Le Dieu Soleil et le Surplis du Garuda

Alors qu'un Silence de Mort régnait devant les portes de l'Olympe, une Mélodie Symphonique retentit dans les airs, semblant venir de nulle part, et tombant sur les lieux comme une cascade de lumière. La symphonie prenait rapidement en puissance et en allégresse tandis qu'une douce chaleur imprégnait les lieux. Dans un crépitement de cosmos solaire surgit le Dieu aux cheveux flamboyants, incarnation de l'Astre du Jour et de tous les Arts. Apollon en personne venait d'apparaître en ces lieux, portant la Kamui Divine de Sunburn, et portant entre ses mains sa précieuse lyre, de laquelle émanait un cosmos propre et singulier, emplie de magie et de malice.

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Le jeune juge d'Hadés ne pouvait pas aller plus vite qu'Apollon, et surtout pas sur son propre territoire: l'Olympe. Mais le Dieu remarqua une chose étrange, un objet dégageait une puissance maléfique. Il s'en approcha rapidement, le cosmos maléfique de l'objet était en totale désharmonie avec le calme des lieux. Le Dieu Soleil venait de trouver le surplis du Garuda, et ses symphonies magiques encerclaient le surplis du Juge, comme une bulle de lumière. Le Dieu Soleil attendit avec patience.

Phanuel n'en pouvait plus. Cela faisait peu de temps qu'il avait retrouvé la vie et il n'avait pas encore pu s'entretenir avec son Dieu. Il rentrait donc maintenant en Olympe pour lui parler. La route avait été longue, le royaume des dieux n'étant pas si près. Puis, se rapprochant de plus en plus, il l'entendit. Cette mélodie si fine, si emplie de magie, si reposante, et si...familière. Puis, un immense éclat de lumière emplit de cosmos apparut et était visible à des milliers de kilomètres de là. C'était maintenant une certitude : Apollon était à l'entrée du royaume. Phanuel s'en réapprochait de plus en plus et maintenant y était aussi. Un troisième cosmos fit son apparition. Mais différents du cosmos paisible de l'ange et du Dieu. Un cosmos maléfique et empreint de noirceur. Il était maintenant sur les lieux de la scène. Apollon, portant la kamui de Sunburn, avait capturé un surplis, celui du Garuda. Phanuel vint se placer au côté d'Apollon et les observa.

"Cher maître, j'aurais quelques choses à vous demander mais je pense que ca attendra. Il y a une chose plus importante pour le moment : que fait là ce surplis et que voulait le spectre qui el portait? S'il n'a fait qu'une seule chose de mal dans ce sanctuaire je..."

Phanuel vit que le surplis du Garuda était comme emprisonné par l'étreinte du cosmos d'Apollon. Il ne pouvait suivre son maître qui était sûrement dénudé de toute protection. Phanuel sentait qu'un drame avait u lieu et il attendait impatiemment la réponse de son Dieu !

Apollon sentit arriver le doux Cosmos de Phanuel aux portes de l'Olympe. Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas vu l'intrépide Ange Céleste de l’Odyssée aux abords de la Montagne Sacrée, et son cœur se réjouit de ce retour. L’Ange semblait en pleine possession de ses moyens, et il semblait comme à son habitude prés à en découdre. Mais pour l’heure, Apollon s’évertuer à tisser une toile magique autour du Surplis Maléfique du Juge du Garuda, qui avait osé enlever et surtout offenser la plus chaste et la plus douce de toutes les Déesse, la chasseresse à l’Arc d’argent :Artémis. Et aux yeux d’Apollon, aucun blasphème n’était plus grave et plus déloyal, car à ses yeux, sa Jumelle représentait tout, sa Vie et son Amour. Phanuel pouvait sentir que le cosmos d’Apollon était plein d’amertume et de Rancœur, mais le Juge du Garuda serait bien obligé de passer par les Portes de la Montagne Sacrée pour espérer sortir de l’Olympe, car en effet, il n’y avait qu’une seule, et unique entrée au Domaine des Dieux, et rien ne semblait en mesure d’apaiser le courroux du Dieu des Arts pour l’instant. Le Soleil, habituellement si doux, se faisait implacable et agressif, alors qu’une aura de Lumière entourait le Dieu, de même que toute l’entrée de l’Olympe. Apollon inclina un instant la tête pour saluer le Guerrier du Ciel.

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Phanuel, je me réjouis de vous revoir en ces lieux Bénis. J’ai pour l’heure une tâche importante à accomplir, et je vous propose de pénétrer en Olympe et de m’attendre dans l’un des Temples Divins. Un des Juges d’Hadès a osé, dans son immense folie, lever la main contre votre Déesse, la douce Artémis, et je ne connais pas affront plus grave envers ma personne. Il devra répondre de ses actes !!

Le rempart de Lumière Céleste n’objecta pas de rejet contre le cosmos bien connu de Phanuel, imprégné de la Lumière Lunaire et Solaire. Le jeune Ange venait de faire son retour en Olympe, mais les temps semblaient plus que mouvementés pour l’instant, et Apollon était dans une colère que seuls les anciens textes mythologiques pouvaient décrire avec véracité.

Artémis avait regardé le juge se mettre à rire sans ciller, et sans même chercher à comprendre d'où lui venait cette ridicule réaction. C'était une certitude qu'il avait peur, elle pouvait aisément le lire dans le fond de ses yeux. Il l'avait offensée, et maintenant il prétendait qu'il en avait fait exprès? La déesse se doutait bien que ce maudit traité n'avait absolument aucune valeur, et cela la conforta donc dans l'idée qu'elle avait bien fait d'utiliser Naïa pour découvrir ses faiblesses. De cette manière, plus rien ne pouvait échapper à la déesse et dès qu'elle le jugerait bon, elle allait déverser toute son envie de vengeance sur sa pauvre âme de mortel. Il ne savait pas encore ce qu'offenser Artémis signifiait, et elle se ferait un réel plaisir de le lui apprendre. Tous ceux qui avaient osé lui manquer de respect avaient vu leur vie s'écourter considérablement, et elle doutait fortement qu'il n'en serait pas de même pour ce juge prétentieux. Il se croyait capable de défier les dieux de l'Olympe, mais quelque soit sa puissance, il n'en restait pas moins humain et faible, à la merci des colères des dieux...Il avait commis une grande erreur en croyant qu'Artémis serait magnanime, alors qu'elle ne supportait pas d'être insultée ainsi par un homme, race qu'elle avait toujours considérée comme inférieure et indigne de la grandeur de la femme.

Alors que le juge dictait une tirade qui fit soupirer longuement la déesse, il pensa son frère assez idiot pour envoyer toutes ses troupes pour la sauver. Si elle était naïve, ce dont elle doutait, lui était plus qu'ingénu. Il ne savait pas de qui il parlait, et il ne savait pas non plus la grandeur et la malice de son jumeau divin. Apollon savait sans doute qu'elle se débrouillerait pour punir cet impudent sans aide, et si jamais il parvenait à s'échapper, elle comptait bien lui faire ravaler ses paroles tôt ou tard. Si elle n'était pas en mesure de punir les irrespectueux envers sa personne tout de suite, elle savait très bien prendre son mal en patience pour que ses attaques soient encore plus terribles...Le regard aussi pénétrant qu'impénétrable, Artémis pouvait dès maintenant lire dans le coeur de ce mortel sans aucune difficulté et ainsi découvrir ses moindres failles...

" Impudent! Savez vous de qui vous êtes en train de parler? Apollon sait que je n'ai nul besoin d'aide face à un mortel aussi faible que vous. C'est donc vous qui êtes d'une naïveté que je trouve insultante...Mais c'est votre coeur qui vous perdra, car sans le savoir vous êtiez complètement à découvert devant moi, et j'ai pu lire tout ce que j'avais besoin de savoir sur vous et vos faiblesses. Vous n'êtes rien de plus qu'un livre ouvert dont je vais m'empresser de déchirer les pages fragiles..."

Le simple fait qu'il ose dire que sa 'mission' était terminée fit rire la déesse de manière presque silencieuse, mais cynique. Ainsi, il n'était pas envoyé par Hadès dès le départ, cela se voyait, étant donné qu'il enchaînait erreur sur erreur. Ce juge était une insulte pour tous les dieux, y compris pour celui des Enfers...Elle se demandait pourquoi Hadès avait la faiblesse de le garder à ses côtés alors qu'il n'était d'aucune utilité pour personne. Artémis savait qu'elle l'aurait depuis bien longtemps chassé de son royaume s'il avait été dans son royaume. Mais alors que le juge se croyait tout puissant, la déesse ne répliqua rien, le laissant croire qu'il pouvait ainsi vaincre tout le monde. Plus il se couvrait d'illusions et plus il serait facile à détruire, c'était bien connu. Il verrait bien ainsi à quelle point la 'naïveté' d'Artémis pouvait être destructrice et sans aucune pitié. Lorsqu'il lança sa ridicule attaque comportant des clones, la déesse entreprit de ne pas bouger d'une semelle. Elle n'oubliait pas du tout que le juge avait oublié son armure auprès d'Apollon, d'Hermès et de Théséus. Il serait donc contraint de revenir s'il ne souhaitait pas subir les colères d'Hadès...Et ce fut à ce moment là que la déesse de la chasse pu avoir un vrai sourire satisfait, alors que le juge avait fuit. S'il le croyait courageux, elle pouvait aisément briser à l'avenir la moindre de ses illusions sur le sujet...

Fermant les yeux, Artémis chercha à avoir à l'aide de son cosmos où se trouvait son frère, et s'il avait bougé de son royaume. Elle ne mis guère longtemps à découvrir qu'il se retrouvait aux portes de l'Olympe, et qu'il n'était pas seul. Cet énergie, la déesse de la Lune la connaissait aisément, étant donné qu'il s'agissait de celle de son ange, Phanuel. Cette nouvelle la fit sourire, mais elle se rappellait que l'heure n'était pas à la réjouissance mais plutôt à la vengeance vis à vis de l'offense que l'on venait de faire à la déesse. Elle ne pouvait pas laisser passer un tel acte, ce fut pourquoi elle fit apparaître son arc divin, objet favori de son armure dorée, et qu'elle ne tarda guère à rejoindre son jumeau, Apollon, et l'Ange Phanuel aux portes de l'Olympe. Sa lumière était toujours aussi douce, mais elle s'était faite plus forte, et cela parce que la déesse avait été offensée, et que sa colère ne trouverait la paix que lorsque que ce juge de pacotille aurait été puni.

Parvenant jusqu'à son frère, elle s'inclina légèrement avec tout le respect qu'elle lui vouait, souhaitant avant tout qu'il sache qu'elle allait bien et qu'il aurait ses explications s'il le désirait. Après tout, Artémis n'avait jamais rien dit au sujet des services que lui rendaient Naïa, pas même à son jumeau. Le moment n'était pas de s'en vouloir, mais elle était prête à répondre à n'importe laquelle de ses interrogations s'il le décidait. La déesse se tourna bien vite vers Phanuel, lui adressant un sourire, comme pour le remercier de sa venue.

Ange Phanuel, je me réjouis de votre venue. Cependant, il nous faut régler cette affaire seuls avec le seigneur Apollon. C'est pourquoi je vous sommes de retourner à mon temple et de nous y attendre."

La voix d'Artémis avait moins de colère, tout simplement parce qu'elle ne voyait aucune raison de s'en prendre à Phanuel. Cependant, elle tenait à ce qu'il exécute cet ordre, pensant qu'il valait mieux que son offense soit réglée par les dieux et ne mêle ainsi pas les Anges protecteurs des jumeaux divins. Elle se retourna ainsi vers son jumeau, lui montrant ainsi son arc, dont elle souhaitait se servir pour punir l'inconscient qui avait osé poser la main sur elle...

" Mon bien aimé Apollon, ce juge de pacotille m'a offensée et je réclame le droit à ma vengeance. Dussé-je me rendre dans les Enfers, je puis vous assurer qu'il n'emportera pas cette offense bien loin..."

Ce n'était pas la première fois que Phanuel voyait son Dieu dans cet état, plein de tristesse, de rancune et de colère. Il y a quelques temps maintenant, la déesse Artémis était partie à Athène, cité mortelle de la Grèce, pour s'y entretenir avec Athéna. Hélas, cette dernière et la déesse de la chasse avait été portées disparues et il fallut de longues semaines pour enfin se réjouir de leur retour. Phanuel avait été dans ces durs moments le seul compagnon d'Apollon et avait été seul pour ressentir tous ces sentiments de tristesse du Dieu soleil. Rien qu'à l'observer, Phanuel avait donc déjà deviné que tous ces sentiments avait rapport avec la déesse Artémis, soeur jumelle et divine du Dieu, et la colère emplit également le coeur de l'ange céleste. Il s'apprêta à parler mais Apollon prit la parole avant lui. Il lui annonca son bonheur de le revoir, mais également une nouvelle plus terrible : le juge du Garuda dont le surplis planait devant eux avait osé lever la main sur la déesse Artémis et avait commis l'un des plus terrible affront valable pour un Dieu, et surtout celui-ci. Mais chose encore plus étonnante, il ordonna à Phanuel de rejoindre l'un des temples de l'Olympe.

"Apollon, malgré tout le respect que j'ai pour vous, je ne vous obéirai pas sur ce point. Car si vous avez le droit de m'ordonner n'importe quoi, Artémis est avant tout ma déesse encore plus que vous même et je ne peux me permettre d'attendre son retour les bras croisés dans un temple. Seule sa venue et ses ordres pourront me faire partir d'ici. Ne voyez pas en ces paroles un acte de rébellion mais un acte de fidélité envers ma déesse. De toute façon, je suis même sûr qu'elle s'en sortira bien plus vite que l'on ne peut l'imaginer. Après tout, c'est une déesse de la sainte trinité, et les spectres ne sont que de piètres humains à la solde du pire dieu de l'Olympe."

Apollon sourit envers Phanuel, mais sa colère n'était en rien apaisée, et augmentait même en intensité. Les remparts du domaine céleste n'avait eu aucune réaction envers Phanuel, celui-ci étant encore bel et bien reconnu comme l'un de ses anges. Puis, un cosmos se fit ressentir dans tout le domaine. Un cosmos que Phanuel sentait familier, mais ressenti depuis si longtemps qu'il avait des doutes sur son identité. Mais l'expression d'Apollon ne laissait plus aucun doute sur l'identité du puissant cosmos. La déesse Artémis s'en était bel et bien sortie seule et elle avançait maintenant calmement vers le Dieu et l'ange dont des sourires illuminaient leur visage. Une lumière divine douce mais très puissante se dégageait de son corps divin. Sa colère, pas aussi intense que celle du Dieu soleil, se faisait néanmoins ressentir. Son entretien avec le juge ne l'avait pas laissée indifférente, mais ce dernier n'était présent nulle part. Seul son surplis émettait encore des bribes de cosmos maléfique. Celui-ci devrait pourtant refaire son apparition ici pour la récupérer, et elle ne serait pas des plus discrètes. Artémis s'inclina devant Apollon. Même familiers, les deux jumeaux se respectaient mutuellement. Le frère était bien rassuré de voir que sa jumelle était intacte. elle était en pleine forme, aucun évènement ne l'avait affaiblie. Elle se tourna vers l'ange, lui adressant un sourire chaleureux qui lui infligea une joie immense.

"Ange Phanuel, je me réjouis de votre venue. Cependant, il nous faut régler cette affaire seuls avec le seigneur Apollon. C'est pourquoi je vous sommes de retourner à mon temple et de nous y attendre."

Cette fois, l'ange céda. Rien ne pouvait lui permettre de s'opposer à la décision de la déesse. Il la connaissait trop bien ainsi que ses moments de fureur et ne souhaitait pas en subir de sa part. Elle avait prononcé calmement ses paroles, n'ayant ni rancune, ni amertume dans la voix.

"Hé bien, maintenant que vous êtes là saine et sauve, je ne peut m'opposer à vos ordres. Sachez néanmoins, que je suis vraiment désolé d'avoir du vous abandonner si longtemps. Je n'étais plus là dans les moments difficile, ainsi que pour votre frère, ayant été battu par un guerrier divin fourbe et lâche, n'ayant même pas obéi aux ordres de son propre Dieu. Maintenant, sachez que je suis tout à fait disposé à vous aider, et si vous avez besoin de moi, je crois que vous n'aurez pas grande difficulté à m'appeler."

Sur ces mots, les portes de l'Olympe s'ouvrire sans malice pour laisser Phanuel y pénétrer et rejoindre son temple, avec quand même un sentiment d'impuissance. Mais les dieux voulaient régler eux-mêmes cette histoire, et l'ange ne pouvait s'y soustraire.

Silfrid avait pris tout son temps et avait explorer tout les lieux et les contré de ce royaume, il avait décider de se balader et de visiter les temples...
Aprés cette promenade il décida enfin de partir du royaume... celui-ci semblaot etre hostile envers le jeune juge... il sentait que le dieu Apollon et Artémis l'attendait...

**Eh bien... moi qui penser que les dieux ne se laisser pas guider par leur émotions... il est si facile d'énervé un dieu que cela devient amusant... hahaha...**

Le jeune juge semblait incnscient... 2 divinité lui en vouler et semblait lui en vouloir énormément, le jeune juge ne semblait ni perturber ni toucher par cela...
son coeur et son poux batter normalement... il n'était pas fou, il s'avait trés bien qu'il ne pourrait vaincre un dieu... alors deux... cela était impossible. Mais il ne semblait vraiment pas inquiet... pourquoi?... même sans son surplis...

**La puissance d'Apollon et d'Artémis ne son pas négligeable... mais comparé a la puissance du dieu de la mort ces deux divinité ne sont rien... on dirait que j'ai bien fait de combattre le dieu de la mort ainsi que celui du sommeil... cela m'a montré le niveau des dieux...**

Le jeune juge avait deja subit la colère du dieu des enfers Hadès et il avait ressentie une puissance qui dépasser de loin celle des divinité présente qui l'attendait... et même s'il décider de venir en enfer il ne pourrai rien n'y changeai... car le puissant spectre du Balrog... le juge du Griffon, le Démon Samaël et Kazuki avait toute leur chance de terrasser deux divinité... a eux quatres leur forces était de loin supérieur a ces deux divinité qui semblait bien sur d'elles... plus le juge se rapprocher plus il sentait la cosmos énergie d'Apollon et d'Artémis qui semblait vouloir cacher leur colère du a l'insolence du jeune juge... mais il ne comprennait pas une chose c'est que Silfrid ne respecté personne... personne a part les enfers...

**Il semblerait que le dictons, disant que la vérité blesse soit vrai... il n'ont pas du supporter mon petit manège... je n'ai plus de temps a perdre ici, je dois prévenir Poséidon... j'espere que Myst fait sa part du travail...**

Le jeune juge arriva bientôt prés de la porte de l'olympe, avant de pouvoir sortir il vut le dieu Apollon avec sa terrifiante Cosmos énergie ainsi que la Déesse de la Chasse Artémis... ces deux divinité semblait attendre le jeune juge depuis longtemp... le juge regarda rapidement le dieu Apollon puis il se retourna vers Artémis.

"Salut Naïa..."

En regardant devant lui il vit le surplis du Garuda... son armure qui semblait etre entouré d'une force des plus puissante et impénétrable!!! le jeune juge regarda attentivement son armure puis il avança... non pas vers son surplis mais vers la sortie... en direction de la porte de l'olympe...

"Ce n'est pas mon Surplis, l'armure du Garuda est en enfers... avant de pénétrer ici j'ai enlever mon armure, une fois enlever l'armure se dirige immédiatement en enfers. Nous spectre ne nous embétons pas a porter ces pitoyable Pandora Box. les surplis des juge sont protéger en permanence par le dieu des enfers. Pour ne pas les mettre en danger, lorsque son porteur decide de l'enlever celle-ci se dirige et rentre directement en enfers..."

Le jeune juge arriva devant la porte et l'ouvrit... il mit le pied dehors et continua comme si de rien n'était.

"Ce n'est qu'une copie, un clone du Surplis. Car depuis le début je n'avait pas l'intention de combattre, je vous l'avait pourtant dit, j'aime prendre des risques.
A bientôt Naïa"

A l'instant même où le Juge du Garuda, dépourvu de son surplis, s'apprêtait à quitter l'Olympe, il fut repoussé par un puissant rempart de cosmos divin, généré par le Dieu Archer en personne. Apollon bloquait l’accès de l’Olympe, et aucune entité de l’Univers, qu’elle soit d’essence divine ou non, ne pouvait espérer traverser cette barrière de pure énergie. Phoebus Apollon semblait pareil à un météore qui paraîtrait en plein jour, mille rayons lui forment une auréole, et sa splendeur monte jusqu’aux cieux. Son charisme et sa prestance étaient sans pareil, et l'éclat de son regard terrible pouvait transpercer les os et la chair, les nuages et les ombres, et percer les secrets les plus mystérieux. Silfrid faisait partie des quelques élus, qui pouvaient admirer Apollon sous sa forme originelle, vision échappée des Temps Mythologiques et qui avait traversé les anges ancestraux, celui dont la colère passe comme une tempête précédée de sombres nuées.
Apollon ne souriait pas, bien au contraire, son cosmos qui, habituellement respirait l’harmonie et la bonté, reflétait désormais une personnalité machiavélique, ses yeux luisant d’une flemme éternelle et vengeresse.

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Bientôt le Dieu Solaire ferma les yeux, et entama une symphonie triste et accablante. La Lune et le Soleil étaient tous deux bien haut dans le ciel, illuminant de leurs rayons, glacials et suffocants tout à la fois, le pauvre fou qui crut pouvoir se jouer des Dieux. Apollon passait aux yeux des Dieux et des Mortels, et même aux yeux des habitants de l’Olympe, pour être un Dieu doux et bon. Mais les écrits antiques mettent en garde contre cette apparence douceur, car le fils de Léto pouvait se montrer d’une cruauté sans égale, dépassant de loin la Soif de sang d’Hadès, la Barbarie d’Arès et même la Cruauté Fatale d’Aphrodite. La Terre pouvait connaître l’Enfer si ses penchants meurtriers prenaient le dessus sur sa personnalité calme et harmonieuse, et de cet Enfer la, nul spectre ne pouvait espérer revenir. Il était capable de provoquer des épidémies de peste qui accablaient le monde des mortels en de terribles épidémies, ravageant des Royaumes entiers, et pouvait même, avec l’aide de sa sœur bien-aimée, massacrer de leurs flèches implacables des cités entières, punissant les pauvres déments qui avaient osé prétendre se hisser à leur excellence. La vrai Nature d’Apollon ressurgissait du fin fond des Ages, et il apparaissait alors pour la première fois depuis des milliers d’années tel qu’il était.
Apollon commença à égrainer une à une les Cordes Magiques et innombrables de sa Lyre, qui irradiait d'une cosmos et d'une volonté singulière, comme si elle fut tout à coup douée de Vie et animée d'une Volonté Propre. La Symphonie qu’il tirait de sa Lyre enchantée était aussi douce que la Mort, il ne s’agissait pas de n’importe quelle musique, mais bien d’un requiem, annonçant le destin funeste d’une âme, si souillée et abjecte soit elle. Le Dieu adressa quelques mots au jeune, si jeune juge des Enfers, dont la stupidité n’avait d’égale que la folie. La voix du Dieu résonna dans la tête de Silfrid, et celui ci fut touché par sa beauté et sa chaleur, elle était plus profonde que l'Océan, et c'était comme si l'Univers tout entier s'exprimer par la bouche du Maître des Muses. Le Requiem tombait sur le coeur du serviteur d'Hadés comme une pluie fraîche sur un lac profond et froid, et ce dernier ressentit alors l'étrange sensation qui s'était emparé de lui lors de sa premiére rencontre avec le Dieu.

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Crois tu pouvoir te jouer de ma Jumelle si aisément, Juge de l’Enfer. Depuis les Temps Immémoriaux, tous ceux qui ont offensé Artémis sont morts dans d’atroces et d’interminable souffrances… Le Royaume des Enfers te paraîtra bien agréable quand nous en aurons finit avec toi… Tu as commis le seul Sacrilège qui pouvait éveiller ma Colère Divine...

Le Dieu parlait tout en jouant de son instrument aux sons enchanteurs, et si Apollon était le Dieu de la Divination et de la Raison, il était également le Dieu de l’Harmonie Universelle et de la Vérité !!! Ainsi, ses Mélodies Mystiques avaient le pouvoir d’effacer les mirages, et de dissiper les illusions, aussi puissantes soient elles, car nul mensonge ne pouvait avoir prise sur lui, il incarnait La vérité, celle à laquelle nul ne peut échapper, et qui rattrapait toujours ceux qui veulent la dissimuler. En son Royaume, il ne craignait aucune ombre, les tromperies, duperies, si chères aux Spectres de l’Enfer n’avaient pas d’emprise sur sa personne.

Crois tu que tes misérables tours de passe-passe seront efficaces contre moi? Toutes tes illusions mensongères se dissipent face aux sons enchantés de ma Lyre Divine. Ecoute ton Requiem et laisse toi doucement bercer par ce prélude funeste, annonciateur de ton Destin!

Alors que les pathétiques illusions et autres clones du Juge se dissipaient, Apollon laissa alors l’initiative à celle qui pour lui représentait tout, celle qui donnait un sens à sa vie, et qui était plus douce que la Vie elle-même, celle qui, à peine venue au monde, aida Léto à mettre au monde son deuxième enfant, et dont les traits d’argent pourfendent ceux qui ont l’impétuosité de se défier des Dieux. Le coeur de Silfrid était à présent comme un livre ouvert, et Apollon sentait au fond de ce coeur noir et sournois l'amour, mais à present, cela n'avait plus vrément d'importance...

Alors qu'une barrière de cosmos venait d'être placée par Apollon lui-même afin d'ôter tout passage possible par la porte de l'Olympe, Artémis avait tout de même demandé à ce que son ange rentre à son temple et attende les jumeaux divins. Elle s'attendait bien entendu à ce que celui-ci souhaite les aider sans vouloir désobéir, mais il devait comprendre que sa décision serait sans appel. Dans d'autres circonstances, la déesse aurait accordé à Phanuel l'honneur de combattre à ses côtés, mais cette fois elle estimait que ce litige avec ce juge de pacotille ne regardait que son jumeau et elle en personne. Personne d'autre ne devait interférer, ou bien elle manquerait cruellement de patience et de pitié. Il ne fallait surtout pas se leurrer sur la nature aimable et douce de la déesse, car elle n'avait jamais porté les humains dans son coeur, elle n'était certes pas aussi magnanime qu'Athéna avec les humains. Elle s'en félicitait d'ailleurs, parce qu'elle connaissait désormais tellement bien la nature des mortels qu'elle savait qu'ils seraient tentés d'abuser de sa bonté. Cela avait été le cas pour ce juge qui s'était cru tout puissant...Mais il avait fait une grave erreur, parce qu'en souhaitant mettre soi-disant en place un plan qui devait faire s'effondrer la combinaison des deux jumeaux divins, il avait laissé une faille aux yeux de la déesse. Lorsqu'elle avait demandé à Naïa d'intervenir, elle ne pensait pas du tout que son plan réussirait et qu'elle découvrirait avec tant de facilité le point faible du juge. Cette faille n'était autre qu'une jeune femme pour laquelle ce juge semblait si décidé à changer le monde. Si jamais il s'avérait trop impétueux ou sûr de lui, Artémis saurait maintenant où frapper, et elle n'aurait plus aucune pitié pour cet humain se croyant plus fort que les dieux de l'Olympe eux-mêmes...

En écoutant patiemment les paroles de Phanuel, Artémis eut un mince sourire. Elle avait un peu trop tendance à oublier, dès qu'elle se voyait contrainte de punir un mortel, qu'ils étaient tous à éviter. Mais ses anges lui avaient prouvé maintes et maintes fois que la race humaine pouvait comporter quelques éléments privilégiés qui savaient la respecter et attirer ses bonnes grâces. Ils étaient très peu nombreux, c'était une certitude, et c'était pourquoi la déesse était d'autant plus bienveillante à leur égard, pensant que les récompenser savait montrer à quel point leur présence était rassurante pour elle. Artémis était pourtant réputée pour ne pas mêler mission et sentiment, et ses exceptions à cette règle d'or étaient très rares. Les seules et uniques fois où elle permettait à son coeur de s'exprimer, c'était lorsqu'Apollon avait besoin de ses lumières ou simplement de sa présence, de son aide. C'était le contraire pour l'heure, puisque c'était la déesse qui venait d'être offensée et non le dieu. Elle savait qu'Apollon ne laisserait pas les choses telles qu'elles étaient et c'était pourquoi elle l'avait rejoint dès qu'elle avait été en mesure de retrouver la chaleur de son puissant cosmos. Son jumeau était tout ce qu'elle pouvait encore se vanter d'aimer sur cette terre où tout était déjà dévastée par la folie humaine...

Alors qu'Artémis allait pouvoir parler à coeur ouvert devant son jumeau afin de lui expliquer les choses, le juge osa se présenter devant eux avec la même suffisance dont il avait fait preuve en l'enlevant. Décidément, il était bien fou de croire que les dieux allaient être magnanime en se présentant ainsi. La déesse sentait déjà la colère de son jumeau s'intensifier parce qu'il se mit à jouer, et Artémis ne fit rien pour l'en empêcher. Au contraire, elle s'interrogeait même sur la raison qui l'empêchait de bouger pour l'heure. C'était sans doute parce que la pureté de la mélodie d'Apollon avait touché son coeur de plein fouet une fois de plus...

Afin de reprendre ses esprits et de faire taire cet avorton de juge, Artémis se téléporta jusque devant la porte de l'Olympe afin de lui faire comprendre qu'il ne partirait que lorsqu'ils l'auraient décidé, et pas avant. Elle n'avait pas perdu de vue qu'il osait s'adresser à Naïa, celle qui lui avait offert l'opportunité de se réincarner, et cela non plus, elle ne pouvait décemment pas le tolérer. Afin de le faire taire, Artémis utilisa son cosmos divin pour propulser le juge contre une colonne et fit apparaître plusieurs chaînes afin de l'attacher à celui-ci. Cela allait sans dire que les chaînes en question n'obéissaient qu'à la chaleur du cosmos de la déesse, et qu'elle seule pouvait décider de le libérer. Or, elle n'avait pas la moindre intention de se montrer magnanime à son égard, souhaitant qu'il ne perde surtout pas de vue qu'il avait offensé une déesse, et que ce péché était normalement puni d'une mort subite s'agissant d'Artémis. Mais ils étaient en temps de guerre sainte, et la déesse ne pouvait pas se résoudre pour l'heure à faire souffrir ce mortel en le tuant si facilement. Il fallait qu'il paye avant pour réparer sa dette éternelle envers elle...

" Je vous croyais intelligent, mais il s'avère que je me suis fourvoyée...Vous n'êtes rien de plus qu'un humain faible qui souhaite se donner bonne conscience en se croyant plus fort que tous les dieux réunis...Vous souhaitez savoir pourquoi Naïa a agit ainsi comme cela avec vous? Parce que c'est un juge dans votre genre qui a assassiné de sang froid toute sa famille...Et qu'elle souhaitait faire payer à tous les juges la souffrance endurée. Vous allez donc devoir payer la dette éternelle de ce juge...Ainsi que votre cruel manque de respect envers les dieux. "

Artémis eut un sourire cynique afin de lui prouver que quoi qu'il advienne, les dieux seraient toujours plus puissants que lui et qu'il ne pouvait pas gagner. Elle n'avait pas perdu une seule miette des idioties qu'il avait proférées face aux actes de son frère, et elle eut un mince rire alors qu'il pensait que ses ridicules tours pouvaient les berner...Grave erreur de sa part. S'il y avait quelqu'un que personne ne savait berner, c'était Apollon, qui était également le dieu de la vérité. Alors qu'il continuait son requiem, Artémis s'empressa de resserer légèrement les chaînes pour qu'il sente que sa colère ne trouverait la paix que lorsqu'il se serait soumis à sa volonté divine. Pour le faire flancher, elle savait exactement quoi faire...Mais avant, elle voulait sentir dans son regard la douleur, non pas encore morale mais physique. Elle voulait que sa douleur soit sans fin, et après son corps, c'était son coeur qu'elle comptait marteler...Le tuer? Ce n'était pas utile...Mais elle s'arrangerait pour qu'il soit brisé...

" Puisque vous semblez si certain de votre puissance, je vais vous mettre à l'épreuve. Ainsi nous verrons si votre puissance est telle que vous la décrivez...Vous allez jurer de réparer votre faute et de vous soumettre au test que nous vous dicterons...Ou bien je m'arrangerais pour briser le marina de Poséidon auquel vous tenez tant...Eh oui, en vous confiant à Naïa, vous m'avez sans le vouloir ouvert votre coeur...Si vous ne tenez pas à ce que je la fasse souffrir jusqu'à ce qu'elle me supplie soit de la tuer soit de l'épargner, je vous conseille de céder...Ne mettez surtout pas ma patience à l'épreuve en pensant que je ne le ferais pas...Je vous l'ai dit, vous m'avez offensée, et tous ceux avant vous qui l'ont fait ne s'en sont jamais relevé..."

Avant qu'il n'ait pu répondre, Artémis ressera encore un peu les chaînes, cessant bientôt de sourire. Elle avait retrouvé son visage glacial, le même qu'elle avait avant de punir quelqu'un qui l'avait offensée ou s'était opposé trop violemment à elle...

Alors que le jeune juge s'appréter a franchir les porte de l'olympe il sentit une terrifiante cosmos énergie... la 1er fois qu'il avait rencotnré Apollon la force du soleil l'avait écraser... cela lui rapella cette fameuse quête... ou il avait uzé du pouvoir de son peuple pour voir a travers les rayon du soleil. Mais ce n'était pas le cas ici, Apollon semblait trés contrarier mais ne montrer aucun signe négatif sur son visage... le jeune juge regarda alors le dieu, celui-ci était munie d'une ravissante harpe. Puis une mélodie s'en suivit... elle était douce... complétement différente de celle du sphinx... on sentait que cette mélodie envoutais le jeune juge... alors que Silfird écoutait il fut surpirs par une cosmos énergie incroyable qui arriver vers lui... mais ce cosmso n'était pas une boule de feu ou une attaque...

"Darkness... Illu..."

Avant même que le juge ne puisse utiliser sa défense il fut propulsé sur un mur! le choc fut dur, car sans son armure pour le protéger son corp n'était pas a l'abris des coups.

**Impossible?... cela ressemble a de la psychotélékinésie.... mais ca ne l'était pas...**

Une chaïne suivit et l'attacha, Silfrid ne pouvait plus bouger, de plus il sentait que la puissance d'Apollon tenter de le frapper ou bien l'atteindre. Artémis l'avait frapper physiquement, peut-etre que Apollon lui visait son mental? car se sont les deux choses essentielle... Silfrid avait deja connu une telle puissance lors de son affrontement face a Hypnos... mais cette fois cela allait etre difficile de s'en sortire face a deux dieux... qui plus est en même temps...

"Je ne savais pas... qu'il fallait que deux divinité soit contre moi afin de me bloquer... a moin que vous ne voulliez ma mort, a quoi bon... la mort est mon domaine..."

la Déesse lança des paroles trés violente sur le juge il était vrai qu'il n'était qu'un idiot de 1er classe... mais c'est ce qui fesait de lui un humain... le dernier descendant du peuple d'Ivalice. mais elle fesait une erreur... car ceux qui avait tuer son peuple n'était autres que les dieux... c'est pour cela qu'il avait t'en haïs Zeus et Athéna... et qu'il voulait leurs mort, mais grâce au chevalier d'or du Capricorne il avait appris que le vrai pouvoir venait du coeur, et de la protection de celle qu'il chérisser... elle avait de nouveau raison le juge n'était qu'un humain et son manque de respect allait etre punis... respect?... il avait tenter de berner les dieux... peut-etre pouvait-il continuer?...

**Parfait... tout marche commeprévue... si je continue ainsi il pensseront que je suis le seul a me lever contre les dieux... cela permettra aux autres de mieux se préparer... je compte sur toi...**

le jeune juge était toujours attaché au mur avec des chaîne, il semblait bien plus solide que celle d'andromède. il regrdait toujours Apollon jouer de sa harpe ainsi que Artémis cherchait a le blesser.

"Le respect vous dite? si cela ne vas pas dans un sens... si les dieux prenne les hommes pour de simple objets... alors cela ne fonctionnera pas..."

le juge ferma les yeux afin de reprendre

"Si pour vous le respect doit etre lié au plus fort... si un monde ou les dieux possède cette envie de gouverné par la force... alors je pense... qu'il doit etre détruis... vous aurez beau vous acharner sur les humains, un jours il se retourneront contre vous et là vous ne comprendrez pas... si je vous ai manqué de respect aujourd'hui c'était uniquement pour vous faire perdre un temps précieux et j'ai réussi mais je ne serai sans doute pas le dernier, vous aurez beau vous acharner... vous ne pourrai contrôler le coeur des hommes.... Vous pourrez dire ce que vous voudrez de moi... mais au fond, j'ai tout de même réussi a vous maintenir éloigné du sanctuaire... Artémis, si tu pense que Naïa a fait cela pour me trompé, alors dit moi pourquoi tu la cache en ce moment en toi, pourquoi ne pas lui laisser me dire ce qu'elle a a me dire au fond d'elle..."

le juge ne tenter même pas de se libérer des chaîne, il ne d'éployer aucune cosmos énergie et aussi étrange que cela pouvait etre, il ne dégager pas de cosmos énergie négatif envers les dieux... comme 'il n'était venu ici que pour parler, il s'avait trés bien que les dieux ne pouvait affrontez en duel un humain a moin que celui-ci ne l'ai décider. La déesse reprs de nouveau la paroles... elle lui lança un défie...

**Un test pourquoi pas?... cela pourrait etre amusant...**

mais... il ne se douter pas de ces mots...

"Ou bien je m'arrangerais pour briser le marina de Poséidon auquel vous tenez tant...Eh oui, en vous confiant à Naïa, vous m'avez sans le vouloir ouvert votre coeur...Si vous ne tenez pas à ce que je la fasse souffrir jusqu'à ce qu'elle me supplie soit de la tuer soit de l'épargner,....."

La fin de sa phrase l'importait peu, mais ces mots fit réagir le jeune juge.
c'est alors qu'il déclancha une tempéte de cosmos qui brisa la chaîne, celle-ci tomba en miette a terre, elle était brualante suite a l'intensité de la frappe du juge! Silfrid avait la tête baisser et quand il la releva...

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"ARTEMIS, SI TU OSE NE SERAIT-CE QUE T'APPROCHER D'ELLE JE TE MONTRERAI A QU'ELLE POINT TON EXISTANCE EST UNE ERREUR! ET TU REGRETTERA DE M'AVOIR TROUVER SUR TON CHEMIN!"

De par la suite la cosmos énergie du juge diminua de nouveau... mais il fixait toujours la Déesse de la chasse avec une hargne sans limite.

"Puisque tu ainsiste je relève ton défie mais sache que j'en sortirai victorieux!"

Apollon écoutait avec attention les paroles, mais aussi les pensées, de celui que se croyait au dessus de tous, mais il n’en était rien. Le Maître des Muses se plaisait à lui laisser croire que c’était la nécessité qui poussait les deux divinités à s’allier contre lui, mais il n’en était absolument rien, une infime partie du Cosmos de la Divine Chasseresse suffirait à lui faire endurer les pires tourments. Le laisser dans cette conviction illusoire était amusant, tant cela était pathétique… C’était bel et bien la Vengeance qu’Artémis et Apollon voulaient exercer sur le pauvre Spectre, et ils comptaient bien en profiter, car tous ceux qui s’étaient mis sur leur chemin avaient connu un sort tragique, et les Jumeaux Divins se plaisaient à exercer leurs courroux ensemble, car tel était leur bon vouloir.

Que crois tu savoir du respect, Juge de l’Enfer, toi qui ose pénétrer dans le Temple de la Raison et de tous les Arts, toi qui use de tes pouvoirs maléfiques dans mon domaine Béni, toi qui a posé la main sur celle à qui je dois tout ? Tu ne sais rien du respect !!!

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Si pour vous le respect doit être lié au plus fort... si un monde ou les dieux possède cette envie de gouverné par la force... alors je pense... qu'il doit être détruis... vous aurez beau vous acharner sur les humains, un jours il se retourneront contre vous et là vous ne comprendrez pas... si je vous ai manqué de respect aujourd'hui c'était uniquement pour vous faire perdre un temps précieux et j'ai réussi mais je ne serai sans doute pas le dernier, vous aurez beau vous acharner... vous ne pourrai contrôler le coeur des hommes.... Vous pourrez dire ce que vous voudrez de moi... mais au fond, j'ai tout de même réussi a vous maintenir éloigné du sanctuaire... Artémis, si tu pense que Naïa a fait cela pour me trompé, alors dit moi pourquoi tu la cache en ce moment en toi, pourquoi ne pas lui laisser me dire ce qu'elle a à me dire au fond d'elle..."

Nous n’avions nullement l’intention de rejoindre le Sanctuaire Terrestre sur l’heure pauvre fou !! Vois comme tes pauvres raisons d’agir sont dérisoires… Apprends que nous ne souhaitons aucunement contrôler le cœur des Hommes, petit spectre qui croit connaître les désirs des Dieux ! Les mortels sont depuis longtemps perdus à nos yeux, l’amour et la compassion qui occupait jadis leur cœur ont laissé place à la haine, à la traîtrise et à la fourberie.

Apollon continuait de jouer de son instrument sacré, chaque note de son Requiem Funèbre résonnait dans toutes les dimensions du Multivers, vibrant littéralement de Magie et emplissant chaque parcelle de la Montagne Sacrée d’une douce mélancolie. Dieux, Anges et Archanges, Guerriers Sacrés et Gardiens Célestes et toutes les Nymphes de l’Olympe pouvaient entendre les Mélodies Symphonique générées par la Lyre Enchantée, qui se déversaient sur leurs cœurs immortels comme une traînée de neige scintillante. Car cette fois ci, le Requiem n’était plus chaleureux, mais aussi glacial que la colère qui couvait dans le cœur du Dieu Soleil. Il prit rapidement en intensité, et en rythme, alors que les notes se faisaient plus agressives, plus violentes… Mais la vraie personnalité du Dieu des Muses prenait doucement le dessus sur son tempérament calme et raisonné, et bientôt, la folie du Juge de l’Enfer éveillerait l’un des tempéraments les plus sombres que connaissait la Galaxie. Déjà dans les temps Mythologiques, Apollon se livrait à de véritables abominations, écorchant vif les Satyres de Dionysos qui prétendaient le surpasser en qualité et en adresse avec leur flûte… Car quand Apollon s’éveillait à la colère, nulle force au Monde ne pouvait le ramener à la raison…

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Tu oses encore proférer des menaces contre Artémis !?! Tes faibles talents ne peuvent rien contre la Lumière des Astres Célestes !!

Sa voix se fit encore plus oppressante, plus éternelle, comme si des milliers de personnes parlaient en même temps que le Dieu, elle semblait provenir de toutes les directions, elle était l’eau qui coule dans les ruisseaux, elle était l’air que le Juge respirait, elle était la Lumière qui illuminait son visage. Pourtant, elle ne laissait paraître aucune rancœur, elle était n’était qu’Harmonie. Silfrid s’évertua à déchaîner une tempête de cosmos maléfique, abominable et ténébreux, mais un tel déploiement de force n’était qu’une faible lueur face aux pouvoirs sans fin du Dieu de l’Eternel Eté. Contre toute attente, l’un des maillons de la Chaîne d’Artémis se brisa, brûlant littéralement sous la chaleur provoquée par le serviteur des Enfers. Mais bientôt les cordes de La Lyre Sacrée s’étirèrent comme des serpents rageurs, et s’enroulèrent avec fureur autour du corps du malheureux. La corde de Sol, d’entre toutes la plus chère au Dieu Musicien, s’enroula autour de la gorge du Juge, bloquant un temps sa respiration, l’amenant peu à peu vers un supplice sans fin. Car si les cordes de la Lyre Divine d’Apollon étaient magiques, et douées d'une Volonté propre, elles vibraient également d’un éclat éblouissant sous l’impulsion du Requiem, dirigé par les mains expertes du Dieu vers son paroxysme mortel. Bientôt, les liens se desserrent juste suffisamment pour permettre au petit Juge de respirer, et tout simplement de s’exprimer. Ce qui marqua le plus Silfrid était qu’Apollon gardait toujours le même sourire triste et serein, alors que son cosmos n’était que sourde colère. Le masque de la bonté était sans doute l’arme la plus dangereuse et la plus sournoise du Dieu, et le dernier membre du peuple d’Ivalice s’en rendait compte à présent.
Le Jeune Juge allait devoir prouver sa Valeur et son Intelligence, lui qui semblait si prompt à se venter de ces qualités, si peu répandues dans les dons des Mortels.

Apollon commençait réellement a énervé le jeune juge... ces paroiles était érronés il avait enlever Artémis devant ces yeux... mais ce n'était pas la Déesse... il s'agissait d'une jeune femme qui appelez a l'aide... ce dieu ignorez t-il que sa soeur posséder une âme humaine?...
Apollon étonna Silfrid concernant ces rapport avec le sanctuaire... il n'avait pas l'intention de l'aider, mais pourquoi?... cela signifier de la peur de sa part... ou bien ne voulait-il tout simplement pas prendre part a la guerre... Le dieu se mit de nouveau en colère!! cette fois ces phrases était beaucoup plus forte!

Tu oses encore proférer des menaces contre Artémis !?! Tes faibles talents ne peuvent rien contre la Lumière des Astres Célestes !!

Le jeune juge se révoltat alors! il serra le poing et fit un pas serrain comme s'il allait lui lancais une attaque...

"Ah oui alors on va vérif..."

Le temps s'arreta net... Silfrid ne put finir sa phrase et il ne voyait plus rien bouger... les deux divinité était toujours devant lui immoblie...

**Qu'est-ce qui se passe...**

**~Eh bien... je viens encore de te sauver la vie on dirait...~**

**Séraphon... encore toi! je croyait que ton âme avait disparut de mon corp! pourquoi m'a tu empécher de le tuer!**

**~Je ne disparaitrait pas de toi tant que tu fera des erreurs... pauvre fou tu ne sais donc pas a qui tu t'adresse! il s'agit d'un dieu! le même qui a détruit ton peuple!~**

**Je maitrise le jugement d'Ivalice et l'étoile d'Alcyone me protège! je n'ai pas peur de... ~Pauvre Idiot! ne crois tu pas que ton père posséder également cette attaque et que malgrés cela il a perdu!~

Je...**

**~C'est vrai tu est fort et certainement le plus puissant etre humain, mais comparer a un dieu tu n'est rien, on ne compare pas un dieu et un mortel! quand vas-tu comprendre que tu n'es pas de taille!~**

**Ksssss.... alors toi qui est si malin.... dis moi comment m'ensortir...**

**~Il ne te reste plus qu'a t'excuser...~**

**Quoi!? alors la pas question! je ne m'abaisserai jamais a cela! tu m'entend Séraphon**

**~Alors laisse moi le faire pour toi...~**

**Comment?....**

**~Ecoute, j'ai promis a ton père de te protéger quelque soit les circontances et t'es choix, alors mantenant si tu ne veux pas t'excuser je le ferai a ta place!~**

**Séraphon attend! je....**

Le temps repris son cour normal comme si de rien ne s'était passer, la discution du juge et de son gardien fit tellement rapide que le temps ne semblait pas avoir bouger! le jeune juge baissa la tête... sa cosmos énergie était au plus bas... et lorsqu'il réouvrit les yeux... tout était redevenu normal... son visage également était de nouveau redevenu paisible... Séraphon avait pris pour un petit moment l'orgueil du juge...
Silfrid s'approcha du dieu et inclina la tête...

"Pardonnez-moi dieu des Arts... je n'aurais jamais du porter la main sur votre soeur... je vous demande également de pardonnez mon insolence Déesse de la Chasse se que vous aviez dit s'avérer exacte, vous etes la seul en posseson de ce corp. je suis en tort et je n'aurais jamais pensé que cela irai si loin. Cette entrevu n'a que trop duré, j'ai compris que l'on ne pouvait comparer un dieu et un mortel..."

le jeune juge porta de nouveau son regard vers la Déesse

"Si vous n'acceptez pas ces excuse je comprendrai et me soumettrai a votre jugement ou a votre teste, tout en y mettant tout mon coeur"

**Séraphon quand tout cela sera terminer je te demanderai quelque petit détails qui m'échappe... mais pour l'heure je m'occuperai de l'épreuve ou du jugement car je suis de loin plus puissant que toi...**

Artémis était restée stoïque, parfaitement silencieuse, se contentant de sonder ce que le juge avait au fond de son âme noire de juge des Enfers. Ainsi, il avait décidé de se jouer des dieux et de se croire au dessus de leur divin pouvoir, c'était bien une erreur de mortel, et il n'y avait rien de tel pour amuser la déesse vengeresse. C'était tellement pathétique que cela lui donnait envie de rire aux éclats. Mais cela dit, l'heure n'était pas aux rires, et ce jeune mortel méritait non pas sa bienveillance mais une punition divine. S'il n'y avait pas eu de guerre sainte, la déesse n'aurait eu aucune pitié et aurait tué ce prétentieux avorton. Cela dit, comme le lui faisait justement remarquer la jeune Naïa dans son for intérieur, les heures sombres allaient bientôt se développer et il valait mieux éviter de provoquer Hadès en tuant l'un de ses juges. Cela dit, si elle ne comptait pas le tuer en ce jour, elle savait que son tour viendrait tôt ou tard et que sa vengeance n'était qu'une question de temps. Habituellement, Artémis punissait sur l'heure ceux qui avaient osé poser la main sur son divin corps ou ceux qui avaient bafoué son rang de déesse. Mais il arrivait également qu'elle prenne son mal en patience pour faire éclore une vengeance encore plus éclatante. Ce serait bientôt le cas, et ce dès que la guerre qui opposait Hadès à son camp serait terminée. Artémis comptait attendre le temps qu'il faudrait tant que l'humain payait cet affront qu'il lui avait fait...

Alors qu'elle avait fermé les yeux un instant pour reformer des chaînes et ainsi attacher les pieds du jeune juge pour l'empêcher de faire un seul geste, elle soupira lentement en entendant les paroles stupides qu'il proférait. Non seulement il était stupide, mais en plus il tenait à le rester. C'était non plus pathétique, mais incompréhensible. Il y avait des millions de moyens pour gâcher sa vie, et il choisissait le pire qui était...Il gâchait sa vie pour ne rien pouvoir faire en fin de compte, à part créer sa propre mort prématurée. Artémis n'avait jamais eu beaucoup de pitié pour ce genre de personnage ridicule, mais cette fois, elle comptait en avoir encore moins. Elle cachait sa colère pour éviter que son frère ne déchaîne la sienne. S'il n'y avait pas cette maudite guerre, ce juge de pacotille serait mort depuis longtemps...Et cela l'agaçait presque de ne pouvoir assouvir sa soif de vengeance. C'était bien la première fois qu'elle se retrouvait bloquée de cette manière, mais elle craignait fortement ne pas avoir le choix. Soit elle cédait en refusant de le tuer purement et simplement, soit elle s'attendait à subir seule les foudres de Hadès. Ce serait un cruel manque de discernement de la déesse et elle ne tenait pas à ce que son frère en fasse les frais. Pour le moment, elle allait tenter de calmer sa rage vengeresse, mais elle se jurait intérieurement qu'elle n'aurait de répit que lorsque le sang de cet humain aurait coulé jusqu'à la dernière goutte. Il ne pourrait jamais se cacher, car où qu'il soit, elle ferait en sorte de le trouver et de déverser la lumière meutrière de la Lune. Ce temps viendrait bientôt, elle le sentait.

* Dame Artémis, croyez moi...Faire couler son sang vous déservira plus qu'autre chose. Je suis certaine que votre frère compte plus à vos yeux que votre envie de vengeance envers cet humain. *

* C'est une certitude Naïa...Mais crois moi, cet humain paiera, tôt ou tard. Je ne retrouverais ma paix de déesse que lorsque je l'aurais tué de mes propres mains...Je ne tiens plus à mêler Apollon, cela me regardera seule. Et si Hadès souhaite m'en empêcher, je serais presque tentée de déchaîner ma propre colère contre lui. *

* Une fois que cette guerre sera finie vous pourrez faire comme bon vous semble...Mais ce que vous pouvez déjà faire, c'est envoyer un message au Seigneur Hadès pour qu'il envoie un émissaire récupérer cet avorton de bas étage...S'il refuse ou qu'il ne fait rien, cela vous donnera l'occasion de le tuer sans aucun scrupule...*

Naïa disait vrai, ce serait tout à fait légitime et Hadès se retrouverait coincé s'il refusait. Artémis eut soudainement un sourire cynique et rouvrit les yeux, laissant apparaître deux pupilles azurs brillant avec une virulence que personne ne connaissait chez elle. En tout cas, ce qui avait eu l'occasion de voir un tel regard n'étaient plus là pour le décrire. C'était synonyme d'une intense colère chez la déesse, et la preuve que sa vengeance aurait bientôt lieu. Au diable ce qui adviendrait d'elle, un dieu ne peut être offensé sans répliquer, et il était plus que temps que ce juge de pacotille en prenne conscience. De plus, la déesse sentait au fond de son âme que Naïa trouverait toujours l'idée divine pour éviter tout faux pas fâcheux quant à la guerre qui se préparait. Ce n'était pas pour rien qu'elle l'avait choisie elle, c'était sans doute parce qu'elle avait toujours été supérieure aux autres, et qu'elle le lui prouvait toujours un peu intensément. Cette humaine était comme une nymphe chasseresse, mais sans s'en rendre vraiment compte. Un jour prochain viendrait où Artémis martérialiserait Naïa pour lui rendre sa liberté, et cela afin de la remercier de l'aide qu'elle apportait chaque jour à la déesse. D'ailleurs, elle ne pensait pas qu'Apollon s'y opposerait lorsqu'elle lui conterait ce que cette humaine sans aucune prétention avait déjà accomplit pour la déesse.

Alors qu'Artémis sentait la colère d'Apollon monter en intensité de seconde en seconde, elle se décida alors à agir. Elle fit apparaître d'autres chaînes grâce à son cosmos, et celles-ci se firent tellement nombreuses pour clouer le juge au pilier qu'il ne pouvait pas faire le moindre mouvement. Elle eut un léger rictus satisfait une fois qu'elle fut parvenue à le maintenir immobile. Ainsi, si Hadès refusait de le faire emmener par un de ses serviteurs, la déesse était certaine qu'elle prendrait un malin plaisir à le faire souffrir avant de le renvoyer dans les fins fonds de l'Enfer. Mais avant cela, Artémis posa une main rassurante sur l'épaule de son frère, souhaitant qu'il se calme. Son regard en disant long sur ce qu'elle pensait, mais pour l'heure, elle voulait qu'il comprenne que cet imbécile de mortel ne méritait nullement le cosmos divin et merveilleux du Dieu de la Lumière. la vengeance viendrait bientôt...Et même plutôt que tout un chacun ne pouvait le penser.

* Mon frère...Ce mortel ne mérite que votre mépris, rien de plus. Je vais ordonner à Hadès de venir le faire chercher pour éviter d'envenimer les choses quant à la guerre qui se prépare. Je ne tiens pas à ce que vous souffriez à cause de cet avorton. Croyez moi, notre vengeance surviendra très bientôt, je m'y engage...Si jamais Hadès refuse d'envoyer quelqu'un, alors il sera à notre merci et cette vengeance sera tout à fait légitime. *

Ce message mental était non pas dicté violemment, mais avec une douceur dont Artémis n'était capable qu'avec Apollon. Il avait toujours été le réconfort pour elle, la patience et la douceur même. C'était pourquoi elle lui vouait un respect et un amour sans faille. Mais ce lien, aucun mortel, juge ou même dieu ne pouvait se vanter de le comprendre. Elle enleva rapidement sa main de l'épaule de son frère et lui fit un véritable sourire avant de se tourner de nouveau vers le jeune juge, reprenant par la même occasion son visage impassible et glacial. C'était les seules expressions de la déesse qu'il méritait de toute évidence.

" Sachez que Naïa refuse d'user de la salive pour un minable petit mortel comme vous l'êtes. Et je n'accepte pas vos excuses, sachez le. Je ne vous fait rien pour le moment, parce que je tiens à ce qu'Hadès s'occupe de votre cas lui même. Je vais me charger de lui envoyer un message mental afin qu'il envoie quelqu'un pour nous débarasser de votre détestable présence. Néanmoins, sachez que s'il ne répond pas, je me chargerais personnellement de vous tuer. Et la souffrance que vous ressentirez sera pareille à celle des Enfers, vous pouvez aisément me croire. Si jamais il décide d'avoir pitié de votre misérable existence, alors sachez que dès que la guerre aura pris fin, je n'aurais de répit que lorsque votre sang aura coulé jusqu'à la dernière goutte. Vous n'aurez nul endroit où vous cacher, je vous retrouverais pour accomplir ma vengeance. Et ma sentence sera sans appel...Inutile de chercher ma bienveillance, vous ne la méritez aucunement, misérable mortel...Les humains n'ont aucunement leur place dans mon coeur. "

En dictant ses paroles, Artémis était passée par diverses émotions, passant de la rage à la satisfaction en un labs de temps très court. Ce qui prônait, c'était l'envie de vengeance, et surtout l'envie de faire comprendre à ce misérable juge qu'il n'avait guère d'avenir sur cette terre, et que son destin était désormais entre les mains de la déesse. Cela lui apprendrait sans doute à ne plus se jouer des dieux...Mais cela dit, Artémis ne comptait pas lui laisser le temps de réparer ses erreurs, elle le détruirait avant, elle s'y était engagée.

* Seigneur hHdès, je suppose que vous m'avez entendue étant donné que votre puissance s'étend de plus en plus...Alors si vous m'avez bien comprise, je vous suggère vivement de venir chercher cet avorton de mortel avant que je ne sois possédée par l'irrésistible envie de vous en débarasser...Je vous laisse libre choix quant au messager que vous enverrez...Mais ne tardez pas, ma patience a ses limites, vous le savez certainement. *

Alors que Silfrid avait décider de combattre les dieux, l'esprit qui avait disparut en lui avant la bataille du sactuaire était réaparut... Séraphon... Un guerrier qui avait décider de sacrifier son existance a aider le jeune prince d'Ivalice a devenir un grand guerrier, et a ne pas gaché sa vie si précieuse... il était le dernier homme au sang pur d'Ivalice... peut-etre aura t-il un jour l'occasion de se marier et d'avoir un sucesseur... mais son fils ne pourra jamais etre comme lui, car aucune femme ne possède se sang divin... car en effet même si Silfrid l'ignorait... son père, le grand roi d'Ivalice était le fils de Zeus...
ce qui fesait du jeune juge un demi-dieu... Pourtant... cela semblait évident, car d'aprés la Mythologie, les 3 Juges des enfers n'étaient autre que des demi-dieux... des étre inferieur au dieux, mais supérieurs au hommes...
Artémis ferma les yeux... celle-ci semblait réfléchir avec Naïa... mais cela n'était qu'une supposition, car elle mis un certain temps avant de répondre d'un ton agressif...

" Sachez que Naïa refuse d'user de la salive pour un minable petit mortel comme vous l'êtes..."

"Me..."

**Mensonge!... ~Silfrid arrete j'ai failli lui cracher le mots!!! tu veux mourir ou quoi!!?~**

**Elle ment c'est évident. ~Comment ça? comment peut-tu en etre sûr?~**

**C'est simple... Naïa n'aurait pas risqué sa vie pour moi s'il elle me detester... ~Silfrid, on en reparlera plus tard, maintenant n'essaye plus de parler devant moi~**

La déesse de la chasse décida d'enfermer de nouveau le jeune juge avec des chaîne, beaucoup plus nombreuse mais plus fine... elle voulait obligé Silfrid a souffrir... mais il en fallait plus pour qu'il s'avoue vaincu... ou qu'il fasse mine de souffrir...

**Alors Artémis on veut faire joue-joue, bien je vais détruire ces maudites chaîne et on en reparlera plus... Yahhhh!!!....

Pourquoi?... je n'arrive pas a... Séraphon!!! qu'est-ce que tu fou! pourquoi ne me laisse tu pas détruire ces choses! ~Je te l'ai deja dit laisse moi faire!~**

le jeune juge fit mine de souffrir... et même s'il était mauvais commédien, ca avait l'air de fonctionner... mais hélas pour lui Séraphon souffrait terriblement... il n'avait pas les même pouvoir que le juge lui permettant d'amoindrir les chocs...

"Et je n'accepte pas vos excuses, sachez le. Je ne vous fait rien pour le moment, parce que je tiens à ce qu'Hadès s'occupe de votre cas lui même. Je vais me charger de lui envoyer un message mental afin qu'il envoie quelqu'un pour nous débarasser de votre détestable présence..."

**Hmmm... tu te trompe lourdement... si tu cois que sa Majesté Hadès m'en voudra, alors tu ne connais pas aussi bien le sombre monarque...**

"...Néanmoins, sachez que s'il ne répond pas, je me chargerais personnellement de vous tuer. Et la souffrance que vous ressentirez sera pareille à celle des Enfers, vous pouvez aisément me croire. Si jamais il décide d'avoir pitié de votre misérable existence, alors sachez que dès que la guerre aura pris fin, je n'aurais de répit que lorsque votre sang aura coulé jusqu'à la dernière goutte...."

**Les enfers... tient tient... un grand mots mais cela n'a pas d'importance... elle oublie que je suis le plus puissant des spectres et que les enfers ne sont rien comparer a mes pouvoirs... ce n'est pas pour rien que je suis le juge de la supériorité... ainsi tu veux ma mort... oui... c'est logique car je veux également la tienne...**

Vous n'aurez nul endroit où vous cacher, je vous retrouverais pour accomplir ma vengeance. Et ma sentence sera sans appel...Inutile de chercher ma bienveillance, vous ne la méritez aucunement, misérable mortel...Les humains n'ont aucunement leur place dans mon coeur.

**Me cacher?... pourquoi je voudrais me cacher... c'est plûtot toi qui... ~Silfrid arrete de parler je n'arrive pas a réfléchir!~ Séraphon, si tu crois que c'est drôle d'avoir une âme qui s'interpose a tout moment! Mais au faite, si tu es la depuis le début... alors tu as vue que... tu était dans mon corp quand... tu en a profité pour embrasser Sophitia! je vais te tuer Séraphon! ~Silfrid arrete t'es gaminerie, c'est vrai que j'était présent en toi... mais je te jure je n'ai rien fait a ta bien aimé.~ Bon... terminons vite que je te trouve un corp... car je commence a douter de toi... ~Si tu crois que ca m'amuse!..~ Je te signale que c'est mon corp et que ~Attend... tais-toi 2 minutes...**

Silfrid sentit lui aussi une présence... une puissante cosmos énergie qui s'approcher par ici... il s'agissait d'un spectres... sa puissance était de loin supérieur a la normal, cela ne pouvait étre le Démon Samaël... mais alors qui?... peut-etre était-ce le spectre du Balrog?... en tous cas le dieu des enfers semblait avoir entendu le message de la Déesse de la Chasse, et il avait agit rapidement...

**Hadès... il me tarde de vous revoir...**

Le jeune juge baissa la tête... Silfrid avait repris tout pouvoir sur son corp et s'avait que bientôt il retournerai en enfer... mais pas avant d'avoir signaler se qui ce passait ici au dieu des océans, le nouvel alliée des spectres... le guerrier divin n'allait également pas tarder a venir rencontrer de nouveau le juge... il avait fort a faire aillleurs... tout a coup une douleur le frappa sur l'épaule droite...
en regardant son épaule il vit que celle-ci saignez... les chaînes semblais l'avoir toucher... Séraphon n'avait pas eu le pouvoir de se protéger...

**Eh voila... je savais que ca finirai comme ça...**

en regardant plus bas il vut sa main gauche... et cette objet qui lui fit toute suite rapeller de bon moment... ce moment ou il avait manger un délicieux repas au coté d'une ravissante demoiselle...

**"~~Kazuki, heu je veut dire silfrid. J'ai quelquechose specialement pour toi.~~"**

**"~~A bon et quel est cette chose spécialement pour moi?~~"**

**"~~Voila se que voulais t'offrir.~~"**

Une gourmette en or massif... ou il y avait inscrit...

KAZUKI SILFRID

**Bon... trés bien... il est temps de quittez ces lieux... il me tarde deja de revoir mon domaine...je t'attend... Haka...**

Quelle situation pathétique, se faire bannir du domaine sous marin par des être qui se disent supérieur. Oui, les dieux des océans se prenaient vraiment pour des êtres au dessus de la norme, au dessus même des autres dieux. De plus, ils s’étaient alliés avec le monarque des enfers, Hadès. Mais la générale de l’hippocampe n’en revenait pas elle-même car elle c’était fait bannir du royaume pour des décisions arbitraires. Certes elle voulait éliminer le mal par sa source en supprimant le seigneur des fonds marins. Mais seule, elle ne pouvait rien faire car elle n’était qu’une simple générale. Certes, elle faisait partie de l’élite des marinas, mais ce n’était pas une raison suffisante pour un dieu de juger ses serviteurs. Si cela se trouvait, elle n’aurait peu être pas du utiliser la provocation sur un dieu, mais cela était plus fort qu’elle. Elle avait refusé de s’agenouiller devant lui et c’était montrer avec une tenue qui n’était pas normal en tant que générale. Evidement, elle aurait peu être dû porter son armure mais cela semblait inutile en tant de paix. Une paix certes provisoire, mais une paix. Alors à quoi bon porter des artifices qui ne servent qu’à une seule chose, la destruction. Certes, les armures son des protections efficace mais si ses objets servent à tuer des innocent, cela serait inutile. Mais a quoi bon se soucier de cela car ce ne sont pas les armures qui tuent mais les personne possédant ses armures. Si la personne possède une âme pure, cela serait surement un bienfait pour le monde mais si une personne utilise cette armure pour le mal de l’humanité, cette personne est forcement avec une âme impure ou alors cette personne est manipule par un dieu et le sert comme une poupée. Mais tout les chevaliers, ou quasiment tout les chevaliers servent aveuglement leurs dieux. De temps a autre, cela est fort bien tel que les chevaliers d’Athéna qui se battent pour la justice, mais a contrario les spectres d’Hadès se battait plus pour la destruction et la désolation.

Suite à son bannissement temporaire, la générale était passée quelques instants à son pilier pour récupérer ses dernières affaires telles que son armure dans sa Pandora Box ainsi que quelques affaires personnelles. Elle avait fait un dernier adieu à ses dames de compagnie ainsi qu’a sa confidente, Anna la sirène. Cela ne l’avait pas particulièrement émue car elle était sure qu’elle reviendrait un jour au l’autre dans son domaine et qu’elle pourra savourer sa vengeance pleinement sur le dieu des océans ainsi que son fils. Ce fameux fils, elle ne le portait pas dans son cœur mais il fallait qu’elle trouve le moyen de se venger en le fessant souffrir, puis, en l’achevant. Normalement, un dieu qui mourrait ne se réincarnait pas comme tel, ils réapparaissaient comme de simple mortel, sans vrai pouvoir. Mais bon, a quoi bon faire souffrir ses dieux. Ils ont certes, fait souffrir bon nombre d’innocent mais ce n’était pas pour cette raison que eux aussi devait souffrir, il fallait aussi pardonner même si cela n’allait pas refaire renaitre les âmes qui avaient perdue leur vie. Néanmoins, comment peu t’on pardonner suite aux réactions qu’avait ses pseudo-dieux. Ils avaient perdu confiance en elle, mais elle avait déjà perdu confiance en eux…

Mais au lieu de se lamenter sur son propre sort, la générale de l’hippocampe décida d’aller préparer sa vengeance en secret. Mais pour cela il fallait trouver un moyen de se venger. La seule solution potable qui s’offrait à elle était l’alliance avec un peuple ennemi d’Hadès et rien de tel que son propre frère pour assouvir cette vengeance. Zeus ainsi qu’Artémis et Apollon était de puissant dieu et a eux trois, il serait facile d’éliminer les trois autres dieux des enfers. Bien sur, la générale devra se mettre à contribution et trouver un point d’entente pour cette vengeance. Mais peu être que si ceux-ci l’aidait à éliminer le clan allié a Hadès, cela pourrait être utile. Puis, la générale de l’hippocampe tentera de s’attaquer a Hadès avec le soutient des chevaliers d’Athéna survivant ainsi que ceux des trois dieux de l’Olympe. Mais peu être que le clan d’Odin serait un choix judicieux pour cette attaque. Mais elle n’en était pas encore la et son objectif principal était bel et bien l’élimination du monarque des océans ainsi que son fils. Mais si cela se trouvait, peu être que grâce a se geste, la générale serait seule maitresse des océans et elle fera ce que bon lui semble, mais en essayant de ne pas perdre le sens des réalités.

Apres une longue journée de marche, la générale de l’hippocampe arriva enfin à l’olympe. Cette immense montagne ou les dieux se réunissait dans les temps anciens. Au loin, elle pouvait apercevoir une immense porte. Cette porte devait mener aux dieux de l’olympe et mais aussi au guerrier les protégeant. Cela lui rappelait la faute qu’elle avait commise une fois au sanctuaire, lorsqu’elle avait protégé un spectre. Mais il lui fallait se parchemin, mais jamais elle ne l’aura car le fils du dieu des océans allait s’occuper de cette affaire. Tant pis, elle avait bien d’autre idée pour cette mission mais le dieu des océans aura surement plus de stabilité en ses pouvoirs. Tant pis, il fallait jouer le tout pour le tout et c’était pour cette raison qu’elle était en ses lieux. Elle s’approcha encore plus de cette porte fermée. Puis elle se mit à crier en disant ses mots.

Un général de Poséidon souhaite demander audience aux dieux de l’olympe.

(J’ai supposé que les portes étaient fermées mais si elles étaient ouvertes, je modifie ce post.)

Un général de Poséidon souhaite demander audience aux dieux de l’olympe.

Quelques minutes passèrent durant lesquelles rien ne se passa, mais à bien y voir, il semblait au général que la lumière du soleil était légèrement différente par rapport aux cinq dernières minutes : la lumière de l'astre du jour n'était pas plus puissante mais semblait double...et ce n'était qu'à moitié vraie car plus le général fixait le soleil, plus cela lui donnait l'impression que l'astre millénaire venait de lui lancer une boule de feu droit vers elle; mais au dernier moment, la "boule de feu" ayant plus l'air d'un cocon s'immobilisa au dessus d'elle, implosa et le général put voir qu'il s'agissait en fait de l'ange Théséus qui était vraisemblablement là pour l'accueillir, tout en déployant ses ailes.

Le Dieu Soleil et le Surplis du Garuda Theseu10

Le Dieu Soleil et le Surplis du Garuda Theseu10

"Bonjour général de Poséidon, je me nomme Théséus, que puis je faire pour toi?" demanda Théséus alors qu'il atterit en douceur.

Cependant Théséus semblait légèrement contrarié et cela se voyait à son regard, lui, un des anges qui se prétend parmis les plus fidèles, comment a t'il pu laisser ce misérable Juge des Enfers capturer Sa majesté Artémis? il a failli à son devoir, heureusement que le Seigneur Apollon a su réagir assez vite et assez efficacement pour capturer ce misérable qui espérait pouvoir commettre un tel sacrilège; de toute façon, Théséus savait parfaitement que Sa majesté Artémis était capable de se défendre sans son aide mais c'est une question de principes et pour se faire pardonner, l'ange s'est juré que plus jamais il ne reproduirait la même erreur.

Rien ne semblait en mesure de calmer la sourde colère du Dieu des Arts, alors que son cosmos de Lumière Pure se faisait de plus en plus agressif, tandis que son Requiem touchait lentement et inévitablement à sa fin. Les cordes enchantées de la Lyre Divine se firent de plus en plus meurtrières, s’enfonçant comme des lames mortelles dans les chairs du Jeune Juge de l’Enfer, alors qu’un Vent Solaire sec et aride soufflait avec rage à l’entrée du Royaume des Dieux. Mais même si le Dieu était dans un état second, Artémis était, la seule et unique, en mesure de modérer son courroux et de tempérer ses ardeurs combatives, car sa peau était aussi blanche que l’Ivoire et son cosmos doux et cristallin était comme une tâche de Lune qui venait éclairer le Dieu de la Clarté Solaire. Le cosmos de la Déesse Chasseresse rencontra alors celui de son frère, et les deux entités n’étaient qu’harmonie. Les yeux du Dieux Soleil redevinrent d’un bleu océan, tandis que, une à une, les cordes fatales libéraient Kazuki de leur étreinte morbide, pour le plus grand soulagement du Serviteur d’Hadès. Apollon allait respecter la volonté d’Artémis, car il ne désirait pas aller contre sa divine Volonté, elle, la seule qu’il aimait réellement, et avec qui il était en communion cosmique depuis la Nuit des Temps.

Pardonnez-moi dieu des Arts... je n'aurais jamais du porter la main sur votre soeur... je vous demande également de pardonnez mon insolence Déesse de la Chasse se que vous aviez dit s'avérer exacte, vous êtes la seul en possession de ce corps. Je suis en tort et je n'aurais jamais pensé que cela irai si loin. Cette entrevu n'a que trop duré, j'ai compris que l'on ne pouvait comparer un dieu et un mortel..."

Vos excuses viennent un peu tardivement, serviteur de l’Enfer, alors que vos mains pécheresse ont commis l’irréparable. Mais soyez certain que vos crimes ne resteront pas impunis… Car lever la main sur la Déesse de la Chasse est passible de la plus horrible des sentences, un aller simple pour le Tartare !

Le Dieu Soleil et le Surplis du Garuda Pouvoirhh7

C’est alors que la Déesse de la Chasse révéla son plan, audacieux… Hadès était pour l’heure maître du Sanctuaire Terrestre, domaine originel de la Déesse de la Juste Guerre, Athéna. Il se débarrassé des derniers Chevaliers résistants aux vagues sombres de ses armées, mais les Enfers n’étaient plus aussi bien protégés que par le passé, et même si des sentinelles y étaient postées, il était certain que des Spectres devaient également surveiller le Sanctuaire de la Grèce. Le Soleil implacable qui régnait dans cette partie du Monde devait troubler les serviteurs du Sombre Monarque, et les Dieux maléfiques eux-mêmes, si habitués aux profondes et abyssales ténèbres du Royaume Souterrain.

*Seigneur Hadès, je suppose que vous m'avez entendue étant donné que votre puissance s'étend de plus en plus...Alors si vous m'avez bien comprise, je vous suggère vivement de venir chercher cet avorton de mortel avant que je ne sois possédée par l'irrésistible envie de vous en débarrasser...Je vous laisse libre choix quant au messager que vous enverrez...Mais ne tardez pas, ma patience a ses limites, vous le savez certainement. *

Le Dieu Apollon cessa alors de jouer de son instrument sacré, sentant une présence étrange devant les portes du Royaume. Il avertit télépathiquement un Ange Céleste de cette mystérieuse présence, alors que son regard inhumain se reposa sur le Juge d’Hadès…

La générale sentait que le temps passait très lentement lors de cette attente pour que ses portes s’ouvrent. Mais se n’étaient pas des portes ordinaire car elle n’était pas en matière minérale ou en toute autre matière que les simple mortel construisait. Non, c’était plus un lien psychique qui avait crée ses portes, une sorte de barrière de cosmos. Si cela était vrai, il se pourrait qu’elle ne puisse jamais la passé car même si elle essayait d’y toucher, elle se ferait éjecter sur une des colonnes qui ornait cette entrée. De plus, si celle-ci essayait même de lancer les lame de fond du pacifique, celle-ci se retournerait contre elle et ainsi elle souffrira d’autant plus que lors de ses combat passée. Mais que faire ? Faire marche arrière ? Ou alors continuer d’attendre qu’une personne vienne lui ouvrir. La deuxième solution semblait la meilleur car elle n’avait plus un endroit ou se reposer car son bannissement lui empêchait de revenir dans le monde sous marin jusqu'à nouvel ordre. Mais ce n’était pas un mal car elle ne supportait plus les soulèvements de masse de ses esclaves. Ceux-ci pensant qu’il ne s’agit d’une simple jeune femme frêle, qui se retrouve sans défense une fois que son armure n’est plus sur ses épaules. Néanmoins, lorsqu’elle ne porte plus celle-ci, elle utilise sa propre force pour se battre. Elle possédait un style qui lui était propre car elle utilisait un style qui rapprochait un style assassin et un style plus asiatique. Mais le mieux, c’était qu’elle gardait toujours un léger couteau au niveau de sa jambe, mais elle ne l’utilisait jamais car ce n’était qu’une simple protection supplémentaire en cas de gros problème.

Les minutes passèrent et la générale ne sentait toujours pas qu’une personne allait ouvrir les portes de l’olympe. C’est alors qu’elle se posa sur un rocher en posant sa Pandora Box sur le sol. Une fois sur celui-ci, elle se mit à regarder le ciel bleu ainsi que le soleil. Apollon était le dieu qui se rapportait a cette étoile qui donnait la vie a se monde. Mais touts les dieux avaient leurs apports sur cette Terre comme par exemple le dieu des océans qui permettait d’apporter l’eau, ainsi que Artémis qui apportait la lune, une chose essentiel pour les marées. Mais la générale en regardant l’astre, eu une mauvaise impression car il semblait légèrement moins lumineux. Ce n’était peu être qu’une simple impression mais cela fessait bizarre a la générale de l’hippocampe. Mais plus le temps passait et plus l’impression se confirmait et une sorte de boule fonçait vers la jeune femme. Elle se mit la seule main devant elle pour crée son bouclier faisant de l’air ambiant mais cela fut inutile car ce n’était pas réellement une boule de feu. Un jeune homme venu d’une armure ainsi que des deux ailes blanche était la, devant elle. Il se mit à descendre lentement vers le sol, se posant devant la générale de l’hippocampe.

L’ange se présenta tout simplement et posa une simple question à la générale de l’hippocampe. La générale ne répondit pas de suite et regarda bien attentivement le jeune homme. Une chevelure blonde et quasiment de la même taille que ceux de la jeune femme. Mais ce qu’avait remarque en premier chez se jeune homme, c’était ses ailes blanche. S’il s’agissait réellement d’un ange d’Artémis, il devait faire partie de l’élite des chevaliers de l’olympe. Il fallait donc ne pas faire d’erreur pour ne pas que la générale ne passe dans l’autre monde, dans les monde des enfers. Pour le moment, elle n’y avait jamais été et c’était mieux pour elle car elle n’aurait pas voulu mourir lorsque son heure ne serait pas venue. Mais la mort n’était qu’un simple état et toute personne devrait passer par cela. Mais de temps en temps, la mort est un acte qui peut s’avérer magnifique si la personne est a l’agonie car il vaut mieux abréger les souffrances que de les continuer jusqu'à se que cette âme n’aille dans le monde d’Hadès.

Je suis venue voir les trois dieux résidant dans l’olympe pour leurs demander une… possibilité de travailler pour eux en tant qu’espion.

Phanuel se reposait des derniers évènements dans son temple. Le temps était dou, pareil que lorsqu'il était parti du royaume. Après tout, le temps était toujours âreil dans le royaume des dieux. Il repensait à ce qui c'était passé en enfer, chose dont il n'avait pas encore pu parler à Apollon ni à Artémis. Le moment n'étant toujours pas venu, il patientait en l'attendant. Le juge des enfers était parti depuis un petit moment maintenant. Ce traître d'humain qui avait osé lever la main sur Artémis... Si une guerre sainte venait à se déclencher à nouveau, cette larve d'Hadès serait le premier à mourir sur la liste de l'ange. Après s'être occupé de lui, les dieux avaient repris leurs places divines. Un nouveau gardien était apparu en Olympe, le gardien céleste Hercule, que Phanuel avait pris le temps d'accueillir. Tout était calme dans le royaume.

Soudain, un cosmos assez faible se fit ressentir aux portes du royaume. Ce cosmos n'était même pas équivalent à celui d'un humain portant une quelconque armure. Aucun dieu ne semblait vouloir se déplacer à aller à sa rencontre. Après tout, Phanuel n'avait rien à faire et les ordres d'Apollon et Artémis n'étaient plus valables depuis que le juge était parti des lieux. L'ange céleste déploya ses ailes et s'envola à l'entrée de l'Olympe. Là, il l'apercevait de loin. Assise sur un rocher, une jeune femme et une pandora box à ses côté. La caisse, d'après les motifs, contenait une armure maritime, témoin de l'identité de cette femme qui n'était autre que le général de l'hippocampe. Elle était là qu'elle attendait quelqu'un pour l'accueillir. Justement, Théseus était arrivé à sa rencontre un peu avant Phanuel.

Phanuel fondit sur eux, se releva, et ses ailes divines disparurent, plus d'aucune utilité maintenant. Il observa la jeune femme de haut en bas. Assez jeune, elle était dépourvue de protection si ce n'était qu'un couteau qu'elle tentait de camoufler pitoyablement.

"Bonjour général de Poséidon, je me nomme Théséus, que puis je faire pour toi?"

Cette femme possédait une chevelure couleur d'or, des yeux d'un bleu profond. Phanuel n'avait jamais fait la connaissance d'une générale du frère de ses dieu, le dieu marin Poséidon. La femme semblait quelque peu effrayée, mais elle gardait son calme et répondit simplement à l'ange :

"Je suis venue voir les trois dieux résidant dans l’olympe pour leurs demander une… possibilité de travailler pour eux en tant qu’espion."

Phanuel la regarda bizzarement et eut un petit rire moqueur. Elle avait du cran. Se pointer dans un royaume qui n'était pas le siens, ne pas se présenter et demander une entrevue avec les grands dieux de la trinité.

"D'accord, nous savons pourquoi vous êtes là, mais votre réponse est incomplète. A mon avsi, mon frère d'arme attendait une autre information : qui êtes-vous exactement? Enfin, cela m'importe peu. Vous devriez savoir que c'est un peu facile de demander comme ça à voir les dieux de l'Olympe. Le seul mortel ayant pu leur parler est l'infâme juge du Garuda, Kazuki. Peut-être en avez-vous déjà entendu parler? J'ai l'impression que vous avez quelque chose à voir avec lui. Enfin bref, Voir la trinité est une chose qui en vous arrivera peut-être, et avec infiniment de chance, qu'en rejoignant le monde des morts. C'est donc chose impossible pour le moment. Depuis l'incident avec le juge du Garuda, les sécurités ont été renforcée. Tu as du le remarquer avec ces portes refusant de s'ouvrir à n'importe qui. Bon, quoi qu'il en soit, qu'est-ce qui vous fait penser que vous pouvez vous présenter comme espionne parmi nous? Et qu'est-ce qui peut vous faire croire que nous pourrons si facilement vous faire confiance?"

La jeune femme et Théséus regardèrent l'ange d'un air surpris, décontenancé et interrogateur. L'ange attendit patiemment la réponse en s'asseyant également sur un rocher.

Alors que Silfrid attendait patiemment le spectre du Balrog pour qu'il vienne le cherchait afin de sortir de cette impasse, le Dieu des Arts décida de lacher prise... il arreta sa mélodie qui ronger l'âme du juge... il avait accepter de laisser sa soeur faire.

Vos excuses viennent un peu tardivement, serviteur de l’Enfer, alors que vos mains pécheresse ont commis l’irréparable. Mais soyez certain que vos crimes ne resteront pas impunis… Car lever la main sur la Déesse de la Chasse est passible de la plus horrible des sentences, un aller simple pour le Tartare !

**Un crime?... depuis quand prendre dans ces bras une Déesse est un crime Séraphon? ~Je n'en sais rien pourquoi me pose tu de t-elle question...~**

Le jeune juge était surpris des mots du dieu... un aller simple pour le tartare, une réflexion stupide, car le juge allait se dirigeait au enfers, et il n'avait pas besoin d'invitation pour qu'on l'enmène en ces lieux. Silfrid ne donner plus l'impression de vouloir lutter, il n'avait peut-etre plus de force... ou bien en avait-il assez des ces dieux.
Son but se rapprocher peu a peu... comment combattre et détruire des dieux possédant des pouvoirs illimités, simplement en les révoltants les uns contre les autres... Apollon et Artémis en voulait au juge qui lui était protéger par les 3 terrifiantes divinité des enfers. les futurs combat pourrait etre déterminant, peut-etre Apollon et Artémis ainsi que Zeus pourrait affaiblir les 3 dieux des enfers, c'est la que Silfrid interviendra et pourra se débarraser de ces 6 divinités en même temps... le jeune juge ne surestimer pas sa force car il connaissait ces limites, et tout le monde avaient l'air de nier la puissances du juge... et c'était parfait...

**Qu'est-ce que fait ce spectre! il est partie prendre un café ou quoi?
~Calme toi, ca ne sert a rien de s'énervé, ne l'oublie pas, c'est en restant calme et en gardant son sang froid que l'enemis sera trompé.~Je le sais tu me l'a deja répeter plusieurs fois... mais il me reste encore a révolté Odin face au dieu des Océans... a ton avis comment vas-ton s'y prendre?
~Nous verons en temps voulu... pour le moment fais comme si de rien n'était...**

Le jeune juge se calma donc et se mit a a fermer les yeux en écoutant les bruit qui l'entourait... lorsque soudain...

**Qu'est-ce que?.... Séraphon tu la sentit aussi?...
~oui... on dirait qu'il y a de l'agitation dehors... et je n'ai pas l'impression que cette personne et venu combattre Apollon...~
Un nouvel enemis c'est ça?...
~J'en ai bien peur...~
Ca nous faciltera pas la tâche, une fois sortie j'éliminerai cette personne, pas question que ces dieux aient un nouvel alliés...**

La nuit semblait prendre place aux alentours du Sanctuaire d'Athéna. La Guerre se terminait peu à peu et tout indiquait que la victoire allait être en faveur des Spectres d'Hadès, malgré la défaite de plusieurs serviteurs du Dieu des Ténèbres lors de cette Guerre, comme fut le cas d'Haka, Spectre du Balrog, qui venait de sortir de la Prison du Sanctuaire il y a très peu de temps. Même si cet endroit et celui où s'était déroulé la Guerre Sainte étaient relativement proches, Haka ne ressentit rien de spécial, rien de nouveau. Il ne se doutait pas qu'Hadès, le Dieu des Enfers, s'était réincarné lors de cette Guerre. Malgré une étrange sensation à un moment donné, lorsque le Gardien de la 1ère Prison sentit une puissance bien distante, venant du Sanctuaire. Il ne s'était pas douté une seule fois que c'était Hadès malgré tout.

Sous le ciel étoilé de Grèce, Haka était maintenant dans une impasse. Que faire ? Retourner au Sanctuaire ? Malheureusement il ne pouvait pas. Retourner aux Enfers ? C'était peut-être la meilleure décision à prendre. Il attenderait après des ordres venant d'un supérieur. Néanmoins il se demandait toujours comment avait-il réussi à revenir à la vie et sortir de cette Prison. Mais ses pensées fûrent interrompues par une voix qui semblait venir de l'intérieur. Mais rapidement il comprit qu'il s'agissait d'un message télépathique.

* Haka, Spectre du Balrog, de l'Etoile Celeste du Talent, je suis le Seigneur Hadès ... La situation est mal choisie pour t'expliquer mon retour, je me suis réincarné, c'est tout ce que j'ai à te dire pour le moment, Kazuki du Garuda a des ennuis en Olympe, la Déesse Artémis menace de le supprimer ... Haka, envole toi vers la terre des Dieux, et ramène ton compagnon ici au Sanctuaire ... *

- Hadès ! -exclama Haka, les yeux grands ouverts et assez surpris par ce qu'il venait d'entendre. - Hadès-Sama... Oui, le Sanctuaire est à nous maintenant... -laissa-t-il échapper avec confiance. Même si aucun sourire n'aparraissait sur ses lèvres, il était heureux par cette bonne nouvelle. La Guerre Sainte avait été remportée par les Enfers. Toutes ces morts et sacrifices n'avaient pas été en vain.

Haka se resaissit peu après et répondit à son tour par telepathie.

* Majesté Hadès, je suis content de savoir que vous vous êtes réincarnés. Je vais checher Kazuki immédiatement... * . Message envoyé, le Balrog partit en direction du Domaine d'Artémis, L'Olympe.

Il ne savait pas ce qu'il allait y rencontrer, mais il esperait seulement que tout allait bien avec le Juge du Garuda. Ce n'était pas le moment de perdre des Spectres et, la mort de celui-ci pourrait causer de sérieux ennuies avec l'Olympe, c'est à dire Zeus, Appolon et Artémis, et après cette dure et pénible Guerre les Spectres devaient se reposer et récuperer leurs forces, et non arranger des ennuies. Surtout que si les Dieux de l'Olympe décidaient d'en terminer avec la vie du Juge, Haka ne pourrait rien faire. Ces forces lui étaient nettement insuffisantes pour rivaliser contre un Dieu. Surtout maintenant qu'il se sentait extrèmement fatigué...

Ce fut après quelques temps que le Spectre du Balrog arriva enfin près du Domaine du Dieu des Dieux. Il y ressentait déjà quelques énèrgies... De puissants cosmos. Il n'y avait aucun doute, même si il ne connaissait pas Artémis, il savait qu'elle était une puissante Déesse, mais à quel point ? Et à quel point les Dieux de l'Olympe seraient tolérants avec Kazuki ? Et avec Haka même ? Bien que cela vienne d'une ordre de sa Seigneurie Hadès, il ne savait pas si la Déesse de la Chasse et de la Lune allait causer des difficultés au Serviteur d'Hadès.

Mais Haka ne pouvait pas perdre plus de temps avec des pensées et des questions inutiles. Dès qu'il y arriverait il serait éclairci à ce sujet. Pour le moment il devait se concentrer uniquement sur sa mission, ramener Kazuki au Sanctuaire, comme a ordonné Hadès.

Plus il avançait plus les cosmo se faisaient sentir, jusqu'à ce qu'il arrive enfin à voir quelques personnes. Au vu de la distance à laquelle il se trouvait c'était pour le moment de simples silhouettes, mais plus il s'approchait plus il remarquait le visage, les détails des personnes qui se trouvaient ici. Portant son armure sur lui, il remarqua six personnes présentes. Kazuki se trouvait encerclé par des chaînes qui tournaient tout autour de lui. Haka remarqua aussitôt le Juge et vit ensuite deux personnes qui dégageaient en eux un cosmo unique et incroyablement puissant. Il n'y avait aucun doute qu'ils étaient des Dieux. Au vu de ces cosmo Haka se sentait minuscule. Jamais il ne pourrait rivaliser face à eux. D'ailleurs, quel simple mortel le pourrait ?

Haka arrivait à appercevoir clairement les visages. Une des divinités possédait en elle une beauté incroyable et hypnotizante. Artémis sans aucun doute. L'autre ne pouvait être qu'Appolon, le Dieu du Soleil. Puis, un peu plus loin mais relativement près de tout ce monde, Haka remarqua une armure de marina. Une femme portait cette armure que le Spectre ne reconnut pas immédiatement. Et deux autres personnes, portant une armure que le Balrog déconnaissait vraiment, étaient aussi présentes.

* Sûrement des Anges Céléstes... * , pensa le Spectre de la 1ère Prison des Enfers.

Mais son regard était tourné vers les Dieux et Kazuki, entouré par ces chaînes de cosmo... Sans aucun doute Artémis était celle qui avait crée ce cercle autour du Juge de Garuda.

Haka arriva à hauteur des Dieux et, toujours aussi calmement et sereinement, il inclina légèrement le tronc vers l'avant en signe de respect puis releva immédiatement la tête et regarda les deux Dieux de l'Olympe. Il prit ensuite la parole, la dirigeant à Artémis.

- Déesse Artémis... Je me nomme Haka du Balrog, Spectre des Enfers au service de sa Majesté Hadès. J'ai reçu un message de celui-ci me prévenant qu'un de ses Serviteurs était ici présent, me donnant l'ordre de venir à vous et de le ramener auprés de son Dieu. J'éspère que vous n'y verez aucun inconvéniant, Déesse Artémis. -dit-il une dernière fois, refermant les yeux pendant quelques secondes, puis attendant que la Déesse de la Chasse prenne à son tour la parole, ou le Dieu du Soleil. Cela peu importait. Même si Haka ne se sentait pas très en sécurité ici, il devait faire en sorte que les Dieux laissent Kazuki, afin que celui-ci puisse rejoindre Hadès au Sanctuaire.

"Je suis venue voir les trois dieux résidant dans l’olympe pour leurs demander une… possibilité de travailler pour eux en tant qu’espion."

Théséus s'apprêtait à lui répondre mais l'ange Phanuel, un de ses puissants équipiers qui est apparu peu après Théséus, décida de le faire à sa place d'une manière pas très amicale.

"D'accord, nous savons pourquoi vous êtes là, mais votre réponse est incomplète. A mon avsi, mon frère d'arme attendait une autre information : qui êtes-vous exactement? Enfin, cela m'importe peu. Vous devriez savoir que c'est un peu facile de demander comme ça à voir les dieux de l'Olympe. Le seul mortel ayant pu leur parler est l'infâme juge du Garuda, Kazuki. Peut-être en avez-vous déjà entendu parler? J'ai l'impression que vous avez quelque chose à voir avec lui. Enfin bref, Voir la trinité est une chose qui en vous arrivera peut-être, et avec infiniment de chance, qu'en rejoignant le monde des morts. C'est donc chose impossible pour le moment. Depuis l'incident avec le juge du Garuda, les sécurités ont été renforcée. Tu as du le remarquer avec ces portes refusant de s'ouvrir à n'importe qui. Bon, quoi qu'il en soit, qu'est-ce qui vous fait penser que vous pouvez vous présenter comme espionne parmi nous? Et qu'est-ce qui peut vous faire croire que nous pourrons si facilement vous faire confiance?"

Tournant le dos à tout le monde, Phanuel alla s'asseoir et semblait attendre la réponse de leur hote; Théséus le comprenait à vrai dire, lui qui n'a rien pu faire pour empêcher ce traitre de Juge à commettre ce terrible sacrilège, il ne pourrait jamais se le pardonner si un incident similaire se reproduisait. Il s'apprêtait à tourner le dos à la jeune femme à son tour lorsqu'il se rendit compte que depuis un certain temps déja, les jumeaux divins Apollon et Artémis se trouvaient derrière la Porte en compagnie de cet infame traitre, rejoints ensuite par un cosmos impressionnant à la même aura ténébreuse que le Juge.
Finalement, malgré ce sacrilège, il semblerait que Sa majesté Artémis n'ait subie aucun dommage ce qui est normal après tout, bien heureux celui qui pensait pouvoir s'en sortir en enlevant une déesse, qui plus est Artémis, sous les yeux de son frère bien-aimé. En tenant compte de tout cela, Théséus se rendit compte que ses Dieux étaient probablement occupés et que par conséquent, ils ne pourraient pas recevoir cette jeune dame, c'est pourquoi il décida de prendre la suite des opérations.

"Phanuel, je comprends ta prudence mais je vais quand même accéder à sa requête, réfléchis : nos maitres Apollon et Artémis se trouvent derrière la Porte de l'Olympe et ils sont visiblement occupés alors je me charge de conduire notre "hôte" auprès de notre Seigneur, le grand Zeus."

Phanuel semblait avoir envie de répliquer et cela se voyait à son regard, il ne comprenait visiblement pas cet excès de confiance que Théséus manifestait envers cette fille et avant de lui en laisser le temps, Théséus reprit.

"Laisse moi terminer je te prie, que veux qu'il se passe? qu'elle s'attaque à notre maitre? je lui souhaite bien du plaisir. Qu'elle cache quelque chose? il suffit de voir sa pandora box pour savoir qu'elle est le général de l'Hippocampe. et sans son armure, je ne pense pas qu'elle puisse nous tenir tête. Et comme ça ne servirait à rien de lui faire attendre plus longtemps, je prends la liberté de la conduire au temple de Zeus, lui seul décidera de son sort."

Théséus tendit sa main vers le général de l'hippocampe, l'invitant ainsi à le suivre.

La jeune femme vu un deuxième ange arrive depuis les portes de l‘olympe. Il était vrai qu’elle se trouvait dans le domaine d’Artémis ainsi que d’Apollon, donc il était normal d’en voir mais en un tel nombre. Deux ange pour une seule marinas, ou devrait t’on dire, une ex-marina. En tout cas, ils étaient en surnombre pour la générale de l’hippocampe et au moindre faux pas, il se pourrait qu’elle se face exécuter sur l’heure. De plus, elle ne s’était pas encore remise de ses anciennes blessures et son bras gauche ne pouvait toujours pas marcher. Mais heureusement que ses vêtement cachait la plupart des plaies subite a cause d’un guerrier céleste. Si elle se souvenait bien, d’âpres son armure, il devait s’agir du gardien céleste de l’olympe mais elle n’en était pas sur car ses sortes d’armures n’était que très peu décrite dans les livres qu’elle avait l’habitude de lire lorsqu’elle avait commencé son entrainement dans les iles du triangle des Bermudes. Dans ce livre, il paraissait que celui-ci avait hérité des pouvoir de Zeus et pouvait utiliser un peu de ses pouvoirs. La générale s’en souvint très bien et avait reçut l’empreinte du dieu sur sa personne. Et elle avait reçut cette attaque alors qu’elle ne pourrait pas son armure de l’hippocampe. Mais elle avait légèrement mérité ce châtiment car elle avait tenté d’aider un spectre à gravir les marches du sanctuaire. Mais peu être que la générale avait bien fait de s’interposer car il aurait courut a sa perte car le temps allait bientôt appartenir aux enfers et si celui-ci avait continué à gravir ses marche, il serait surement tombé sous les coups d’un des trois dieux des enfers.

Ce même ange se mit à parler a le générale d’une façon sur de lui. La générale n’avait certes pas cela mais il fallait de temps en temps en temps passer par des choses que l’on n’aime absolument pas. Tout d’abord, il se mit à lui dire que sa réponse était incomplète et il voulait savoir plus d’information sur la générale de l’hippocampe. Il était vrai qu’elle n’avait jamais mentionné son nom ni même son statu. Mais a quoi cela pouvait bien leur sévir pour le moment de ne pas connaître le nom de cette jeune marinas. Puis, il se mit à parler d’un sujet un peu plus délicat car ce personnage se mit à parler du juge du Garuda. Celui-ci avait de nouveau fait des sienne et il devait encore du se mettre dans de salle état. Mais cela voulait dire qu’il avait survécu à la bataille du sanctuaire contre les gold saint et qu’il devait surement se trouver en enfer. Mais peu être était t’il encore ici et qu’il se fessait torture d’une façon impitoyable. Puis, il se mit à lui dire que les barrages avaient été renforcés en cas d’un nouvel assaut des spectres. Il était vrai qu’il y aurait des problèmes si une toute autre personne tentait d’infiltrer le domaine des trois divinités de l’olympe. Puis, il conclu en lui demandant s’il pouvait vraiment lui faire confiance. Elle ne pouvait se justifier devant celui-ci. En plus, âpres son bannissement du domaine de Poséidon, elle n’aurait aucune crédibilité devant eux. Si elle n’aurait pas eu ce bannissement, elle aurait peu être eu des arguments potables…

La générale se leva donc de sa pierre sans rien dire et faillit s’en aller sans même intervenir dans ce qu’il venait de se dire. Néanmoins, l’ange qui lui avait foncé dessus pris de nouveau la parole. La générale fut d’un coté étonné car elle ne s’attendait pas a se que celui-ci aille en sa faveur. Il était vrai qu’elle ne pourrait faire quelque action en travers d’un des dieux car elle périrait automatiquement car la puissance des dieux était supérieure à de simple mortel comme les marinas. Personne n’a jamais pu lutter contre un dieu, sauf un autre dieu. Alors si une simple jeune femme essayait de toucher les puissants dieux de l’olympe ne serait se qui avec un simple frôlement, cela pourrait lui couter cher. Il faudra donc se montrer très sage si elle rencontra un de ses dieux malgré que ce n’était pas vraiment dans sa nature. Elle avait plus l’habitude de se présenter comme une jeune femme mais essayant d’utiliser tout ses charme ainsi que la sournoiserie pour rester en vie. C’était parce qu’elle était de cette nature qu’elle avait été designer comme générale de l’hippocampe, gardienne du premier pilier.

Puis, cette ange lui tendit la mais pour qu’elle le suive vers le dieu des dieux comme les deux jumeaux était légèrement occuper avec le juge du Garuda. Maintenant, c’était une certitude que Silfrid se trouvait en ses lieux et qu’il avait ou allait passer de sale moment. Il n’aurait jamais du défier les dieux mais c’était dans sa nature et la blondinette le savait très bien. Puis, la générale de l’hippocampe se mit à sourire légèrement et remit a Pandora Box sur son dos et jeta un regard a l’ange qui était arrivé en second. Puis, un autre regard se posa sur l’ange qui l’avait invité à rejoindre le dieu des dieux, Zeus.

Très bien, je vous suis.

(Artémis ou l'impression d'arriver après la bataille...LOL^^)

La déesse écoutait, remarquait, et ne faisait rien pour autant. Elle savait que cela l'agacerait au plus haut point si elle prononçait un seul mot de plus avec cet avorton de juge, et elle ne souhaitait donc pas user sa salive pour rien. De tout temps, elle avait été la seule déesse à ne pas faire de choses inutiles qui pourraient la blesser. Elle n'aimait pas les hommes, et s'amusait même de les voir tenter l'impossible pour la concquérir. Voilà pourquoi elle n'hésitait pas un seul instant à provoquer n'importe quel mortel décidant se lier à elle à la chasse, demeurant persuader que seul un dieu pouvait l'égaler voire la surpasser. Apollon était le seul, à ce jour, à pouvoir égaler l'ardente déesse de la chasse. Tous ceux qui la défiaient ne constituaient plus qu'un jeu pour elle, rien d'autre. Il en était de même pour ce juge ridicule qui pensait être au dessus des dieux de l'Olympe. Dans son for intérieur, Artémis savait fortement qu'elle ne pourrait pas résister longtemps à l'envie de faire parler sa colère plutôt que sa raison. Elle avait beau être une femme, elle n'en était pas excessivement douce pour autant. Son cosmos pouvait très vite devenir violent et ardent, au même titre que son caractère. La défier n'était guère conseillé alors qu'elle était dans un tel état d'esprit. Ce fut pourquoi, alors que la scène autour d'elle s'agitait de plus en plus, la déesse ferma les yeux, brusquement, et sans prévenir. Oui, elle était exténué avec tous ces évènements qu'elle n'avait pas pu contrôler. Son cosmos frappait en son coeur, la poussant à agir, et sa raison lui dictait de garder ses distances vis à vis des évènements. Elle pensa soudainement à sa position dans la guerre qui allait certainement l'opposer à Hadès, son propre oncle. Elle était l'une des rares déesses à ne jamais s'être opposée à lui, et elle ne s'était jamais permise de le défier. Cette guerre n'était donc pas vraiment la sienne, tout comme ce ridicule combat avec ce juge qui s'avérait aussi futile et sans intérêt que cette guerre. Artémis pouvait changer les choses, elle pouvait se retirer de cette guerre...Et c'était bien ce qu'elle comptait faire.

Artémis gardait les yeux fermés, pensant ainsi retrouver sa paix intérieure dans toute sa splendeur, mais elle n'y parvenait pas. Le bruit, les cosmos qui divergaient...Toute cette violence empêchait la déesse de retrouver son calme et la suite ne s'annonçait guère bonne si jamais il s'avérait qu'elle perdait réellement le contrôle de son cosmos. Personne n'avait jamais vu la déesse réellement en colère, et cela allait survenir si jamais elle ne retrouvait pas une paix totale dans son âme même. Elle n'entendait que des bribes de ce qui se passait autour d'elle, mais deux d'entre elles retinrent son attention. La première, ce fut lorsque son frère s'arrêta de jouer juste après qu'elle ait contacté Hadès mentalement. La seconde était deux cosmos très différent tentant de pénétrer dans son Royaume. Alors qu'elle allait rouvrir les yeux pour s'abandonner définitivement à la colère sans y résister, la voix de son oncle réincarné, Hadès, se mit à résonner dans son esprit, lui faisait oublier sa vengeance pendant un temps très court. Elle savait qu'il ne parviendrait pas à la calmer bien longtemps, mais il y était parvenu, et c'était le plus important pour le moment. Si Artémis se vengeait réellement comme le dit la légende, aucun mortel présent à ses côtés ne survivrait, puisqu'une tornade de cosmos vengeur s'abattrait sur eux...Et elle triompherait quoi qu'il advienne. Ayant un mince sourire en percevant les paroles de Hadès, elle se rendait compte que sa voix était toujours aussi mélodieuse et qu'elle calmait n'importe qui, tel un chant de mort...

* Sa alors, ma nièce préférée qui se manifeste enfin ! Je suis déçu que tu ne soit pas devant moi, ton visage si chaleureux et si divin m'a beaucoup manqué durant tout ce temps, mais entendre le son de ta voix est un pur bohneur ... Laisse Kazuki en dehors de toute confrontation, je ne sais pas pourquoi il se trouve en Olympe, mais un de mes Spectres va arriver et le ramener sur Terre ... Tu en as ma parole ... Toujours aussi décisive, tu n'a pas changée durant ses milliers d'années ... *

* Voilà qui ne m'étonne guère, mon Oncle...Vous avez toujours su réagir au plus vite, je ne puis que m'incliner devant tant de prestance. Toujours aussi fier, vous n'avez pas changé d'objectif depuis tant d'années...Votre frère Zeus restera à jamais votre ennemi n'est-ce pas? C'est certainement la raison pour laquelle je ne serais pas votre ennemie...Mais je ne serais pas non plus votre alliée. J'espère que vous comprendrez ma décision de ne pas prendre part à cette guerre, mais comme vous mon corps est celui d'une mortelle et il ne peut contenir bien longtemps mon cosmos. J'espère également vous revoir bientôt, et dans une atmosphère de paix. Mon temple vous est toujours ouvert, vous le savez. Ceci étant dit...Votre juge paiera pour l'affront qu'il m'a fait, et ce avec ou sans votre consentement. Il est grand temps qu'un dieu lui apprenne qu'il ne peut offenser les dieux de l'Olympe, dont vous faites partie du reste, sans être jamais puni. A très bientôt mon cher Oncle...*

Artémis n'avait pas mentit, elle se vengerait c'était une certitude. Mais pas aujourd'hui, ni même peut-être demain. Elle savait que où qu'il aille, après la guerre sainte si Zeus décidait qu'il resterait en vie, elle le retrouverait. Mais ce n'était pas une raison pour prendre part à cette maudite guerre. Elle savait que le corps de Naïa ne supporterait jamais les élans de cosmos surpuissants de la déesse sans souffrir horriblement. Et elle n'y tenait pas, parce qu'elle devait beaucoup à cette humaine et que sa seule façon de la remercier était de la protéger, pas de la condamner à une mort certaine. La déesse ne savait guère quelle serait la réaction de son frère Apollon et de son père Zeus, mais elle savait qu'ils finiraient par se faire à l'idée, à force de patience...Sa décision était prise, et lorsque tel était le cas, Artémis ne revenait jamais dessus, quelles que soient les circonstances. Si son frère était menacé de mort, elle agirait, c'était une évidence. Mais ce n'était pas le cas pour l'heure, elle avait donc encore de la marge...

Un cosmos maléfique se fit soudainement sentir auprès de la déesse, mais cela ne lui fit pas ouvrir les yeux. Artémis comptait se retirer complètement pour éviter de laisser parler sa colère plutôt que sa raison. Elle écouta néanmoins ce que lui disait le second juge de son Oncle, et un léger sourire apparut dès lors sur son visage divin. Oui, elle avait bien entendu ses paroles, elle les avait comprises...Mais ses lèvres demeurèrent closes pour l'heure.

- Déesse Artémis... Je me nomme Haka du Balrog, Spectre des Enfers au service de sa Majesté Hadès. J'ai reçu un message de celui-ci me prévenant qu'un de ses Serviteurs était ici présent, me donnant l'ordre de venir à vous et de le ramener auprés de son Dieu. J'éspère que vous n'y verez aucun inconvéniant, Déesse Artémis.

Ce fut à cet instant que la décision de la déesse se fit sentir. Une lumi-re aveuglante apparut sans que personne ne puisse le prédire, l'âme de la déesse s'était enfermée elle-même dans le corps de la déesse pour laisser aparaître...Naïa. La jeune humaine savait d'ors et déjà ce qu'Artémis voulait qu'elle fasse, et elle comptait bien entendu l'accomplir. Le visage plus froid que la première fois qu'elle était apparue en ce lieu, ses yeux se rouvrirent pour laissez apparaître une lueur de douceur néanmoins. Son visage était en beaucoup de points semblables à celui de la déesse, ormis la couleur de la chevelure et des yeux. Et elles avaient toutes deux la même expression de violence lorsque celle-ci battait dans le coeur qu'elles partageaient. La mortelle se tourna un instant vers Apollon pour s'incliner avec respect devant lui, chose qu'elle n'avait jamais pu faire auparavant. Elle savait ce qu'elle devait dire mais...Par où commencer? Naïa se tourna alors vers le second spectre des Enfers, sans sourire et sans laisser son visage se détendre. Elle avait rarement été aussi impassible. Les juges n'avaient guère leur place dans son estime, elle les voyaient mieux enfermés dans des cages comme de vulgaires animaux plutôt qu'à la bataille...Mais ce n'était que son point de vue.

" Vous me voyez au regret de vous annoncer qu'Artémis ne compte pas réapparaître pour l'heure. Elle craint fortement de perdre le contrôle de son cosmos si elle repose son regard divin sur le juge qui l'a offensée. Spectre du Balrog, Artémis, ma maîtresse vous demande de traiter avec le Dieu du Soleil, Apollon, son frère. "

Naïa avait parlé rapidement, mais elle avait une telle éloquence que tout le monde pouvait la suivre. Ses talents multiples avaient fait d'elle celle qu'Artémis avait choisie pour réincarnation. Elle était une humaine ordinaire aux yeux de tous, sauf à ceux de la déesse, qui était réputée pour récompenser la loyauté des humains envers elle. La mortelle ne se faisait aucune illusion, elle savait pertinemment que la déesse n'aimait aucun humain, et qu'elle avait subit un traitement de faveur. Voilà pourquoi elle avait choisit de son plein gré d'exécuter les moindres ordres de la déesse. Sa principale fonction aux yeux d'Artémis était de séduire les hommes, afin de pouvoir analyser avec plus de clarté certaines situations données. Cela avait été le cas avec le juge Kazuki, étant donné qu'elle l'avait berné sans vraiment de difficulté. C'était cela, le rôle de Naïa en temps normal. Mais pour cette fois, Artémis se devait de retrouver une paix totale, et c'était pourquoi elle avait fait appel à cette humaine, afin qu'elle exécute une fois de plus sa volonté divine. Se tournant de nouveau avec respect vers le dieu du Soleil Apollon, Naïa prit bien soin de ne pas le regarder dans les yeux tandis qu'elle lui parlait.

" Sa majesté Artémis vous demande instamment de la pardonner, mais elle ne prendra nullement part à la guerre qui opposera Hadès à Zeus. Elle ne tient pas à ce que mon corps de mortel soit détruit, pour une vraie raison que je ne connais pas malheureusement. Elle ne reviendra que lorsque la paix et la douceur auront de nouveau reprit la place qui leur est due dans son coeur. "

Naïa ne pensait pas vraiment que les évènements pousseraient Artémis à la faire revenir, mais ce fut le cas. Elle ne savait pas du tout pourquoi la déesse avait une telle confiance en elle, mais il fallait dire que dès qu'elle lui ordonnait quelque chose, la mortelle mettait toute son âme à son accomplissement. Cela avait été le cas pour séduire le juge, elle s'était montrée tellement convaincante qu'il s'était laissé berner comme un débutant. Au début, elle pensait les juges d'Hadès assez intelligent pour ne pas laisser leur coeur parler, mais elle s'était fourvoyée. Vraiment, cela avait été presque trop facile.

* Déesse Artémis, je ne comprend pas pourquoi vous ne souhaitez pas prendre part à cette guerre...Ce serait l'occasion de réparer l'affront qui vous a été fait dans les règles! *

* Tu es encore bien jeune Naïa...Si tu avais vu ce que les guerres saintes apportent, tu comprendrais alors que je ne souhaite pas m'y mêler. Faire couler le sang est une chose, avoir une raison de le faire en est une autre. Ma colère est encore trop présente, je ne peux risquer la vie de mes Anges inutilement. Je n'ai, qui plus est, aucune raison réelle d'intervenir. Continue d'exécuter mes souhaits et tout ira bien. *

* Je ferais selon votre désir, déesse Artémis. Mais un jour, il faudra que vous m'expliquiez pourquoi vous m'avez appelée maintenant alors que vous savez que les juges des Enfers sont mes ennemis...*

Alors que Naïa posait une question indirecte, la déesse la laissa sans réponse. Cela lui était pratiquement égal, elle s'y attendait. Tout ce qu'elle fut en mesure de faire, ce fut de se tourner vers le juge qui avait offensé sa déesse, en ne laissant aucune émotion traverser son visage pâle.

" Il semble que vous m'ayez bien souvent appellée...Juge. Je n'en connais pas la raison, et je crains fort ne pas souhaiter la connaître. Vous n'êtes rien d'autre qu'un imposteur qui s'est permis d'offenser une déesse. Votre sentence viendra, soyez en certain. Vous ne connaissez pas la fureur vengeresse de sa majesté Artémis. "

Les Jumeaux Divins étaient surtout connu pour leur grandeur, leurs multiples talents, et leur passion commune pour des plaisirs simples comme la chasse et le tir à l’arc, mais ils étaient également craints et respectés de tous, car quand la fureur s’emparait de leurs âmes immortelles, ils pouvaient se livrer à de véritables carnages, tuant sans sommation les pauvres mortels, cyclopes ou géants qui avaient osé leur manquer de respect. Leur vengeance était toujours méticuleusement calculée pour causer le plus de souffrances aux pauvres fous qui se pensaient supérieurs aux Dieux, mais également à leurs proches ! Car la mort est bien souvent une punition trop douce pour ces misérables. Apollon sentit arriver un cosmos semblable à celui du Juge du Garuda, et il sentit brûler dans l’aura du nouveau venu une flamme obscure et maléfique, qu’il reconnu aussitôt comme étant le feu sombre de la vallée désolée Udûn, domaine de Morgoth le Vala Déchu. Il était clair que les pouvoirs de ce spectre venait de l’une des nombreuses autres dimensions du Multivers, le Dieu lui-même ne pouvait tous les connaître, mais il reconnu bien le fouet du Balrog dans la main du jeune Haka. Ce Juge avait l’air moins impétueux et plus raisonné que Silfrid, mais après tout, il était également un serviteur des Enfers, et ne méritait pas plus qu’un autre la sympathie du Maître des Muses, loin de là…

- Déesse Artémis... Je me nomme Haka du Balrog, Spectre des Enfers au service de sa Majesté Hadès. J'ai reçu un message de celui-ci me prévenant qu'un de ses Serviteurs était ici présent, me donnant l'ordre de venir à vous et de le ramener auprès de son Dieu. J'espère que vous n'y verrez aucun inconvénient, Déesse Artémis.

Enfin un Juge qui savait rester à sa place… C’est le moment qu’Artémis choisit de laisser place à la mortelle Naïa, une mortelle à l’intelligence raisonnée qui avait été choisit par Artémis en personne pour être sa réincarnation. Apollon n’avait pas la certitude que deux âmes vivaient dans le corps de la jeune fille, car il n’osait pas sonder ouvertement les pensées de sa Jumelle, il la respectait trop pour cela, et ne ferait jamais rien qui puisse aller dans le sens contraire. La réaction d’Artémis coulait de source, elle ne souhaitait pas prendre part à la guerre qui allait opposer Zeus à Hadès… Une guerre sainte pour quoi ? Pour sauver les peuples de la Terre, tous ces mortels fourbes et corrompus n’étaient rien aux yeux des Jumeaux Archers, ils ne méritaient aucunement la considération et l’amour d’Athéna, ni même sa protection. Le pauvre juge du Garuda, dans son immense ignorance, croyait ralentir le départ des Dieux pour le Royaume Terrestre… Le manque de lucidité dont il faisait preuve n’avait d’égal que sa folie. Mais le cœur d’Apollon redoutait le sort de sa Sœur Athéna, son Oncle Hadès avait le pouvoir d’en finir avec elle, et malgré toutes leurs divergences d’opinion et leurs querelles, Apollon portait une certaine affection à Athéna. Il considérait la Déesse de la Juste Guerre comme détentrice de nombreuses qualités… Apollon posa son regard pailleté d’or-azur sur le Juge du Balrog, pour un serviteur de l’enfer, Apollon apparaissait tout auréolé d’une couronne de rayons solaires, éclatant et d’une pureté absolu, les yeux du Balrog souffrirent quelque peu de la Luminosité ambiante.

Juge du Balrog, je suivrais à la lettre les désirs de ma Divine Jumelle. Son souhait est de laisser partir ce pauvre inconscient pour l’instant, tel est son bon vouloir. Je suivrais donc les directives de ma bien aimée, mais faites savoir à Hadès que si l’un de ses serviteurs touche encore à un seul de ses cheveux, ma Colère Céleste ravagera son âme… Si le Juge du Garuda ose encore remettre les pieds dans notre Royaume Sacré, soyez certain que sa peine sera la mort, immédiate et sans appel…

Le Dieu Soleil et le Surplis du Garuda Clestialss9

Apollon prit en main sa Lyre enchantée et entama une étrange mélodie, les cordes de l’instrument vibraient en harmonie et bientôt, une intense Lumière Divine se matérialisa tout autour des deux spectres, comme si une cascade de rayons solaires tombaient sur leurs cœurs, froids et abjectes. Des vagues de Lumière concentriques apparurent autour du Dieu des Arts. Alors un tunnel de Lumière se matérialisa, le Dieu les invitait donc à emprunter ce Chemin qui menait directement hors de l’enceinte de la Montagne Sacrée. Il était certain alors que les deux serviteurs d’Hadès quitteraient bel et bien le Royaume Céleste, béni des Dieux.

Une fois les deux serviteurs d'Hadès hors de l'Olympe, le Dieu regarda sa Jumelle et la salua avec un respect infini, avant de se disparaître dans un éclair de cosmos solaire.

Il ne fallut pas longtemps à la jeune fille pour accepter la proposition de Théséus, ce dernier prit alors la main du général dans la sienne et jeta un dernier regard à son frère 'armes comme pour lui dire : je m'en occupe, n'aie crainte !!!

Théséus déploya alors ses ailes qui semblèrent 2 fois plus grandes qu'à son arrivée et pour cause : dans le but de pouvoir conduire une autre personne avec lui jusqu'au Temple de Zeus, il lui fallait déployer plus de puissance et cette puissance se répercutait automatiquement dans la grandeur et la majesté de ses ailes; une fois complètement déployées, ses ailes enroulèrent alors Théséus et le Général de l'Hippocampe tout en tournant sur eux même et ils se volatilisèrent en un clin d'oeil sous le regard froid de Phanuel.

[HRP :désolé pour ce post minable mais j'ai pas trop d'inspiration ^^ je crée le topic au temple de zeus]

Sujet: Re: Le Dieu Soleil et le Surplis du Garuda

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