Le Retour de la Pureté dans l'Antre de la Foudre [Ok]

Une douce aura apparut tendrement dans le Temple du Dieu des Dieux et père des Olympiens . Comme une Sphère de pureté parsemée de petales de fleurs de lys , une Silhouette apparut au sein de cette force douce mais tellement puissante . Le bruit du froissement des tissus de sa robe aussi blanche de la neige , Akasha d'Artémis vint à apparaitre de cette bulle de tendresse qui éclata lorsqu'elle posa l'un de ses pieds chaussaient de soie sur le marbre blanc du Temple de Zeus ... Ses longs cheveux retombèrent sur ses épaules , elle se mouvait aevc élégance tout en s'approchant du trône du Dieu surplombé par un collossale statue d'Or a son Effigie.
Ceint à son front , les symboles de son pouvoir , le croissant de lune d'Argent entremelait de la Douce couleur de ses cheveux . Son visage vierge de toute souillure qu'aurait pus entrainer le temps , elle s'arrêta de marcher et sa voix s'éleva dans l'immense temple qui était vide aux premiers abords mais la Déesse y sentait une force incommensurable s'en echapper :

-" Père , maitre de l'olympe et Dieu de tous les Dieux ... Votre fille , Artémis est de retour auprés de Vous , daignerez-vous vous montrer à moi , très cher Père ?"

Sa voix tendre et calme , emplise de sagesse et de sereinité , elle ferma les yeux quelques instant , son cosmos l'Auréolant comme un Archange des Plus puissants ... Belle mais aussi terrible que la Foudre , la Déesse chasseresse paraissait calme mais en son coeur coulait un fleuve daignait de combats ...

- Père, maître de l'Olympe et dieu de tous les dieux... Votre fille, Artémis est de retour auprès de vous. Daignerez-vous vous montrer à moi très cher père ?

Ses mots ailés résonnèrent dans le temple olympique et finirent en écho dans l'allée des colonnes majestueuses, qui supportaient le toit de l'édifice géant, travail de l'artisant des dieux et de ses acolytes cyclopéens. Quiconque se présentait dans ses lieux, qu'il fut dieu ou simple mortel, ressentait en lui le sentiment profond de sa vulnérabilité en rapport de la force et de la puissance cosmique qu'il transpirait.

Hephaistos, sur les commandements de l'Assembleur des Nuées, avait réservé à chaqu'un des douze olympiens une place privilégiée afin qu'ils pussent avoir, lorsque le désirs s'en faisait sentir, la possibilité de venir prendre place aux côtés du dieu tonnant et de lui porter la main au menton.

C'était dans ce but certainement qu'était venue la chasseresse, fille de Léto, Artémis aux blanches mains, porteuse de l'arc dévastateur qui tue au loin. De sa démarche aérienne, elle s'était avancée vers le trône olympique d'où Zeus dictait ses lois. La magie de ce lieu, oeuvre savante du dieu boiteux, reconnut sans aucune équivoque, la fille aimée et fit apparaître à la droite du haut siège, celui qui était destiné à Artémis. D'or il était fait et y était posé un coussin aux armes de la déesse, l'Arc et la Lune.

Soudain, une douce musique et des rires se firent entendre, se faisant plus forts à chaque instant. Neuf beautés entrèrent dans la salle principale. Une portait une petite table d'or, qu'elle vint poser, non sans avoir salué la déesse, devant les deux fauteils divins et une autre vint y placer deux coupes cristallines, desquelles s'échappait la douce senteur de l'ambroisie. Toutes allèrent ensuite se placer sur le balcon du temple où elles poursuivirent leurs douces mélodies accompagnées du souffle léger de leurs voix mélodieuses. Les muses, fills de Zeus, venaient faire leur salut à leur puissante demi-soeur.

A cet instant, une brume blanche apprarût face à Artémis et qui s'effaça aussitôt qu'elle tenta de percer son mystère. Zeus était là, devant elle. Il avait répondu à l'appel de sa fille et descendit les deux marches du trône pour l'accueillir dans sa demeure. Du père des dieux émanait la puissance universelle qui maintenait le monde en place et une aura sans limite engloba l'ensemble du temple pour le baigner dans une atmosphère de paix et de quiétude sans faille. Un visage paisible sourit à Artémis ; un cosmo sans commune mesure vint caresser le sien et un éclair passa lorsqu'il attrapa sa douce main.

- Ma chère fille, Artémis... Dit-il d'une voix si douce... Je suis heureux que tes pas ailés t'aient conduis jusqu'à moi... Je me régale de la beauté qui est la tienne... Prends place mon enfant et buvons ensemble l'ambroisie pour saluer nos retrouvailles... Tu pourras ainsi me raconter à loisirs, à la douce musique des muses, ce que j'ignore encore de ce nouveau monde...et pour finr ce que tu désires de l'Olympe...

Zeus accompagna sa fille à son fauteuil et prit place sur le trône olympique, les yeux tournés vers son enfant.

Face au silence Collossal de la Salle , une Magie puissante fit apparaitre un siège d'Or frappé aux symboles de la déesse Artémis . Une sourire se toisa sur son visage pur et calme. Ce temple des Millènaires l'avait reconnus et elle en était des plus troublée . Pourtant elle ne pouvait denigrer qu'étant celui de Zeus ce temple avait le plus grand des pouvoirs .
Mais soudain résonna aux echos de la vaste salle une mélodie puis des rires envoutants

Il n'y avait aucun doute pour la Déesse , les Muses venaient de prendre leur Aises dans la Salle et elles apparurent enjouées comme à leurs habitudes .
L'une d'entre elles portait une table d'or et une seconde deux coupes crystalines et limpides qui emettait un bruit de contenant emplis d'un precieux contenu . Akasha reçu leurs saluts avec gentillesse et les muses s'en virent à leur occupations , leur voix resonnants encore quelques instants dans les marbres de la salle du trône ...

** Quelle créature douait de sagesse ne pourait pas appartenir à Zeus ... ? **

Pensa la Déesse qui ressentit bientôt une puissance incommensurable prendre part du temple qui irradiait déjà d'une forte énergie en son simple sein vide . Apparut alors , devant les yeux Azurs de la Reine de la Lune , Zeus , Dieu des dieux et Père des dieux. Artémis sourit lorsqu'elle entrevit le sien et elle ploya l'échine quelques secondes pour le saluer avec courtoisie. Son Aura se faisait douce pour la Déesse qui se sentit tellement bien en presence de Tel Puissance . Elle qui était une pieuse Guerrière , fervente croyante en la Pureté de la Lune , ressentit la main du Puissant prendre la Sienne et par surprise avant tout , elle ouvrit ses yeux en grand avant d'adouccir de nouveau son expression aux paroles de son père . Aprés l'avoir écoutée comme par Cérénomie , elle lui dit de sa voix douce , calme mais tellement franche ... Pure en tous points :

-" Divin Père , Maitre de nos Vies Immortelles , je suis tellement heureuse de votre retour , moi qui suis si seule alors qu'Apollon s'en est retourné ... Père , l'Olympe se faisait tellement vide et moi je ne faisait que verser larmes sur larmes , emplissant les bassins d'eau prophétiques ..."

Son père l'invita à prendre place sur son siège et il l'y conduisit gallantement. Akasha s'assit doucement à la Droite du Seigneur et elle se tourna quelque peu pour continuer ses paroles:

-" Si je suis venue ici c'est avant tout parce que j'ai ressentis votre Aura depuis le Tenkai et qu'il me tardait de vous revoir . Je me faisais inquiète car les Souffles de Sulfures des Enfers noiricissent les cieux et je ne voulais pas que la Dame Lune ne puisse plus éclairer la Tendresse des Divins Temples ... Mais si vous avez besoin de moi presentement et bien dites et je ferais , je ne serai pas venue pour rien et vous rendre un service me ferais tant plaisir ... Père , promettez moi de ne plus repartir aussi loin de nous , qu'adviendrait les Cieux et l'Eden sans vous ..."

Zeus était resté le regard posé sur sa fille pendant qu'il buvait ses douces paroles. Artémis, la belle chasseresse, directrice nocturne de la Lune aux reflets d'argent, lui avait appris que le dieu qui porte au loin s'en était allé à ses affaires. Cependant, il savait bien que son solaire de fils reviendrait bien assez tôt dans les jardins olympiques rendre visite à son seigneur paternel.

« Ne te soucies point du départ de ton jumeau belle enfant. Notre musicien, compagnon chérie des muses et des dieux, sera tantôt de retour parmis les siens pour nous bercer de ses belles chansons, récits des dieux éternels et des héros magnifiques. »

Zeus porta son regard vers les muses, toujours accoudées au balcon, et le silence se fit dans l'instant. Elles avait compris le message de l'assembleur des nuées. Cependant, chères à son coeur comme elles étaient, sans méchanceté il les invita à le laisser seul avec Artémis à la blanche robe.

« Mes enfants chéries, je dois m'entretenir d'une affaire grave avec la fille de Lèto. Les paroles qui vont être dites ne méritent pas d'être entendues par de pures oreilles comme les votres. Ganyméde se fera un plaisir de vous servir le nectar dans la salle de la fontaine. »

Elles s'éloignèrent en riant, laissant la salle du trône silencieuse, seulement baignée du cosmos des deux divinités, assises l'une à côté de l'autre.

Elles étaient à peine sorties que l'atmosphère dans le temple changea. La chaude douceur s'intensifia au point de devenir brûlante et le visage du dieu des dieux se fit plus dur qu'il ne l'avait été auparavant. La lumière baissa étrangement, comme si la nuit fut tombée sur la douce olympe..

« Mon enfant, tes craintes ne sont pas sans fondement. Mon retour a été accéléré par des évènements dramatiques qui se trament sur la terre des mortels. Je peux sentir au loin de puissants cosmos qui vont s'entrechoquer bientôt. Mes gardiens se réveillent peu à peu et je les préparent au service sacré de l'Olympe, notre demeure à tous. »

Zeus se pencha vers sa fille et elle sentit la brûlure du maître des dieux pendant qu'il lui glissait ces paroles ailés à voix basse.

« Prépare ton arc mon enfant, nous risquons d'avoir besoin de ta science. Aujourd'hui tu n'en sauras pas plus car telle est ma décision. Profite de l'Olympe et de ses plaisirs autant que tu le désireras, mais saches que sur la terre des mortels du devras te rendre parce que je fais de toi en ce jour mon espion divin. Rapportes moi tout ce qui pourrait te paraître étrange et n'oublies pas que nous défendons le même idéal.»

Zeus se leva et passa une main douce sur la joue d'Artémis et lorsqu'il se dirigea vers le balcon du temple, des pétales de fleurs blanches lui ouvrirent un chemin en même temps que le jour revint, amenant avec lui la douceur et le bien être avec plus d'ardeur qu'ils n'en eurent avant de disparaître sous le discours du dieu. Il sentait sa fille troublée par ses paroles et la laissa à ses pensées, sachant qu'elle viendrait le rejoindre pour regarder dans les cieux Hélios rentrer dans sa demeure et annoncer la nuit sur la terre.

Le depart des Muses redonna au lieu toute sa sérénité et Artémis le preférait ainsi. Le Froid de la Pièce donnant quelques frissons à la Déesse de la Lune , elle se sentit étrangement mal et pourtant son père la regardait toujours avec le même amour , qu'est-ce qui n'allait pas alors ? Cela la déesse le decouvrirait bien tôt . Le Visage du Dieu des Dieux changea soudainement et une chaleut intense dégagea de son être alors que la nuit semblait prendre la main sur l'astre jour décadent. Akasha se sentit de nouvea mal à l'aise et les paroles de son père ne firent qu'accentuer ce sentiment . Artémis se sentait opressée , voulait-il lui faire du mal , à elle , sa propre fille . Cette idée ne deumera pas longtemps dans son coeur même si sa peau se tannée de rougeur ... La Fille de Léto ne dirait rien de cette douleur et elle écoutait son père lui demandait de l'aide ... Mais la Déesse ne comprenait pas trop si elle devait vraiment prendre part à tout cela :

« Prépare ton arc mon enfant, nous risquons d'avoir besoin de ta science. Aujourd'hui tu n'en sauras pas plus car telle est ma décision. Profite de l'Olympe et de ses plaisirs autant que tu le désireras, mais saches que sur la terre des mortels du devras te rendre parce que je fais de toi en ce jour mon espion divin. Rapportes moi tout ce qui pourrait te paraître étrange et n'oublies pas que nous défendons le même idéal.»

Ses paroles semblèrent tellement autres que les douceurs qu'il lui donnaient dans son enfance ... La Déesse se trouvait devant une autre personne que son père, elle était devant le monarche , cet homme qu'elle adulait et qu'elle respectait mais en aucun cas elle ne l'aimait comme son père ... Le silence s'installa de nouveau dans la salle et artémis baissa le visage quelque peu ... Le Maitre de l'Olympe deposa l'une de ses mains sur sa joue , Akasha en trembla de surprise , elle se fit tellement douce , cette main du Dieu des Dieux ... Puis elle le vit se rendre sur le balcon ... Akasha elle ne bougea pas , pétrifiait par les paroles de son père :

** Mon Arc ... Lui qui ne vibre plus depuis le départ de celui qu'il défend avec tant de ferveur ... Apollon , comme tu me manques , je ne suis rien sans tout Aura protectrice autour de mon coeur victime de toutes les tempêtes ... **

Le coeur de la Déesse se brisa et elle se surprit à penser à Hypnos , ce Dieu qui lui eut volé son coeur ... Ils étaient de camps adverses et la Digne chasseresse se devait de penser qu'il était avant tout son ennemi ... Les Larmes coulèrent de ses yeux pures sur se joues rougies par cette pluie miraculeuse . Artémis pleurait , la Pureté était bléssée et appeurée par ce futur trop dur dans sa solitude ... Loin de l'homme qu'elle aimait, son jumeau en tout point, et celui qu'elle voulait apprendre à aimé ... Ses mains prirent en pitié son visage et elles s'apposèrent à lui , les sanglots la terrassant ... Elle n'en ferrait rien , Artémis ne sera aucunement l'espion de son père mais son coeur lui dictait bien autre chose ...

** Il ne faut retrouver Hypnos , il me faut lui confier tout cela et lui demander conseils... Lui seul sera me guider . **

Voila que la Lune était prisonnière des rêves et qu'elle ne s'en plaignait pas . Se levant de ce trône qui n'était plus vraiment le sien , elle laissa son visage mouillé et prit la direction du balcon ... Restant dans l'entrée de celui-ci , elle priait sa mère de lui donnait sa force ... A elle sa Fille perdue entre ombres et lumières .

Sitôt qu’elle se présenta à l’entrée du balcon, le trône d’Artémis s’évanouit derrière un manteau de brume et disparut en un lieu secret du temple, grenier sous la garde de l’artisan des dieux. Elle s’était levée enfin ! Cependant comme il l’avait espéré, sa fille ne vint pas le rejoindre pour regarder Hélios garer son attelage dans les écuries solaires. Il la sentait dans son dos. Elle le regardait à peine. En cet instant, lui revint à l’esprit la furieuse guerre de jadis, temps cruels qui virent les puissances divines se déchirer pour le contrôle total de la terre et de l’Univers tout entier. Ce fut une période de trouble pendant laquelle choisir avec pertinence son camp eut changé à jamais le futur connu.

Troublée, dans son esprit, elle l’était et c’était une certitude maintenant, il le savait. Artémis à la blanche robe n’était pas la même sans son jumeau solaire. Seul lui, son complément, savait lui apporter la lumière dont elle avait sans cesse besoin pour profiter de son bonheur, qui malgré tout était incommensurable par rapports aux mortels. Comme il le lui avait dit, Apollon, celui qui porte au loin s’en était allé, mais bien vite arriverait le temps de son retour et de cela également il était certain.

Zeus Roi des Dieux avait parlé, donné des conseils et des recommandations. Dans l’optique d’occuper sa fille et lui faire passer pour quelque temps le désespoir de son frère solaire, il lui avait donné une mission. Cependant, Zeus Père des dieux, à l’écoute de ses enfants, savait que sa fille chérie n’en ferait que selon ses propres désirs et qu’elle allait disparaître dans une cachette connue d’elle seule ou ailleurs selon ses humeurs ; sans que personne ne puisse la déranger, ni même la découvrir.

* En temps voulu, elle sera là. Maintenant, Apollon il me faut trouver. Je ne peux laisser les olympiens se troubler devant la force que je ressens *

Le balcon central, où Zeus s’était rendu en attendant sa fille, donnait sur les jardins intérieurs. Recouverts d’épais tapis d’herbe, ils étaient garnis de fleurs multicolores aux senteurs enivrantes, dont certains pétales servaient à Hephaitos, qui les couvraient de fines feuilles d’or pour les servir en cadeau aux déesses magnifiques.

« Viens ma fille chérie. Je ne voudrai pas te savoir partie dans la détresse et le désespoir. Et surtout je ne voudrai que s’insinue en toi un sentiment, qui te ferait penser que mon seul désir de te revoir fut dans l’intérêt de te manipuler. Allons donc dans les jardins de Héra aux blanches mains et nous pourrons nous délasser, boire le nectar et l’ambroisie, en laissant de côté pour quelques instants la vie des mortels et nos petits soucis, car le Destin qui nous guide a voulu que les immortels également en aient. »

Zeus descendit les marches lentement dans l’espoir que sa fille s’accroche à son bras pour l’accompagner. Les muses firent de nouveau leur apparition pour s’installer près des fauteuils destinés aux dieux et commencèrent de jouer de la lyre et de chanter avec de douces paroles. Ganymède quant à lui déjà préparait les coupes majestueuses destinées à recevoir les boissons divines.

« Viens ma fille chérie. Je ne voudrai pas te savoir partie dans la détresse et le désespoir. Et surtout je ne voudrai que s’insinue en toi un sentiment, qui te ferait penser que mon seul désir de te revoir fut dans l’intérêt de te manipuler. Allons donc dans les jardins de Héra aux blanches mains et nous pourrons nous délasser, boire le nectar et l’ambroisie, en laissant de côté pour quelques instants la vie des mortels et nos petits soucis, car le Destin qui nous guide a voulu que les immortels également en aient. »

La Déesse prit ce bras que le dieu lui tendait. Son visage pâle , ses yeux rougis , elle était méconnaissable , mais que lui arrivait-il ? Akasha marcha aux cotés du dieu alors qu'elle se faisait tellement silencieuse . Ses yeux rivaient sur le sol , qu'oserait-elle regarder de plus . Dans son coeur elle ne cherchait que la Présence de son frère mais personne ne lui disait où il se trouvait ... même si ce fut en enfers elle serait parti le delivrer ... En enfers rien ne pouvait lui faire du mal car Hypnos veillerait sur elle .
La Déesse écoutait avec sagesse les paroles de son père alors qu'elle se posait les mêmes questions que le Dieu des Dieux depeignaient dans ses dires . Il était vrai qu'elle n'avait jamais été celle qu'il appelait à ses cotés , preférant de loin la présence de ceux qu'il eut avec Héra ... Léto , sa tendre mère ne fut qu'une passion dérobée et jamais elle ne pus se remettre du départ de l'homme qu'elle semblait tellement aimer . Artémis gardait une hargne pour ce fait , celui que tromper à tout bout de champs sa Femme Première à l'instar de dames pures qui mouraient bien vite de dépressions. Akasha d'Artémis repondit alors aux paroles de son père :

-" Je ne puis me tirer de la tête le simple fait que mon arrivée ici ne declancha qu'une demande de votre part ... J'étais venue ici pour vous souhaiter la bienvenue mais je ne pensais pas que vous me demanderiez de quitter mon royaume pour une mission si derisoire ... Que ferai-je sur Terre, parmit les mortels ? Alors que je puis tout voir du Tenkai ... Mon père permettez moi de vous dire que je ne partirais pas de l'Olympe pour si peu , cela me rendrait tellement mal de devoir m'entretenir avec des âmes souillées et vouées aux Enfers ... Quand à l'Hydromèle que vous ne proposez , je ne puis guère en prendre , trés cher père , car ma presence est requise en d'autre lieux , veillez en escuser ... Dans mon royaume les présences fusent et je ne sais ce qu'elles y font ... Permettez moi de vous laisser à vos muses qui je suis sur vous divertiserons bien mieux que mes dires , pures soient-ils ... A trés bientôt ..."

La Déesse detacha son bras de celui de son père , reprenant la marche vers la Salle du trône pour y disparaitre pas une savante Téléportation Divine ... Elle savait que cela causerait la colère de son père .. Mais dans un sens elle se sentait mal à ses cotés aprés ses dires , son coeur saignait de ce changement d'Avis ... que l'humanité meurt , elle en créerait une bien plus belle et surtout bien plus pure .

A mi-parcours, Zeus sentit le bras de sa fille se détacher du sien. Instinctivement, il su qu’elle n’allait pas rester d’avantage en sa compagnie. Cet entretien l’avait changée, il le savait. Son rôle de dieu des dieux était passé avant celui de simple père. Cependant, c’était la destinée des dieux de se comporter ainsi, en effet, ils avaient la charge de gouverner la terre et pour certains l’univers, il ne fallait absolument pas qu’ils se laissent abuser par leurs sentiments dans les périodes de trouble, car cela en était bien une, et ceci pour la sauvegarde de l’équilibre de la Justice et des mortels.

Se retourner n’aurait pas suffit à la retenir mais aurait contribuer à l’importuner d’avantage ; et ceci il ne le désirait pas. Il sentit qu’elle n’était plus dans l’Olympe lorsque son cosmos s’effaça dans le lointain. Il ne chercha pas à la suivre, Artémis s’en était retournée, comme son frère à ses affaires. Tout pouvait encore attendre, leurs chemins se croiseraient bien assez tôt. Il ne ressentit pas de colère envers sa fille mais il se promit de lui rappeler sa mission auprès des olympiens.
[HRP « On ne sait pas de quoi le futur est fait. Toujours en mouvement est le futur ». Maître Yoda]

* Vas chère enfant chasser tes démons !! *

Les muses accueillirent le père des dieux avec leur joie habituelle. Il en était selon sa volonté, jamais elles ne seraient touchées par les malheurs des uns et des autres. Tel n’était pas leur destinée. Il s’assit près du bassin du Paon et plongea sa main dans l’eau limpide, pendant qu’il se laissait aller à l’écoute des douces mélodies et des chants langoureux.

Un claquement d’ailes se fit entendre et Aegis vint se poser près de son maître.

- Noble Aegis… Enfin te revoilà…

- Ô père des dieux, Empyrée est de retour. Il a échoué sa mission dans la Sanctuaire de Pallas Athéné. Sa tristesse est grande. Il attend d’être reçu. Vasco d’Andromède est là également. Il demande une audience divine.

- Vas Aegis… Qu’Empyrée m’attende dans la salle secrète. Quant à Vasco, le chevalier de ma fille guerrière, indique lui le chemin des présents jardins.

Aegis s’exécuta aussitôt…

Vasco se leva de son banc après avoir entendu ces paroles et se diriga vers la salle du trone.Dans ca tete il pensait a tout ce qu'il aller apprendre et tout cela changerait sans doute tout le cours de sa vie et toute ces croyance.

D'un pas lourd vasco descendit les escaliers. Arriver au bout des escaliers devant lui une porte de taille gargantuesque il la frola a peine que la porte s'ouvrit aussitot une lumière aveuglante l'éblouie.
Quand il recouvrit la vie il vit un paysage magnifique devant lui un jardin magnifique avec des fleurs multicolore.

"serai-je arrivé au paradis" dit'il d'une voie douces et mélodieuse.

il enleva son casque sa longue cheveulure tomba sur ces épaules lentement et avec grace il posa son casque par terre et se mit a genoux en meme temps et dit d'un ton calme:

"Au dieu des dieu père de tout homme toi qui decide du sort des hommes, moi Vasco d'andromède te demande une audience divine car je doit faire toute la vérité sur des choses qui mon était trop longtemps était cacher.
accepte tu me recevoir?"

« Ô dieu des dieux, père de tout homme, toi qui décides du sort des hommes, moi Vasco d'Andromède te demande une audience divine car je dois faire toute la vérité sur des choses qui m'ont été trop longtemps cachées. Acceptes-tu de me recevoir ? »

Ces paroles du chevalier de bronze furent prononcées dans le calme et la sérénité qui le caractérisaient si bien. Elles furent entendues. Le jardin d'Héra frissona et les fleurs chuchotèrent de douces paroles aux oreilles de Zeus l'Assembleur des Nuées. Les muses continuèrent de jouer leur paisibles mélodies et de chanter leurs belles chansons pour le plaisir de leur père.

Ganyméde s'avança lentement vers Vasco. Il avait en lui cette grâce sublime des princes de la terre qui furent admis par leur beauté et leur bonté à partager la demeure des hauts olympiens. Il prit Vasco par la main et l'accompagna vers l'endroit désiré, vers le nuage divin, car nul mortel, à part les Gardiens Célestes et les dieux eux-mêmes, ne pouvait regarder Zeus dans sa réalité sans y perdre la vie.

« Approche ami, serviteur d'Athéna... Zeus t'attend. Il te permet en ce jour de le visiter pour poser tes questions et soulager les souffrances qui te minent. Cependant, je dois te prévenir de certaines choses. Sois précis et ne te perd pas en conjectures... Ne pose aucune question sur les dieux eux-mêmes, pour cela tu as les oracles, les prêtresses et les prêtes. Tes paroles ne doivent être que Vérité ou le châtiment du foudre cyclopéen tu subiras... Zeus, notre père à tous, est un dieu de Justice, si ta cause l'est, tu auras ta réponse , si elle ne l'est pas, tu recevras une réponse qui ne fera qu'accéler ta perte ou le désarroi qui te ronge... »

Vasco se retrouva bien vite dans le jardin de l'épouse de Zeus. Autour de lui tout était lumière et tranquilité. Pas un souffle de vent ne venait perturber l'Olympe, et encore moins les endroits où venait se reposer Zeus et ses filles chéries. Devant lui se tenait le dieu de toute chose. De son corps, il vit un grand homme à la musculature puissante, qui portait une toge blanche, tenue par une ceinture d'or. Mais de son visage, il ne vit qu'une brume. Il n'était pas encore prêt à voir le visage de l'Univers lui-même.

« Vasco d'Andromède !!!! Tu as demandé audience et elle a été acceptée. Parle, dis-moi tes tourments et si le Destin, auquel même les dieux sont liés, le permet, tu auras tes réponses. »

Les muses firent silence alors et tous les regards se tournèrent vers Vasco, Chevalier de Bronze d'Andromède.

« Vasco d'Andromède !!!! Tu as demandé audience et elle a été acceptée. Parle, dis-moi tes tourments et si le Destin, auquel même les dieux sont liés, le permet, tu auras tes réponses. »

Les muses firent silence alors et tous les regards se tournèrent vers Vasco, Chevalier de Bronze d'Andromède.

Vasco était calme mais décu de ne pas pouvoir voir le visage de son intérlocuteur, mais tout cela importer peut car c'était déjà un honneur d'etre face au dieu des dieux.
Autour de lui le paysage était enchanteur de magnifique fleurs, et meme avec l'absence de vent le parfum embaumé ce jardin et le soleil envoyez ces rayons qui illuminèrent le corps de Zeus et le rendait encore plus imprèsionnants.
Il se leva gardant son casque sous son bras et commenca a parler:

"Je me présente vasco chevalier de bronze d'andromède et protécteur de la déesse Athéna. Je vous remércie d'avoir accepter cet audience car vous etes mon dernière éspoir.

Je vous explique la situation meme si vous devez la connaitre, ma mère et morte après mon accouchements et j'ai était élever par mon grand père, qui m'a dit que mon père fut un chevalier d'athéna et que ca toute première armure fut celle d'andromède, il fut tuer peux de temps avant ma naissance par hadés alors qu'il était devenue chevalier d'or. j'ai donc décider de devenir chevalier d'andromède, après etre moi meme devenue chevalier j'ai était informés par un message parvenue par pigeon voyageur que mon grand père allez mourir d'une grave maladie. je partie vite pour le portugal pour y arriver au plus vite et sur son lit de mort il m'a apris que j'avez un frère et que ce meme frère était devenue chevalier d'athéna.

Voici ma question je souhaite savoir qui est mon frère et pourquoi mon père a était tuer par hadés?"

« Vasco, Chevalier d’Andromède, viens t’asseoir, prends place devant moi. Tu as fait tout ce chemin depuis le royaume de ma fille pour trouver les réponses aux questions qui te tourmentent. Tu as fait le bon choix que de venir en ma demeure céleste. »

Zeus leva la main vers son visage pour faire disparaître le nuage qui le masquait, révélant son visage au chevalier de bronze. Les présentations faites, il n’aimait pas à se masquer à ses interlocuteurs, surtout lorsqu’ils les avaient invités lui-même à s’installer à sa table. Son visage reflétait toute la pure quintessence de l’immortalité et de la jeunesse éternelle. On sentait en lui affleurer la puissance sans limite et la bonté de l’amour qu’il portait aux hommes qu’il avait jadis créée.

Il se tourna vers ses filles chéries et leur adressa ces paroles ailées.

« Jouez mes filles en l’honneur de Vasco. Mettez dans son cœur un peu de votre joie sans limite. »

Les muses alors reprirent leurs chants et leur musique mélodieuse pour le plaisir de leur père et pour que Vasco s’enivre de ce plaisir rare.

« Chevalier écoutes-moi bien et ne perds aucune parole que tu vas entendre. Ton père fut tué par Hadès, maître du monde souterrain, mon frère tout puissant pour une raison simple : la guerre éternelle. Celle qui fait que les hommes se battent les uns les autres pour obtenir la puissance et les honneurs au travers de la course des âges. Les dieux également participent à cette guerre, un plaisir vicieux qui fait qu’ils s’en nourrissent pour se placer en maître de l’humanité et je ne te le cacherai pas, parce que aussi ils aiment que l’on se batte pour eux et sentir les vents puissants de la bataille. »

« Ton père a été la victime malheureuse d’une bataille qui a fait rage entre des êtres puissants, les Chevaliers de ma fille armée et ceux de son oncle ténébreux… Ne cherche aucune autre explication. Ne te fais pas de fausses idées sur les actes des dieux, ils ne tuent pas pour le plaisir, mais selon des desseins bien établis par la logique de leur divinité, qui elle-même est subordonnée au juste équilibre de la justice universelle et du Destin qui nous gouverne tous, dieux, hommes et animaux… »

« Il est difficile d’oublier la perte d’un être aimé Chevalier, mais tu dois apprendre à vivre avec, sans que ne persiste en toi le sentiment de colère ou l’envie pernicieuse de la vengeance noire, qui t’obscurciront l’esprit et de détourneront forcement du droit chemin que ta déesse t’a tracé lorsque tu lui a prêté serment. Aujourd’hui tu as la réponse à ta question. Accepte la comme elle vient et poursuis ton chemin parmi les hommes et les dieux. »

Zeus avait parlé d’une voix chaleureuse et son regard s’était fait plus doux envers Vasco, qui ne baissa pas les yeux pour accepter cette terrible vérité.

« Par contre, en ce qui concerne l’identité de ton frère Chevalier. Si l’on a pris soin de te la cacher jusqu’à ce jour, c’est pour une bonne raison. La personne qui te la délivrera n’a pas encore posé les pieds sur cette Terre de par ma volonté, mais saches que le moment venu, je te le ferai savoir et t’enverrai mon messager. La réponse à cette demande ne sera pas satisfaite en ce jour. »

Zeus tendit le bras vers la coupe que Ganymède venait de remplir à son attention et avant de la porter à sa bouche il s’adressa une nouvelle fois à Vasco.

« Chevalier d’Andromède, la route vers la vérité et longue et parsemée d’obstacles qu’ils faut soi éviter ou éliminer. J’ai confiance en toi ! »

Zeus but la totalité de sa coupe et demanda à Ganymède de servir son invité pour que son esprit et son corps soient vivifiés par le pouvoir du précieux liquide.

« Chevalier d’Andromède, la route vers la vérité et longue et parsemée d’obstacles qu’ils faut soi éviter ou éliminer. J’ai confiance en toi ! »

Zeus but la totalité de sa coupe et demanda à Ganymède de servir son invité pour que son esprit et son corps soient vivifiés par le pouvoir du précieux liquide.

Quelques larmes coulèrent de son visage qui le rendait encore plus pure et plus innocent, Zeus de ces doigt essuya les larmes de vasco et lui dit d'une voie douce:

"Boit se breuvage Vasco il te rendra plus fort physiquement et va purifier ton arme."

Ganymède tendit la coupe a Vasco, il la prit et la but calmement mais tout ce que venait de lui dire Zeus ne sembler pas l'avoir trop toucher malgré les quelque larme qui on coulé de ces yeux, car a l'évidence le sort dont zeus lui a parler le rassura car depuis tout petit on lui a toujours dit que son père était un traitre, et qu'il sétait fait manipuler par hadès, et la on en parle comme un digne chevalier qui est mort au combat en voulant défendre sa déesse.
Il était décu de ne toujours pas savoir qui était son frère mais comme la dit zeus un jour viendra.

Au moment ou il allez poser sa question suivante quelqu'un pronnonca son non il regarda Zeus, mais meme lui sembler etre étonné d'entendre cet voix.
Zeus demanda aux muses de ce tairent son non ce fit a nouveau entendre et une fourrure blanche apparut s'était marius le loup blanc le fidèle amis de Vasco.

"-Que fait tu la marius et comment a tu fait pour arriver jusqu'ici et surtout me retrouver dans ce gigantesque sanctuaire ?
-A l'odeur mon amis a tu oublier que j'était un loup, je suis venu te dire quelque chose de très important et qui pourra aussi vous intéresser dieu des dieux"

Le visage de Zeus était de nouveau masquer par une brume blanche.

"- Parle que se passe t'il mon fidèle amis que peut il y avoir de si important pour que tu vienne jusqu'ici.
- ce son de mauvaise nouvelle meme de très mauvaise nouvelle. Tout les protécteurs d'Athéna doivent etre prévenu.
Ahina la prétresse d'athéna et retenu prisonière par hypnos et thanatos le dieux de la mort, en enfer elle et a la merci de ces deux dieux qui lui on fait avaler une pillule et elle risque de mourir a n'importe quel moment."

Marius repris son souffle, et continua.

"Delgade chevalier d'or du sagittaire et venu au royaume de Zeus pour trouver un antidote, mais a ce moment la, ton maitre Horacius et parti en enfer pour essayer de délivrer Ahina.
Maintenant il son tout les deux retenus prisonnier et en échange de leur vies il propose un troc, la pierre du casque d'Athéna contre la vie des deux prisonniers.
Il faut que tu revienne au plus vite ils auront besoins de toi surtout après ce rude entrainement qui ta rendu plus fort.
-Oui si l'on peut dire meme si j'ai ratez la dernière épreuve, atend moi a la sortis du temple j'ai encore quelque question a poser a zeus ensuite nous partirons au plus vite pour le sanctuaire."

Marius se retourna attendre vasco a l'extérieur.
Vasco se leva et se tourna vers zeus et se mit a genoux et posa sa dernière question:
"vous le saviez ?Non ne répondez pas je veut juste savoir quel est cet étrange breuvage que vous m'avez fait boire?Ensuite je partirai au plus vite pour défendre ma déesse."

De nouveau la brume qui masquer le visage de Zeus disparus.

Zeus regarda dans les yeux le Chevalier d'Andromède....

"Une nouvelle mission vient de t'échoir Chevalier.... Les réponses à tes questions ont été données dans le temple olympien et il faut maintenant que tu rejoignes ton camp pour retrouver ta déesse...."

"La boisson que tu as bu Chevalier n'est pas le nectar des dieux, source de l'immortalité, mais l'ambroisie : la nourriture des dieux..."

Zeus se leva et s'avança de Vasco.... Sa taille avait semblé augmenter lorsqu'il fut près de lui.

"Chevalier, je dois maintenant me retirer en des lieux qui te sont interdits. Aujourd'hui tu as appris tout ce que tu devais savoir.... Va au devant de ta déesse et accompli ton devoir...."

Un bouclier de nuage apparut autour de Zeus et lorsqu'il disparut, le dieu n'était plus.

[HRP] Je la fais vraiment mystère... A plus Vasco. [/HRP]

"Chevalier, je dois maintenant me retirer en des lieux qui te sont interdits. Aujourd'hui tu as appris tout ce que tu devais savoir.... Va au devant de ta déesse et accompli ton devoir...."

Un bouclier de nuage apparut autour de Zeus et lorsqu'il disparut, le dieu n'était plus.

Vasco remit son casque, se leva et sortis du jardin du sanctuaire arriver dehors son amis Marius l'attendait calmement regardant la lointaine horizon que lui offrais l'olympe.

"-Allons'y mon amis!
- De quoi avez parlez
-la route et longue jusqu'au sanctuaire allons y je vais te dire tout ce dont a parler"

Il marchèrent droit une discussion s'entama les deux fidèles amis avais beaucoup de chose a se dire.

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