Coucou c'est encore moi, un petit bisous et on n'en parle plus!

Le vent se soulève devant la porte du Tartare, les cendres tourbillonnent et prennent une forme humaine. Tu es de nouveau ici, combien de fois ton destin t'a fait traverser le chemin du Tartare, tu ne comptes plus. Tu peux l'avouer, la douleur subie ici, te procure du plaisir depuis le temps. Tu encaisses pour mieux distiller les souffrances sur l'humanité par la suite.

Encore une fois, dans les tréfonds de la terre, ton âme reprend la forme première de ton corps.

"J'aimerai bien voir Campé cette fois ci"

Tu parles pour toi même, car cela te permet à ton esprit de garder une forme tangible. Le retour n'est pas garantit, pourtant, il te faut revenir là haut pour les prévenir car même si tu les détestes, et que tu rêves de les dominer , l'Olympe se doit de rester l'unique sanctuaire divin à dominer le monde.

Une personne entre au Tartare. Une nouvelle âme divine qui mort la poussière chez les mortels. Que c'est pathétique. A croire que les Dieux n'apprendront jamais à se faire respecter par les mortels. Mais soit, il est de mon devoir de prendre en charge cette pauvre âme et m'amuser avec.

Je ressens son cosmos divin et le reconnait tout de suite, Phobos, fils ou fille d'Arès, selon son bon vouloir et ses lubies du moment. Et comme tout bon fils d'Arès, Phobos a des exigences. Aussi hautain que son père celui-là. Je vais lui apprendre moi, à prendre de haut le Tartare.

- Désolé, noble Phobos, progéniture du puissant Arès, mais je suis dans l'incapacité de répondre à votre requête.

Ma voix semblait venir de partout à la fois, sans qu'il puisse me voir exactement. Pourquoi prendrais-je la peine de me montrer pour une personne qui vient de casser sa pipe chez les mortels. Mais continuons le jeu, autant que ça soit divertissant... pour moi.

- Mais peut-être que je pourrais vous aider ? désirez-vous quelque chose en particulier?

J'allais m'amuser avec ce petit dieu. Mais avant, autant faire croire que j'étais dans de bonne disposition pour l'aider, avant de le torturer. Car bon, un dieu qui passe l'arme à gauche chez les mortels, c'était quand même une chose un peu dérangeante.

Décidément rien n’est simple ici, pour revenir d’entre les morts, il faut payer le prix. Finalement tes comportements déviants viennent peut-être d’ici. Tu devrais en parler à Zeus pour qu’il change la règle. Comment l’Olympe peut rester forte, si la moitié des divinités sont folles.

Tu ne bouges pas la tête pour chercher d’où vient la voix. Elle résonne déjà en toi comme des fausses notes, tu grinces de dents. Un accueil aussi chaleureux cache la pire des tortues. Alors autant s’amuser un peu, provoquer. Rien n’est gratuit en ce bas monde, et les créatures immondes qui vivent en ces lieux n’ont pas beaucoup d’animation. Alors quand une divinité qui à trépassé point le bout de son nez ici, c’est l’effervescence.

" Ce que je désire ? Montre-moi ta sale caboche allonge toi sur le dos, je m’occupe du reste "

Tu attends, tu sais qu’il n’en sera rien de tout cela. Tu n’as jamais réussi à mettre un visage, un nom sur les gardiens du Tartare, Campé doit bien s’amusé.

Mes dieux que ça va être amusant de jouer avec cette âme immortelle. J'avais essayé de mettre les formes, de ne pas être trop impoli ou informel, du moins pour le moment. Et cette jeune divinité se permet de me dire de me coucher sur le dos et de la laisser s'occuper du reste. Bien, si elle veux commencer directement le jeu, c'est son problème.

- Vous laissez vous occuper de tout? Comme vous vous êtes occupé du royaume de votre père, le Seigneur de la Guerre?

A ces mots, dit sans aucune colère ou autre sentiments, le décor autour de Phobos changea radicalement. Fini la noirceur du Tartare, bienvenu dans un décors plus rouge, plus terreux aussi. Phobos pouvait sans doute reconnaitre quelques restes de bâtiments en ruine, avec des incendie ici et là. Et aux pieds de la divinité, il y avait des cadavres. Certains portaient des tenues spartiates, d'autres des cuirasses. Une odeur de sang et de chair brûlé parvenait jusqu'au nez de Phobos. Un peu plus loin, dans les flammes et les décombres, Phobos allaient pouvoir apercevoir la silhouette des Berzerkers qui avaient le royaume de son père.

- Tu as "géré" à la perfection. C'est vrai. Cette fois, la voix était amusée. Tu avais prévu la mort de tous les Berzerkers qui étaient à votre service? De tout les fidèles d'Arès et de la totalité des gens de Sparte?

Le ton était donné. Phobos avait voulu jouer, j'allais jouer aussi. Et celui qui allait avoir le plus mal, ce n'était certainement pas lui. Mais avant tout, voyons la réaction que cette divinité allait faire en voyant Sparte détruite totalement.

Tu ne peux t’empêcher de faire un pas en arrière quand il parle du royaume de ton père. Le décor change et la réalité qui s’impose à toi est brutale. Tu réalises que tu n’as pas seulement perdu un combat, mais que ces maudites chimières ont mis à mal la royaume, Sparte n’est plus, ce que tu redoutais le plus est arrivé.
Ton cœur se serre devant ce spectacle, le ton moqueur est bien présent, et l’accusation assassine. Tu fermes les yeux pour chasser cette vision, mais elle est bien là, encore et toujours ou que tu tournes la tête. Impossible de s’échapper. Tes poings se serrent de rage, de colère, de tristesses, de désespoir. Sparte n’est plus, c’est une vérité difficile à accepter. Un cri retenti dans le tartare déchirant les cieux rouges, tu n’es pas sur qu’il vient de toi, il dure plusieurs minutes.

Tu t’écroules à genou au sol. La tête baissée serrant quelques grains de poussières dans tes mains que tu as ramassé quelques secondes avant. Tu t’accroches à cette terre désolée comme au dernier vestige qu’on t’offre et puis……
D’un geste sec, tu jettes ce que tu as dans ta main, tu releves la tête pour faire face, à qui ? tu ne sais pas comment d’habitude, mais ta voix est claire et tonitruante.
" Moi, … au moins j’étais présent, j’étais là pour eux. Je n’ai pas disparu comme Arès ou Deimos. J’ai affronté l’ennemi jusqu’au bout…"

IL est hors de question de portée le chapeau de la perte de Spartes, tu étais là, présent, et tu es resté debout jusqu’au bout, d’ailleurs tu es de nouveau droit comme un I, attendant la prochaine accusation.

La vision semblait avoir été suffisante pour toucher en pleins coeur, du moins ce qu'il en restait, de cette pauvre âme divine. Est-ce qu'elle regrettait sincèrement ce qu'il c'était passé? L'âme de cette petite divinité, qui avait traversée les âges et les temps mythologiques, regrettait-elle réellement la perte de mortel et de bâtiment? Où était-ce juste parce qu'elle avait perdue le royaume de son père?

Même moi, qui vivait dans le Tartare, je pouvais ressentir sa douleur dans le cri qu'elle poussa après avoir eu la vision et être tombé à genoux. C'était touchant, venant d'une divinité comme elle.

Puis, elle me déclara qu'elle au moins, était restée jusqu'au bout, qu'elle s'était battue, pas comme son père et Deimos.

- C'est vrai que toi au moins, tu as lutée jusqu'au bout pour tenter, et j'insiste bien sur tenter, de sauver le royaume de ton père.

Je regardais cette âme et j'étais partagé. C'était une divinité qui s'était fait tuer par un mortel et en même temps, au moins c'était une divinité qui avait fait de son mieux.

- Et que vas-tu dire à ton cher père et ton jumeau quand tu vas les revoir? J'ai essayé mais échoué? Je n'ai pas réussi à défendre notre terre et notre peuple?

L'image d'une des incarnations d'Arès et de Deimos apparurent devant Phobos, la regardant d'un air supérieur. C'était clairement sadique mais bon, il faut bien s'occuper un peu dans le Tartare, quand on à la chance d'avoir un dieu à se mettre sous les crocs.

La première phrase de ton juge est étrange, tu lèves la tête les yeux rouges.

"Es tu au courant de quelque chose?"

Va t il te donner une information qui te permettra de renverser la situation? Pas le temps de réfléchir, la nouvelle épreuve arrive et tu es face aux deux lâches qui ont quitté le navire avant le naufrage.

"POURRRRQUOIIIIIIIIIIIII"

C'est un cri sauvage et ta voix est totalement détaillée. Le mot est répété en boucle et en boucle. Et ils continuent à te regarder l'air hautain, sans dire un mot, leur silence est pesant.
Perdant la notion du temps, tu ne sais pas combien de fois, tu répètes encore et encore la question, ta voix se meurt petit à petit dans ta gorge douloureuse.

Et puis sans prévenir, ta tête par en arrière, les bras s'ouvrent en grand comme ci tu étais prêt à accueillir la mort dans toute sa beauté et un râle animal rugit dans le tartare, suivit d'un rire de démence. des lianes surgissent du sol et saisit ton frère aux jambes et aux bras, emprisonnant écartelé. Tu bondis sur ton père, planter tes crocs dans sa gorge arrachant sa tranché, et le saisissant au col, ton poing s’abat sur son visage. Mère ne sera qu'à toi et toi seule, ainsi que ta soeur, il ne les mérites pas, il les a abandonné. Après tout, il t'a été tellement facile de lui arracher le coeur, pourquoi il ne l'a pas défendu. Si tu avais une femme d'une telle splendeur dans ton lit, tu la protégerais en tout lieu et en tout temps. Le crane craque sous tes phalanges, il se brise à chaque coups, la tête devient molle, et la cervelle éclabousse ton visage. Tu ne prête pas attention à ces menus détails, les yeux rougit par la tristesse mais remplit de haine et de colère tu continues encore et encore jusqu'à ce que le corps soit aussi mou qu'une crustacé sans carapace. Essayant du coude ton visage, tu te tourne vers ton frère, sur tes lèvres un sourire sadique et groumant s'affiche. Tu lèches le sang de ton père, maintenant tu vas goûter au désert.

Ce que tu fais à ton frère ne peut pas être décrit dans ses lignes car mêmes les créatures du tartare ont détourné le regard. On murmure dans les ombres. Homosexualité. Inceste. Viol

Tu reprends tes esprits, assi sur le sol, le cadavre de ton frère sous ta botte, les yeux crevés, le corps mutilés. Une cigarette entre tes doigts se consumme lentement. Tu tires dessus, laissant lentement le poisson rentré dans ton corps, s'emparé de tes poumons avant que tu le recraches doucement. Tu écrases le mégot sur le font du cadavre.

Tu es apaisé.

"Merci murmures tu à l'intention de ton bourreau.

Et si finalement, tu stoppais tout, tu restais ici, à souffrir mille martyrs pour revenir ce genre de moment. Et si tu allais te reposer là ou se trouve Aphrodite et Harmonie?

Tu secoues la tête, tu as promis de te venger, tu refuses de voir l'Olympe disparaitre, et si il te faut aider Hadès ou Athéna pour éviter le pire, tu es près à te prostituer. Pas pour la gloire, mais pour la survie du Panthéon Grecque. Tu le jure, ici et maintenant, si vous devez disparaitre, tu seras le dernier, car tu ferras tous pour supprimer les autres, ces êtes inférieurs.

Tu tournes la tête vers ton juge, tu peux le voir enfin, d'un tour de main, tu lui proposes aussi une cigarette.

La pauvre divinité qu'est Phobos semblait totalement perdu. Elle me suppliait, sans me voir, de lui dire ce que je savais. Comme si j'étais du genre à être gentil et lui donner tout sur un plateau d'argent. Les dieux qui s'incarne chez les mortels deviennent tous comme ça? A penser que s'ils demandent, ça va être fait? Le monde des Dieux devient fou.

Je décidais de faire comme si je n'avais rien entendu. Après tout, le tartare est grand et je ne suis pas sensé être partout à la fois... quoi que... mais soit, je vais simplement me contenter de l'ignorer. Cela lui fera un peu de mauvais moment à passer. Un de plus.

Je décidais de jouer une carte et de faire apparaitre une représentation de Deimos et d'Arès. Je voulais un peu la perturber et franchement, je n'ai pas été déçu. Après un moment assez étrange dans lequel Phobos hurlait "pourquoi" en boucle, la divinité se mit à rire comme un fou. J'avais entendu parlé de certaines divinités qui devenaient rapidement fou après un moment dans le tartare, certains se mettaient même à chanter ou danser. Mais là, c'était autre chose. Phobos se mit alors en envoyer des racines sur son frère et l'instant d'après, il était en train de dévorer son propre père.

- Vous savez, si vous aviez faim, il suffisait de le dire et je vous aurait envoyé un peu de pain pour vous faire un sandwich hein. L'humour, même pendant qu'une illusion de dieu était en train de se faire dévorer, c'est important.

Je laissais Phobos finir son quatre heure. Après un moment à dévorer son père, voilà que Phobos s'en prend à son frère. Lui aussi prend cher et je regarde calmement le spectacle en attendant que Phobos s'arrête. Après un moment, Phobos semble enfin sortir de sa folie, et me remercie pour ce moment détente.

- Oh mais il n'y a pas de soucis, j'espère que vous vous êtes bien amusez.Je refuse la cigarette qu'elle me tend. vous devriez faire attention, vous allez sans doute mourir de ça, un jour. Je souriais. Mais parlons peu mais bien, si je vous renvoie aujourd'hui sur le monde des humains, vous allez faire quoi? jouer au cannibale avec les mêmes Berzerkers qui sont encore en vie?

Je voulais savoir ce qu'elle comptait faire car si c'était pour renvoyer sur terre une divinité totalement folle qui allait tuer sans raison, sans émotion et sans distinction... il allait me falloir un bon fauteuil pour voir ça et attendre les âmes qu'elle m'enverrait avec plaisir pour jouer un peu avec.

Mourir combien de fois tu as fait l’aller-retour ici ? Et tu es encore présent, alors ce n’est pas un peu de Gourdon dans les poumons qui vont te faire passer l’arme à gauche. La maladie n’est pas un souci pour les divinités.
Que faire après ? Tu le sais déjà, la réponse est simple. Mais il semble que tu dois en référer aux autorités compétentes. Il faudrait mieux prévenir Zeus, mais est-ce que tu peux déranger le père de toutes choses ?

"Il faut prévenir les autres divinités Grecques de la menace. "

Dans un premier temps allez voir Hadès, Poséidon et Athéna, tu ne sais pas encore dans quel ordre tu vas te présenter. Peut-être que tu préviendras les titans de la menace, mais ces reliques méritent de trépasser.

"Et ensuite, j’irai traquer ceux qui ont détruit Sparte, je vengerai mon royaume, car pour l’instant, il n’y a que moi pour le faire"

Tu n’as pas l’intention de courir après les chevaliers d’Arès, s’ils sont encore là, ils reviendront vers toi naturellement. Mais les armures se retournent contre leurs porteurs. Tu ne dois plus avoir beaucoup de guerrier en pleine forme.
Une dernière fois, tu tentes une manœuvre et il n’y a aucune manipulation ou malice derrière tes propos
" Et tu n’as rien à me dire ? Si le panthéon Grec vient à disparaitre, qu’adviendra-t-il du Tartare ? Les divinités étrangères voudront imposer leur puissance au plus profond des entrailles de Gaia jusqu’au crâne d’Ouranos"

Tu t’approches de lui simplement sans agressivité, délaissant le corps nu et mutilé de Deimos.

" Ta propre survie est en jeu ! Va tu rester simple spectateur ou lutter contre l’ennemi ? "

Tu prends un air grave et sérieux, et pourtant, tu ne mesures pas encore la gravité de la situation.

Un des enfants d'Arès semblaient vouloir agir pour le bien commun. Voilà qui était un peu étrange venant de la lignée du Dieu de la Guerre. Carnage, bain de sang, violence à tout va, voilà souvent ce qu'on récoltait quand on traitait avec les progénitures et même avec Arès lui-même. Là, Phobos semblait réellement vouloir prévenir les autres Déités de ce que Sparte avait subit et aussi, de ce qu'il y avait eu. C'était intéressant.

- Tu veux donc courir a travers le monde pour prévenir toutes les divinités incarnés? Je regardais un peu la divinité tombé en souriant? Et les autres divinités? Comme celle du Nord par exemple? Tu va les laisser se faire détruire aussi?

Je savais bien qu'entre les différents Royaumes, ce n'était pas le grand amour. Mais ça pourrait être amusant de forcer cette divinité à devoir prévenir le camp d'Asgard avant d'aller prévenir ses "cousins". Mais je gardais ça pour moi, pour le moment.

Pendant que je réfléchissais un peu à comment m'amuser avec cette âme divine, elle continua de parler pour dire qu'elle traquerait les responsables. Intéressant ça, elle voulait donc quand même traquer les responsables de son échec.

- La traque... oui, cela pourrait être une bonne chose pour toi, tu pourrais ainsi retrouver ton honneur, bafoué, écrasé et détruit par un Berzerker qui s'est retourné contre toi. Je laissais un blanc. Tu as du avoir mal à l'égo... surtout quand tu as vu les quelques Berzerkers qui t'étaient fidèles se faire tuer... pauvre Phobos.

Je devais quand même me montrer un peu sadique, sinon, ça n'allait pas être drôle.

Puis, Phobos essayait de savoir certaines choses sur ce qu'il y avait eu. Phobos jouait aussi sur la corde de "Si les Dieux Grecques meurent, toi aussi tu vas mourir" ou des trucs comme ça. Je me mis à rire.

- Bien essayé mais... non, sache que nous autres, être du Tartare, existions avant même que le Grand Zeus ne soit conçu donc, notre existence n'est aucunement lié à votre panthéon. Je sorti de l'ombre, déformant mon visage pour avoir un air horrible, remplis d'yeux et de bouches pleines de dents. Donc jouez sur la corde sensible ne me fais comprendre que tu es trop faible pour réussir quoi que ce soit toute seule ! J'avais envie de m'amuser un peu. Néanmoins, tu es futée, essayant de t'attirer ma sympathie.

Je me mis à tourner autour de Phobos en souriant toujours, avec mes... dizaines de bouches ? J'ai oublié de compter et peux importe. Je regardais ma proie avant de me dire que ça pourrait être amusant de la renvoyer chez les mortels, mais à mes conditions.

- Bon, je vais arrêter de te torturer comme ça, j'ai autre chose à faire que de jouer avec toi... pour le moment Je continuais de le regarder. Mais tu te doute que je ne vais pas simplement te renvoyer chez toi, comme ça hein ! Tu vas m'amuser un peu. J'ouvrais un gouffre sous les pieds de Phobos pour le faire tomber dedans. Allez, bon voyage Phobos !

Phobos allait tomber durant un moment dans l'obscurité, entendant à boucle les cries des Spartiates et des Berzerkers qui avaient lutté contre les rebelles, avant de trépassés, avant de revenir sur le monde des humains, la tête la première, dans la poussière.

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