Sujet: Hypérion, what else? :p Dim 22 Mai 2011 - 17:31
●Fiche de Présentation●
Qui suis-je?
°Mon Nom°:Joseph °Mon Age°:23 ans °D'ou je viens°:Biguglia Haute-Corse °J'ai connu le forum par...°:Grand hasard de google... °Mon Niveau de RP°:J'ai de l'expérience dans le domaine sans pour autant me qualifier d'expert, disons convenable.
Personnage
Nom et prénom : Hypérion
Camp : Titans de Chronos
Armure/Poste/Attribut : Soleil noir
Thème musical
Histoire
Le néant... Sensation à la fois terrible et agréable de n'être tout et rien. Plus amère encore que l'éternité, son absence. Hypérion connaissait tout cela par cœur enfermé dans l'obscurité du Tartare, ruminant jusqu'à la plus acre de ses pensées. Comme uniforme avec l'obscurité ambiante, le titan dans sa morosité n'était plus que noirceur. Il était la mort faite d'ichor, une épée s’abattant avec l'exactitude d'une horloge que chronos incarnais et dont l'arme d’Hypérion; implacable aiguille, jalonnais la marche. Mais que restait-il de ceci? Quoi de plus fugace que cette haine paradoxalement sans cesse ressassé? Tel des cendres s'écoulant entre les doigts de qui cherchent à les retenir, la raison échappait au Titan aussi surement que devant lui filaient les siècles de son exil, prélevant leur inévitable tribut à l’espoir. D'un faible rire désabuser il songea alors à ses frères qui connaissait le même sort. Avaient-il donc réussi a endurer ce même traitement ou bien s'étaient ils tous résigné à se fondre en cette noirceur comme pour mieux se soustraire à des éons d'infamies? Il semblait aussi simple de le savoir que de se libérer de cette prison... Des spasmes envahirent alors le captif, fou furieux le Titan se mit à s'agiter dans tout les sens endurant la douleur aiguë causé par les vestiges de la foudre de Zeus. Ses hurlements de rage se répercutant dans le néant tel qu'ils l'auraient fait dans une gorge montagneuse. Si ces siècles de captivité avaient été usant pour son corps il n'en était pas de même pour sa volonté, et à mesure que grandissait son amertume celle-ci, comme le charbon au feu, nourrissait son cosmos d'une vigueur nouvelle. Ce même souvenir sans cesse répété dans sa tête, ce balais incessants d'images toujours plus infamantes, les cris des siens et la lumière de la foudre, lentement, isolement et folie aidant, ces réminiscences se fessaient porteuses d'une rage nouvelle qu'années après à années, ères après ères le Titan mettait à profit, tirants chaque fois un peu plus violemment sur ses chaines qui bientôt céderaient. Des heures passèrent alors, les narines envahi par cette odeur familières de chair mortifié Hypérion céda, il lui fallait une fois de plus prendre le temps de ménagé ses forces...
Grèce une semaine plus tard.
Lentement Spelias émergeait de son sommeil, l'odeur familière des olives rances et du vin tourné l’accueillant tel les bras d'une mère au réveil... Lentement ce dernier se leva tout en écartant les débris de vaisselles et les restes de nourritures de son chemin. Titubant à la manière d'un cadavre décharné entres les colonnes de la villa jusqu'au bassin de la cour le jeune aristocrate en bu avidement l'eau croupie, espérant sortir de cet état second. Et alors qu'il s'en aspergeait le visages une ombre, comme si il s'était s'agit d'un oiseau dans le ciel, passa à ses cotés, tendrement Héléna se blottit alors contre lui, le contact de ses cheveux sec chargé des odeurs de la veille étant par trop insupportable, il repoussa cette dernière :
"Va plutôt te préparé, nous devons rallier Constantinople d'ici à une semaine. Si nous ne sommes pas avec lui pour parader devant le Sultan pendant la cérémonie mon père va m'en faire une scène de derrière les fagots...
-Tu aurais plus vite fait d’énumérer les manières de le contenté, que les nombreuses qui le pousse à chaque fois à te traiter de parasite et moi de trainée. Quoiqu’à voir ce que nous avons fait de cette maison en son absence il me parait tout d'un coup pas si saugrenue de le pensé..."
Envoyant une lampé d'eau à la figure de la jeune femme Spelias profitant de la surprise de cette dernière l'embrassa :
"Oui mais, tu reste MA trainée, pas sa fille. Pourrait il même menacé de me répudié que je préférerais resté avec toi.
-Oh, alors tu est donc si pressé de le rejoindre par pur désintérêt filiale, et non histoire d'encore lui extorqué de l'argent...
-Idiote...
-Enfant avide..."
Et ils s'embrassèrent encore et encore, ces rares et doux moments de repos comme de trop rares oasis dans un quotidien dont seul la débauche la plus extrême parvenais encore a déchiré le voile brumeux :
"Aller ça suffit, cette langue m'est lourde à force de pratiqué deux langages, il serait dommage que tu l'emporte à l'usure.
-Surtout que parlé Turc m'est toujours aussi insupportable... Ce temps passé à Constantinople promet d'être à peu prés aussi agréable que ton père."
____________________
Frappé, frappé encore toujours plus fort. Aussi furieux et inlassable que la mer sur les rochers, Hypérion jetait la ses derniers vestiges de raison et de volonté sentant au fond de lui qu'espérer échappé à cet endroit n'était plus une vaine chimère, mais une réalité si probante qu'elle en était presque palpable. Se succédèrent ainsi des moments de folie pure, allié à une pleine maitrise de cette envie de détruite, chaque gestes étaient paramétré, pensé et réfléchi pour être le plus violent possible. Ébranlant un peu plus la cage de foudre en une pluie d'étincelle qui chacune égratignaient à chaque fois un peu plus la chape d'ombre du Tartare :
"Presque... RHAAAAAA!!!"
Puis soudain l'obscurité se fissura, zébré d'une explosion de foudre qui fendit de toutes parts l'ébène environnante. Aveuglé par une lumière plus intense encore que celle de ses chaines Hypérion plissa quelques instants les yeux, puis se précipita dans la brèche ainsi pratiqué avec la célérité d'un fauve lancé sur sa proie. Lentement alors le paysage désolé des enfers se déforma sous ses pieds comme si le sol convulsait de douleurs, perdant progressivement sa teinte de cendre au profit d'une autre bleuté, densifiant l'air à mesure d'une humidité similaire à la présence d'Océan. Le Titan se rendit alors compte qu'il était entrain d'être téléporté directement hors des enfers... Zeus, espérait-il le noyé si jamais il parvenais à se libérer? Non, cette idée était trop idiote, même venant de ce bâtard parricide... Quelque chose avait pour but de l'éloigner d'ici, mais peu lui importait à présent, Hypérion était libre et comptait bien saisir sa chance de retrouver ses frères et sœurs pour peu qu'eux aussi aient réussi à se délivrés. Décidant que son retour en ce monde sans alliés constituait une situation on ne peu plus périlleuse, l’épéiste entrepris de rallier la terre à la nage afin de ne pas attirer trop ostensiblement l'attention des dieux de l'olympe dont le il savait qu'elle constituerais la pire des épées de Damoclès tant que ses forces ne lui serait pas entièrement revenu.
____________________
L'ambiance sur la nef était des plus morose, et alors qu'il observait l'équipage galvanisé par les coups de fouet s’affairer, Spelias réprima un bâillement... Une semaine que cette galère (Et elle portait particulièrement bien son nom pour l'occasion.) voguait a peu prés aussi gracieusement qu'une coquille de noix dans le lit d'une rivière déchainé. Héléna elle, indisposé par de telles conditions, n'avait pas daigné sortir de la cabine de la journée et le jeune hommes alors seul avec ses pensées se prenait à prier à presque tout les râteliers divin existant que quelque chose se passe :
"Puisse-il même advenir que le bateau coule..."
Soudainement tiré de ses pensées par un hurlement du capitaine Spelias se reteint de justesse à un mat pour évité la chute. Le bateau venait brusquement de viré de bord, et alors que le jeune homme s'imaginais que ce fut pour évité un récif, se penchant par dessus bord il vit un homme nagé jusqu’à la coque. Celui-ci une fois hissé hors de l'eau sembla brièvement troublé par le langage de l'équipage, avant de leur répondre dans un turc parfait. Sa peau mat ainsi que le port altier que lui conférait l'expréssion de son visage ne laissait aucun doute, il devait certainement s’agir d'un haut dignitaire impérial... Mais quelque chose chez lui n'allais pas, bien plus grand que tout les autres, ce dernier ne les dominais pas seulement de sa stature, mais était aussi doté d'un charisme presque palpable : même à peine sorti de l'eau et vêtu de simples guenilles ce dernier marchais presque tel un dieu parmi les hommes. Et la déférence presque instinctive avec laquelle ce parfaite inconnu était traité ne faisait que renforcé cette impression. Ne se laissant pas démonté Spélias s’approcha de lui, pour une fois que quelque chose d'intéressant était arrivé sur ce navire...
____________________
Hypérion venait à peine de posé le pied sur le pont que déjà ces humains misérables c'étaient agglutiné à lui comme des mouches attiré par la puanteur. Très vite cependant le Titan avait réussi à s'extirper de cette masse grouillante pour se retirer au calme. Assis prés de la proue celui-ci resta perdu dans ses pensées de nombreuse heures... Le monde devait avoir certainement changé, et la Grèce, berceau des dieux la première. Scrutant l'équipage Hypérion se mit à douté cependant que le changement fut aussi radicale pour l’espèce humaine qu'il ne l'était pour le paysage. Voyant une brute immense rudoyé ses semblables à grands coups de fouet il semblais au Titan revoir la les premiers primates s’entretuer à coup de pierre. Malgré leurs changements et évolutions dans le temps les rapprochant toujours plus de l'apparence des dieux n'étaient-ils cependant pas condamné à n'en demeuré que les ersatz? Une copie imparfaite et vicié, fœtus infâme enfanté de toutes les malédictions de Gaïa... Sentant une main se posé sur son épaule Hypérion fit brutalement volte face le poing levé. Effrayé par la virulence de sa réaction l'homme se tenait recroquevillé les deux bras en avant, craignant de recevoir un coup :
"Pardonne moi étranger, tu m'a surpris que veux tu?"
L'inconnu essaya alors de balbutié quelques mots dans la même langage que l'équipage, mais avec une difficulté rendant évidant qu'il ne s’agissait pas de sa langue d'origine :
"À ton accent il me semble deviné qu'il te serait plus commode que nous nous exprimions en Grec."
Les yeux écarquillés, l'étranger amorça alors des salutations plus confuse encore que ses premiers mots. Le Titan commençant à croire qu'il était tombé sur un simple d'esprit quand ce dernier finalement se repris :
"Enchanté mon nom est Spelias, désolé, c'est juste qu'on ne voit pas tout les jours un dignitaire du Sultanat être repêché comme un vulgaire poisson.
-Le Sultanat?"
Voyant l'effarement reprendre d'assaut le visage de son interlocuteur l’épéiste agacé s'apprêta à congédier ce dernier, puis se ravisa, gageant que quelques renseignements avant de gagner la terre ne seraient pas superflus pour se fondre dans la masse :
"Je suis désolé mais je ne suis... Qu'un humble pécheur surpris par la tempête, mon bateau à cédé sous les assauts de la tempête et cherchais à rallier la côte à la nage quand je vous ai trouvé.
-Vous vous moquez de moi? Nous sommes en été et aucunes tempêtes n'a éclatée depuis plusieurs jours...
-Vous empestez le vin et mettez ma parole en doute?
-Euh... Désolé, continuez.
-Oubliez cela, ces nombreuses heures en mer n’ont pas aidé à adoucir mes humeurs, ou ce bateau ce rend-il?
-A Constantinople, quel dommage que vous n'ayez même pas sauver vos prises et filets, vous auriez pu vous faire assez d'argent sur le marché de la capital pour payer le voyage de retour."
____________________
Des heures à présent que Spelias discutait avec cet étranger et autant de temps que ce dernier ne tarissait pas de questions aux réponses toutes plus évidentes les unes que les autres... Avait-il donc reçu un coup sur le crane pour ne plus se souvenir ainsi de quoique ce soit? Fatigué de tout cela Spelias prétexta un malaise soudain pour se retiré dans sa cabine. Même si Héléna serait probablement furieuse de ne pas l'avoir vu de la journée, le jeune homme préférais mille fois enduré les possibles récriminations de sa comparse que le feu incessant des questions de son compagnon d'infortune. Poussant la porte d'entré il fut pris d'une étrange sensation : cette même impression de transport de l’âme, indescriptible plénitude, comme lors de la montée de l'étranger sur le bateau. Mais celle-ci avait quelque chose d'infiniment plus apaisant, chaleureuse, lumineuse, elle invitait à doucement se laissé aller dans ses bras pour satisfaire à la moindre des voluptés qu'elle inspirais. Dépassant alors au pas de charge le jeune homme une silhouette féminine sculptural, recouverte d'une cuirasse finement ouvragé, se dirigea vers le pont. Nimbé d'une leur incandescente faisant écho à sa longue et lisse chevelure d'or la jeune femme semblait être une apparition divine venu gouté aux basses turpitudes de ce monde. Irrépressiblement attiré l'adolescent la suivi sans réfléchir. Portant ses mains vers elle Spélias, à la vue de son visage, étouffa un cris : c'était une Héléna comme transfiguré qui le fixait d'un œil triste :
"Pardonne moi... Le temps m'est compté aussi je ne puis que te dire adieu, mon cœur portera ton empreinte à tout jamais."
Essayant de la retenir le jeune homme ne frôla alors que de justesse les larges ailes sur lesquelles s'envola sa bien aimé.
____________________
Somnolant toujours au même endroit du navire Hypérion fut soudain troublé par une sensation lancinante, comme si les liens de foudre de sa geôle étaient revenu mortifier sa chair. Levant les yeux au ciel ce dernier vis se diriger vers lui l'ombre familière d'un ange :
"Alors les olympiens sont déjà sur mes traces..."
Se posant prés de lui la créature ailé parla alors d'une voie aussi tonitruante que le tonnerre :
"Hypérion! Je suis Ariel, ange de Zeus, venu te renvoyé aux ombres dont tu n'aurais jamais du t'extirper!
-Les prétentions d'une enfant tel que toi ne feraient même pas trembler un insecte, mais à te voir seul ici je constate qu'elles sont tout de même sans limite. L’Olympe n'est même pas au courant de mon évasion que tu prétends de ta seul force régler un problème dont uniquement Zeus en son temps avait pu venir à bout?
-Tu n'est pas Cronos, Titan!"
S'élançant vers Hypérion Ariel dégaina son glaive en une estoque rageuse porté en direction du cœur de celui-ci. Déviant de sa trajectoire avant même que la lame n'ai pu le frôler l’épéiste saisi celle-ci de sa main droite, puis de la gauche assena plusieurs coups de poing dans le ventre de l'ange. Se dégageant d'un coup de pied dans le visage de son adversaire cette dernière atterris au sol vomissant du sang :
"Tu n'est pas de taille, consent à rendre les armes et je t'offrirais une mort rapide.
-Je ne suis jamais sérieuse face à un adversaire diminué, revêt ta Soma et je pourrais alors te réexpédié au Tartare sans état d’âme."
Les fanfaronnades n'y feraient rien, même après ce bref assaut Hypérion savait pertinemment que son adversaire n'était pas de taille, et elle aussi. Se demandant ce qui pouvais bien poussé l'ange a risquer sa vie de cette manière le Titan eu sa réponse voyant le regard de cette dernière s’égarer brièvement vers l'homme avec qui l’épéiste avait discuté tout à l'heure. Amusé il relâcha sa garde pour s'adresser à la jeune femme :
"Je suis ici sans malice, aucune, guerrière de Zeus. Peut être t'aurais-je éliminé sans perdre de temps si j'avais su le premier qui tu était, mais ceci excepté, pour ta détermination à défendre ce qui t'est cher au mépris de ta vie je veux bien épargné ce mortel et tout ceux qui se trouvent à bord de ce navire.
-Pour moi la parole d'un monstre de ton espèce ne vaut rien!
-Alors crois seulement celle-ci : tu est déjà morte."
Une diagonale écarlate se dessina alors sur le torse de la guerrière se transformant en un véritable geyser de sang. S'écroulant à terre terrassé, l'ange aperçu dans son dernier souffle une épée noir démesuré apparu dans la main droite de son ennemi. Saisissant son visage entre ces mains avant qu'Ariel n'expire le Titan rendu hommage à la guerrière :
"J'ai beau haïr profondément ces mortels tu as fait preuve d'un immense courage pour les défendre. Par respect pour cela je leurs laisses la vie sauve, repose en paix."
Se tournant alors vers les hommes présent et lisant la haine presque sans borne qui s’esquissait dans les yeux du compagnon de la défunte, Hypérion se dirigea vers l'océan. Il avait juré sur son honneur de laissé la vie sauve à cet homme et tiendrais parole. Tel étaient les Titans comparé aux humains : Fiers, puissants et sans défauts. Jamais leur parole n'aurait a souffrir quelconques doutes ou mensonges car de ce monde, ils sont les premiers nés et la fierté.
Dernière édition par Agraorth le Mar 24 Mai 2011 - 18:57, édité 15 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: Hypérion, what else? :p Dim 22 Mai 2011 - 17:34
Sujet: Re: Hypérion, what else? :p Dim 22 Mai 2011 - 23:02
Merci de faire si vite Hadès^^ Idem pour l’accueille Morpheus
Ryuken
Rôle : Je tape, je détruis, j'extermine, je pulvérise, je massacre, j'anéantis... Mais, je vous aime bien en fait ! Bref, je suis un gars super sympa et super sociable ! Hé ouais !
Sujet: Re: Hypérion, what else? :p Lun 23 Mai 2011 - 15:54
Mes salutations et remerciement à tous pour l'accueil Impatients de vous rejoindre, et à mes frères d'arme Titans : tous ensemble pour leur rouler dessus mouhahahahaaha
Sujet: Re: Hypérion, what else? :p Lun 23 Mai 2011 - 19:44
Alors ^^
Voilà une histoire bien tournée, j'ai aimé, c'est original. Cependant je relèverai quelques fautes. Déjà à un endroit tu mentionnes Cronos en l'écrivant Chronos. ATTENTION ! (oui je saute au plafond). Chronos et Cronos ne sont pas les mêmes personnages. Chronos est le dieu primordial du temps et Cronos le roi des titans. Autre détail, même s'il est minime mais je l’ai vu auparavant chez quelqu'un d'autre, donc je le signale, tartare s'écrit avec Tartare. C’est un nom propre.
Ensuite, j'ai noté quelques fautes ici et là, des s manquants des petites erreurs de conjugaison pas bien méchantes. Vu la qualité de ton écriture, une simple relecture et ça sera corrigé. Ha oui aussi lors de la confrontation entre Hypérion et l'ange de Zeus tu as un morceau de dialogue non-coloré.
Mis à part ces détails, l'ensemble me suffit tout de même pour donner mon oui.
nb : une fois validé, tu me confirmeras également si je change ton pseudo ou pas.
Sujet: Re: Hypérion, what else? :p Lun 23 Mai 2011 - 20:08
*Saute au plafond*
Merci Ravis que ma fiche ai plus, je vais de ce pas corrigé ces quelques petites erreurs^^ (Plus du à la fatigue mais j'enrage de les avoirs fait étant de même très tatillons sur ce genre de point :p ) En effet une fois validé je souhaite effectivement porté le pseudonyme d'Hypérion ^^
Accueil
