La terreur arrive au tartare.

Le tartare est un endroit bien sombre et mystérieux. L'âme d'Arès n'avait pas succomber mais le corps qu'il avait eu pour hôte n'était plus de ce monde. Il allait devoir en chercher un autre une fois qu'il sera sur terre. Perdre face à Silfrid était... assez dur à avaler même s'il devait avouer que la force de ce demi-dieu était au-dessus de tout. Le dieu de la guerre ne tarda pas à rejoindre son fils au beau milieu du tartare. Lui aussi avait donc perdu ces combats. Phobos qui devait sans doute encore affronter Thanatos n'allait pas tarder à les rejoindre. La force du dieu de la mort était bien au-dessus de son deuxième fils. Les lieux leurs étaient hostiles malgré leurs rangs. La colère de cette défaite ne devait pas engendrer de mauvaise initiative. L'Olympien devait réfléchir à tout ce qu'il avait vu pour agir en fonction.

Deimos n'avait pas l'air ravi de se retrouver ici et c'était compréhensible. Lui aussi n'aimait pas cette situation mais ils allaient devoir faire avec. Il fallait a tout prix retourner dans le monde des vivants maintenant que ces berserkers étaient éveillé. Pour sortir d'ici, ils allaient devoir se soumettre au jugement du maitre de ces lieux, c'était assez humiliant de devoir faire ce qu'un autre lui disait... car d'habitude c'était lui qui donné les ordres.


Quelque mots d'encouragement pour éviter que son fils ne puisse perdre espoir ou qu'il ne tombe dans un terrible sentiment de haine envers celui qui l'avait envoyer ici. La guerre faisait des mort et des victorieux, c'était ainsi... Même si Arès avait toujours dans un coin de sa tête une revanche à prendre sur son oncle Hadès.

Malgré ses paroles qui se voulaient rassurante, son fils ne semblait pas vouloir les accepter. Il était toujours aussi désireux de se venger. Il n'avait pas tout à fait tort. Les enfers devait payer pour ça, mais... c'était aussi les risque de la guerre. Il y avait toujours un perdant et aujourd'hui les Bersekers se retrouvaient dans cette position. Il n'avait pas vécu cette situation depuis sa défaite contre Athéna il y a plusieurs siècles. Le dieu de la guerre laissa son fils parler sans rien ajouter. Il sentait que la véritable nature de Deimos faisait son apparition. Ce n'était pas plus mal, car une fois dehors, le dieu de la guerre avait bien l'intention de changer le cours des évènements. Soudain, de sombres silhouettes firent leurs apparitions sous leurs yeux. Impossible de distinguer les formes exactes de ces créatures. Le temps de les apercevoir fut de courte duré car ils furent assaillit par ces choses. Leurs forces leurs avaient été enlevé et ils n'avaient pu se défendre face à ça.

Le réveil était plutôt douloureux, il n'avait plus ressentit cela depuis des siècles. C'était a peu près la même sensation que lorsqu'il était sorti du sceau d'Athéna. Seulement, cette fois, il n'était pas dans la même situation. Ces bras et ces jambes étaient enchainés, incapable de faire un mouvement, il dirigea son regard vers Deimos toujours endormit. Il ne tarda pas à se réveiller et à observer la scène. Le décors était plutôt plaisant même s'il manquait un peu de lumière. Une ombre cagoulé s'avança vers eux pour commencer son monologue. Le dieu de la guerre se fichait pas mal de ce qu'il allait leurs dire. Ces yeux semblaient rivés sur lui tandis qu'il observait plus loin. La seule chose qu'il avait en tête était un moyen de sortir. Bien entendu, il resta attentif au propos de cette ombre sans que celle-ci ne puisse vraiment voir ce que l'Olympien regardait.


Le poing serré il frappa d'un coup sec le mur derrière lui pour s'apercevoir qu'il était assez robuste. Sans ses forces Arès était incapable de briser les chaines. Toutefois, cela lui avait permit de sentir la matière dans laquelle il avait frappé. Il était inutile de vouloir faire entendre raison à cet être. Il savait que celle-ci resterait dans sa position et ce n'était pas les Olympiens qui lui ferait changer d'avis. Son fils répondu sèchement à l'ombre obscure. Lui demandant de quel coté il était et dans quel but il avait capturé les deux Olympiens.


L'ombre allait-elle donner tort à Arès en répondant au propos de Deimos ? Peut-être... mais c'était aussi ce que le dieu de la guerre espérait. Qui joué avec qui ? tel était la question !

Amusant... cet être pensé réellement être au-dessus des Olympiens ? L'ignorance faisait parfois de bon idiot. Le dieu de la guerre avait été terriblement affaiblit après son dernier combat et ne pouvait plus faire appel à ses pouvoirs. Du moins pour le moment... car tenir ainsi prisonnier le dieu de la guerre sans le "sceller" pouvait s'avérer être une grande erreur. D’autant plus qu'il était amusé par la façon dont cette chose les traités. L'Olympien avait l'impression de se trouver devant une personne qui avait besoin de se mettre au devant de la scène. Car elle ne devait pas souvent avoir l'occasion de se montrer au grand jour. La laisser prendre un peu le devant de la scène ne le gênait pas. La souffrance qui les infligés était fortes. Mais rien ne pourra remplacer le sentiment amer de la défaite.

Le dieu de la guerre ne disait rien et se contenter d'observer ce qui se passer sous ses yeux. Il pouvait voir ces Berserkers faire n'importe quoi... voilà donc comment ce comportait ces guerriers lorsqu’il était absent... Cela risquait fort de barder pour leur matricule à son retour. Mais pour le moment, il n'y pouvait rien. De toute façon, il se moquait bien de ce que ces serviteurs faisait, le plus important était de sortir d'ici et il ne semblait y avoir aucune issue. Comment les dieux étaient-ils sorti de cette zone ? Surement en attendant que leurs pouvoirs reviennent pour déchirer ce monde. L'ombre les laissa à leurs sorts tandis qu'il partait.


Le dieu de la guerre parlait sans gêne et sans crainte, il le faisait même de sorte à ce que toute la zone puisse entendre sa voix. Peut-être avait-il découvert que la seule issue se trouvait dans ces mots ? Ces chaines qui les bloquaient étaient semblable à ceux qu'il utilisait pour enchainer les dieux. Elles étaient faite d'un matériaux conçu pour consumer leurs cosmos. Inutile donc de vouloir sortir par la force. L'ombre était semble t-il assez susceptible et ces quelques mots qu'il venait de prononcer pouvait avoir l'effet qu'il espérer. Le faire parler allait lui ouvrir une faille à un moment ou un autre...

Cette chose était plus intelligente qu'elle n'y laissait paraitre. Elle n'avait rien dit qui puisse donner un indice à la divinité. Se sortir d'ici sans ses pouvoirs relevé du miracle. Et comme il s'en était déjà doutais, ils allaient devoir se reposer sur cette entité pour quitter les lieux. Se sentir enchainait de la sorte commençait à l'agacé au plus haut point. Lorsqu'il retrouvera ses forces il se fera un malin plaisir à se jouer du tartare. Car il était facile de se prétendre supérieur au Olympiens sans les affronter de face. Attendre qu'ils aient perdu leur pouvoir pour se manifester avec ses grands airs étaient plutôt lâche. Bien sur, on ne pouvait pas en vouloir à ces entités qui profiter de ce genre de situation.


Les paroles d'Arès sonnaient fausses, avait-il abdiquer ? Certainement pas... toutefois, c'était sans doute le type de réaction qu'attendait cette ombre. Depuis le début il c'était montrait fier de sa capture et n'avait cessé de crier haut et fort qu'il leur était supérieur. Jouer son jeu était la meilleur chose à faire. L'arrivé de Phobos ne changerait en rien la situation car il perdrait automatiquement ses pouvoirs. La douleur des pics qui leurs étaient infligés étaient douloureuse. Le dieu de la guerre ne bougeait pas et se laisser transpercer au bon plaisir de leur tortionnaire. Aucune souffrance sur son visage ne se laissait voir. Bien évidement qu'il ressentait la douleur, cependant, il cachait ça de la meilleur des manières en restant propre à lui même. Les yeux fermés, l'Olympien se contenta d'attendre la fin, en espérant qu'il y en ai une.

Les pics gelés avaient cessé et les dieux étaient retombés au sol. Le dieu de la guerre étaient épuisé et n'avait plus la force de réagir. Cet ombre était puissante et les pouvoirs de l'Olympien étaient au plus bas. Soudain, les forces des dieux étaient revenu. Il avait récupérer ses pouvoirs d'un seul coup ? Arès se leva pour regarder l'homme qui se tenait devant eux, un gamin ? Qui devait avoir l'apparence d'un petit garçon. Le fils de Zeus n'avait pas réagit à ses propos et laissa son fils s'en occuper. Il voulait voir comment Deimos allait gérer la situation et le plus que l'on puisse dire était qu'il avait gardé son sang froid. Affronter cet être ici et maintenant seraient une grave erreur. Ce lieu était une zone qui lui appartenait et qu'il pouvait modeler à sa guise. Cette ombre pouvait donc se service de ces capacités pour les piéger lorsque la situation tournerait mal pour lui.

Il n'était pas non plus question de se soumettre. Arès était seul maitre de lui, il était un véritable dieux contrairement à Cronos qui avait perdu son essence divine. Le fils de Zeus se tourna vers l'entité sans rien dire. Il l'observait attentivement et espérait que leurs réponse lui convienne. Il avait déjà rendu leurs pouvoirs ce qui était déjà un bon début, avec un peu de chance il allait leur rendre leurs armures. Cronos l'avait ennuyé au point qu'il le libère... ce n'était guère étonnant. Arès n'était pas comme le titan et il voulait réellement comprendre cette ombre et pourquoi pas plus...

Quel être arrogant, sans doute tout autant qu'eux. Le dieu de la guerre était plutôt satisfait d'avoir rencontré une chose aussi incroyable au fin fond du tartare. Si cette entité ne sortait pas d'ici, c'est sans doute parce qu'elle n'avait pas les moyens ou bien l'envie. Il optait plutôt pour la deuxième solution. Arès restait immobile en observant les lieux. Cette zone semblait assez vaste pour qu'ils puisse bouger librement. Arès était bien trop fier pour lever les yeux vers une autre personne. Les gens se prosternaient devant lui et non pas l'inverse. Puisque cette ombre ne souhaitait vraiment pas les laissait partir, alors il valait mieux employer la manière forte. Les discutions ne menaient à rien si ce n'était tourner autour du pot. Deimos avait l'air d'avoir compris et s'était déjà préparé. L'armure d'orée de l'Olympien était revenu vers lui. Si cet être était capable de faire tant de chose d'un claquement de doigts c'était peut-être qu'il était plus puissant qu'eux. Toutefois, ce n'était pas une raison pour laisser passer la manière dont il avait traité la divinité de la guerre.

D'un fin sourire, Arès se laissa revêtir par son armure d'orée. Son cosmos brûlait pleinement tout comme ses yeux. Faisant quelques pas autour de l'être solitaire le dieu de la guerre croisa les bras avant de rejoindre son fils.


L'aura divine d'Arès c'était mis à grimper en flèche. Une lueur d'orée était monté vers le ciel en éclairant le terrain des ténèbres. Près à en découdre l'Olympien se plaça face à cette ombre en espérant que le combat ne soit pas trop ennuyeux.

Quel cosmos ! Il fallait bien avoir que cet être sombre ne manquait pas d'énergie. Toutefois, le fait d'avoir perdu contre un mortel lui avait au moins apprit une chose... C'est que les plus faibles pouvaient parfois s'élever au même niveau que le plus puissants. Le dieu de la guerre était impatient d'en découdre et son cosmos avait déjà éclairait les lieu de sa lumière dorée. Son fils était également prêt, le combat pouvait débuter. Le premier assaut fut assez... infligeant ! D'une simple pichenette il fut éjecte sur plusieurs mètres. C'était assez violent pour un si petit geste. Arès se tenait le front qui saigné ! Voilà sa véritable force mais pour être honnête... il était un peu déçu du manque de punch de cette attaque. Au vu de ce que cette ombre avait montré, il imaginait recevoir un coup bien plus fort.

Néanmoins, le fils de Zeus eu du mal à se relever et sentit la main de son adversaire l'attraper et le balancer dans les airs pour rejoindre Deimos. Enchainait ils tombèrent tout deux au sol. Cependant, maintenant qu'ils étaient muni de leurs armure les dieux ne semblaient pas avoir énormément souffert. Arès se releva en voyant son fils attaquer avec son épée et ses armes. Il était provocateur mais c'était tout à son honneur. Ce combat se jouait aussi dans les têtes même s'il valait mieux ne rien dire pour le moment. Observer ses gestes et apprendre était la solution la plus envisageable pour le moment. D'ailleurs, il allait rapidement voir s'il s'agissait d'une divinité ou non...

Arès fit vibrer son cosmos et des chaînes d'orée anti-dieu firent leurs apparitions. Elle attrapèrent l'ennemi qui se retrouva enchainait à son tour. Ces chaines avaient la particularité d'agir sur les personnes ayant le sang divin et aucune divinité ne pouvait s'en échapper. Voilà comment révéler sa première nature... s'il parvenait à briser ces liens cela signifierait qu'il soit d'un "rang" plus élevé que les dieux, car même les primordiaux tel que Ouranos ou Gaia ne pourraient détruire ses liens. Sans attendre Arès forma un mur de lumière derrière son dos. Il était inutile de "s'amuser" avec lui et il avait décidé d'y aller franchement.


Des centaines de milliers d'armes d'orée se projetèrent à une vitesse ahurissante vers sa cible. L'assaut était tellement dense et importante qu'elle durant plusieurs minutes. Pendant tout ce temps les lames d'Arès n'avait cessé de jaillir vers son adversaire. Une pluie d'attaque battante sans aucune interruption !

Qu'elle force... c'était tout simplement phénoménale ! La puissance de cet être dépassait de loin celle des Olympiens. Même les primordiaux se ferait sans nul doute écraser... Qui était-il réellement ? Cette question était une interrogation en elle même. Tout ceci était-il réelle ? Arès était-il en ce moment même en train d'errer dans une sorte d'univers parallèle ou tout ce qu'ils connaissaient n'existait pas ? C'était improbable puisque cette ombre comprenait leurs existence. Se pourrait-il qu'il puisse exister des êtres supérieur aux dieux eu même ? Et si c'était le cas... Ils ne pèseraient pas bien lourd dans la balance. Ces chaînes avaient au moins eu l'effet qu'il désirait. A savoir si cet homme était d'essence divine ou non et il pouvait dire sans se tromper qu'il était différent. Cela confirmait ses premières impression. Quelques soient la personne en face de soit, il fallait toujours l'étudier avant d'agir, que cela soit en combat ou en terme de stratégie. Toutefois, il y avait par moment, des situations ou aucune solutions n'était envisageable.

La façon dont il c'était débarrassé de sa chaine était assez impressionnante, c'était la première fois qu'il voyait ça. Pour éviter d'être touché par les actions de son adversaire il libéra sa technique en la faisant disparaitre. Cette arme avait de toute façon terminer de jouer son rôle. L'homme s'empara de l'une de ses lames pour lancer la contre offensif et le moins que l'on puisse dire c'était qu'il était difficile de le suivre des yeux ! Toutefois, il y avait bien quelque chose qui ne pouvait tromper Arès, c'était l'aura énergétique qu'il dégageait et qui lui permettait de sentir sa présence. L'arme à la main, il avait réussi l'exploit de créer une fissure au niveau de son armure d'orée. Pourtant jamais personne n'était parvenu à le faire. Un coup de poing surprenant qui assomma la divinité durant quelques secondes. A terre, Arès se releva tout de même avec une certaine difficulté.


Deimos ne tarda pas à se mettre à l'attaque en entourant l'ombre de ses flammes toujours aussi intense. Les bras croisés vers le haut Arès concentrait son énergie tandis que son fils continuait à attaquer leur adversaire.


Un trou noir se forme alors et absorbe tout ce qui se trouve au alentour. De plus, il ne se contente pas d'attendre que son adversaire se fasse aspirer. En effet, il a le pouvoir de contrôler cette capacité en la lançant directement vers son adversaire qui ne peut fuir. Cette fois, il n'allait pas pouvoir la bloquer ou esquiver car cette attaque aspirait tout ce qu'elle touchait et ne pouvait être stoppé par sa barrière.

Altairis ! L'attaque sombre sortant droit des abysse venait d'être lancé. Le dieu de la guerre n'était pas allait de main morte et avait utilisé une grande partie de sa puissance. Oui... parce qu'il lui restait tout de même des réserves. Il n'avait pas encore utiliser l'attaque ultime des Olympiens. Celle-ci était interdite et même au fin fond du tartare il ne souhaitait pas l'utiliser. Du moins pas pour le moment... La technique d'Arès emportait tout ce qui se trouvait face à lui, que se soit le vide, les flammes de son fils ou le corps de cet ennemi. Tout y était passé. Rien n'avait pu arrêter la progression de ce trou noir. Toutefois... la disparation de cet être était bien trop facile. Au vu de ce qu'il avait démontré précédemment, le fils de Zeus savait pertinemment qu'il en faudrait plus pour en venir à bout. De plus, dans cet environnement qu'il contrôlé, il était inimaginable que cet ombre se fasse aspirer aussi facilement. A moins bien sur qu'il avait compris la détermination de la guerre ?


Comme il l'avait imaginé, ils se retrouvèrent quelques instants plus tard emportés par un ouragan de flamme. C'était intense et il pouvait sentir sa peau divine brûler. Pourtant... pour arrivé à carboniser la chair d'un dieu tel que Arès, la température devait être aussi intense que celle qui entourée le soleil. Des roches accompagnés cette chaleurs et leurs corps fut ballotés dans tout les sens. Leurs membres ne semblaient même plus assemblés dans le bon sens tellement la bourrasque était puissante. Le temps semblait s'être figé... mais au bout d'un long moment de souffrances ils tombèrent tout deux sur le sol calciné par la technique de cet être. L'air était étouffant et il était difficile pour eux de reprendre leurs esprits. Même leurs armures dont la solidités n'étaient plus à prouver commençait à fondre. Le nom de cette attaque ? Cette langue lui était inconnu... cela signifiait qu'il venait effectivement d'une autre époque. Il était pourtant difficile à croire qu'il puisse existait ce genre d'entité puisque le monde fut créé par les primordiaux. A moins bien sur qu'on ai caché certaine chose aux Olympiens... Même si c'était compliqué, Arès avait tout de même réussi à se reprendre et à se redresser. Il avait également prit la peine de retirer son armure pour la laisser disparaitre. La voir ainsi fondre était irréelle. Et c'était peut-être ce qu'il vivait à cet instant. Ce qui se passait devant lui n'était peut-être finalement qu'une illusion projeté par le tartare lui même.

Toutefois, il ne pouvait affirmer ces hypothèse, du moins pas avec le peu de donnée qu'il avait. Les paroles de cet ombre était... troublante. Il félicita tout d'abord son attaque avant de lui dire qu'il aurait pu commettre l’irréparable si son attaque avait été mal ajusté... Les dieux étaient immortel... leurs âme était différente de tout ce que cette ombre pouvait imaginer. A moins bien sur qu'elle ne connaisse leurs secrets... Il était donc prêt à laisser partir l'un d'entre eux. La réponse était évidente... Arès allait sortir d'ici et laisser son fils avec l'entité. C'était sans doute ceux à quoi s'attendait cette être malfaisant... Néanmoins, il faut avouer une chose. C'est que ce petit jeu commençait vraiment à l'amuser... L'Olympien avait trouvé une nouvelle "chose" divertissante. S'il aimait torturer les humains et les faire s'affronter, c'était uniquement pour passer son temps et se moquer de leurs stupidités.


Son fils devait rentrer pour s'occuper des Berserkers et les préparer au nouveaux défis qui les attendaient. Il savait que Deimos en était capable et qu'il fera le nécessaire pour recadrer certain d'entre eux. Il avait comme son père les même notions. Sans porter un seul regard à son fils il lui ordonna calmement de s'occuper de ses guerriers.


Le dieu de la guerre enleva son haut pour se retrouver torse-nu. Des trace rouge était imprimé sur son corps divin meurtrie par les blessures infligés par cette ombre. Néanmoins, sa volonté et sa détermination était intact tout comme son cosmos et l'aura divine qui l'entourait. Il n'attendait aucune réponse de Deimos si ce n'était son silence. Arès ne voulait pas l'entendre s'adresser à lui et son fils devait se taire et obéir. Faisant quelque pas vers l'entité avec un regard sérieux et des yeux rouges écarlate le fils de Zeus se mit en position en intensifiant sa cosmos énergie. Cette fois le véritable combat d'homme à homme allait pouvoir débuter.