Mongolie : Au coeur des Steppes ...

Posédion fut donc emmené sur le ring où se tenait à présent en face de lui un bien étrange individu. A n'en pas douter par le teint si particulier de sa peau, l'homme provenait d'Inde. Il portait un petit pantalon coupé court jaune, ainsi que des bracelets et des boucles d'oreilles. Des tatouages rouges ornaient son visage alors qu'un collier auquel était accroché des crânes décorait son cou. L'homme avait les yeux fermés et lévitait dans la position du lotus. Il se tenait à un mètre du sol et donnait l'impression de méditer profondément, préparant sûrement son combat du mieux qu'il le pouvait. Rien d'étonnant à cela devait se dire Poséidon. Si l’hindou avait eut vent du précédent combat de l'Olympien, il devait bien trouver la force d'affronter son adversaire en la tirant de quelque part. Une aura paisible semblait cependant émaner du corps de cet homme si particulier. Le prochain adversaire du dieu des mers semblait être en totale opposition avec l'espagnol du tour suivant.

"Ce huitième de finale verra s'opposer deux redoutables combattants. A droite, cet inconnu armé de son trident qui est capable de prouesse digne d'un véritable sorcier et de l'autre le calme et pacifique Brahva venu d'Inde dont le corps semble être fait pour combattre et s'étirer dans tous les sens. Que les deux guerriers se préparent ! Leur affrontement promet d'être magnifique. Allez y Messieurs !"

Un « ooooooomh » sonore sortit de la bouche de l'homme venant du pays aux milles et une épices. Il ouvrit les yeux et observa Poséidon. Son regard était paisible et calme, ne manifestant aucune colère ni aucun mauvais sentiment à l'égard de la divinité Olympienne. Il donna deux puissants coups de poings vers l'avant ce qui pouvait sembler totalement fou étant donné que les deux guerriers étaient séparés par une distances de quelques mètres et pour cela ne l'était pas tant que ça. Les bras de l’hindou s'allongèrent pour foncer en direction de l'ennemi pour ensuite retrouver leur position initiale. L'homme bondit ensuite dans les airs pour donner le même genre de coups de pieds en directions de Poséidon. Il frappa trois fois supplémentaires montrant par la même occasion son incroyable dextérité et puissance malgré son apparence plutôt maigrichonne. L'homme répéta un « oooooooooohm » puis posa sa main devant sa bouche et cracha une immense gerbe de flamme en direction de Poséidon. La foule poussa des cris de délire à nouveau. Apparemment ils adoraient les effets pyrotechniques et autres choses tout aussi étranges et surréalistes.

"Pardonnez moi de vous infliger pareil traitement mais je dois absolument gagner ce tournoi. Je suis un être un de nature pacifique et je déplore de devoir vous affronter, Monsieur. "




Attaque : Crachat de feu : 20 pts de cosmos

Capacité spéciale : Le corps de Dalshim est extrêmement souple et extrêmement modulable à sa guise ce qui lui permet d'éviter tous les coups physiques qui seront donc sans effet sur sa personne. De plus, sa parfaite connaissance des chakras et de l'anatomie humaine lui permet de retirer 5 points de cosmos à chaque fois qu'une de ses attaques cosmiques ou physiques touche l'adversaire.

Pv : 80

Cs : 80 – 20 + 10 = 70

Coups donnés : 20 +5
Coups reçus : /

Le dieu des mers et océans regarda avec attention son nouvel adversaire. Moins prétentieux, moins impulsif, il paraissait plus assuré que l'autre, et en même temps plus robuste. Son attitude rappelait au seigneur des eaux les techniques transmises de génération en génération par les généraux de Chrysaor. Son... élasticité en revanche était une grande nouveauté mais s'allonger lui demandait plus de temps que Poséidon n'en avait besoin pour esquiver. Il s'empara d'un pied de l'homme pendant que celui-ci était à sa portée et tenta de lui donner un coup de trident, mais il s'aperçut bien vite que c'était peine perdue. Ce fut alors une boule de flamme qui sortit de ses joues. Le maître des eaux la dévia d'une simple rafale de vent et la dissipa totalement.

"De nature pacifique ? Avec cet ornement autour du cou ? Permettez-moi d'en douter. Qui que vous soyez, je n'ai pas de temps à perdre et je dois aussi remporter absolument ce tournoi. Dans votre intérêt je vous suggère d'abandonner."

Se servant de l'eau restée au sol après sa première attaque, Poséidon lança une série de gouttelettes d'eau à l'assaut de l'Indien tatoué à une vitesse fulgurante. Elles rentraient par les pores de sa peau et les faisait éclater de l'intérieur, à un niveau si infime que l'on aurait pu croire que l'homme se mettait à saigner tout seul, sans intervention extérieure.

~~ Hydrolyse, 20 cs ~~

"Dites-moi ce que vous convoitez. Peut-être pourrons-nous nous arranger. Je ne veux qu'une seule chose dans ce tournoi qui n'est ni la gloire ni la richesse. Et ce n'est pas mon ridicule mécène qui s'en plaindra."

Coups reçus : 0
Coups parés : 25
Coups donnés : 20 x 2 (pas d'armure) + 5 (annulés)

Vie : 280
Cs : 272 - 5 (parade physique) - 20 - 20 + 10 = 237
Armure : 630

Cs totaux utilisés (comme il s'agit d'un tournoi où j'enchaîne les combats, je considère que les cs s'accumulent avec les combats précédents) : 90

Défense de Poséidon 2 (avec effet facultatif), 5 à 40 : Pacific stream (Le courant du Pacifique) =>
Utilisée normalement, cette défense crée un mur venteux suffisamment rapide pour dévier toute étincelle de cosmos qui le frôle et ainsi dévier les coups de son adversaire.

Note wikipédia : L'océan Pacifique est l'océan le plus vaste du globe terrestre. Il comprend entièrement l'Océanie et quelques autres îles et archipels qui traditionnellement font partie de l'Asie (Japon, Philippines, Insulinde). Le Pacifique sud est parcouru par une oscillation thermique encore mal expliquée connue sous le nom d'El Niño (tous les deux à cinq ans, contrecarré par La Niña), qui exerce une influence importante sur le climat. El Niño, et son pendant atmosphérique l’oscillation australe, donnent le phénomène qui est la variation climatique la plus importante de cet océan. L’effet de ce dernier se reflète non seulement dans tout son bassin mais également déborde vers les autres régions du globe par le déplacement de la circulation atmosphérique qu'il cause.

Attaque faible de Poséidon 3, 10 à 20 pts de cosmos : Hydrolyse
Le principe de l’hydrolyse est de décomposer une particule avec de l’eau. De la même façon, Poséidon vient taillader son ennemi en décomposant son corps au niveau moléculaire. La plaie est à peine perceptible, mais la douleur aussi nette qu’après la piqûre du scorpion.

L'étranger au trident n'était pas un homme comme les autres. Bravha en était maintenant convaincu. Son adversaire n'avait rien avoir avec le précédent qu'il avait vaincu sans difficulté. Celui-ci était d'une toute autre catégorie. Rien qu'à voir la façon dont il avait chassé sa boule de feu à l'aide d'un gros coup de vent signifiait qu'il était capable de tour de passe-passe impressionnant comme le faisait l’hindou en crachant des flammes hors de sa gorge. Si ses techniques efficaces contre le commun des mortels ne fonctionnaient pas, cela signifiait que le pacifiste allait devoir avoir recourt à son arcane la plus puissante, celle qui lui assurerait à coups sûr la victoire dans ce combat. Avant d'avertir son adversaire du danger qu'il encourait, l'homme reprit ses coups puissants portés à l'aide de ses bras et ses jambes à rallonge. La première fois, Bravha avait été surpris que l'ennemi parvienne à arrêter ses coups de poings et des pieds. Habituellement, le simple effet de surprise suffisait à percer la défense adverse mais cela n'avait pas été le cas cette fois-ci. Une fois ses coups physiques envoyés, l'homme recroisa les bras et ferma les yeux. Il lévita plusieurs secondes sans rien dire puis il mit ses deux mains paumes ouvertes et tournées vers Poséidon comme pour le mettre en garde. Sa voix se fit entendre alors. Elle était douce et paisible . Sans doute, le calme avant la tempête.

"Ces crânes symbolisent la pauvreté et la famine qui touche mon village. Je n'ai nullement fauché leur vie. Que vous m'insultiez m’importe peu mais respectez au moins la mémoire de ces pauvres défunts. Si je participe à ce tournoi, c'est pour gagner de quoi irriguer les terres de mon hameau et d'acheter des graines pour planter et faire fructifier nos cultures. Nous pourrons peut-être même nous payer le luxe de faire venir un médecin. Vous comprenez maintenant pourquoi je ne peux pas échouer. Je vais maintenant vous porter un coup fatal. Je ne pensais pas devoir m'en servir avant la finale mais vous m'y contraignez. Je suis désolé. Votre courage n'a d'égale que votre talent et je prierai pour votre âme et votre salut. Oooooooooooooohm !"

L'homme disparu totalement du champ de vision de Poséidon et soudain tout devint noir autour du dieu Olympien. Il se trouvait à présent dans un noir total et absolu. Il faisait froid et chaud en même temps. Humide et sec à la fois. C'était une sensation bizarre. Poséidon eut ensuite l'impression que des milliers de l'âme pénétraient sa chaires. Cela ne dura qu'une seconde en réalité mais pour la divinité le temps écoulé semblait être des heures. Lorsqu'il revint à la réalité l'homme lévitait à quelques mètres de lui, l'air toujours aussi calme.


Attaque : Travel to the dark 60 pts de cosmos (effet : handicap de 10 pts sur la prochaine attaque cosmique)

Pv : 80 – 40 = 40

Cs : 70 – 60 (travel to the dark) + 10 = 20

Coups donnés : 60 (travel to the dark)+ 5 (coups physiques) + 5 (perte de cosmos)
Coups reçus : 20 x 2 = 40
Coups parés : 0

Poséidon fut légèrement surpris par la technique de son adversaire. Cela sentait le cosmos inexploité, à l'état brut. Il resta stoïque et attendit patiemment que les ténèbres se dissipent, après avoir esquivé les membres à rallonge de l'Indien. Les sensations contraires se bousculaient, mais le dieu savait que ce n'était ni la peur ni le climat qui les provoquait. Aux yeux des spectateurs, il ne s'était rien passé, ni pour lui, ni pour l'autre. Ils se dévisageaient simplement en chiens de faïences pendant de longues secondes sans rien dire. Puis, le dieu des mers et océans revint à lui. Un sourire transparut sur ses traits.

"Je te félicite, ta technique est bien choisie. Cependant, tu ne sais pas à qui tu te frottes. J'ai le pouvoir de rendre à tes champs non seulement l'humidité mais aussi la fertilité. Je peux faire pousser pour ton village des plantes médicinales et t'enseigner leur utilisation, mais à la condition que tu cesses ce combat sur-le-champ. Si tu le souhaites je pourrais même sceller ce pacte d'une marque inviolable jusqu'à ce qu'il soit accompli. Si tu refuses, je consens à te laisser la vie, mais trop de témérité de ta part te conduirait à la mort, comme Diego Montoya. Que choisis-tu ? Je ne peux pas me permettre de perdre ce tournoi, la liberté d'un être cher à mon cœur en dépend. Et rien ne m'arrêtera pour la lui rendre."

L'air se mit à tourbillonner de nouveau autour des deux adversaires. Poséidon tournait autour de l'Indien comme un lion qui attend de pouvoir dévorer sa proie. Il leva son trident d'un geste rapide et une souffrance aiguë s'empara de l'homme aux mœurs pacifiques. Il sentit à son tour des sensations très contraires, entre la douleur de recevoir comme des milliers d'aiguilles microscopiques et l'étrange vide d'énergie qui se faisait absorber lentement.


(Si le pnj accepte d'arrêter le combat, je ne lance pas mon attaque forte, et dans tous les cas je lui laisse la vie sauve en Rp)

Coups reçus : 60
Coups parés : 5 (physiques)
Coups donnés : 20 dégâts x 2 + 10 de vie à Poséidon s'il n'y pas de parade

Vie : 280 - 60 = 220 (+ 10 si attaque forte réussie)
Cs : 237 - 40 - 5 (parade physique) - 5 (effet 7e sens) + 10 = 197
Armure : 630 - 60 = 570

L'homme au trident avait fait son discours. Son raisonnement était tout à fait logique malheureusement il y avait un petit hic. Comment allait-il pouvoir tenir toutes ses promesses ? Ce qu'il promettait n'était possible que pour un dieu ou un homme très riche. Un homme possédant une véritable fortune ne s'abaisserait sûrement pas à participer à un tel tournoi mais se contenterait d'engager un champion. Son propre mécène était un riche maharadja qui faisait participer Bravha pour son propre plaisir, lui promettant de régler tout ses problèmes en cas de victoire. Seul un dieu pourrait accomplir un exploit pareil mais les dieux n'étaient pas de ce monde. Parfois il s'incarnait dans des êtres humains, des avatars ! Cet homme serait-il l'un d'eux ? Poséidon avait survécu à sa plus puissante technique et ce sans même montrer un signe de faiblesse et il avait paré la totalité de ses coups ce qui signifiait qu'il n'était pas un être humain normal et normalement constitué. Ce n'était sûrement pas un dieu mais il possédait un véritable pouvoir et l’hindou était impuissant face à lui. Il fallait qu'il gagne mais s'il ne revenait pas à son village, personne ne veillerait plus sur les villageois et personne ne les informerait jamais de sa mort. De plus, la vie d'une autre personne semblait en jeu et l'étranger se battait pour une cause qui semblait noble et juste. Lorsqu'il ressentit une douleur similaires à des millions d'aiguilles, Bravha poussa un cri de douleur et tomba au sol. Il se releva sous l'effet de la souffrance et éructa quelques mots.

"J'aband ... do .... j'abandonne !"

Lorsque le dieu des mers relâcha son attaque l'homme venu d'Inde se releva et se mit à danser à la fois pour célébrer la victoire de Poséidon et son courage mais aussi pour honorer les esprits des défunts qu'il venait de décevoir. Sa danse était assez particulière et peu d'homme aurait certainement réussi à l'imiter à travers le monde. Après une trentaine de seconde de danse intense, l'hindou s'approcha de Poséidon et posa pendant quelques secondes une main pacifique sur l'épaule de ce dernier. Il s'adressa ensuite au seigneur des mers sur un ton calme et apaisé.

"Votre cause semble juste tout comme la mienne et ma mort est inutile puisque vous désirez subvenir aux besoins de mon village. Vous êtes un homme bon et je vous fais confiance. Faites moi honneur et remportez ce tournoi. Après votre victoire, je vous retrouverai pour que nous puissions nous attaquer aux problèmes de mon village. Paix et amour sur votre personne et vos actions."

La foule commença à huer le guerrier venu d'Inde qui s'en alla paisiblement sans s'offusquer par les huées. Poséidon lui fut applaudit. Il pouvait à présent retourner dans sa tente pour manger, boire et se reposer avant d'attaquer la prochaine journée de combat.

Consigne : Tu as quartier libre jusqu'au lendemain et tu as droit à une récupération divine pour symboliser ton repos.

La sagesse eut raison de l'Indien et Poséidon inclina la tête pour saluer sa décision sans trop en faire. Lorsque l'homme dansa puis posa une main sur son épaule, le dieu des mers et océans posa la sienne par-dessus et glissa une graine entre ses doigts. Fertile, elle serait la base de nouvelles cultures dans son village et donnerait au sol les minéraux dont il avait besoin. Et si les paysans savaient cultiver la terre de manière durable, ce bienfait les nourriraient des années et des années. C'était à eux maintenant de prendre en main leur savoir-faire. Une simple pluie de quelques jours feraient fleurir les premiers bourgeons, et cela Poséidon pouvait le promettre sans crainte.

Restant de glace face aux ovations, le souverain des eaux jeta un coup d’œil vers le gros mécène qui semblait se régaler de la situation et de son morceau de viande habituel. L'Ebranleur de terre se laissa reconduire à sa tente où il s'allongea quelques heures pour dormir un peu. Il alla ensuite se promener dans le camp, toujours à la recherche du cheval dont il convoitait la liberté. Il avait de nouveau retiré son écaille et pris l'apparence factice du nomade à la carrure imposante. Il y avait ça et là paris et jeux d'argent, luttes amicales, bras de fer, récits de vieux baroudeurs. Bref, le campement était plutôt vivant et dignes des temps anciens.

Écoutant l'appel de la nature, le maître du monde marin sortit de l'enceinte de bois qui délimitait la civilisation et partit marcher dans la plaine, jusqu'à un rocher plat surmontant une colline. Il s'y assit et se mit à humer l'air, regarder les nuages et ressentir la pesanteur à mesure que le temps passait. Lorsque la nuit vint, il rentra, mangea de bon cœur le repas qu'on lui avait servi, sans cheval ni poisson, puis se laissa emporter par Morphée et Phantasos.

Vie : 220 + 10 (pas de parade à l'attaque forte) + 10 (récupération journalière) + 240
Cs : 197 + 10 (récupération journalière) = 207
Armure : 570 + 5 (récupération journalière)

Cs totaux utilisés jusqu'à maintenant : 130

"Réveillez vous étranger, réveillez vous ! C'est l'heure de votre combat et vous avez déjà du retard."

Une voix calme et légèrement inquiète. Un visage juvénile surmonté d'une sorte de petit casque à pointe en dessous duquel pouvait se voir deux yeux de cocker. Au premier coups d’œil, Poséidon pût reconnaître le jeune garde qui lui avait parlé des différents participants au tournoi et inutile de dire qu'il semblait à la fois perturbé par le réveil tardif du champion mais aussi admiratif de se trouver une nouvelle fois en sa présence. Le soldat tenait une petite bassine d'eau et la déposa non loin du lit de Poséidon afin que celui-ci puisse, s'il le désirait faire une rapide toilette. Il se détourna par pudeur et commença à parler sur un ton remplit d’excitation. Les choses qu'il allait révéler au champion était de la plus haute importance pour la suite de son combat. Son bégaiement de la précédente fois avait cependant disparu ce qui prouvait que soit l'homme avait prit confiance en lui ou qu'il n'avait plus peur de se retrouver embrocher au bout du trident de la divinité olympienne qui régnait sur les mers de ce monde.

"Le maître a réussit à connaître l'identité de votre futur adversaire en graissant soigneusement la patte de l'un des organisateurs. Il s'agit du monstre ramené de la foret amazonienne. Il a déjà réduit en charpie tous ses adversaires. Je sais que vous êtes très fort et le champion de notre maître mais je vous en prie faites attention à vous. C'est un véritable animal qui n'a plus rien d'humain si ce n'est encore un peu l'apparence. Si vous voyez que le combat tourne mal, abandonner ou vous risquer de perdre la vie ce qui serait regrettable pour vous même et tous les gens qui vous admire, comme moi par exemple."

Une fois la confession faite et le champion prêt à partir, le garde accompagné par trois autres qui arrivèrent quelques minutes plus tard, partirent accompagner Poséidon jusqu'au ring. Lorsqu'il arriva au milieu de la surface de combat, une cage toujours voilée était posée à l'entrée du ring. L'officiel se mit rapidement à parler pour présenter le combat qui s'annonçait somme toute passionnant.

"Pour ce quart de finale nous allons voir s'affronter l'étranger au trident et le terrible monstre qui a semé la terreur en Amazonie. Il est puissant, monstrueux, véloce et carnassier. Je vous demande d'applaudir « El verde »."

Deux hommes s'approchèrent de la cage et firent tomber le tissus qui la recouvrait, ils ouvrirent ensuite la porte et s’enfuirent à toute jambe. La chose qui en sorti avait été humaine par le passé mais ressemblait à présent à une bête sauvage dont la peau avait prit la teinte la plus dominante dans la forêt vierge : le vert. La bête hurla et montra les crocs , bavant comme un être affamé prêt à fondre sur sa proie.

Consigne : jette un dés pour ta récupération divine et un second pour calculer le niveau de ton adversaire.

Ce fut après une chevauchée fantastique sur le dos d'Arion et en compagnie de Delphinos que Poséidon s'éveilla. Sorti de ses songes par une petite voix, il perdit le sourire béat qui ornait son visage en revenant à la réalité. Et quelle triste réalité que de devoir se battre et perdre du temps contre de simples mortels, même avec des dons particuliers...

Il avala rapidement un peu d'eau et des fruits sucrés qui lui donneraient le tonus nécessaire, fit une toilette de son visage - hors de question de laisser apparaître son corps divin à la lumière en présence d'un mortel - puis écouta avec attention le jeune garde. Un monstre venu d'Amazonie ? Abandonner ou perdre la vie ? Voilà un problème bien loin de lui plaire.

Une fois de plus il suivit sa garde rapprochée jusqu'au ring où le présentateur ne fit pas durer les présentations. La bête apparut au grand jour, baveuse, affamée sans doute pour la motiver à combattre, forte mais pas forcément intelligente, bien qu'il n'était jamais très sage de juger un adversaire sur son apparence plutôt que des faits.

"Plutôt... exotique. Si tu as un semblant de langage, créature, sache que tu vas mordre la poussière, je serai sans pitié."

Le dieu des mers et océans se vêtit de son écaille, comme à chaque fois pour intimider l'adversaire, puis frappa du pied sur le sol. Au début sans effet, ce simple petit effet de cosmos fit perdre l'équilibre à la bête qui s'enfonça tout à coup dans une boue sableuse.


Coups reçus : 0
Coups parés : 0
Coups donnés : 20 x 2 (sans armure)

Vie : 240 + 70 (récup divine) = 310
Cs : 207 + 70 (récup divine) - 20 + 10 = 267
Armure : 575

Cs totaux utilisés : 150

Attaque faible de Poséidon, 10 à 20 pts de cosmos : Moving earth (Terre mouvante)
Poséidon humidifie le sol sous les pieds de son adversaire pour en faire un sable mouvant qui réduit sa mobilité et l’engloutit petit à petit. Plus l’adversaire se débat, plus sortir de ce piège est difficile.

H.S. : Il me semble que la récupération divine ne fonctionne que pour les pv et cs et non les pa.

La boue était peut-être un moyen d'emprisonner un être humain normal mais El Verde n'en était pas tout à fait un. C'était un animal qui avait vécu la majeure partie de sa vie dans la terrible jungle amazonienne et avait apprit à survivre à ses prédateurs, à ses nombreux pièges et même aux tribus locales. Il n'eut aucun mal à s'extraire du sol et à bondir tel un véritable félin montrant ses crocs carnassiers. Il souffrait tout de même de cette attaque surprise et ne comptait pas laisser son adversaire indemne face à cet affront fait à son cerveau reptilien. Un hurlement carnassier sortit de sa gueule ainsi qu'une écume de bave repoussante. On aurait pût s'attendre à une attaque directe, frontale à coups de griffes ou de dents acérées mais le monstre n'en fit rien. Son corps fut entouré d'un halo jaune bref et presque imperceptible et d'un coup le seigneur des mers ressentit une décharge au niveau de chacun de ses membres ainsi qu'à son visage. Une véritable impression d'être traversé tout entier par un puissant courant électrique l'envahit mais l'effet ne dura que quelques secondes. Il en faudrait certainement plus pour terrasser le seigneur de l'Atlantide. La foule n'avait même pas remarqué que l'étranger au trident avait encaissé quelque chose. Le sauvage d'Amazonie n'était pas un véritable showman comme l'était son adversaire. La foule allait sûrement prendre de nouveau la cause de Poséidon qui était plus enclin à la faire vibrer tel un diapason.

Le sauvage se roula en boule et commença à tournoyer sur lui même. Était-ce une sorte de danse étrange que l'on pouvait observer chez certaines espèces animales que ce soit pour la séduction ou autre ? Pas tout à fait, c'était plutôt le début d'une attaque. Happé par la force centrifuge et transformé en véritable boulet de canon, El Verde, s'élança à une vitesse folle contre Poséidon, atteignant la vitesse du son. Voilà qui était surprenant pour un individu qui ne semblait pas éveillé au cosmos d'un premier abords ni servir un dieu. Et pourtant, c'était bien une forme primitive de cosmo énergie qu'avait utilisé le monstre. Il faudrait donc s'en méfier un tantinet. La bête recula ensuite et tapa son torse avec ses deux « pattes » avant à la manière d'un gorille qui voudrait montrer à tous ceux de son espèce qu'il est le mal dominant du clan et que ce n'était pas cet étrange homme avec son trident qui allait lui voler sa place. S'il tentait de se mettre en travers de sa route, le monstre n'en ferait qu'une bouché. Si vite avalé, si vite digérer. L'aura de la créature ne cessait d'augmenter en répandent un champ d'électricité statique tout autour de la surface de combat. Cette bestiole était de plus en plus surprenante. Tout œil avertit devait bien l'admettre. Son instinct primitif avait élevé le monstre à un statut de force bien supérieur à ceux du péquin moyen.

Attaque : Roulé-boulé : 20 points de cosmos


Capacité spéciale : Le champ d'électricité statiques place un handicap de 5 sur toutes les défenses cosmique de son adversaire.


Pv : 120 – 40 = 80
Cs : 120 – 20 + 10 = 110

Coups reçus : 20 x 2 = 40
Coups parés : 0
Coups donnés : 20 (roulé-boulé) + 5 coups physiques.

(hrp : Oui pardon ^^" j'ai répondu un peu vite, je vais éditer)

Le dieu esquissa un sourire, stimulé tout à coup par la faible décharge électrique qu'il venait de recevoir. L'attaquer de front était une grave erreur, et tout comme son premier adversaire, la bête allait l'apprendre à ses dépends. El Verde percuta le dieu des mers et océans qui ne recula que d'un pas ou deux mais lui laissa une bonne douzaine de lacérations en souvenirs, dont certaines très larges sur tout le corps. "Le Vert" devenait peu à peu rouge.


Puisque le public voulait du spectacle, Poséidon allait lui en donner. Il adopta une vitesse supérieure à celle du son et savoura l'expression du sauvage lorsqu'il se rendit compte tout à coup que son adversaire venait d'apparaître devant lui, le trident braqué en avant. L'arme s'enfonça sans ménagement dans ses côtes et ses jambes pour l'empêcher de se mouvoir convenablement et lui permettre de réfléchir à deux fois la prochaine fois, à condition qu'il sache réfléchir. Puis, le souverain des eaux planta son arme au sol et donna un coup de poing puissant dans la mâchoire d'El Verde, et un autre, puis un coup de talon dans le plexus solaire et encore un enchaînement qui devint de plus en plus rapide. Pour le sauvage, c'était comme une ruade de cheval enragé. L'attaque alliait la grâce de l'équidé à la force du sabot sans oublier la souplesse et la rapidité, avec une grâce naturelle qui n'était pas sans rappeler étrangement celle du cheval légendaire qui n'attendait que son vainqueur dans l'enclos.

*Cette attaque est pour toi, fils, pensa Poséidon, je serai bientôt là, sois patient."


D'un dernier tour sur lui-même, le créateur de l'Atlantide précipita son coude avec tout son élan dans le cou de la créature qui fit un merveilleux vol plané de vingt mètres en arrière. Il reprit ensuite sa position initiale et récupéra son trident nonchalamment.


Coups reçus : 25
Coups parés : 0
Coups donnés : 15 imparables (effet défense avec malus) + 30 x 2 (sans armure) + 5 (physiques) = 15 + 65 parables

Vie : 310 - 25 = 285
Cs : 267 - 20 - 30 + 10 = 227
Armure : 575 - 25 = 550

Cs totaux utilisés : 150 + 50 = 200

Défense de Poséidon 5 à 40 : Illusion venteuse
Poséidon encaisse tous les dégâts causés par son adversaire mais ceux qu’il défend sont également infligés à son adversaire grâce à une illusion lancée par le dieu des océans.

Attaque moyenne de Poséidon 3, 20 à 30 cosmos : Horse gallop (Le galop du cheval) => Au moyen d'une rafale de coups, le dieu submerge l’adversaire et lui donne l'impression à de s'être fait complètement piétiner.
Note : Le cheval est un des attributs de Poséidon.

Le corps du monstre fut bardé de coups ce qui lui arracha un cri de douleur et de rage. Ce n'était pas vraiment une bonne idée de le frapper si faiblement, comme si l'on désirait jouer avec lui. Cela ne faisait que renforcer sa rage et sa frénésie ce qui risquait de faire assez mal si El Verde passait le cap de non retour. Ce ne fut cependant qu'une pâle entrée par rapport à la véritable ruade digne d'un pur-sang qu'infligea ensuite Poséidon à la bête qui se retrouva propulser plusieurs en arrière étendue sur le sol. Le coup avait été violent et la foule pensait déjà que le combat était terminé et applaudissait l'Olympien à tout rompre. Ils poussèrent tout de même un cri d'effroi lorsqu'ils virent le monstre se relever et afficher une mine enragée, comme s'il se portait comme un charme. La bestiole se mit à courir à quatre pattes et fonça sur Poséidon pour venir agripper à son corps tel un koala sur un tronc d'arbre. Une image assez mignonne pour une créature qui était loin de l'être. Tel une anguille, El Verde électrisa sa proie tout en donnant de puissant coups de dents pour tenter d'attraper l'artère jugulaire de Poséidon. Frappé un prédateur était toujours le meilleur moyen de déclencher chez lui la faim et ses mécanismes de défense. Si jamais le monstre venait à remporter ce match, il serait le premier à vouloir se faire un petit « tartare de Poséidon » comme plat principal. Lorsqu'il lâcha son étreinte, la bête de l'Amazonie recula et frappa le sol avec ses poings tout en poussant un hurlement qui fit taire la foule, un cri à glacé le sang et les esprit. Était-ce le dernier soubresaut d'une bête qui allait mourir ? Non ! C'était bien plus que cela !

L'atmosphère devint totalement électrique au premier sens du terme. Le courant installé précédemment par le monstre l'entourait totalement. Il sembla disparaître une fraction de seconde pour submerger totalement la surface du ring et même dans les premiers rangs du publiques. L'intensité électrique fut véritablement impressionnante et Poséidon pût en ressentir toute la douleur atroce parcourir toute son échine. Aucun centimètres de sa peau ne fut épargnée par cette terrible attaque, véritable hymne à la sauvagerie et à El Verde. Tous les spectateurs qui furent touchés par le courant succombèrent sur le coup ce qui provoqua une véritable émeute. La peur s'emparait de 90 pour cent des fan de combat. Les dix pour cent restant exhortèrent Poséidon à prendre la vie de la créature qui avait osé ainsi s'en prendre à eux. Si Poséidon gagnait, il aurait droit à une nouvelle standing ovation et la foule serait alors totalement acquise à sa cause. Le dieu passait déjà pour un véritable candidat au titre. A ce statut viendrait s'ajouter celui de héros. Même si ce genre de chose ne devait pas représenter grand chose pour un être millénaire comme Poséidon, il était toujours bon de flatter un peu son ego que l'on soit un simple mortel ou un dieu.

Attaque : Foudre primitive : 60 points de cosmos pour 70 dégâts


Capacité spéciale : Le champ d'électricité statiques place un handicap de 5 sur toutes les défenses cosmique de son adversaire.


Pv : 80 - 15 = 65
Cs : 110 - 30 - 5 - 60 + 10 = 25

Coups reçus : 30 (x 2) + 15 + 5 = 50 (+30)
Coups parés : 35
Coups donnés : 70 (foudre primitive) + 5 (coups physiques) = 75

Le dieu des mers et océans était ressorti fumant de la décharge électrique. L'attaque était si soudaine qu'il avait été impossible de l'éviter, et la créature disposait d'une puissance cachée assez impressionnante. Malheureusement pour elle, elle venait de faire l'erreur qui allait lui coûter la vie. Le regard bleu lapis-lazuli du souverain des eaux devint de glace et se posa dans celui d'El Verde de façon si noire que même un primitif comme lui put ressentir la peur face à l'être divin. Menaçant, Poséidon pointa son trident en direction du sauvage.

"Adieu."

Le vent se mit à souffler violemment autour de l'Amazone qui ne pouvait déjà plus bouger. La terre se mit à gronder progressivement, laissant s'effondrer plusieurs tentes mal piquées en terre. Les civils eux-mêmes durent s'accrocher aux barrières pour ne pas tomber. Poséidon abattit son trident devant lui, créant une large faille qui engloutit El Verde, puis des lianes poussèrent et l'entravèrent afin que jamais il ne puisse remonter à la surface. Ce n'était qu'un mince aperçu de la puissance divine et pourtant elle réduisit son adversaire au silence, ainsi qu'une bonne partie des mécènes, participants et spectateurs. Avec un peu de chance, cela effraierait tellement le prochain adversaire que Poséidon n'aurait même pas à livrer bataille.

Les secousses stoppèrent avec la colère du maître des eaux qui n'avait même pas laissé de cadavre à enterrer. On ne portait pas la main sur un dieu impunément et cette faute allait peut-être propulser ce dernier directement en finale, avec de la chance. Poséidon fit refermer la faille et abaissa son trident pour signifier que tout était fini.


Coups reçus : 70
Coups parés : 5
Coups donnés : 50 x 2 ( sans armure) = 100 imparables.

Vie : 285 - 70 = 215
Cs : 227 - 5 - 60 + 10 = 172
Armure : 550 - 70 = 480

7ème sens de Poséidon : L’Ébranleur de terre. Attaque imparable.
Au moyen de secousses marines, de fortes bourrasques de vent et des forces les plus enfouies de la terre, Poséidon déclenche un séisme d’une ampleur formidable qui mérite qu’on le surnomme « Ébranleur de la terre ». Le sol s’effondre sous les pieds de l’ennemi et se referme sur lui avec violence.

C'était fait ! Poséidon était qualifié pour les demi-finale. La bête de la forêt vierge était bel et bien morte enterrée de surcroît. Le maître des océans n'avait pas fait dans la dentelle en enfouissant vivant El Verde six pieds sous terre. Le silence régnait à présent et il fut seulement perturbé par le bruit du monstre qui se débattait. D'un coups le sol revint à la normale et produisit le même son que lorsqu'on écrase une grosse araignée d'un coups de sommeil, suivit d'une belle éclaboussure rougeâtre qui ne pouvait être que du sang. El Verde avait été écrabouillé par le retour de l'attaque de Poséidon et sa vie de prédateur avait prit fin. Une vengeance pour toute celle qu'il avait fauché. Se fut ensuite une véritable déferlante de cris où se mêlait à la fois la peur et la joie. Certains avaient peur de le regard de l'Olympien alors que d'autres n'avaient qu'une envie : le toucher pour bénéficier un peu de sa gloire céleste. Cela ne sembla pas pour autant désorienter les organisateurs officielles car leurs gardes vint chercher Poséidon pour le conduire dans sa tente qui n'était elle pas tombé à cause du tremblement de terre. Des hommes s'affairaient dans tous les coins du camp pour remettre en place toutes les habitations qui avaient été mises à terre voir détruites. Un nouveau festin de roi attendait la divinité. Il pût manger une petite heure et se reposer quelques autres avant que ne se pointe le jeune garde qui venait toujours le conseiller.

"Vous avez gagné à nouveau ! Vous êtes véritablement fort ! Il ne vous reste plus qu'à décrocher deux victoire pour décrocher la victoire finale. Mon maître aurait voulu vous remercier personnellement mais il a trouvé une délicieuse sucrerie qu'il lui tardait de goûter et connaissant son appétit délicat, il risque d'être occupé jusqu'à votre prochain combat. Vous allez devoir affronter un membre des Min-Keï. Un groupuscule d’assassin venu tout droit du Japon. On dit qu'il maîtrise des arts inconnus des autres hommes et que sa puissance est sans pareil. Les illusions tout comme les attaques aux corps à corps et directes sont sa spécialité. On dit aussi qu'il est capable de glacer l'air d'un seul regard."

L'homme s'inclina bien bas et repartit sans demander son reste. Il fallu une bonne demi heure après que les informations soient parvenues à Poséidon pour que les gardes officiels refassent leur apparition pour conduire le seigneur des mers face à son dernier combat de la journée. Il était de temps de remplir cette dernière tâche de la journée. Avec un peu de chance peut-être que le « ninja » se serait enfouit même s'il y avait très peu de chance pour que cela se produise. Le dernier carré était constitué des meilleurs guerriers du tournoi et non de pleutres !

Poséidon fut donc amené dans son lieu de prédilection du moment : le ring du campement où attendait déjà un homme vêtu d'un drôle d'accoutrement bleu et d'un masque recouvrant la moitié de son visage alors qu'une sorte de cagoule recouvrait le reste ne laissant finalement apparaître que ses yeux et quelques centimètres de peau. Il attendait impassible, les bas croisés comme s'il s'ennuyait de se trouver dans ce lieu et que son adversaire n'arrivait pas assez vite à son goût. Une fois que Poséidon fut renté sur le ring, l'officiel présenta le match de sa litanie et son ton monotone habituel qui fut un peu couvert par les applaudissements de la foule lorsqu'il parla de Poséidon. Le ninja afficha le même regard totalement blasé par la situation. Il semblait aussi calme et frigide que l'hiver qui frappait les plaines de Sibérie. Son nom comme celui de l'Olympien était inconnu ce qui signifiait qu'il désirait même garder sa réputation inconnue. Quoi de plus naturel pour un assassin dont le sens de la discrétion et l’efficacité était les qualités premières.

"Pour cette demi-finale, vous aurez l'occasion de voir se battre l'étranger au trident dont la puissance et les techniques ont démontrés leur efficacité tout au long de ce tournoi ainsi que le ninja, dont nous ignorons le nom, du clan Min-Keï. Ses capacités plus que particulière ont démontrés pourquoi les membres de ce clan sont à ce jour les meilleurs assassins que l'on puisse trouver sur Terre. Que le combat commence !"

L'homme ne prononça aucune parole mais la température de l’atmosphère autour de Poséidon descendit rapidement en dessous de zéro. Une couche de givre se forma sur la peau et l'armure de la divinité Olympienne pendant qu'une brume froide séparait les deux opposants masquant totalement la visibilité du propriétaire du trident. Le Ninja en profita alors pour apparaître plusieurs fois et frapper le grand patron des Marinas de façon précise et perçantes. La brume se rassembla ensuite en un seul point ce qui rendit une bonne visibilité à la divinité. D'un coup, la brume explosa rependant des milliers de cristaux de glaces qui fondirent tous dans la même direction : le corps de l'adversaire du Ninja.

"Ta route s'arrête ici, guerrier. Mon camp va prouver par ce tournoi que notre organisation produit les plus puissants guerriers de cette planète. En nous emparant de la meilleure arme sur Terre et de la meilleure monture, notre chef deviendra l'être le plus puissant au monde et il pourra soumettre l'humanité à sa botte. Un nouvel ordre mondial s'établira sur cette planète et le sacrifice de ta vie permettra mettre une première pour la construction de cette édifice."

Le Ninja posa ses mains l'une contre l'autre et disparu à nouveau dans sa brume se dissimulant dans son écran de brume. La foule comme Poséidon n'arrivait plus à situer sa position visuellement. Heureusement que la divinité possédait d'autre don bien plus pratique lorsqu'il s'agissait à localiser un énergumène qui voulait se soustraire à son regard.

Capacité spéciale : grâce à la brume spéciale, les deux premières attaques de Poséidon auront un handicap de 5 pts.

Attaque : Brume aiguisée  30 pts de cosmos (élément Glace).


Pv : 175
Cs : 175 – 30 + 10 = 155

Coups donnés : 30 + 5 (coups physiques) : 35
Coups reçus : 0
Coups parés : 0

Le dieu des mers et océans laissa son adversaire croire qu'il prenait le dessus. Sa technique laissait présumer qu'il était manipulateur de cosmos confirmé, même s'il n'était aux ordres d'aucun dieu et ne possédait pas d'armure. Habitué à produire de la brume, Poséidon n'eut aucun mal à repérer les mouvements de son ennemi, à les comprendre et à les surprendre alors que le ninja se pensait à l'abri. Il était encore un peu fatigué de son combat contre El Verde, une sieste ne lui aurait pas fait de mal, mais il avait encore la force d'infliger une solide correction à cet énergumène.

Les cristaux de glace ricochèrent sur son écaille, à l'exception d'un ou deux qui fendillèrent ses joues puis gelèrent l'ichor qui commençait à couler. Le dieu entra dans la brume afin que ce léger détail ne soit pas remarqué par la foule, puis le sol se remit à trembler comme lors de la matinée.

"Tu es voué à l'échec. Sache tout d'abord que la meilleure des montures est mienne. Ensuite, le sabre de Gengis Khan est loin d'être la meilleure arme. Une lame qui a fauché beaucoup de vie n'est pas forcément une lame efficace si elle n'est pas maniée par celui à qui elle est destinée. Et même cela ne t'empêchera pas de la voir se briser. Enfin, et c'est le plus amusant, j'ai déjà purifié la Terre une fois. Cela n'a rien donné : tant que des Hommes seront corrompus et avides tels que toi, aucun ordre mondial ne pourra être instauré. Renonce ici même ou meurs."

De nouveau le sol s'entrouvrit et des lianes vinrent lier les chevilles du ninja une fois celui-ci repéré par les sens divins de Poséidon. Trop vif et trop robuste pour être terrassé en un coup, le mortel se vit propulsé contre terre par dizaine de fois. Les plantes étaient sans répit et le firent tournoyer aussi facilement qu'un grain de pollen. Puis, lorsque le dieu des mers et océans leur ordonna le repos, il saisit l'imprudent par la gorge et se mit à serrer violemment. La pointe principale du trident vint lui relever lentement le masque puis découper méthodiquement son accoutrement ridicule. Enfin, le Min-Keï se retrouva à voler hors de sa brume grâce à un coup puissant du genou en plein estomac. Un vent glacé souffla sur l'arène.

Coups reçus : 35
Coups parés : 0
Coups donnés : 55 (7e imparable avec malus) x 2 (sans armure) + 5 (coups physiques) = 115

Vie : 215 - 35 = 180
Cs : 172 - 60 = 112
Armure : 480 - 35 = 445


7ème sens de Poséidon 60 pts de cosmos : L’Ébranleur de terre. Attaque imparable.
Au moyen de secousses marines, de fortes bourrasques de vent et des forces les plus enfouies de la terre, Poséidon déclenche un séisme d’une ampleur formidable qui mérite qu’on le surnomme « Ébranleur de la terre ». Le sol s’effondre sous les pieds de l’ennemi et se referme sur lui avec violence.
Du fait de ses blessures et de l’instabilité du sol, l’adversaire ne pourra pas se défendre au prochain tour.

Le Ninja subit le même sort qu'El Verde mais au contraire du monstre, il était toujours debout, frais et dispo. Bien évidemment il saignait sous sa combinaison et avait reçu plusieurs blessures plus ou moins grave. Il allait devoir prendre plusieurs semaines de repos après ce combat mais il ne devait pas perdre. Il y avait d'ailleurs plusieurs raisons à cela. La première était sa fierté personnelle ainsi que son honneur. La seconde était que s'il perdait, le maître risquait de lui faire souffrir mille mort avant de le tuer ce qui était plus qu'effrayant. Troisièmement, un seul des adversaires de l'étranger au trident avait survécu à leur affrontement et ce en abandonnant ce qui signifiait qu'en cas de défaite, il courrait sans doute vers une mort certaine. L'homme se cacha dans la brume et ne fit plus un seul bruit puis il surgit derrière Poséidon pour lui mettre deux coups du tranchant de la main sur la nuque, suivit d'un coup de boule et de deux coups dans les côtes. L'homme vêtu de bleu se dissimula ensuite à nouveau dans son élément, se ressourçant dans celui-ci pour élever son énergie cosmique dans le but d'utiliser une de ses arcanes les plus puissantes !

L'homme joignit ses mains, plaçant le bas de ses paumes l'une contre l'autre pendant que ses doigts s'écartèrent comme s'ils se posaient autour d'une orbe invisible. Le froid continua à augmenter et une couche de givre se format sur le corps du Ninja mais cela n'était rien du tout de défensif que du contraire. Entre ses mains un objet commença à se former et en quelque secondes, une épée constituée de glace se format et le Ninja l'attrapa au vol et fendit l'air plusieurs fois à l'aide de celle-ci. Se servant à noveau de la brume, l’assassin disparu pour réapparaître devant Poséidon. Il s'abaissa ensuite afin de poser ses mains sur les jambes de la divinités et de les geler rapidement. L'être divin était ainsi immobilisé (du moins le pensait-il) et l'homme manipulant le zéro absolu se mit à taillader son adversaire à l'aide de sa lame de glace qui était bien plus coupante et tranchante que ne l'était une véritable épée. De plus, la froideur de la lame brûlait les chaires ce qui provoquait bien plus de souffrance. Le Min-Keï n'avait pas encore eut besoin d'employer une technique aussi puissante au cours de ce tournoi mais au vu du potentiel offensif de l'ennemi, il fallait qu'il donne le maximum de sa personne, s'il ne voulait pas perdre sa vie bêtement. Pour son clan, il se devait de ramener l'animal et la lame et de les déposer aux pieds de son maître. Lorsqu'il eut fini de trancher dans le vif, le ninja fit disparaitre la lame qui en se consumant produisit la brume habituelle qui servait de camouflage à son créateur.


Capacité spéciale : grâce à la brume spéciale, les deux premières attaques de Poséidon auront un handicap de 5 pts.


Attaque : Ice Sword Combo

Pv : 175 – 110 = 65
Cs : 175 – 40 – 5 + 10 = 140

Coups reçus : 115
Coups parés : 5
Coups donnés : 40 + 5 (coups physiques) = 45

(hrp : "suivit d'un coups de boules et de deux coups dans les côtes." Je vais sans doute encore faire rigoler le staff et passer pour un pervers mais par pitié, qu'on m'enlève ce s à boules XD Ça change tout le sens de l'expression X'D)

Le dieu des mers et océans encaissa sans broncher les coups de son adversaire. Aucun de ceux qu'il avait affrontés ne semblait avoir compris qu'approcher Poséidon c'était risquer de subir ses propres revers d'attaques, et le Min-Keï ne fit pas exception : à chaque coupure infligée, le vent qui s'était soudain remis à tourbillonner autour du maître des eaux en infligeait une autre à son adversaire, tout aussi cuisante et douloureuse, si bien que l'homme ne sentit bientôt plus ses membres de mortel. Un sourire naquit alors sur le visage de Poséidon qui dissipa la brume en étendant les bras en croix dans l'air. Il le cloua sur place en lançant son trident qui vint se planter dans sa jambe et ainsi freiner ses mouvements.

~~ Illusion venteuse ~~

Tout à coup, le vent redoubla de fureur et des rafales acérées vinrent frapper le ninja au visage, laissant entrer dans ses plaies fraîches le froid du gel qu'il avait lui-même dispersé sur le terrain et le tranchant d'une lame que jamais personne ne pourrait ni voir, ni toucher, ni briser.

~~ Storm (Tempête), 20 cs ~~

La température baissa tant et si bien que le ninja fut gelé sur place, de l'intérieur, et un léger duvet de givre commença même à se former sur son corps et ses vêtements. Poséidon n'eut qu'à souffler sur le corps rigidifié par sa propre glace pour voir l'homme viré au bleu tomber et laisser échapper son dernier, dans un voyage blanc comme neige vers la mort.

Un moment de silence s'écoula avant que les organisateurs ne déclarent officiellement sa victoire et il essuya l'ichor qui recommençait légèrement à couler de son visage. Le froid l'avait engourdi malgré sa riposte et le dieu commençait à s'essouffler un peu. Mener des combats normaux était facile à un rythme soutenu, mais utiliser son cosmos était autrement plus ardu que Poséidon n'avait pas récupéré la totalité de ses forces dépensées en Atlantide avant de venir. Une bonne nuit de sommeil lui ferait le plus grand bien avant d'arriver à la phase finale du tournoi.

Coups reçus : 40
Coups parés : 5 (physiques)
Coups donnés : 40 (effet défense) + 15 (Storm avec malus) x 2 (sans armure) + 5 (physiques) = 75

Vie : 180 - 40 = 140
Cs : 112 - 40 - 20 - 5 + 10 = 57
Armure : 445 - 40 = 405

Défense de Poséidon 5 à 40 : Illusion venteuse
Poséidon encaisse tous les dégâts causés par son adversaire mais ceux qu’il défend sont également infligés à son adversaire grâce à une illusion lancée par le dieu des océans.

Attaque faible de Poséidon 2, 10 ou 20pts de cosmos : Storm (Tempête)
Le vent et l’eau se mélangent pour venir frapper l’adversaire au visage et dans les failles de son armure. Il en sort détrempé et gelé.

Le Min-keï était mort comme il avait combattu tout au long de ce tournoi : en véritable glaçon. Sa mort fut sommet toute plus artistique que spectaculaire et la foule applaudit tout de même, avec un peu plus de retenue qu'à l'accoutumée. Quand on avait assisté à la mort d'El Verde et qu'on regardait celle du Ninja, on pouvait facilement comprendre que la foule avide de sang se sente un peu déçue et fasse la fine bouche. Poséidon ne devait pas s'offusquer d'un tel comportement de la part de simples mortels. Son objectif était plus que jamais à porter de main : récupérer son fils en plus du sabre ayant appartenu à Gengis Khan. N'importe quel père serait heureux de se voir donner pareil opportunité. Affaibli mais heureux l'Olympien pouvait fêter sa victoire. Pourtant quelque chose attira rapidement son attention et le fit peut-être un peu déchanté. Un cosmos puissant, loin de surpasser celui du maître des mers à son apogée mais tout de même du niveau de certains dieux du panthéon grec. L'énergie cosmique était violente et emplie de colère mais ce phénomène ne dura qu'une mince seconde si bien que Poséidon ne pût pas en identifier l'origine. Si jamais cette cosmo énergie était celle de son futur adversaire du tournoi, ça n'allait pas être de la tarte de le vaincre.

En parlant de tarte, il était l'heure pour le champion du marchand d'équidés de regagner ses quartiers sous l'escorte habituelle des gardes. Un véritable festin l'attendait dans sa tente ainsi que des femmes peu vêtue prête à exaucer le moindre de ses désirs. Apparemment, son riche mécène avait décidé de sortir le grand jeu pour fêter la qualification de son poulain. Sur le chemin de sa tente, plusieurs personnes s'étaient arrêtées afin de féliciter l'étranger au trident pour sa prestation. Le dieu pouvait déjà entendre d'ici les organisateurs de paris commencer à émettre leur pronostique et cote pour la finale. L'autre finaliste était encore totalement inconnu pour la divinité mais il devait être en toute confiance fut ses triomphes facile. Après tout, il était un dieu et ce n’était pas des mortels qui allaient lui barrer la route. Manger, boire, profiter de sa soirée et surtout se reposer devaient être les meilleures activités afin de redonner de l'énergie et du baume au cœur à l'Olympien. Les retrouvailles seraient peut-être la meilleure récompense du lendemain.


Consigne : Tu as le droit à une récupération divine.

(Hrp : ET C 'EST LE JACKPOOOOOOT ! \o/)

Une fois de plus, Poséidon demeura indifférent aux applaudissements. Savoir son adversaire dans la tombe et les éloges pour lui ne changeait rien à ses motivations. La promesse de revoir Arion en pleine santé était plus que jamais près de devenir réalité. Pourtant, le dieu ne se sentait pas apaisé pour le moment. Il regarda le sang bleu répandu sur ses doigts, son propre sang versé par un mortel. Ce n'était que quelques gouttes, même pas de quoi remplir la coquille d'une huître, et pourtant cet affront froissait l'orgueil du maître des océans. Un peu plus et sa kamui serait apparue au grand jour, pour un simple tournoi de mortels. Heureusement, il avait pu juguler l'hémorragie légère grâce au gel de son ennemi. C'est alors qu'une énergie exceptionnellement élevée par rapport à celle des autres participants lui fit froncer les sourcils. Tandis que son corps de garde personnel le menait vers sa tente, cette présence dérangeante hantait l'esprit du dieu des eaux. Un combat déicide, en pleine Mongolie ? Cela n'avait aucun sens... Qui pouvait bien vouloir revendiquer ce territoire désert ? Quel dieu se donnerait la peine d'aller si loin sur un terrain favorable à Poséidon ? Pourtant, cette impression de formidable puissance s'était évanouie presque aussitôt, et ce fut à ce moment-là que Poséidon se rendit compte des présents futiles de son "protecteur".

Il répondit à peine à ses admirateurs, renvoya les gardes et se laissa glisser dans un canapé moelleux à souhait, dévisageant les femmes mises à sa disposition sans l'ombre d'un sourire. Il avait gardé son trident en main et saisit une coupe de l'autre. L'eau bienfaitrice lui redonnerait des forces.

"Allez-vous-en. Vous n'aurez qu'à dire à votre maître que vous m'avez pleinement satisfait, et s'il remarque que ce n'est pas le cas, faites-lui croire que je suis impuissant, peu importe. S'il croit savoir ce qui est à la hauteur de mes désirs, il se trompe lourdement et il a grand intérêt à ne pas oublier le trophée que je convoite."

Sans autre explication, il suivit les femmes des yeux jusqu'à ce que la dernière d'entre elles ait quitté sa tente. Enfin seul, il put boire à son aise et sentir son cosmos se régénérer. Les fruits et légumes issus de la terre mongole eurent le même effet et son trouble retomba peu à peu. Ce soir-là, chacun des mets qui lui avaient été servis revint vide dans les cuisines du campement et un profond sommeil réparateur lui redonna une bonne mesure de sa force. Le lendemain réservait une agréable surprise si l'on en croyait les signes : Arion. Mais pas sans difficulté.


Vie : 140 + 175 = 315
Cs : 57 + 175 = 232
Armure : 405

Le soleil n'était pas au rendez-vous aujourd'hui. La couleur grise du ciel renvoyait une image morne et les nuages qui s’amoncelait si et là semblaient menaçant, prêt à déverser leur flot d'eau sous des coups de tonnerres fracassant digne de Zeus lui même. Les oracles y auraient sûrement vu de mauvais présages mais il ne fallait pas s'y fier. Il faisait juste mauvais. Un orage se profilait à l'horizon ce qui conférait au campement une atmosphère encore plus électrique qu'à l'accoutumée. Les mines étaient plutôt joyeuses et amusées. On entendait des tambours résonner un peu partout. L'ambiance était festive et la finale promettait d'être un grand spectacle au cours duquel les deux plus grands guerriers de la terre allait s'affronter. Les gardes vinrent chercher le champion du marchand de chevaux. L'étranger au trident avait fier allure sous sa prestigieuse escorte. Les gardes avaient revêtus de beaux vêtements pour honorer à la fois le guerrier mais aussi l’événement du jour. Sur tout le long du chemin menant au ring, des officiels jouaient du tambour sur un rythme effréné afin de saluer comme il se devait l'une des deux seules personnes pouvant encore prétendre au titre de grand vainqueur ! La procession avança lentement pour que tous puisse admirer la musculature du puissant étranger et il fut finalement emmené sur le ring où l'adversaire de Poséidon était déjà présent en la personne d'un jeune asiatique à l'air calme et assez banal. Le moine et sa voix lancinante se fit alors entendre.

"La finale qui se déroule aujourd'hui sera une des plus grandes que ce tournoi ait connu. Elle verra s'affronter les deux meilleures guerriers de cette génération ! Faites un triomphe pour l'étranger au trident dont la puissance à écraser tous ses adversaires comme de vulgaires punaises ! Son adversaire et non des moindre sera Naranbataar ! L'héritier de Gengis Khan, l'homme qui descend directement du plus grand guerrier de tout les temps dont la technique et la force n'ont pas encore trouvés d'égales ! Que le combat commence !"

L'asiatique portait un simple pantalon ainsi qu'un bandeau rouge noué autour de son cou. Il posa ses deux paumes l'une contre l'autre et salua son adversaire. Il sauta ensuite le pieds en avant et avec une vitesse prodigieuse asséna un terrible coups à Poséidon. Il recula ensuite et bondit de nouveau en donnant plusieurs coups de pieds au niveau du visage de son adversaire tout en se maintenant dans les airs. L'héritier du grand Khan joignit ensuite ses mains et produit une boule de feu qui parti en direction de Poséidon. Ce n'était qu'un simple hors d’œuvre visant à tester les possibilités défensives de son adversaire.


"Je suis honoré de vous affronter en ce jour étranger. Je n'ai entendu que du bien de vous et j'espère que vous serez à la hauteur de la réputation que vous vous êtes construite."



Attaque : Boule de feu : 20 points de cosmos

Pv : 250
Cs : 250 - 20 = 230

Coups donnés : 20 + 5 (cous physiques) : 25
Coups reçus : 0
Coups parés :