Beowulf, guerrier divin de l'ours polaire

Voici ma présentation pour un nouveau perso ^^

Le royaume d’Asgard, comme à son habitude, s’était drapé de son manteau de soie blanche. Le souffle glacé des dieux balayait le pays faisant virevolter la neige comme autant de feuilles mortes en automne. Le monde avait beaucoup changé depuis qu’Odin avait foulé ses terres glaciales mais il subsistait toujours des croyances selon lesquelles les Dieux protégeaient encore le monde des hommes. Dans un village perdu dans l’immensité de l’océan blanc du Nord, une grande chaumière aux allures de chalet canadien semblait faire tout son possible pour résister aux dégâts des intempéries. Cette habitation, seul vestige de la présence de vie en ces lieux, arborait une insigne antique venant d’Islande. Ce symbole de pouvoir représentait le blason de la glorieuse Brünhild.

Des voix s’élevaient dans la nuit essayant tant bien que mal de se faire une place parmis les hurlements du vent. Ces voix féminines semblaient être affolé par quelque évènement qui semblait bouleverser le calme de l’hiver. En effet, cette grande demeure, habité seulement par des femmes, était le refuge des glorieuses Valkyries. Ces femmes guerrières qui ont décrété que les hommes ne leur sont en aucun cas supérieur venaient de voir un enfant mâle arriver en ces lieux. Une des guerrières venait d’accoucher d’un petit garçon…

De par leurs principes, elles ne pouvaient décemment pas l’abandonner dans la nature mais il devrait faire ces preuves pour rester ici car le seul moyen pour un homme pour vivre parmi elles, il fallait que l’une d’entre elle le prenne pour mari. La mère, Farna, était dégoûté par ce qu’elle veniat de faire… un homme… son honneur s’en trouvait sali et elle laissa tomber son fils dans les draps sans n’y prêter plus aucune attentions. Le lendemain, les femmes s’affairaient aux travaux habituels de leur vie quotidienne. Le nouveau né, quand à lui se retrouva seul la plupart du temps.

Cinq années passèrent ainsi pendant lesquelles le petit garçon devait prendre a sa charge les taches ménagères. Le jour de son anniversaire, une grande manifestation s’organisa afin de savoir si ce garçon avait l’étoffe d’un mari pour les femmes du clan. C’est sa mère qui, ruminant depuis le jour de la naissance sa vengeance ainsi que de laver son honneur, décida de réveiller une ancienne tradition des Valkyries. Une fosse fut creusée à l’arrière de la demeure et on y plaça trois loups enragés. Leurs yeux d’un jaune vif recelaient une haine effroyable envers les humains ainsi qu’une soif de sang incontrôlable. Le jeune garçon se fit alors jeter dans l’arène de fortune afin d’y défendre sa vie. Les bêtes foncèrent sur lui avec une rapidité étonnante. Le garçon, apeuré par les crocs et les griffes qui le frappaient de toute par, s’écroula sous le poids des animaux, se protégeant de ses deux bras comme il le pouvait, le sang ruisselant de ses poignets jusque sur son visage, il était tétaniser, son corps ne lui répondait plus…
Soudain, un éclair traversa l’esprit du garçon. Une énergie nouvelle s’empara de son corps. Il commença à se lever, les yeux fixés sur sa mère quand une douce voix vint prendre place dans son esprit.

- Beowulf…

Le garçon se demandait qui était ce Beowulf. Cette voix se faisait de plus en plus présente à l’intérieur de sa tête.

- Beowulf, c’est ton nom petit homme. Défend ta vie…

Le jeune garçon se sentit soudain plus fort, il repoussa facilement les loups en écartant les bras. Il se lança à son tour a l’assaut et décocha de monstrueux coups, pour son âge, qui finirent par les assommer. Il fut acclamé par les femmes qui avaient été abasourdis par le revirement de situation. Une d’entre elle décida alors de promettre la main de sa fille à se jeune garçon. Sa mère, soulagé d’avoir redoré le blason de son clan prit alors la parole.

- Maintenant mon fils, tu es des notre. C’est un grand honneur pour toi. Choisi maintenant un nom…

Oui, chez les Valkyries, il était coutume de choisir son propre nom une fois que l’on a prouvé sa valeur. Le garçon, touché par les premières paroles de sa mère envers lui depuis sa naissance ne savait pas quoi répondre. Il se remémora alors les étranges paroles de cette voix qui l’avait sauvé…

- Beowulf, mon nom c’est Beowulf.

Il fut ainsi baptisé et pu espérer une vie dans l’honneur au milieu de toutes ces femmes. La vie lui sembla plus paisible par la suite, il partait souvent seul dans au dehors du village afin de chasser et la force qu’il avait découvert en lui ne cessait de croître depuis. Les années passèrent et il put bientôt affronter les ours de la région à mains nu.

Un jour, alors que les femmes préparaient le banquet pour célébrer le mariage du jeune Beowulf, une poignée d’hommes arriva aux abords de la chaumière. Une femme sortie pour arrêter les intrus mais ses derniers, supérieur en nombre l’assomma sans discuter et le plus trapu d’entre eux la mis sur son épaule. Ils continuèrent d’avancer jusque qu’à la porte du refuge. Beowulf, quand a lui, était parti chasser le gibier destiné à ses noces avec la douce Tallia. C’est alors qu’il entendit un coup de feu retentir jusqu’en dans les profondeur de la forêt. Les oiseux s’envolèrent rapidement et un nuage noir se forma au dessus des arbres. Le jeune homme descendit jusqu’au village à grandes enjambées, le cœur serré, priant qu’aucun malheur ne soit arrivé à son clan.

Pendant ce temps, les assaillants avaient déjà défoncé la porte et on pouvait entendre les cris des Valkyries couvrir le bruit étourdissant des coups de feu. Elles s’étaient défendues devant ces hommes mais leur force n’était rien comparée à la puissance des fusils des intrus. Quand Beowulf arriva sur les lieux, il ne vit que mort et désolation. Il se précipita vers sa bien aimée mais il avait été violé puis pendu… La colère du jeune homme n’avait aucune limite. Sa soif de vengeance ne s’étancherait qu’avec le sang de ces misérables. Notre héros parcouru alors l’immense désert de glace afin de retrouver les agresseurs. Sa chasse ne méritait aucun repos…

Suivant les traces de pas de ses proies dans la neige, Beowulf avançait a l’allure d’un loup, il humait ses prochaines victimes avec toute la rage et toute la folie dont il était capable. Mais malgré tous les efforts dont il faisait preuve, le climat rude d’Asgard allait bientôt camoufler le passage des agresseurs. Une présence qui lui rappelait un vague souvenir se fit ressentir soudainement… Qui cela pouvait-il bien être ? Cette même présence lui envahissait a présent la tête…

- Beowulf…

Etait-ce vraiment sa bienfaitrice qui refaisait surface après tant d’années ? Pourquoi venait-elle le voir dans les moments les plus difficiles de sa vie ? Mais qui était-elle… car c’était la voix d’une femme. Elle lui avait donné la force d’avancer une fois déjà, le sauvant de la mort mais il ne connaissait pas son nom…

- Beowulf, laisse moi te guider, ne te laisse pas abattre…je serais toujours avec toi.

Le jeune homme aurait voulu connaître son nom, savoir qui elle était… mais comment converser avec une voix qui trouve refuge dans son propre corps ?
N’écoutant que cette voix étrange et mélodieuse, il arriva bientôt dans une petite ville tranquille où le climat était moins rude. Il continuait de marcher, ne sachant pas où il allait mais il ne pouvait que faire confiance en cette douce présence.

Beowulf se retrouva bientôt devant une grande porte en bois. Il pouvait sentir la présence de ces assassins dans cette bâtisse. Le jeune homme ne put se contrôler davantage… ni une ni deux, il défonça la porte avec hargne et dans un effluve de sang, il se mit à massacrer tous les humains qui avaient le malheur de croiser. Des corps jaillissaient des fenêtres de l’immeuble, le choc étouffé par les hurlements de terreurs des habitants qui se demandaient ce qui pouvait bien se tramer dans l’auberge. Une horde d’hommes en uniforme déboula bientôt dans l’hôtel mais aucuns n’en ressorti…du moins pas vivant. Une silhouette effrayante apparu ensuite sur le pas de la porte, du sang dégoulinait de tout son corps et un regard froid prônait sur son visage.

rebienvenu

j'ai lu ^^

Pas mal pas mal j'adore vivement la suite même si tu peux déjà considéré avoir ton perso

Bon...Bienvenu trés cher ^^ . Premier à se bastonner avec moi ok ? T'oublis pas hein BeoBeo ?

Bienvenue parmi les gentils

génial Nounours arrive!!!!!!



Au fait rebienvenue^^

wééééééé encore un rebienvenue^^

Re Re !! vivement la suite de ta présentation :)

Chose promise chose dû, la suite de ma présentation vient vous combler
Désolé, mais la totalité ne rentre pas dans un seul post


Beowulf se réveilla doucement et il ne sentait plus aucune présences aux alentour, la mort, de sa noirceur avait tout englouti. Il se leva avec peine et ne reconnut nullement la mer aux allures de manteau blanc qui l’entourait à présent. Le jeune homme se trouvait dans un cratère gigantesque, que de désolation… où étaient donc passé la ville et ses habitants ? Qu’est ce qui avait bien pu leur arriver ? Notre jeune héros se demandait d’ailleurs quel était cet endroit qui ne reconnaissait pas…

Sortant de sa stupeur devant les terres maudites où il était plongé, il remarqua non seulement qu’il semblait être à l’épicentre de ce cratère mais, qu’également, il était à présent nu comme un ver. Le jeune homme décida donc de se réfugier dans l’immense forêt qu’il apercevait au loin.

Pendant ce temps, un nuage de poussière blanche se fit remarquer à l’horizon. Un contingent d’hommes arriva sur les lieux désolés et ne pouvait en croire leurs yeux. Ils avaient certes entendu une énorme explosion mais ne se doutaient pas le moins du monde qu’une ville pouvait être rasé de la sorte. A l’intérieur de leur camion, les détecteur s’affolaient, ayant perçu une radiation sur les lieux qui semblait s’éloigner de plus en plus…

Beowulf, quand a lui, courait de plus en plus vite s’abriter dans l’obscurité des arbres centenaires. La voix, toujours présente, lui ordonnait d’avancer et il s’exécutait sans broncher. Arrivé dans les bois, il se disait qu’il connaissait bien les lieux… cette forêt borde la demeure des Valkyries, était-ce lui qui avait dévasté la région ? C’est cette ville qui n’est autre, maintenant qu’un cratère fumant ? Toutes ces interrogations lui martelaient l’esprit…
Sans se retourner, notre jeune héros se dirigea vers le torrent, au milieu des bois afin de s’y cacher. Il fut interpellé par les hurlements d’une ourse qui semblait être en proie au désespoir.

-Ne vas-tu rien faire ? Presse toi, n’entend-tu pas les appels de détresse de cet animal ?

Beowulf se précipita alors vers le danger, il ne connaissait pas la peur et il faut dire que cette voix semblait venir du fin fond des âges. Arrivant sur les lieux, il aperçu une meute de loups enragés fondre sur un petit groupe d’ours. La mère essayait tant bien que mal de protéger ses petits mais la férocité des assaut qu’elle subissait n’allait pas tarder avoir raison de sa ténacité. Le jeune homme, n’écoutant que son courage, se lança à l’assaut des bêtes immondes. Avec une force colossale, il frappa, assomma, égorgea, tua les loups sans aucune pitié. L’ourse, plus que reconnaissante, leva les pattes vers son sauveur et commença à lécher le sang sur les mains du jeune homme. C’est ainsi qu’une nouvelle famille vint a lui…

Beowulf vécu ainsi pendant plusieurs années parmi ces bêtes qui lui apportèrent force et réconfort dans cette période si difficile de sa vie. Mais, un jour funeste, il lui apparu que bon nombre d’ours trouvaient la mort de façon inexpliqué. En effet, un homme et un seul avait fait son apparition dans ces montagnes… comment un être si faible pouvait vaincre tant de forces de la nature ? Notre jeune héros prit alors sur lui de partir à la rencontre de cet étranger…
Il le trouva en train de tenir un ours par le cou… la bête était sans vie. Une armure étrange, de couleur sombre recouvrait son corps et son casque faisait penser au regard d’un ours des montagnes. Sa stature imposante évoquait celle d’un grizzli et son regard celui d’un aigle. Fou de rage devant l’acte abominable de cet homme sans scrupule, Beowulf le rejoignis en contrebas afin de venger ses nouveaux compagnons. Ayant perdu la parole devant les horreurs dont il avait était le témoin, c’était cette voix douce et puissante qui s’exprimait pour lui…

-N’as-tu point honte de l’acte abominable que tu viens de faire ? Que vaut le meurtre de cette bête ? Explique nous la mort de cet animal où tu subira notre colère.

Intrigué par la voix féminine qui fusait de ce jeune homme, le meurtrier fut encore plus surprit qu’elle s’adressait à lui comme s’ils étaient plusieurs

Et toi qui est tu jeune homme ? Je remarque, d’après tes dire que tu ne sais point qui je suis…tremble car ma force surpasse de loin la tienne. Ecarte toi de mon chemin si tu veux vivre.

Le rictus donc le visage de l’étranger affichait fièrement avait le don de pousser le jeune homme dans ses derniers retranchements. La voix intérieure lui apprit quand même que cet homme est un chevalier et que c’est donc un adversaire redoutable.

-Les ours sont notre famille et en t’attaquant a eux, c’est à ma colère que qui doit en répondre. Décline ton identité chevalier et repent toi car notre courroux sera terrible…

Tu oses me menacer vil chien ?! Mais je vois que tu as reconnu mon armure, et malgré cela tu es prêt à m’affronter ? J’admire ton courage mais c’est à la mort elle-même que tu vas devoir à faire si tu oses porter la main sur moi.

Beowulf n’en revenait pas de l’arrogance de ce chevalier car c’est ainsi qu’il ne présentait. Mais la série de crimes dont il était l’investigateur ne pouvait laisser cet homme s’en tirer comme ça.poussé ma sa colère, le jeune homme se jeta sur son adversaire avec hargne.

Pauvre fou ! La mort t’attire donc tellement...

Le chevalier de l’Ours attrapa notre jeune héros par le cou et le lança, comme s’il s’agissait d’une vulgaire poupée, sur le flanc de la montagne. La force de ce chevalier était largement plus terrifiante que tout ce qu’avez connu Beowulf mais il se laissait point abattre. Il réitéra sa charge et parvint à renverser son opposant. Ce dernier, abasourdi par la force du jeune homme se releva et fermant les yeux, une aura rougeoyante vint entourer son corps. Notre jeune héros se sentit alors paralysé par cette puissance nouvelle qui se dressait devant lui, son corps refusait de lui obéir et il pouvait sentir l’ombre funeste de la faucheuse lui glacer le sang…

Tu as l’arrogance de porter atteinte aux chevaliers d’Athéna ! Meurt et que ton corps soit l’ultime preuve de la toute puissance du sanctuaire !

Et dans un éclair aveuglant, la vie du jeune homme commença à s’échapper de son corps. Une douce sensation si particulière vint le ramener à la réalité, une mélodie qu’il connaissait si bien maintenant lui permettait de survivre une fois de plus… Le chevalier, quand a lui, s’éloigna de son adversaire qu’il pensait mort et il entailla son armure a l’aide du collier en griffes d’ours qu’il portait du coup et cette marque vint s’ajouter aux dizaines d’autre qui témoignait de ses victoires…
Beowulf se demandait comment il pourrait continuer à vivre maintenant, son honneur était bafoué, sa force, réduite à néant. Se trouvait-il face à l’homme le plus fort de la terre ? Est-ce qu’il était destiné à voir périr ses proches sans pouvoir rien y faire ? Autant de questions qui mitraillaient l’âme du pauvre jeune homme.

-Petit homme, je crois qu’il est tant de te dire qui je suis à présent. Ton destin était de rencontrer des chevaliers et, maintenant que c’est fait, ta vie va s’en retrouver bouleversé. Je suis la grande déesse Hel, fille du tout puissant Loki et je viens te faire part que tu as été choisi, et ce depuis ta naissance pour intégrer les rangs d’Odin, le seigneur d’Asgard. Une armure t’as été désigné…montre à ce chevalier la toute puissance d’Asgard

[i]La falaise commença alors à se fissurer laissant bientôt apparaître une armure blanche comme la neige représentant un Ours polaire, ce puissant animal à l’image de notre jeune héros. Il se leva et son corps lévita doucement. Une lumière blanche se mit à jaillir de son corps. L’armure, quant à elle lévita également. Une lumière intense la fit éclater en morceau et le Beowulf était maintenant revêtu de son armure. Laissant parler sa toute nouvelle force, le sol trembla se qui ramena les chevalier d’Athéna à la réalité… son adversaire n’avait pas succombé à ses blessures. Revenant à la charge, le chevalier de l’ours remarqua que le jeune homme portait une armure lui aussi…

Le corps de l’Athénien gisait sur le sol, il avait été éventré par les griffes acérées de l’Ours Polaire. Relevant la tête, ce dernier eut une pensée pour les bêtes que cet homme avait massacré…elle étaient vengée a présent. Il se mit alors en route pour le palais d’Odin, la voix d’Hel guida toujours ses pas…

Rebienvenue bon retour sur le rp ^^

ok ok, tkt on va vite te finir pour que tu puisse aller te les cailler sur la banquise lol---

Bienvenue parmi nous Bowulf

Bon amusement sur le fofo ^^