Thomas le Wendigo

Thomas Wilford

« Divinité à laquelle vous prêtez allégeance »

VOTRE HISTOIRE

Nom commun : Thomas Wilford
Nom indien : Tumu
Signification : Cerf qui pense à manger
Age : 24 ans
Sexe : Masculin

Background

Enfance :

Née en 1732 dans une famille d’employés de ferme, Thomas était le quatrième enfant d’une famille de sept. Bien que la terre fût une colonie Anglaise, près de la ville de Savannah, et par conséquent, sa famille était soumise à la religion anglicane, de par son arrière-grand-père, toute la famille connaissait aussi la culture amérindienne qui semblait venir d’une tribu, qui avait autrefois vécu dans le nord du pays mais suite aux attaques des « hommes blancs », ils durent quitter leur terre pour aller s’exiler dans le sud du pays.

Ses cheveux bruns et ses yeux marrons, aurait pu le faire passer pour n’importe qui mais un détail le catégorisait comme : « étranger », c’était sa peau un peu plus sombre que les autres membres de la ville fermière de Savannah. Pourtant, même au sein de sa famille, sa peau était la plus clair de toute.

Dès son plus jeune âge, il comprit bien malgré lui, ses origines n’étaient pas appréciées par tout le monde. Bien que son père soit un immigré anglais et sa mère indienne, les enfants de la famille Wilford n’était appréciés ni par les membres des colonies ni par la communauté indienne qui était proche de la ville.

De plus, ses parents n’étant pas riche, ni même de la classe moyenne, il n’était pas rare que les enfants passent une journée, voire deux, sans rien manger, se contentant de boire de l’eau avec un peu de jus dans les fruits qu’ils trouvaient dans la nature, voir des baies, selon les saisons.

Leur arrière-grand-père refusait de les appeler par les noms « anglais » que leurs parents avaient donnés, histoire d’aider plus facilement l’intégration des enfants. Il les appelait par des noms aux significations inconnus et refusait toujours d’en dire les raisons. C’est pour ça que Thomas fut appelé « Tumu ». Et son arrière-grand-père le regardait toujours avec un air étrange.

Le seul point positif d’avoir son arrière-grand-père chez eux, c’était les histoires qu’il racontait à sa famille, les soirs pour faire oublier à tous les journées difficiles ou les privations que la vie leur imposait.

Parfois, c’était son père qui racontait des histoires sur l’ancien monde, celui ou régnaient des rois et des reines sur des terres immenses et avec des armées tout aussi grande. Le père évoquait aussi des légendes sur des dieux, des hommes et de personnes capables de réaliser des miracles.

Adolescence :

A onze ans, son arrière-grand-père mourut d’une maladie qui emporta aussi sa grand-mère, sa mère et deux de ses frères. Son père continua de travailler aux champs avec le frère ainé de Thomas, pendant que ses plus jeunes sœurs apprenaient à travailler à la ferme avec une voisine. Thomas quant à lui devait aider son grand-père, devenu un peu fou par la perte des membres de sa famille. Et quand le grand-père dormait ou entrait dans une phase de délire où il ne voulait voir personne, Thomas devait aussi aller travailler aux champs. Tout cela eu pour effet de muscler le jeune garçon au fil des années.

Au fur et à mesure des années, Thomas s’occupa de plus en plus de son grand-père qui perdait complètement l’esprit. Le vieil homme lui racontait de plus en plus comment les « hommes blancs » était venu leur voler la terre, les tuer, les piliers et qu’il fallait se venger. L’esprit de Thomas fut donc envahi par des pensées étranges comme la vengeance, la colère envers les autres personnes et une haine contre les gens qui n’en avait rien à faire de la situation de sa famille.

Quand il eut 16 ans, Thomas était devenu de plus en plus sombre, se disputant régulièrement avec son père sur le fait que ce dernier se laissait marcher sur les pieds par son patron et que la solde qu’il touchait, était ridicule. Le jeune garçon déclarait souvent que son père avait bon être un anglais, il n’était en fait qu’un chien qui se soumettait à tout.

De plus, la situation politique n’arrangeait rien. Depuis déjà presque trois ans, une guerre éclatait entre les divers empires coloniaux, ce qui poussaient les gens à être plus nerveux. Et pour calmer la situation, beaucoup de gens influent reprochaient aux natifs la situation. C’est dans ce contexte de guerre géopolitique que le racisme envers les communautés amérindiennes augmenta.

Un soir, alors que la journée avait été pénible pour toutes les familles amérindiennes de la ville, suite à l’annonce de nouvelle privation, le grand-père de Thomas attrapa son arme, mit une des tenues traditionnelles et fonça dans la ville pour « défendre ses terres face à l’homme blanc ». Quand la famille Wilford remarqua l’absence du grand-père, il était déjà trop tard. Le grand-père avait tué une dizaine de personnes avant d’être arrêté par les forces de l’ordre. Thomas dû assister à la pendaison de son grand-père, sous les acclamations de joies et le flot d’insultes des gens de la ville. A ce moment-là, une haine grandit en lui, voulant tous les voir mort.

Craignant pour la vie du reste de sa famille, leur père plia bagage et partie en direction de Charlestone, une ville pourtant beaucoup plus loin que leur terre actuelle. Thomas avait vivement refusé, voulant mettre en terre leur grand-père mais son père refusa et le força à monter dans le chariot pour quitter le ville le soir même, emportant le strict minimum.

L’arrivé dans la nouvelle ville n’était pas aussi heureux que le père de la famille Wilford l’avait cru. Peu de gens voulaient les engagés et quand c’était le cas, c’était pour un salaire de misère. Pour Thomas et ses frères et sœurs, la situation ne changeaient pas, la faim et le froid faisaient toujours partis de leur vie de tous les jours mais en plus, ils étaient loin de tout ce qu’ils connaissaient.


Adulte :

Le jour de ses 18 ans, Thomas quitta le domicile familial, claquant la porte après une énième dispute avec son père, Thomas lui reprochant toujours d’avoir abandonné son grand-père. Les histoires du grand-père tournaient en boucle dans l’esprit du jeune homme qui décida de voir s’il n’y avait pas des choses à faire pour aider sa cause, à savoir « ramener une certaine équité entre les étrangers et son peuple ».

Durant les trois années qui suivirent, Thomas essaya de trouver des gens comme lui, qui croyaient que tout était possible. Mais il reçut de nombreux refus, quand il ne devait pas essayer de fuir les gens. Plusieurs fois, il fut capturé, pour être traité en esclave. Mais par chance, il réussit à chaque fois à s’échapper, même s’il ne s’en sortait pas indemne. Son corps commençait à se couvrir de cicatrice laissé par le fouet ou une plaie par une arme à feu dans le bras ou la jambe.

Un hiver, alors qu’il pensait qu’il allait y passer à cause du gel, il se mit à hurler sa colère aux dieux de ses ancêtres qui n’étaient que des bons à rien, qui avaient abandonnés son peuple et surtout, qui ne faisaient rien pour les aider à aller mieux. Quand il s’écroula finalement, fatigué et dans un état critique, il fut retrouvé par un groupe de voyageurs.

A son réveil, il apprit que les gens du voyage qu’il l’avait sauvé était des descendants de tribus amérindiennes qui poursuivaient le même objectif que lui. Et si au début, il pensait que c’était réellement le cas, il constata qu’ils étaient plus violents que lui. Ils n’hésitaient pas à user de leurs mains pour se faire entendre. Bien loin d’être dégouté par cela, Thomas décida de rejoindre leur cause et monta rapidement les échelons.

En seulement une année, il était devenu l’un des membres les plus influents de leur cause. Ses plans, ses idées et ses coups-bas était une « source d’inspiration » pour les autres membres.

Le seul souci, c’était que leur tête était mise à prix et malgré des planques un peu partout, au bout d’un moment, le nombre de leur membre diminuait de plus en plus. Alors qu’ils étaient presque une centaine quand Thomas les avait rejoints, il n’était plus qu’une quarantaine. Certains avaient simplement disparu, d’autres s’étaient fait capturés ou fait abattre sans sommations. Et il fallait ajouter à cela, ceux qui mourraient de maladie ou de faim car malgré tout ce qu’ils faisaient, ils restaient souvent le ventre vide plusieurs jours durant et les soins n’étaient pas au mieux. Personnes ne connaissaient vraiment la médecine dans le groupe, ce qui posa plusieurs fois des problèmes, entrainant la mort de nombreux d’entre eux.

Le chef de leur groupe décida alors de faire une grosse opération pour tenter de se faire connaitre du plus grand nombre et de rallier des gens à leur cause. Le chef voulait attaquer l’une des plus grande banque anglaise de la région, profitant que des tensions se faisaient entre la France et l’Angleterre. Bien que ce fût très risqué, tout le groupe accepta. La banque se trouvait dans une ville portuaire, non loin de Port-Royal, ancienne colonie Française, devenu anglaise.

Pourtant, la chance quitta définitivement le groupe ce soir-là. Alors que tout semblait en place, une personne du groupe prit peur en voyant les gardes et se mit à courir dans tous les sens. Ce qui provoqua la panique générale.

Les soldats en patrouille découvrir le petit groupe et se mirent à faire feu, tuant a vu les insurgés et capturant ceux qui se mettait à terre. Pour les autres, la fuite était la seule solution pour ensuite trouver un endroit où se cacher.

Thomas fut pris en embuscade et ne put s’en sortir que grâce à un phénomène étrange. En frappant un des soldats, il laissa une couche de givre sur le visage de ce dernier, qui prit peur en hurlant à de la sorcellerie. Aussi surprit que le garde, Thomas s’enfuit rapidement avant de rejoindre une partie de son groupe, qui était en train de voler un bateau. Il réussit à monter à bord et ils purent faire voile vers le large.

Sur une quarantaine de personne, ils n’étaient plus qu’une quinzaine. Le seul qui savait naviguer prit la barre, demandant vers où il fallait aller. Vu qu’ils n’étaient plus les bienvenus chez eux, il fut décidé qu’ils iraient dans l’ancien monde, histoire de voir si c’était mieux là-bas. Et même si l’idée de partir de sa terre natale dérangeait Thomas, toujours les histoires de son grand-père en tête, il ne pouvait qu’être d’accord.

Le seul souci fut que ce bateau n’était en rien préparé pour un si long voyage. Il y avait certes de l’eau douce mais la nourriture allait sans doute manquer. Mais dans leur esprit, la fraternité qu’ils étaient allaient savoir gérer et partager les ressources.

Malgré la bonne volonté de l’équipage, le temps s’allongea et au bout de plusieurs mois, plus aucunes provisions n’étaient à bord. Le navigateur espérait voir bientôt les côtes européennes mais l’ambiance à bord devint de plus en plus critique. Ils n’étaient plus qu’une dizaine encore en vie.

La traversée n’était pas de tout repos, et cela n’aidait pas. Entre deux tempêtes, trois fois une mer d’huile et une course-poursuite avec des pirates, l’équipage perdait espoir.  

Depuis une semaine, personnes ne se parlaient sur le bateau, tous faisaient leur tâche dans le silence, chacun regardant les autres avec colère, méfiance et parfois, un éclat de folie. Thomas sentait que ce bateau était en train de devenir une poudrière et qu’il ne fallait qu’une étincelle pour quelle explose. Et le fait que les derniers filets soient remontés vide, n’arrangeait certainement pas l’humeur. Leur dernier espoir de manger venait de disparaitre pendant un long moment.

Un soir, alors que Thomas essayait de se reposer pour oublier sa faim, caler dans un coin du bateau, un de ses amis s’approcha de lui.

- Tu devrais retourner te reposer un peu, lui lança-t-il en essayant de ne pas avoir l’air trop ennuyer par sa présence.

Mais son ami ne répondit pas, il se contenta d’avancer. Le jeune homme fut surpris car d’habitude, c’était un bavard de première, jusqu’à remarquer une chose dans la main de son ami qui était tout près de lui, un couteau. Et un regard de fou accompagnait le nouveau venu. Comprenant à la dernière seconde ce qui allait lui arriver, Thomas évita l’attaque de son ami.

L’agresseur essaya plusieurs fois de poignarder Thomas mais ce dernier évitait les attaques de justesse où se servant d’une planche pour bloquer l’attaque.

Voyant son dernier coup raté, l’ami de Thomas se mit à crier comme un animal blessé. Ce dernier lâcha son arme pour essayer de sauter sur sa victime pour mordre de Thomas au bras, pour lui dévorer un morceau de chair.

Les deux hommes combattirent un moment, malgré la faim qui se faisait ressentir de plus en plus. Quand un autre de l’équipage arriva, Thomas pensait qu’il était sauvé mais non, le nouveau venu voulait lui aussi le tuer pour le dévorer car il lui attrapa le mollet et essaya de planter ses dents dedans.

Lutter contre deux adversaires était trop pour le jeune homme qui voyait ses dernières forces l’abandonner. C’est alors qu’il repensa à ce qu’il avait fait avec le soldat, la nuit de leur fuite. Concentrant son esprit sur cette scène, il frappa d’un coup sec la gorge de son premier assaillant. Un coup rapide qui lacéra la gorge de l’homme, qui tomba sur le sol en agonisant. Thomas s’arrêta quelques secondes pour regarder ce qu’il venait de faire, mais ce lui fut mauvais. Son deuxième attaquant le mordit à l’épaule, enfonçant ses dents dans sa chair. Le jeune homme hurla de douleur avant d’envoyer son poing dans le visage de son ancien ami, le faisant tomber. Thomas se jeta sur lui, et le frappa à de nombreuses reprises, jusqu’à ce qu’il soit mort.

Les forces de Thomas étaient au plus bas et son ventre criait famine. Regardant autour de lui pour voir les deux corps sans vie. D’autres membres de l’équipage arrivèrent et Thomas comprit qu’ils étaient tous devenus fou. Ils portaient des traces de sang et de viscères sur eux et dans leurs yeux, on pouvait voir la folie. Le jeune homme dû lutter pour sa survie toute la nuit, poussant son corps dans ses réserves pour venir à bout du dernier assaillant. Quand le dernier tomba, le jeune homme était couvert de sang et de sueur. Devant lui le corps de tous ceux qui avait été autrefois ses amis gisait dans des mares de sang.  

Mais il ne put se sentir soulager bien longtemps. La faim le prit d’une telle force qu’il tomba à genoux, sentant que sa fin était proche. Il leva les yeux pour voir alors les corps sans vie devant lui. Et sans hésiter, il commença à les dévorer. Pour lui, il n’était plus des humains mais de la viande. Quand il eut fini de manger à sa faim, il décida de monter sur le pont principal pour respirer un peu.

Quand il arriva sur le pont supérieur, il senti l’embrun marin et malgré les nuages, quelques rayons de lune parvenaient à éclairer quelques parties du pont.

Il soupira en sentant enfin son corps lui faire du bien, comme si manger à sa faim avait été libérateur. Thomas marcha un peu avant de sentir quelque chose, une chose étrange qui le traversa de part en part. Doucement, il se retourna et son corps entier se figea. Devant lui, dans le noir, deux perles rouge sang le fixait dans la zone sombre du pont. Bien qu’un peu effrayé, le jeune homme ne bougea pas d’un pouce avant de remarquer que les deux perles rouges n’étaient pas juste des lumières mais des yeux. Et ces yeux appartenaient à une créature assise par terre, les jambes en tailleur. Le corps de la créature était maigre, presque décharné mais pourtant, ses muscles puissants étaient visibles. Elle portait des décorations que Thomas connaissait pour les avoir déjà vu chez son arrière-grand-père et son grand-père. Mais ce qui le choqua encore plus, c’était la tête de la bête. Ça ressemblait à une tête de cerf pour la partie supérieur mais au niveau de la mâchoire, se tenait une bouche pleine de dents aiguisées.

- Un wendigo… murmura Thomas en plongeant son regard dans les yeux rouges de la créature devant lui.

Jamais il n’aurait cru que la légende des wendigowak existaient. Ils ne bougèrent pas pendant un moment avant que la bête ne tende son bras droit vers l’horizon.
- Vous voulez que je parte par-là ?

L’esprit de Thomas se mit en marche plus rapidement qu’il ne l’aurait cru. En quelques heures, il décida tout ce qu’il allait faire.

Thomas mit une chaloupe à la mer avec à l’intérieur un corps sans vie de l’un de ses anciens amis qu’il n’avait pas encore dévoré. Après avoir stocker de l’eau douce et surtout, s’être lavé, il prit l’huile qu’il y avait dans le bateau et mit le feu au bateau.

Son idée était de garder un de ses amis près de lui, afin de faire croire à une attaque de pirate, comme il avait pu le lire dans les rapports qui se trouvaient dans la cabine du capitaine. En bandant la plaie de son ami, il pourrait faire croire qu’ils avaient pu fuir le combat. Un plan certes bancal mais il n’avait pas mieux pour l’heure.


L’ancien monde :

Quatre jours, ce fut le nombre de jour qu’il fallut pour qu’un bateau marchand espagnole. Par chance, l’un de marin parlait anglais. Thomas lui raconta son histoire et après que l’équipage ait discuté, ils décidèrent de le soigner, de le nourrir et de le ramener en Espagne.

De là, commença une toute nouvelle aventure pour Thomas. Il décida de voyager pour découvrir un peu cet ancien monde dont son père lui parlait autrefois.

Thomas essayait de retenir ses pulsions durant plusieurs mois, mais il lui arrivait de temps en temps, de trouver une personne dans une ville, de la suivre, de la tuer puis de la dévorer avant de jeter ses morceaux un peu partout, histoire de brouiller les pistes. Et a chaque fois, il revoyait le wendigo qui lui indiquait une direction.

Durant les deux années qui suivirent, Thomas voyagea pour découvrir tout ce qu’il y avait à savoir. Certes, tout n’était pas rose, il du combattre plusieurs personnes pour sauver sa vie, en usant de son pouvoir étrange de glace pour se sauver de plusieurs faux pas.

Un soir, alors qu’il finissait de dévorer une jeune femme qui avait tenté de le séduire, il senti un profond sentiment de malaise l’envahir. Il savait que ça voulait dire que le wendigo n’était pas loin. Il se retourna pour voir la créature qui se trouvait là effectivement mais cette fois, c’était différent. La créature n’était plus assise mais debout, mesurant presque deux mètre cinquante. Et alors que les autres fois, elle était calme, là son regard était rempli de colère et de violence. Lentement, la créature tendit son bras pour indiquer une direction. Le wendigo poussa un cri terrible qui remplit le cœur de Thomas d’une peur sans nom. Il recula avant de comprendre qu’en effet, il avait trop attendu et que la bête s’impatientait.

- Bien, je me mets en route… dit-il en murmurant, reculant doucement.

C’est comme ça qu’il commença son voyage vers un lieu qu’il ne connaissait pas mais qu’il se sentait attirer.

Après plusieurs semaines de marches dans une forêt profonde du sud de l’Europe, il arriva devant une grotte. Intrigué, il entra à l’intérieur pour y marcher durant un temps indéterminé. Sans savoir pourquoi, il continua d’avancer, même s’il ne voyait rien devant lui, jusqu’à ce qu’il aperçoive une forme bleutée devant lui.

En s’approchant un peu plus, il put constater qu’il s’agissait d’une cuirasse qui ressemblait au wendigo qui venait le visiter après chacun de ses crimes. Continuant de s’avancer, jusqu’à toucher la cuirasse avec sa main. D’un coup, la grotte fut illuminée par une lumière bleutée. Rien n’était plus visible à l’intérieur. Petit à petit, la lumière déclina pour permettre à Thomas de remarquer que la cuirasse n’était plus devant lui mais qu’elle le recouvrait entièrement. Une voix se fit alors entendre.

- Rend toi à Sparte, Royaume du Dieu qui t’a fait don de cette cuirasse et de ton pouvoir !

MES INFOS +

Toujours en fuite depuis le nouveau-monde, Thomas continu son voyage, accompagné par l’esprit d’un wendigo.

Méfiant envers les autres de par ses expériences maritimes, Thomas espère toujours pouvoir trouver la foi et de vrai camarade, malgré tout.

D’un tempérament a la base froid, il peux vite devenir agressif s’il se set menacer ou acculer dans une situation dangereuse pour lui.

¤ Votre avatar : Sokka de la série Avatar le dernier maître de l’air ¤ Avez-vous pensé à lire et signer les règles ? Lu et approuvé ¤ Le mot de la fin ? Pour le seigneur Arès