revenant de chez les Titans.
Grâce à la réponse du Malheureux l'avenir de ce dernier envers le sombre Gardien était plus ou moins tracé mais pour l'heure ils avaient tout deux bien plus à faire que de partager de veines et incessante palabres et la Calamité conclut alors l'échange de cette façon :
"Tes mots choisit avec le soin que j'attend de mon futur bras droit sont clair. Sache que pour l'heure je doit m'en aller bien loin pour une mission, je ne doute pas de ta force mais je ne peux te proposer de m'accompagner, tu as des choses bien plus urgente à réaliser en ces terres. Va donc te reposer de ton voyage où bon te semble et si l'occasion se présente, va donc montrer ton respect à tes Dieux. Je reviendrai à toi avec une épreuve à te soumettre. Sur ce , Force et Honneur!"
Réalisant un salut comme point finale de cet échange, le Cardinal s'en alla réaliser sa quête sur les terres encore inconnu pour lui, ne sachant nulement comment ce voyage se déroulerait. La mort viendrait-elle le frapper de nouveau? Allait-il revenir victorieux de bien des manières?

•--- HRP---•:

Woe is a likely partner ♪

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Anatoli tu seras seul désormais !

Ces mots résonneront dans ma tête à tous jamais, le malheur ne peut être entouré, il se propage plus qu'il ne pourrait le souhaiter. Cependant, malheur ne rime pas avec solitude ! Mais avec terreur, et faire régner la terreur est une façon bien à soit de ne pas être isolé du monde.
Ainsi donc le cardinal décida de clôturer cette rencontre pour une mission plus importante. Il était logique qu'il s'en aille, cependant, son invitation à me rendre auprès des dieux que je servais était bienvenue, mais seule une invitation de leurs part m'y pousserait, j'étais un guerrier et non un politicien volant les faveurs d'un dieu quel qu’il soit !

« Ainsi soit il cardinal ! »

Les deux âmes disparurent chacune de leurs cotés ! Ayant tout deux choses plus envieuse à réaliser que de vulgaires présentations dénuées de toutes importance.
L'un partant en direction des contrées hors de sparte tandis que l'autre se dirigeant vers l’intérieur des terres.

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