L'arriver du fils de Zeus

Sujet: L'arriver du fils de Zeus Lun 25 Juin 2007 - 13:35

Le ciel était d'un bleu magnifique, il n'y avait aucuns nuages en vue, et le chant des oiseaux étaient mélodieux. Un jeune homme, vétu d'une armure sintillante, dont les rayons du soleil rayonnaient dessus, arrivat. Sa longue chevelure mauve virevoltait dans les airs, dans le sens de la brise du vent qui n'était qu'agréable a sentir. Un doux parfum de fleurs règnait dans les environements, et une mélodieuse armonie d'une lyre était présente. L'homme s'arrêtta en face des portes, tenant son casque sous son avant bras. Placant sa main gauche au recoin de sa bouche, il s'écria, d'une voix forte et famillière aux Dieux de l'Olympe, ainsi qu'aux autres Chevaliers.

Olympiens, moi Hercule, fils de Zeus, je suis de retour !

La voix d'Hercule venait de retentir ! Ainsi donc, il était de retour, parmis sa famille, règnant sur l'Olympe. Ses yeux luisants, tout comme la lune, étaitent fixés sur le haut des portes, attendant que l'on lui ouvre.

Phanuel était censé regagner ses quartiers en attendant que les jumeaux divins règlent le comptent du juge impertinent des enfers. Il se dirigeait déjà vers son temple quand un cosmos assez puissant et très jeune apparut non loin de l'entrée. Ce cosmos n'était pas hostile, mais très étranger. Jamais ce cosmos n'avait pénétré en les lieux du royaume des dieux. Si se trouvait là un ange ou gardien céleste, seul il ne saurait que faire pour se faire accepter dans le royaume divin. Phanuel parti donc à la rencontre de ce nouvel arrivant pour voir de qui il s'agissait. Arrivé à l'entrée, les portes s'ouvrirent. Un jeune homme, portant une armure céleste attendait bien là. Il ne semblait pas trop savoir quoi faire et il fut prit d'un sursaut lorsque les portes s'ouvrirent pour laisser passer l'ange. Un fragment de seconde, le cosmos du nouveau gardien s'était affolé, pris de peur.

"Hé bien, si je suis si moche, il faut le dire ! Quand un adversaire te prendra par surprise, il ne faudra pas te laisser envahir par la peur, tu deviendrais le dîner de ton adversaire. Oh mais désolé de débouler comme ça. Je me présente : Phanuel, ange céleste d'Artémis et en quelques sortes de Zeus. Je vois que tu es tout nouveau, un petit jeune de la famille, je suis donc là pour t'aider."

Phanuel observa celui qui se dressait devant lui. Celui-ci avait un air interrogateur. Il faut dire que Phanuel était assez étrange envers ses nouvelles connaissances. Après un moment d'observation, il détourna les yeux et regarda au loin. Il les voyait : Artémis, Apollon et le fameux juge était là. L'envie démanchait à Phanuel d'aller l'attaquer mais les ordres étaient formels. Seuls les dieux devaient se mêler à cela. Il reporta attention au gardien.

"Gardien céleste du Premier Mobile. J'avais déjà eu l'occasion de voir cette armure sur une estrade parmi les autres armures célestes. Je ne veux pas encore connaître ton nom, je le saurai bien assez vite, quand ton heure sera venue de pénétrer en ces lieux. Ce n'est pas parce que tu as cette armure que tu peux pénétrer comme cela, aussi facilement, dans un lieu si divin. De nombreuses épreuves t'ont été soummises, mais l'ultime arrive seulement. Ne t'inquiète pas, ce n'est pas la plus dure. Mais la plus importante. Imagine-moi : je suis un spectre comme le juge que tu peux apercevoir là-bas. Je suis sur le point de te tuer. Et tu as la haine. Alors vas-y : laisse-la éclater et libère ton attaque la plus puissante. Si celle-ci est jugée assez puissante et céleste, les portes de ce royaume s'ouvriront, et tu entreras dans tes quartiers. Surtout ne fais pas attention à ce qui se passe là-bas, c'est une affaire pour les dieux. Les ordres ont été clairs, seuls les dieux s'en mêlent. Maintenant vas-y, n'aies pas peur de me blesser, déchaîne-toi ! Et bonne chance surtout."

Le gardien avait compris le message. Sans prononcer un mot, l'ange céleste le savait. Il était prêt à recevoir le coup et hâte de voir ce gardien dont le cosmos commençait à s'amplifier rejoindre son royaume et les rangs divins de Zeus, Artémis et Apollon.

Un arc-en-ciel fendit le ciel, des hauteurs interdites de l’Olympe, jusqu’aux lourdes portes, qui en gardaient jalousement l’entrée. Une pluie de couleur vint se répandre sur l’herbe verte et une jeune femme, armure vermeille apparut, dans l’explosion polychromatique. Ailée, elle était et sans avoir l'air de bouger, elle se déplaçait, comme portée par le vent, comme si elle n’était pas assujettie à la pesanteur des mortels, joug d’Ouranos.

Elle passa en voletant au milieu des deux chevaliers, en reproduisant de sa course folle les symboles de la vie éternelle et des infinies grandeurs. Elle jugeait les deux adversaires de son regard de feu et se garda bien de prononcer une parole. Un des deux sentait la puissance, que l’autre s’amusait à vouloir défier sans savoir vraiment ce qu’il pouvait bien s’en retourner.

Elle arrêta sa course soudain derrière le gardien céleste, nouveau venu dans le royaume de Zeus et lui lâcha dans le creux de l’oreille ces paroles ailées :

« Héraclès, nourrisson de Zeus… Combien de fois Hélios a t’il fait de voyages sur la voûte céleste avant que tes pieds ne foulent à nouveau la terre de ta naissance divine ? Combien de fois les hommes ont eu besoin de ta vigueur depuis que dans le sommeil profond des bienheureux, tu t’es assoupi dans les lits d’airain de la grand Olympe ? »

Iris changea alors d’oreille et ne quittait pas des yeux l’ange d’Apollon et d’Artémis.

« Ne va pas t’engager dans une bataille inutile alors que devant le puissant Assembleur des Nuées tu dois dans la seconde te rendre. Réfléchis avant d’agir et ne subit pas une nouvelle fois le joug de tes comportements insensés, qui t’ont valu plus de travail chez les mortels, qui par douze fois t’ont réduit à l’esclavage, que de repos parmi les immortels, chez qui tu as ta place pour la douce éternité auprès de la douce Hébé! »

Sur ces paroles, Iris jeta un regard de flamme à l’ange et dans un panache de couleurs disparut retrouver Zeus, dans le plus haut temple de l’Olympe.

Le jeune fils de Zeus écoutait attentivement Iris, qui lui lancait des phrases a l'oreille. Hercule était prêt a frapper l'Ange, mais il baissa son poing, le regardant d'un regard neutre, tout en réfléchissant sur le passé. Après toutes ces longues années d'esclavages, Héraclès ne voulait plus en subir cela, de peur de ne plus pouvoir revenir a l'Olympe a jamais, et d'être traîté comme un moin que rien. A ce moment là, la jeune femme disparut de son regard braise. Le regard d'Hercule vint se posé sur celui de Phanuel. Ses yeux n'étaient plus luisants, mais ils étaient remplies d'ardeur. Puis, par la suite, le gardien du premier mobile descida de continuer la conversation avec la personne se trouvant devant lui, et apparement, il devait avoir un grand sens de l'amusement. Bref, pour Hercule, se n'était que de l'idiotie. Sa voix d'un ton haut résonna dans les timpants de l'Ange.

Ecoute moi, Ange d'Apollon et d'Artémis. Je ne suis venu nullement pour me battre, mais pour retrouver ma place parmis les miens. Il y a d'autres choses plus importantes que de se battre. Alors excuse moi si je ne peux pas satisfaire ton amusement, mais tu devras trouvé une autre personne pour jouer a cela, car pour le moment, je dois annoncer a Zeus, Dieu de tout les Dieux, mon retour.

Hercule s'approcha calmement de Pahnuel, et arrivant juste en face de lui, il le regarda de haut, montrant son honneur a ces terres célèstes. Son regard n'était plus neutre, mais aggressif. Ainsi ce jeune homme voulait passé sans avoir a faire a celui ci, l'homme se trouvant a quelques centimètres de ses pieds.

Ange, je te prie de me laissé passé pour que je retourne au près des miens...

Lui dit il calmement, de sa voix calme et raisonante.

"Ecoute moi, Ange d'Apollon et d'Artémis. Je ne suis venu nullement pour me battre, mais pour retrouver ma place parmis les miens. Il y a d'autres choses plus importantes que de se battre. Alors excuse moi si je ne peux pas satisfaire ton amusement, mais tu devras trouvé une autre personne pour jouer a cela, car pour le moment, je dois annoncer a Zeus, Dieu de tout les Dieux, mon retour. "

Le gardien céleste s'approcha lentement de Phanuel. Prenant un ton hautain, il le dévisagea. Il voulait la faire paraître, mais aucune colère ne s'était installée en lui. Puis calmement, il prononça encore quelques paroles.

"Ange, je te prie de me laissé passé pour que je retourne au près des miens... "

L'ange céleste se recula quelque peu pour se retrouver à pied d'égalité de son frère d'arme. Il laissa échapper un petit rire, puis il joignit les mains l'une contre l'aytre, une aura de puissance deferla et les eaux venant de l'humidité fort concentrée du royaume de Zeus se rassembla derrière lui et formèrent une cascade grondant à des kilomètres. Le gardien s'était déjà mis en position de défense. Qu'est-ce qui pouvait pousser cet ange à être si agressif?

"Cette Iris. Toujours assez sympathique pour aider les nouveaux arrivants. Ravi de voir votre revenue, Hercule. De milles cieux, tu renaîs à présent. L'armée divine de la trinité augmente on dira. En tout cas, Bienvenue ici !"

La cascade forma cette fois une énorme bulle d'eau qui commença à tourner comme la Terre elle-même. Son rythme s'accèléra et elle alla s'écraser sur l'immense porte qui bloquait toujours au gardien l'accès au royaume divin. La porte résonna sous l'impact et un grinçement se fit entendre. Lentement, la porte s'ouvrit, laissant apparaître milles couleurs bleutées et divines. Le gardien s'apprêta déjà à avancer mais l'ange céleste tendit sa main devant lui.

"N'oublies pas ça. En cas de défis, garder son sang froid. Jamais je n'avais eu l'intention de me battre. Si tu m'aurais attaqué, j'aurais plutôt bloqué ton attaque. Cela m'aurait affaibli, mais pas tué. Le problème est que ta colère aurait fait de toi un être trop hostile pour ces lieux. Maintenant, libre à toi d'aller où bon te semble, le sang du grand Hercule coule en tes veines, ce royaume est celui de ton père, et tu n'en es que l'un des grands héritiers. J'espère bientôt te revoir."

Dans un éclair, l'ange déploya des ailes métalliques de son armure et disparu dans le royaume désormais ouvert à l'un des plus puissant gardien de ses portes...

Un léger sourir amical se dessina sur son visage. Hercule passa le seuil des portes, et son esprit commencait a être bercé par la douce musique qui parvenait dans ses oreilles, et par le doux parfum de la végétation. Maintenant, libre a lui d'aller où il en avait envie. Puis au loin, le temple de Zeus, qui n'était que plus que rayonnant dans les cieux. Courant sur les chemins de graviers, le jeune homme se dirigeait a grande allure a la demeure de son père, pour le rejoindre. L'armure d'Héraclès brillait des milles éclats du soleil, et sa chevelure dans le vent. Chaques mèches de ses cheveux se touchaient l'une contre l'autre, comme s'il on frottait une pierre avec une autre...

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