Lucia Giaccomo | Sujet: Lucia Giaccomo, Styx pour les intimes Dim 15 Mai 2016 - 14:12 | |
| Lucia Giaccomo Styx, Fille d'Océanos et de Thétys Sélénè Gallio Marvel "Tout commencement à un fin et toute fin à un commencement, ceci est votre fin." ¤ Je rejoins les forces de Cronos, on ne peut tourner le dos à sa famille indéfiniment.¤ Mon élément de base sera la mort, je beigne depuis trop longtemps les berges des Enfers¤ Je suis principalement honnête, sincère, froide, un peu perverse quand je m’ennuie et extrêmement rancunière. Ah oui, une dernière chose, j’ai un certain sens du devoir¤ Mes origines trouvent leur source en Italie, du moins pour Lucia.¤ Je suis âgée de plusieurs millénaires, mais Lucia à 25 ans¤ Je considère considère mes parents (humains et divins), les faibles qui ne s’avouent pas vaincus face à la fatalité de leur vie, ceux qui reconnaissent leur fautes et erreurs et qui les assument, ceux qui sont capable de mansuétude, ceux qui restent fidèles à eux même et à la parole donnés ¤ Je ne considère pas les personnes qui ne tiennent pas leurs engagements, qui reviennent sur leur parole, pour les arrogants, les lâches, les menteurs. Il y a d’autres choses pour lesquelles j’ai peu de considération, mais elles n’ont que peu d’importance, telle que Zeus ou Poséidon.Voila bien une chose pour laquelle, je ne suis pas douée, décrire ma psychologie. Je reconnais que ceci, vous aiderez à mieux me connaitre, me comprendre. Je vais donc faire un effort et essayer de vous parler de moi, de qui je suis.
Par où commencer, peut être par les fondamentaux, ce qui me définie. En tant que Déesse, fille de Titans, je ne suis pas retenue par les règles morales, que s'impose ou que l'on impose aux humains. A cela, il faut rajouter le fait que les expériences vécues, en tant qu'humaine, avant mon réveil, ainsi que le sort réservé à mes parents, ont altéré celle que j'étais à l'origine.
Si je montre de la froideur dans mes relations envers les autres, c'est sans doute dans le but de me protéger de ces derniers, de leurs trahisons et mensonges. En évitant de me lier aux autres, j'évite toutes déceptions. Vous trouvez que j'ai un regard bien sombre et sévère sur mes semblables, divins ou humains ? Vous vous montrez bien naïf, les Dieux sont mesquins, sournois, avides, arrogants et les Hommes sont à leur image. Je n'ai pas l'arrogance de me croire meilleur qu'eux, je connais mes défauts et l'obscurité qui se trouve dans les tréfonds de mon âme.
Si je peux me montrer perverse, je ne suis pas quelqu'un de sadique, ni de foncièrement mauvais. Mais je ne suis pas de celles qui renoncent à faire ce qui doit être fait , sous prétexte que cela peut nuire à autrui. Déterminée et résolue, je ne reviens jamais sur une décision et encore moins sur une parole donnée, même envers un mortel. En parlant de ces derniers, je peux montrer de la considération, du respect pour eux. Mais le fait que leur vie soit éphémère, ne me pousse pas à considérer celle-ci comme importante. Je n'aurais aucun problème de conscience à éliminer un grand nombre d'entre eux, si cela était nécessaire. Il m'arrive malgré tout, de faire montre de compassion et de mansuétude envers eux, après tout leur vie est éphémère.
Psychologie Je suis l’ainée des Océanides, fille d’Océanos et de Thétys, tous deux enfants d’Ouranos et de Gaia. Je n’ai pas connu la folie de mon grand-père, ni participé au combat que mes parents durent mener contre lui afin de défendre leur mère et leur survie, sous la direction de notre souverain Cronos. Suite à sa victoire, il prit place sur le trône de son père et régna sur les Humains et toutes choses. Mais ce conte merveilleux et paisible, qui fut nommé l’âge d’or, ne dura pas. En effet tout comme son père avant lui, Cronos était maudit et sa folie le poussa à suivre la même voie que ce dernier. Tout comme Ouranos, il décida d’éliminer ses enfants, il en enferma certains auprès de Tartare. Quant aux Olympiens, il décida de les manger. Malheureusement pour lui, l’amour d’une mère alla entrainer sa chute, l’histoire semblant être condamnée à se répéter de nouveau. Zeus, le seul survivant parmi ses enfants, lança une nouvelle guerre divine, connue sous le nom de Titanomachie. Sur les conseils plein de sagesse de mon père, je me rangeai aux côtés des forces de Zeus et affronta mon oncle. Malgré le bien-fondé de ce choix, je ne pus m’empêcher de ressentir de la culpabilité. Mais la défaite et la folie de Cronos était annoncée et il n’y avait rien à gagner à rester à ses côtés. Une fois celle-ci acquise, Zeus pris place sur le trône de son père, comme l’avait fait ce dernier avant lui. Si j’avais pris le partit des Olympiens, mes parents restèrent neutre et le nouveau Seigneur leur montra sa reconnaissance, en les enfermant dans le Tartare. Ce geste n’avait pour fin que de pouvoir offrir à son frère Poséidon, leur royaume. Afin de soulager ma rancune, les Olympiens donnèrent à mon nom un pouvoir sacré. Toutes promesses ou serments fait sur lui se devait d’être respectées, sous peines de se voir bannir du conseil divin pour une durée de 9 années. On a aussi donné mon nom au Fleuve séparant le monde terrestre, des Enfers. Ce fleuve née des larmes que je versais suite à la trahison faite à mes parents et nourrit de ma haine pour celle-ci. C’est de son eau que l’on doit boire lorsque que l’on trahit un serment fait sur mon nom. Malgré le fait que je sois une divinité, je ne peux apparaitre sous ma véritable forme dans le monde des hommes, mon corps étant lié aux Enfers, source de cette fameuse rivière. Que voulez-vous, Zeus ne pouvait pas décemment m’enfermer dans le Tartare, avec les autres membres de ma famille. Mais connaissant mes sentiments envers lui, ne pouvait me laisser libre. Au fils des siècles, je connus plusieurs réincarnations et pus être témoin des guerres saintes que se livraient les enfants et frères de Zeus, ces derniers répétant le cycle initié par Ouranos. Durant la plupart de mes réincarnations, mon âme resta en sommeil, s’éveillant de temps en temps, attendant et espérant le retour de mes parents. Ce ne fut que récemment que mon réveil fut complet, lorsque je perçus un léger changement dans l’air, un appel. Se pourrait-il que ce retour tant attendu arrive en cette période troublée par les conflits. ... Une vie humaine … Il est temps que je vous parle de Lucia, cette belle et voluptueuse jeune femme dont j’habite le corps. Elle est née dans la ville de Rome, au sein d’une famille de riche marchant d’étoffes et d’épices. Ne croyez pas que j’ai emprunté ce corps, réduisant une pauvre âme humaine à l’état d’esclave ou en détruisant celle-ci. C’est bien mon âme qui s’est incarnée dans cette nouvelle vie, mais ma nature divine, mon essence, resta en sommeil, jusqu’à peu. Mais je vous parlerais de cela plus tard et revenons à cette enfant bénie des dieux. Lucia connue une enfance des plus protégées, elle ne connut jamais la faim, la douleur de devoir se battre pour survivre, vivant dans le luxe et la culture. Elle reçut une éducation des plus libérales, pouvant explorer les domaines qui l’intéressait. C’est ainsi qu’elle étudia la philosophie, l’histoire, l’art, la politique, qu’elle pratiqua l’équitation, la danse, l’escrime, le chant, sans jamais vraiment approfondir aucun de ces domaines, ainsi que bien d’autres chose dont elle se désintéressa bien vite. Si sa mère semblait se désespérer du comportement de sa fille, son père était le plus heureux des hommes. Ah oui Lucia n’est pas fille unique, elle a un grand frère de 5 ans son ainé et promis à la succession des affaires familiales. Si je ne vous parle pas de lui, c’est qu’il n’a peu d’intérêt, Mario était et est resté une personne sans véritable relief, calme, obéissant, travailleur, possédant malgré tout une intelligence fine, surtout concernant les affaires. Plutôt beau, il connut de nombreux succès galants. Etrangement, il a toujours eu un comportement assez froid et distant avec sa sœur, certains diraient même qu’il se méfiait d’elle ou jalousait cette liberté dont elle faisait preuve et qu’on lui laissé. Lorsque celle qui abritait mon âme rentra dans l'age d'adolescente, il devint clair qu’elle avait hérité d’une beauté fascinante et qui ne laisserait aucun homme insensible. Durant cette période de sa vie, la jeune Lucia s’intéressa à ce que la vie et le pouvoir qu’offrait la richesse de sa famille, pouvait lui offrir. Tout comme les études et tout ce qu’elle vait approché, elle montra une légèreté dans ses rapports tout ce qui touchait la vie en société et ses règles. Libertaire et libérée de toutes chaines, elle goutait à certains interdits avec plaisir et satisfaction, mais s’en détournait aussi facilement qu’elle pouvait y montrer le moindre intérêt. Ce comportement lui valut, malgré tout plusieurs réprimandes de la part de ses parents et de son ainé. Ce ne fut qu’une fois sa majorité atteinte, que ma présence commença à influencer son comportement. Il faut dire que le réveil de plusieurs divinités, eu un effet sur le mien. Même s’il ne fut total que quelques années plus tard. Avec mon éveil et sous l’influence de ce dernier, le comportement de Lucia se modifia quelque peu et un véritable fossé se creusa entre elle et son frère. Le point de non-retour advint lorsqu’elle tenta de le séduire, devrais-je dire lorsque je tentai de le séduire, profitant du fait que le vin sucré venu des meilleurs cépages embrumait son esprit. Lucia avait déjà connu quelques amants, mais ma perversité et mon absence de morale humaine, la poussèrent vers lui. Lorsqu’il nous repoussa, la honte ressentie par Lucia et ma colère, nourrirent une violente réaction son encontre. De celle-ci, il garde une cicatrice sur son magnifique visage et porte un bandeau pour cacher l’œil manquant. Ma mère fut, étrangement, la moins peinée par ce geste et me le pardonna simplement. Il n’en fut rien pour mon père, qui malgré l’amour qu’il me portait, ou portait à Lucia décida de l’éloigner de ce monde. Lucia fut donc envoyée au couvent, afin de réfléchir à ses actions et apprendre la modération. Son père devait aussi espérer que les sœurs, pourraient lui enseigner cette discipline qu’il ne lui avait jamais imposée. Par je ne sais quel coup du sort ou pour quelle raison, mais Lucia se retrouva sur les Terres d’Arcadie sur la péninsule de la Péloponnèse. Vous vous demandez pourquoi, ce lieu est si remarquable ? La réponse se trouve dans mon histoire, du moins à mon mythe. Dans la mythologie on dit que je présidais à une fontaine d’Arcadie dans le massif de Cheimos, où se trouverait, tenez-vous bien, la source du Styx. Ce fut durant ces années passées, courtes années, proche de ce lieu marqué par mon pouvoir, que mon réveil se fit. Mais je n’écrasai pas Lucia par ce dernier, après tout elle n’était qu’une partit de moi. Certains se demandent si la personnalité est quelque chose d’acquis ou d’inné, dans le cas de Lucia, elle est innée. Je suis Styx fille d’Océanos et de Thétys, mais aussi Lucia, mais il n’y a aucune dualité en moi. Mais je ne vais pas épiloguer sur qui je suis, laissons cela à d’autres. Ce qui nous intéresse, n’est pas qui je suis, mais qu’ais je fais suite à mon réveil. Je dois reconnaître, que durant les premières années de celui-ci, je suis restée indécise. Devais-je partir à la recherche des membres de ma famille, espérant qu’ils aient pu se libérer de leur prison. Devais-je rester loin d’eux et de Cronos pouvant craindre qu’il n’ait que peu apprécier le fait que je me sois rangée au côté de Zeus, contre lui. Quoi qu’il en soit avant toute chose, je devais retrouver mes forces, me ressourcer. Ce que je fis dans ce couvent durant quelques temps, avant de le quitter. Je me réfugiai alors, si l’on peut dire, dans les chaines montagneuses de Cheimos. Les différents guerres que se livraient Athéna, Poséidon ou Hadès ne m’intéressaient pas, même si leur répercussion sur le monde ne pouvait me laisser indifférente. J’utilisai alors mon pouvoir avec parcimonie afin de prévenir le lieu de mon réveil de ces dernières. Mais lorsque le grand froid vint frapper le monde, je ne pus faire grand-chose et l’inquiétude me gagna. Qu’était-il advenu de mes parents humains, seuls dans la masse pour qui j’avais de l’affection. Lorsque cette malédiction fut vaincue, je retourne auprès d’eux, mais découvrit leur mort, ainsi que celle de mon frère. Je ne peux pas dire que la tristesse emplit mon cœur, après tout ils n’étaient que des humains, faibles et destiné à mourir. Mais je ne pus rester insensible à leur sort et fis élever un mausolée. Je me retrouvais une nouvelle fois orpheline du fait des actes des Olympiens. Que c’est derniers ne soient pas directement responsable de cette tragédie, m’importait que peu. Ils s’étaient assis sur le trône de leur père, s’étaient partagés un royaume qui ne leur appartenait pas et se montraient incapable de le défendre, trop affairés à leurs guerres de pouvoir et de conquête, ne se souciant nullement de ceux dont ils ont la charge. C’est cette constatation, qui me poussa à graver dans le corps de Lucia la marque d’Ouroboros, représentant la perpétuité du cycle, afin de ne jamais oublié cette vérité. Ma décision était prise, j’irais à la recherche de mes Parents et aviserais pour la suite. Je sais que si Cronos et les autres Titans se réveillent, une nouvelle guerre éclatera, mais cette fois-ci je me tiendrais au côté de mon père et ma mère. J’arracherais à tous les olympiens, le serment qu’ils lui rendront son domaine, même si pour cela je dois faire couler leur sang. Je me dirige vers Chronos Labyrinthos le domaine des Titans, seul lieu qui me permettra de retrouver mon Père et ma Mère, s’ils sont parvenus à se libérer de leur prison. Histoire Avais-je le choix, non pas que je m’en plaigne, mais ma place se trouve aux côtés de mes parents. Même si les Olympiens m’ont montré du respect, donnant un certain pouvoir à mon nom, je ne puis être de leur côté, ma famille à trop souffert par leur faute. Allégeance HRP Vous et le forum ► Comment avez-vous connu le forum ? google ► Quel âge avez-vous ? 30ans ► Double compte ? non ► Avez-vous pensé à lire et signer les règles ? oui Merci à Frosty Blue de Never Utopia pour le codage de cette fiche
Dernière édition par Lucia Giaccomo le Dim 15 Mai 2016 - 14:44, édité 1 fois |
|