Kanyan, Général du dragon des mers

Ma
Présentation

• NOM : Kanyan
• CAMP : Marinas de Poséidon
• ARMURE : Ecaille du dragon des mers, protecteur du pilier de l’Atlantique Nord.
• CARACTÉRISTIQUE : Pour mon personnage je dirais orgueilleux, sombre mais toujours prompt à réagir. Il se laisse facilement diriger par ses émotions. Il est de grand stature, imposant, blond et les yeux d’un bleu glacial.
Pour moi et bien, je dirais plutôt de bonne composition et autant que faire se peut chaleureux et aimable! J'ai déjà été admin dans un fofo de ce style il y'a quelques années et j'aimerais revenir au rp saint seiya donc me voilà, et si je peux être utile avec ma petite expérience ce sera avec plaisir!
• COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? Par Askhan
• NIVEAU DE RP : Alors ça c'est extrêmement difficile à dire! J'ai déjà pas mal d'expérience en rp. Toutefois, je ne peux pas dire si mon rp est bon ou pas, ce sera à vous d'en décider! Wink

Naissance d'une histoire

Dans la froideur de la nuit, au beau milieu d’une petite île perdue au large du danemark, au pied des reliefs acérées et inhospitaliers recouvrant cette île, le vent hurlait, giflant les quelques arbustes éparses et décharnés mais pourtant adaptés à cette terre austère et rude. Ce vent violent et sifflant, chargé de poussière et de pluie, conférait au paysage déjà désertique, une impression de dévastation, encore plus marqué par les reflets d'une pleine lune inquiétante baignant les îlots et les récifs d'une lueur blafarde et oppressante.

Quand soudain la nuit, telle un voile de soie lourd et tendu, se déchira d'un éclair suivi peu après du bruit sourd du tonnerre résonnant de toute sa puissance dans les infractuosités du terrain. C'est dans cette atmosphère lourde et oppressante qu'avançait, lentement mais d'une démarche assurée, un homme de haute stature emmitouflé dans une grande cape à capuche noir ne laissant rien apparaitre de son apparence. L'homme sauta d’une frêle embarcation qui venait de rejoindre l’îlot et marcha longuement jusqu'à arriver à une petite maison isolée. En approchant de l'habitation, et malgré le vacarme de la nature déchainée, l'homme pouvait percevoir les cris intenses d'un nouveau-né. Il se présenta à la porte et attendit qu'on lui ouvre après avoir frappé.

La porte s'ouvrit sur la petite chaumière dévoilant une ambiance douce et chaleureuse, coquette malgré l'apparente pauvreté du lieu dénotant radicalement avec la violence de l'orage à l'extérieur. L'homme qui l'avait fait entrer était étonné de voir un visiteur, cela se lisait sur son visage, mais l'expression qu'il prit, totalement interloqué lorsque le voyageur découvrit son visage se mua en un instant en rage. Et sans plus attendre il recula semblant protéger de son corps et de tout son être celle qui fut sa femme tenant en tremblotant son enfant nouveau-né dans ses bras et il s'adressa avec dans la voix, toute la peur, la détermination et la colère qu'un homme puisse avoir.

"Co... Co... Déjà? Comment pouvez-vous déjà venir réclamer votre dû! Nous savons à quoi nous nous sommes engagés mais vous ne pouvez pas nous l'enlever après si peu de temps. Vous pourriez au moins nous laisser profiter de notre enfant au moins une semaine..." Les larmes se mirent à couler sur le visage de l'homme dons les traits déjà carrés se trouvaient beaucoup plus saillants et acérés par la contraction violente de ses mâchoires. "Vous n'imaginez pas ce que nous pouvons ressentir, vous ne pouvez pas concevoir à quel point ce que vous faites est destructeur!"

La colère de l'homme transpirait dans sa voix mais le visiteur n'avait toujours pas prononcé le moindre mot, se contentant de regarder l'homme droit dans les yeux attendant qu'il finisse par flancher.

"Mais parlez espèce de monstre! N'avez-vous donc aucun coeur?" A peine eut il finit de prononcer sa phrase que l'homme s'écroula à genou sanglotant vigoureusement le regard vers le sol.

A cet instant le visiteur s'avança, dépassant le jeune père, s'approcha de la femme et sans un mot lui prit fermement mais avec douceur l'enfant qu'elle tenait dans les bras et qui avait depuis longtemps cessé de hurler. Il finit par se retourner, l'enfant toujours dans ses bras et se dirigea vers la sortie, quand, dans un élan de désespoir le jeune père attrapa son couteau de chasse et se jeta la lame en avant sur l'homme qui lui tournait le dos. Le visiteur en un seul mouvement fluide et délicat se retourna à une vitesse incroyable et de sa paume projeta l'homme à travers la pièce puis s'en retourna affronter les éléments déchainés.

La porte de la petite habitation resta ouverte sur la scène et bien que le visiteur ne le vis pas, l'homme s'éteignit quelques minutes plus tard, son poumon perforé par son propre couteau. Sa femme, peut-être de chagrin ou de désespoir, se laissa tomber auprès de son mari, et après que le vent qui s'engouffrait par la porte grande ouverte eut éteint le petit feu dans la cheminée, il finit par s'endormir, la tête reposant sur le thorax de celui qui fut son époux, le tenant serré dans ses bras, et engourdie par le froid, elle s'abandonna à la mort qui vint la chercher elle aussi cette nuit-là.

Croissance d'une légende

Six ans avaient passés depuis ce jour dramatique dont je n'avais pas conscience et je restais assis là, stoïque, impassible comme mon maitre me l'avait enseigné, et je tâchais de me concentrer sur mon âme, le cosmos et le monde qui m'entourait, je ne devais faire qu'un avec ce monde en oubliant mes émotions et mes sensations. Mais comment passer outre cela lorsque le vent vous gifle le visage, que le froid vous brûle la peau, que l'humidité vous ronge les os? Je ne le sais pas.

Tout ce que je sais c'est que pour l'instant ce que je ressentais avait évolué. Je me rappelais les premiers temps, au début de mon entrainement où ces séances de méditations au milieu du froid du cercle arctique me pétrifiait et me faisait souffrir. Ce n'est plus le cas aujourd'hui. Bien que je n'arrive pas à me détacher de ce que mon corps ressent, ce n'est plus la douleur que je perçois mais le bien être. Ce n'est peut-être pas la communion que mon maître attends mais le froid m'apaise, me réconforte, me ressource. J'éprouve du plaisir à sentir sa morsure sur ma peau jusque dans mon âme, au grand dam de mon maitre d'ailleurs pour qui le détachement et la base de tout.

Je suis conscient qu'il porte de grands espoirs en moi, bien qu'il ne le dise pas, je sais qu'il m'en demande plus qu'aux autres alors que je les surpasse déjà, il veut nous inculquer l'humilité mais en quoi cela peut-il nous aider? Si je suis le meilleur ne suis-je pas en droit de l'assumer et de le montrer? De toute façon ces séances ne servent à rien le maître n'est peut-être qu'un vieux fou après tout, la communion qu'il attend est peut-être juste impossible...

"AÏE" M'écriais-je subitement en ressentant une violente douleur à l'arrière du crâne me ramenant instantanément dans le monde réel j'ouvris les yeux juste à temps pour voir arriver au milieu de la neige voletant un deuxième coup de bâton que j'évitais en baissant la tête.

"Kanyan, combien de fois devrais-je te répéter de te laisser couler dans le cosmos. Tu te perds sans arrêt dans tes sensations et ton imagination! Tes pensées sont peut-être intéressantes mais tu t'y plongeras pendant ton sommeil. Concentres toi s'il te plait!"

"Mais maître ce que vous réclamez est impossible. Je sais bien que l'on peut utiliser le cosmos et le façonner..." Dis-je en projetant de la neige avec violence par la seule force de mon esprit. "Mais se plonger totalement dans le cosmos comme vous le décrivez... Si c'était possible je l'aurais fait depuis longtemps!"

"Kanyan, il suffit. Si je te dis que tu le peux alors tu le feras, tous les chevaliers le font, alors cesse de te comporter comme un enfant et fait ce qu'on te demande."

Les séances d'entrainement continuèrent de s'enchainer, jour après jour, semaine après semaine, et un jour j'atteignis cet état de conscience que mon maître attendait tant, et je pris conscience que ce n'était qu'une étape de plus. Plus les années passaient et plus ce qu'on me demandait était dur et décourageant.

J'avais 14 ans aujourd'hui et j'étais devenu de loin le meilleur apprenti du centre d’apprentissage où nous étions, quelque part sur la côte islandaise. Toutefois ce n'était jamais assez pour mon maître qui me poussait toujours plus loin. Il m'avait dit un jour que je pourrais être amené à porter une armure sacrée. Nous savions tous de quoi il retournait et nous étions tous là dans ce but. Nous voulions tous défendre la déesse Athéna et son sanctuaire, servir l'humanité et la protéger, mais tous nous savions que seuls quelques élus en arriverait là et c'est pourquoi la compétition était si féroce, mais je la survolais. J'avais appris à contrôler mon cosmos, et je ne faisais plus qu'un avec lui maintenant, je pouvais matérialiser de la glace et givrer tout ce que je voulais.
C'est ainsi qu'un jour mon maître vint me voir, accompagner d'un homme vêtu d'une armure argentée. Les seules fois où j'avais vu de ces armures c'était quand j'étais très jeune, avant que l'on m'amène au centre d'entrainement et je m'étais toujours dis qu'un jour moi aussi j'en porterais. Mon maître fini par m'expliquer que mon entrainement auprès de lui était terminé et que je partais maintenant pour le camp d'entrainement du sanctuaire afin de parfaire mes connaissances avec les chevaliers.

La fin d'un mythe

J'avais aujourd'hui 24 ans et mon entrainement avait été parfait par mon nouveau maître, un chevalier d'argent du nom de Lyonos, et je savais que l'épreuve finale arriverait bientôt, que je serais jugé apte de protéger Athéna. Un matin arriva où mon maître vint me voir, déclarant qu'il était temps pour moi de connaitre l'histoire du sanctuaire, car comme il le disait, c'est en connaissant le passé que l'on forge le futur.

Je fus donc amené à la bibliothèque du sanctuaire et on m'expliqua que je devrais travailler et méditer au coeur de ce haut lieu de la connaissance jusqu'à ce que je sois enfin prêt. J'ignorais par quoi commencer et je me disais que j'en savais déjà beaucoup de l'histoire commune des chevaliers et je cherchais donc dans les méandres de la bibliothèque si il existait quelque part des recueils de la vie de chaque personne passée au sanctuaire. Je me mis donc en quête de ces écrits potentiels sur lesquels je finis par mettre la main dans une salle à l'écart des autres.

Je commençais ainsi à étudier ce qui avait été conservé sur l'histoire de tous les grands chevaliers dont j'avais un jour entendu parler puis une fois ceci fait je me mis à lire des documents au hasard sur des gens que je ne connaissais pas, leur hauts, leurs trahisons, leurs erreurs, leurs pardons et j'eut l'impression de grandir, de m'imprégner de toutes ces expériences comme si je les avaient vécues.

Malheureusement cet état de grâce fut de courte durée. Je finis par tomber sur le récit de la vie d'un chevalier qui avait un jour revêtit une armure de bronze et qui avait fini par l'abandonner quelques années après, préférant fonder une famille plutôt que continuer à servir Athéna. Il était noté qu'en échange de sa désertion, son premier enfant serait confié au soin du sanctuaire afin d'y être formé. A mesure que je lisais j'eus l'impression de vibrer avec mon cosmos comme si j'étais sur le point de découvrir quelque chose. Finalement, le récit décrivait que l'enfant avait été récupéré par le sanctuaire mais que ce chevalier avait refusé son sacrifice jadis promis et avait trouvé la mort ce jour-là ainsi que son épouse. A cet instant, les souvenirs remontèrent des tréfonds de mon âme, et je revis la scène, comme si j'en étais le spectateur aujourd'hui.

Je pris conscience à cet instant que toute ma vie avait été décidée à l'avance, et que toutes les personnes en qui j'avais confiance m'avait menti, me répétant sans cesse que j'avais été abandonné aux portes du sanctuaire. Une puissante sensation de dégout et de trahison m'envahit et la colère finit par prendre le dessus. Il ne restait plus bientôt que la vengeance dans mon esprit, un mot tournant sans cesse devant mes yeux, s'imprimant dans mon âme en lettre de sang. Je finis par sortir de la bibliothèque, sans qu'aucune expression ne trahisse le maelstrom qui détruisait mon âme.

J'avançais lentement, à travers les divers bâtiments, faisant fi de l'architecture magnifique qui jour après jour m'avait tant émerveillée ces dernière années. Et sans attendre je rejoins celui qui fut mon maître et dans un déferlement de colère, mon cosmos se déchaina sur le chevalier sans son armure qui jadis m'avait arraché aux bras de ma mère.

L'attaque fut si soudaine que personne n'eut le temps de réagir. Le chevalier fut quasiment pulvérisé par l'attaque, et je repris instantanément mon chemin, bien décidé à rejoindre mon premier maître pour le confronter à sa traitrise, car ma soif de vengeance était inextinguible et je voulais punir celui qui avait couvert ce qui se révélait être ni plus ni moins qu'un double homicide.

Lorsque j'arrivais finalement en Islande, sur place, je vis mon premier maître avec des élèves et lorsqu'il m'aperçut, je su, à son expression qu'il avait lu en moi et qu'il connaissait la raison de ma présence. Il avait dû ressentir la violence que je dégageais car immédiatement il intima à ses élèves de rentrer dans leurs dortoirs et il commença à s'éloigner doucement m'obligeant à le suivre. Nous finîmes par arriver au centre d'un petit cratère au milieu de la banquise et il s'arrêta au centre de celui-ci me faisant face, ses cheveux blancs battus par le vent qui soulevait de la neige tout autour de nous, donnant à la scène une ambiance plus pesante encore.

"Vous saviez maître. Vous saviez ce qui était arrivé à mes parents et vous n'avez rien dit. Pire vous avez couvert ces actes. Vous m'avez berné avec vos promesses d'un meilleur monde sous la gouvernance de la déesse Athéna et de ses chevaliers, ces mêmes chevaliers qui assassinent des gens de sang froids." Je serrais les poings avant de reprendre avec encore plus de violence dans la voix. "C'est le mal incarné que vous avez voulu que je suive maitre. Mais aujourd'hui je sais. Je sais que je m'étais fourvoyé et je vous combattrais, vous tous et votre déesse pour protéger ce monde et venger, je n'ose imaginer combien, ces pauvres âmes sacrifiées au nom de votre cause."

"Tu fais erreur Kanyan. La mort de tes parents est un évènement tragique que personne n'a voulu."

Son arrogance lors de ces paroles finit par me faire sortir de mes gonds et sans crier gare, je me jetais sur lui cherchant à le frapper de toute part avec toute la puissance de mon cosmos en hurlant: "Vous mentez, je sais que vous mentez, vous me manipulez une fois de plus mais je vous détruirais!

Et je continuais de le frapper déchainant mes poings et mon cosmos tandis que le vieux maitre se contentait d'éviter mes assauts, parant et me repoussant jusqu'à ce que lassé de l'affrontement, il finit par lâcher son cosmos, me projetant de plusieurs mètres et à cet instant je vis les larmes sur son visage quand il se releva en s'adressant à moi.

"Je suis désolé Kanyan, tu es devenu incontrôlable. Je ne peux pas te laisser continuer mais je ne peux pas te tuer car je t'aimais comme un fils... Pardonnes moi, j'espère qu'un jour tu comprendras."

A cet instant je sentis son cosmos tout autour de moi et lorsque je compris ce qu'il s'apprêtait à faire, j'ouvris totalement mon esprit, me plongeant dans le cosmos, comme si j'avais été appelé et une entité d'une puissance formidable s'adressa à moi au moment même où le cercueil de glace se refermait sur moi.

Renaissance d'un général

Quarante années ont passées depuis que j'ai été plongé dans la glace, pendant toutes ces années, je suis resté en connexion avec celui qui serait mon dieu. Poséidon lui-même s'était adressé à moi, me montrant la vérité, me guidant dans les méandres de mon esprit et m'amenant à trouver la sérénité. Cela ne dura qu'un instant mais l'écho de son énergie dans la mienne demeura pendant tout le temps de ma stase, me permettant de trouver la paix que j'avais perdue, guidé par un besoin de vengeance. Perdu dans le cosmos, je réussi à davantage élever mon âme dans la solitude de mon cercueil glacé que dans la vie que j'avais vécu avant. Et finalement j'atteignis un état de sérénité tel que mon cosmos se mit à vibrer à l'unisson avec le cercueil de glace. Je ne faisais plus qu'un avec ma prison glacée et celle-ci finit par se rompre en même temps que ce qui restait de mon ancien moi.

Ainsi lorsque je me relevais enfin de mon sommeil, perdu quelque part au large de l’Islande, mon cercueil de glace dérivant quelque part dans l’atlantique nord, j'étais un nouvel homme, un homme prêt à devenir général. J'avais enfin compris ce qu'était la puissance et le pouvoir de Poséidon. Il m’avait montré l’avenir que je méritais.

Je sentis au travers de mon cosmos une vibration lointaine et sourde, et la voix de Poséidon résonna à nouveau dans ma tête.

"Tu t'es enfin éveillé Kanyan, et je sais que tu t’élèveras plus que tu ne l’aurais jamais imaginé si tu rejoins mes rangs. Tu n'étais pas toi-même et je sais qu'aujourd'hui ta colère est canalisé. Ce que tu ressens aujourd'hui c'est l'appel de ton écaille. Si tu la rejoins, tu pourras montrer au monde ton pouvoir, tu pourras montrer à Athéna et les siens la puissance des océans. Cette écaille t'a choisi pour une bonne raison Kanyan, et si acceptes de la revêtir, il n’y aura plus aucune limite à notre pouvoir. Tu pourras enfin acquérir la place qui t’es dévolue à mes côtés. J’ai confiance en toi Kanyan."

Lorsque la voix se tut enfin, et sans que j’ai pu en prendre conscience, j’avais dérivé jusqu’à apercevoir une côte.

Je n'oublierais jamais ces mots ancrés dans mon âme, et quand finalement je finis par me saisir et me laisser revêtir de l'écaille du dragon des mers, ces mots résonnèrent à nouveau dans mon âme comme ils le feront à tout jamais.

Je sais que je suis désormais un fervent défenseur du pilier de l’atlantique Nord, un grand général qui répandra la colère et la volonté de Poséidon partout sur Terre.

Bienvenue sur le forum, c'est cool de choisir un Marinas Wink

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Bienvenue le Marina ! :) Superbe armure que celle de Général du Dragon des Mers. Je compte sur toi pour la porter avec toute la classe qu'elle mérite.

Ah si c'est chouchou qui t'envoie alors doublement bienvenue (^.^)

Welcome sur Antho !

Oh c'est notre Posy qui va sauter de joie :)

Bienvenue futur Dragon des Mers. Amuse-toi bien parmi nous ^^

Bienvenue!! Razz

Bienvenue à toi Dragon des Mers Very Happy

Bienvenu chez nous

Aaaaah je viens de voir un pseudo famillier!!!!!
Content que tu nous rejoignes petit être^^ Et c'est un très bon choix d'armure, super classe!
Bienvenue sur le fofo, éclates toi bien!

Bienvenu sur le forum

Le glaive impitoyable de la validation va révéler son jugement implacable et... Euh, bon stop, je m'endors moi même.
Alors déjà bienvenu à toi !
J'ai pris le temps de lire ta présentation et, hormis quelques répétitions dues probablement à ta pause dans le rp, il n'y a rien à redire. Bien écrit, bon texte. Bon tu vas devenir un psychopathe qui va tacher de tuer tous les saints qui croiseront ta route mais bon, on commence à en avoir l'habitude !
Tu as mon oui, ta validation est donc effective !

Merci à vous tous pour votre accueil! J'ai hâte de tous vous croiser dans le rp! Et pour ce qui est de tuer des saints, ce n'est pas ma seule vocation, je peux me contenter de les pulvériser! ^^

Bienvenue parmi les coraux, jeune coq. Je vais pouvoir te faire bosser dur, y'a plein de choses à faire Kanyan, Général du dragon des mers 1431470283

Si tu as besoin de quoi que ce soit, papa-Posi est dispo par MP ou en salle secrète sans problème ! On pourra discuter notamment du lieu et de la façon de t'intégrer en RP si tu n'as pas déjà d'idée ^^

A bientôt sous les flots !

Bienvenue chez les poissons^^

Merci majesté des poissons! J'ai hâte de me mettre au travail! Et merci à toi Kyrian!

Kanyan a écrit:: Merci à vous tous pour votre accueil! J'ai hâte de tous vous croiser dans le rp! Et pour ce qui est de tuer des saints, ce n'est pas ma seule vocation, je peux me contenter de les pulvériser! ^^

Elle commence mal ta nouvelle recrue posy Kanyan, Général du dragon des mers 1431470283