Aak'ab Spectre du Doppelgänger, de l'Etoile Céleste de la Dualité

●Fiche de Présentation●

Qui suis-je?

°Mon Nom°: Cédric

°Mon Age°: 22 bientôt 23 ans

°D'ou je viens°: Bourg en Bresse dans l'Ain

°J'ai connu le forum par...°:Ancien sur ce forum, j'ai joué le spectre du minotaure puis le démon Samaël. Je reviens maintenant parmis vous, vous m'aviez manqué :)

°Mon Niveau de RP°: A vous de voir

L'Histoire de mon Personnage

Aak’ab était né en l’an 9.18.9.12.2 du calendrier long Maya (Soit le 21 Avril 800 du calendrier Grégorien). Ce nom signifiait « nuit ». En effet, Aak’ab était né la nuit.
Aak’ab était le fils d’un des plus grand guerriers de la cité de Teotihuacán. Tout comme son père, il allait devenir guerrier protecteur de la cité et de la pyramide du soleil. Dès qu’il fut en âge de tenir debout, Aak’ab reçut une formation au combat et à la stratégie. Comme tous les autres enfants, il appris à lire et à écrire bien que cela n’était pas censé lui servir. Il ne reçut aucune formation en science, cela étant réservé au fils de scientifiques.
Tout au long de son enfance et de son adolescence, ses journées se ressemblaient toutes. Lors du réveil, il était réunit avec les autres enfants pour les cours de lecture et d’écriture, puis, l’après-midi, les enfants étaient séparés en groupe en fonction de leur assignation future.
Aak’ab apprenait vite et devint rapidement l’enfant le plus habile au combat de la cité. Mais, en l’an 9.19.4.17.15 (26 Mai 815), une attaque des Chichimèques eut lieu. Les combats furent sanglant et les enfants en âge de tenir une épée furent positionnés sur la pyramide du soleil afin de la protéger. Alors que les Chichimèques pénétraient dans la cité, Aak’ab vit son père aux prises avec plusieurs d’entre eux sur la principale avenue Miccaotli (l’Allée des Morts). Le père d’Aak’ab menait un combat acharné mais, sous la masse de guerriers ennemis, il succomba à leurs coups. Une contre-attaque Maya fut menée quelques secondes plus tard à l’endroit où se trouvait le père d’Aak’ab mais, il était déjà trop tard. La contre-attaque réussissa et les Chichimèques furent contraint à se replier.
A la suite de jour, Aak’ab ne fut plus du tout le même. Bien que très bon combattant déjà avant, il devint encore meilleur mais fut extrêmement violent. Plusieurs fois, il fut mis en garde par ses précepteurs mais jamais il ne tenu compte de ce qu’on lui disait. Il était tellement violent que lorsqu’il s’entraînait, il blessait ses compagnons d’entraînement. Ainsi, de par sa conduite, il fut banni de la cité.
Seul, abandonné par les siens, sans famille, Aak’ab décida de partir sur les terres des Chichimèques afin de venger son père et mourir en guerrier.
Alors que cela faisait déjà plusieurs jours qu’Aak’ab marchait en direction des terres des Chichimèques, il entendit des rires. Se cachant dans les fourrés avoisinant, il attendit patiemment de voir arriver les individus. Il reconnu de suite les armures que portaient les individus. A n’en pas douter, il s’agissait de Chichimèques, surement une patrouille d’avant-garde. Il décida de les suivre et d’attendre un lieu où le combat serait plus simple pour lui. En effet, Aak’ab était sans arme depuis son bannissement de la cité.
Les suivant imperceptiblement, Aak’ab pu se rapprocher d’eux. Ils s’arrêtèrent et l’un d’entre eux s’éloigna derrière un fourré. Aak’ab, toujours invisible pour eux, suivit l’infortuné dans les fourrés. Il voulait faire ses besoins physiologiques. Avant même qu’il eu pu commencer, Aak’ab lui avait attrapé la tête et lui avait faire faire plus de 90° sur la gauche, la brisant net, sans bruit. Il posa le corps au sol toujours sans bruit et récupéra l’épée.
Toujours dans les fourrés, Aak’ab se rapprocha des deux hommes, prêt à en découdre. A quelques mètres d’eux, Aak’ab bondit et transperça la gorge d’un des deux hommes. Alors qu’Aak’ab allait porter un coup au dernier homme, celui-ci esquiva l’attaque. Cela désiquilibra Aak’ab qui se retrouva dos à l’homme. Ce dernier allait lui porter un coup à l’épaule. C’est à ce moment là qu’Aak’ab entendit une voix.
Baisse-toi et tourne-toi en faisant suivre ta lame.
Inconsciemment, Aak’ab fit exactement ce que lui avait dit la voix, évitant l’attaque du Chichimèque et lui ouvrant le ventre par la même occasion. Le Chichimèque lacha instantanément son arme et tomba à genou en se tenant le ventre. Quelques secondes plus tard, il gisait mort sur le sol.
Aak’ab était soulagé que le combat se fut terminé ainsi. La voix qu’il avait entendu durant le combat repris de plus belle.
Joli combat mon fils.
Mais qui parle et pourquoi « mon fils » ? pensa Aak’ab en se tournant dans tous les sens pour chercher d’où venait la voix.
La voix repris de plus belle.
Aak’ab, je suis ton père. Tu es venu ici aujourd’hui non pas parce que tu voulais me venger mais parce que je guidais tes pas.
Yum (Père), est-ce vraiment toi ?
Oui
Mais, comment est-ce possible ?
En mourant, j’ai appris que toutes les croyances que nous avons sont fausses. Nos dieux n’existent pas.
…
Il existe le Dieu de la Cimil (Mort), Hadès. Ayant une vision sur le monde, il est prêt à nous faire un cadeau.
Hadès. Le Dieux de la Cimil. Si ce que tu dis est vrai, pourquoi tu veux pactiser avec celui qui contrôle la mort ?
C’est simple mon fils. Si tu acceptes de devenir l’un de ses guerriers, il donnera la vie éternelle à ton âme et nous réunira.
Père, pour être avec toi, je suis prêt à tous les sacrifices.
Bien mon fils, alors prends ton arme et fait couler ton sang, ce sera le moyen le plus rapide pour rejoindre son monde.
Aak’ab s’exécuta alors, prends la lame de son arme avec la main gauche tout en tirant la garde de l’arme par la main droite. A peine la première goutte de son sang avait touché le sol qu’Aak’ab tomba au sol, le corps sans vie.
C’est bien mon fils. Maintenant, on te connaîtrait sous le nom d’Aak’ab, le spectre du Doppelgänger.
Aak’ab se réveilla dans un endroit sombre et entendit à nouveau la voix de son père.
Fils, tu es dans l’antre d’Hadès. Ton étoile protectrice est l’étoile Céleste de la Dualité. C’est tout ce dont tu as besoin de savoir pour le moment. Lorsqu’Hadès aura besoin de toi, tu te réveilleras.
A peine Aak’ab avait entendu la fin des mots de son père, qu’il sombra dans les ténèbres inconscient, attendant l’heure de se réveiller.