Forum de jeu de rôle dans l'univers du manga Saint Seiya, qui se déroule au XXIème siècle dans un climat de dystopie où Hadès règne en maître. |
| | Grell, Cardinal des flammes [Terminé] | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Grell, Cardinal des flammes [Terminé] Sam 24 Aoû 2013 - 22:12 | |
| MaPrésentation • Grell et c'est tout ! • Arès, Uwhehehehe ! • Cardinal des flammes tadam ! • Grell Sutcliff, from Kuroshitsuji/ Black Butler, pardi ! • Fou et sadique bien entendu, sinon je serais pas un berz' Uwheheehee ! • Vous voulez savoir ? Et bien je vous le dirais pas ! *tire la langue* • Correct selon certains ! Mon Histoire...Clip, clap, clip,clap...
La pluie tombait depuis un bon moment sur les rues sombres de Londres. Ce n'était pas une journée à sortir dehors, encore moins lorsque la nuit était tombée. Les réverbères renvoyaient des ombres sur les murs, donnant à l'endroit une tout autre vision. En effet, la ville en plein jour était on ne peut plus normale, alors que lorsque c'était la nuit, on pouvait dire que les Ténèbres venaient de prendre possession des lieux. Ce moment était celui que je préférais. Personne ne marchait dans les ruelles, personne n'était à l'abri d'un énergumène tel que moi. Clip, Clap, clip, clap... Dans un des chemins sombres, une femme se promenait. Elle avait eu une super soirée en tout cas, puisqu'elle avait probablement envoyé plusieurs hommes au septième ciel, elle y comprit. Pauvre petite chose. Celle-ci ce promenait seule, sans accompagnateurs. Une femme, qui en se moment était vulnérable aux multiples dangers nocturnes. Encore une qui n'avait pas sans doutes pas entendu parler de moi. C'est dommage, dans la mesure où elle n'en avait plus pour longtemps à vivre. Le bruit des gouttes tombant couvrait le son de mes chaussures. Elle ne se douterait de rien, sauf lorsque je serais derrière elle. Seulement... Ce serait trop tard. La femme continue sa marche, sans se douter outre mesure qu'une ombre la guette, attendant le meilleur moment pour passer à l'action. Au bout de quelques minutes, elle tourne dans une ruelle en cul-de-sac. Voilà ma chance d'agir. Un sourire déforma le bas de mon visage. Un sourire sardonique, cruel, qui laissait voir mes dents pointues. Mon regard s'était fait plus perçant, et si quelqu'un m'avait vu à cet instant, il aurait cru que j'étais un fou furieux. Ce n'était pas vrai. Je suis une personne calme, sans histoires. Je suis un homme plutôt grand, avec une longue chevelure d'un rouge si écarlate qu'il en ai carrément flamboyant. On aurait pu me prendre pour une fille, tellement j'avais des mimiques de femme. Bref, ce n'était pas la peine de continuer à me décrire. Toutes mes actions nocturnes allaient parler pour moi. La femme cherche ses clés dans son sac à main. Sans bruits, je me rapproche d'elle. Et plus je m'approche, plus mon visage se déforme par la folie. Je couru presque jusqu'à elle. Cette dernière se retourna au dernier moment. Malheureusement pour elle, ce fut trop tard. Je l'avais attrapé, tandis que je lui faisais sentir l'odeur de sommeil. C'était un ami médecin qui m'avait donné un petit flacon de ce produit. Dès que tu le sentais, tu étais bon pour tomber dans les bras de Morphée. Je trouve cela terriblement romantique. Enfin, ce n'était pas le cas de cette prostituée, si vous voulez mon avis. Clip, clap, clip, clap... La pluie continue de tomber. Les gouttes d'eaux glissent sur les carreaux. La femme est ligotée sur une chaise, encore endormie. A ses côtés, je m'occupe de rassembler tous les outils pour la suite des évènements. Sur une petite table de chevet se trouve rouge à lèvre, brosse à cheveux. Oui, j'aime bien jouer à la coiffeuse. J'ai toujours trouvé qu'arranger les cheveux était une sorte d'art. Sans coiffeur, beaucoup de femmes ne seraient pas belles. La gente féminine, il faut s'occuper d'elle pour que celle-ci puisse vendre du rêve. Même les traînées avaient le droit à s'embellir, de temps à autres. Cependant, il arrivait que certaines soient impossible à rendre belle... C'est la raison pour laquelle il y a un couteau de cuisine à mes côtés. Bref, la demoiselle se réveille. Elle a de jolis yeux marrons, tandis que sa chevelure bouclée arbore une couleur blonde, semblable aux champs de blés. Celle-ci à peur, mais elle obtempère sans broncher à ce que je lui fait. J'ai enlevé le bâillon de sa bouche, intimant l'ordre à ma poupée de se taire et de se laisser aller. Encore un peu faible, elle se contente de hocher la tête, les larmes baignant son visage. De toute façon, elle n'avait pas le choix. Et dans l'état où elle était, la demoiselle n'avait aucune chance de s'en sortir. Je caressais ses cheveux doucement, tandis que mon autre main s'empara du tube de rouge à lèvre. Une couleur écarlate, qui voulait dire pleins de chose. Ma couleur préférée est le rouge. C'est ce qui représente le mieux la passion, l'amour et surtout la violence. J'ai aimé cette couleur dès la première fois que mon regard s'est posé sur ma chevelure rousse. Le rouge est une couleur terriblement diabolique. C'est en effet aussi ce qui colore le sang. J'adore le sang. J'adore le rouge. En fait, j'adore tout ce qui est écarlate, bien plus que l'art. Tout en fredonnant, j'ouvris le tube et fit sortir le stick à la coloration flamboyant. J'aime bien regarder si le rouge sied bien aux femmes. J'applique la couleur délicatement, tenant le visage de la femme par le menton. Celle-ci à encore très peur, cependant elle semble s'être résignée à tenter de fuir. En plus d'être un artiste, je suis très compétent pour faire des nœuds et empêcher mes belles poupées de s'en aller... Je mettais de la musique. La flûte magique, de Mozart. Un choix de luxe pour ce qui allait suivre... Je la regarde sous toutes les coutures une fois que le rouge à lèvre fut appliqué. D'un air songeur, je passe du côté gauche au côté droit, cherchant ce qui n'allait pas. Il fallait croire que même avec cette touche de rouge, elle ne pouvait pas devenir belle... Dommage pour elle. Avec un soupir las, je m'empare du couteau de cuisine. Les yeux de la femme rétrécissent sous l'effet de la terreur. Elle tente de se défaire des liens. Elle se met à gigoter fébrilement. Cela me fit rire. Pauvre petite larve qui essaie en vain de s'en aller. Je lève haut mon arme blanche, prenant plaisir à regarder ma victime tenter de se libérer. C'était tellement pathétique... Et tellement désolant de voir une laideur pareille encore en vie. Le rouge ne lui allait vraiment pas. Il n'irait probablement jamais aux femmes comme elle et ses semblables des bordels. Avec un soupir à fendre l'âme, l'arme s'abattait dans un bruit sourd. Je frappais encore et encore, déchirant la peau de cette femme. Le sang giclait, tachait mon beau visage. Enfin, c'était vite dit, puisque le même visage déformé par la folie. On aurait dit que j'avais fait cela toute ma vie. Éventrer des femmes. C'est peut-être vrai, après tout. J'adorais les découper, les taillader sans merci. De toutes manières, personne ne pleurerait sur des laideurs pareilles. Tout en ces prostituées me répugnait. Elles faisaient l'amour pour se retrouver enceinte, préférant ensuite se débarrasser de leurs futurs bébés sans aucuns remords. Une fois qu'elles l'étaient, ces dernières avortaient. Quelle plaie ! Moi qui voulais des enfants, ces femmes se débarrassaient sans remords de ce que je n'aurais jamais. Ma vie, c'était de les éradiquer. De leur prendre tout. Et tout cela artistiquement sous la couleur rouge, celle de leur sang. Le carnage était fini. Le corps de la femme était complètement lacéré, méconnaissable. Ma proie était devenue ce qu'elle était à mes yeux ; de la chair sanguinolente et difforme. Couvert de sang, je prit le couteau et l'essuya sur ma veste. J'allais devoir me décrasser de tout cela, maintenant. J'aurais pu rester ainsi, cependant je doute que j'aurais pu aller loin avec du sang partout. Quoique, ce n'était pas mon premier meurtre, loin de là, et personne n'avait encore réussit à me pincer. Je me lavais dans la bassine, avant de reprendre ma veste. Pas besoin de reprendre le couteau. Quant au rouge à lèvre, cela il fallait que je le reprenne quand même. Après tout, il y avait encore beaucoup de femmes à qui je devrais essayer de mettre du rouge. Une fois cela fait, je sortis dans la nuit noire, avant de me volatiliser encore une fois. J'avais commencé à tuer depuis maintenant deux bonnes semaines. La cause de ma haine était bien entendu le fait que ces femmes des rues se débarrassaient de leur bébés alors que moi je ne pouvais pas en avoir. J'étais un homme, après tout. Et je n'étais pas spécialement attiré par les femmes. C'est comme ça, je me disais. Longtemps je m'étais demandé la raison pour laquelle je regardais plus les autres hommes que la gente féminine. Cependant, cela ne m'empêcha de trouver certaines femmes splendides. Il faut dire que j'apprécie les belles choses. Le théâtre, l'art... Tout ce qui met les gens en valeur. Je rentrais chez moi seulement le lendemain. J'avais chassé vraiment loin, cette fois. Histoire que les soupçons se portent dans un périmètre étendu. Une fois chez moi, j'allumais une chandelle au moyen d'une allumette. La flamme rougeoyante diffusait une incroyable lumière. Songeur, je me demandais si cela ne pourrait pas purifier ces âmes en perdition... « - Voudrais-tu essayer ? »Une voix. A première écoute, c'était celle d'un homme. Surpris, je regardais autour de moi. Elle m’était familière. « - Essayer quoi ? »Pour toute réponse, un rire amusé retentit dans ma tête. Incrédule, je décidais d'inspirer pour comprendre ce qu'il se passait.« - Serais-tu sénile, Grell ? Utiliser les flammes ardentes pour envelopper de chaleur ces créatures immondes que tu ne cesses de lacérer, découper ou éventrer... »Il connaissait mon nom ? Je n'arrivais pas à y croire. Il semblait connaître tout de ma personne et de ce que faisait depuis quelque temps. Qu'était-ce donc cet entité éthérée qui me proposait si son aide ? En tout cas, j'étais tout de même réticent à utiliser les flammes, comme il disait , que le couteau pour démembrer mes victimes. « - Tu sais, il y a tellement de façon de tuer et de faire souffrir les autres… Je te fais que t'ajouter une corde de plus à ton arc de la torture !»Vu sous cet angle... Brûler ces femmes vivantes était une chouette idée. Cette voix avait raison. Seulement, il n'y aurait plus tout ce sang dont la couleur rouge était magnifique... Cependant, il pouvait éventuellement ajouter la torture des flammes aux futures victimes qui tomberaient entre ses mains de meurtrier. L'entité en lui sembla sourire à cette idée. Peut-être valait-il mieux proposer à nouveau son aide, histoire que leur accord soit enfin complu ? Il était vrai que cet esprit ne s'était pas encore présenté à l'homme.« - Si tu le souhaites, je puis te confier le pouvoir de créer des flammes purificatrices. Je suis l'un des Cardinaux du Dieu de la Guerre ; Arès. Et comme tous ces plus puissants guerriers, mon pouvoir est tel que tu pourras faire tout ce que tu imagines comme massacres. Il te suffit de formuler une réponse positive, et mon pouvoir sera tien. »La perspective de posséder un pouvoir incommensurable m’enchantait, il fallait bien que je me l'avoue. Même si je pouvais tuer comme je l'entendais compte tenu de l'incompétence des forces de l'ordre, autant dire que même avec le pouvoir d'un serviteur d'Arès, j'aurais pu continuer mes activités comme je l'entendais. Cependant, je ne savais pas trop. Je pouvais m'amuser encore davantage en les torturant grâce aux flammes que je pourrais créer moi aussi. Et la couleur rouge ne saurait être plus que vivace grâce à l'orange du feu. Ma décision était prise. J'allais devenir un serviteur d'Arès. J'allais continuer à teindre de rouge cette ville qu'était Londres et même au-delà.
J’allais les brûler vive et les découper en rondelle.
Le soleil brillait le jour d’après. La ville était en effervescence, paniquée. Le feu avait détruit le Pont de Londres. Pendant ce temps-là, j’étais en train de tester mes nouveaux pouvoirs, ne me préoccupant pas vraiment de ce qu’il s’était passé. Non, ce qui retenait mon attention, c’était les deux détectives penché sur les morceaux carbonisés d’une femme. J’aurais pu être l’auteur de l’incendie du pont, seulement ce n’était pas me cas. Il faudrait d’ailleurs que je remercie l’auteur de ce coup grandiose, parce que j’ai bien pu m’occuper de ma proie quotidienne. « - On dirait que le mode opératoire a changé… »Constata l’un des deux hommes, en regardant avec dégoût ce qui restait de ma dernière victime. « - Oui, il ne faut pas être débile pour s’en apercevoir. Brûler ses victimes après les avoir brûlée, c’est ignoble. Il faut qu’on arrête ce fou furieux…» Le plus vieux avait un air sérieux sur le visage, rendu plus inquiétant grâce à sa barbe. Visiblement, mon crime les avait pris au dépourvu. Assis sur le toit derrière eux, je les épiais, un large sourire sur les lèvres. J’aimais bien écouter leurs déductions à peine réfléchies. Ils ne sauraient jamais que je suis l’auteur de ce meurtre. En plus, ils n’avaient pas que cela à faire, puisque le précieux London Bridge avait été en proie aux flammes. Je regarde ma montre gousset. Il est temps de s’en retourner, mon travail de jour m’attend. Me redressant, je pose ma paire de ciseaux géants sur mon épaule, jetant un dernier regard sardonique en voyant les détectives patauger dans la panade que j’avais provoquée. Enfin, que j’avais produit certes, mais avec l’aide du cosmos d’un Cardinal d’Arès. Maintenant, il fallait que je mette en place mon renvoi, sinon je ne risquerais pas de me rendre à son Royaume.
De retour au manoir de Madame, j’avais sortis mon sécateur afin de couper les arbustes. Je n’ai jamais été très bon pour faire le serviteur. Mon incompétence dans ce domaine m’a valu plusieurs voyages chez d’autres familles de nobles, hélas sans grand succès. Il me serait donc fort aisé de me faire renvoyer. Elle s’occupait que de savoir si l’on avait fait notre job, aussi la donzelle ne savait pas ce que je pouvais fabriquer. Heureusement d’ailleurs, car je serais obligé de la tuer si jamais elle arrivait à l’apprendre. Dans le jardin, je m’approchais d’un arbre et commençais à le couper doucement. J’étais quelqu’un de très rapide, et quelques minutes plus tard j’en avais encore deux trois. L’heure suivante, je m’arrêtais pour m’essuyer le front qui était couvert de sueur et souffler quelque peu.HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! C’était sorti comme ça. Je lâchais mon sécateur, surprit que l’on crie ainsi tout en plaquant mes mains sur les oreilles afin de me protéger de ce boucan. Je me demandais qui était le goret qui hurlait à la mort comme ça, alors que tout était calme quelques instants auparavant. Me retournant, je vis qu’il s’agissait de ma maîtresse, qui regardait mes arbres et buissons d’un air catastrophé. Je regardais alors dans sa direction, méfiant. Mon sang se glaça tandis que je venais de comprendre.
Des têtes de morts. Sans m’en rendre compte, j’avais taillé tous les arbres et autres en tête de mort.
Enfin, c’était prévu que je le fasse, étant donné que je devais avoir une bonne raison de disparaître pour rejoindre le Royaume du Dieu Arès. Cependant, du côté de la femme, c’était encore un désastre de plus dans ma liste qui devait probablement être aussi longue que la muraille de Chine. La femme reprit ses esprits, et le visage déformé par la rage, elle courut jusqu’à moi. C’est marrant comme elle est rapide, elle. En un clignement d’œil, elle se trouvait sous mon nez, les mains sur les hanches d’un air mécontent. « - Puis-je savoir la raison pour laquelle mes précieux arbres se retrouve avec cette horrible coupe ? »Bon comédien que j’étais, je reculais d’un pas, le visage baigné de larmes, histoire qu’elle croie que je sois désolé d’avoir encore saccagé ses affaires. « - Je… Je ne sais pas ce qu’il m’a pris ! Mon incompétence est inexcusable, je vais de ce pas mettre fin à votre calvaire d’avoir un serviteur aussi peu utile que moi ! JE VAIS ME TUUUUUUER!!!!!!!! »Pleurant à chaudes larmes, je me retournais dans un geste théâtral avant de courir vers un arbre sur lequel était nouée une corde. Je grimpais sur un petit tabouret avant de me passer la corde autour du cou. La Marquise me suivit, me sommant d’arrêter le délire, que je serais seulement renvoyer et qu’il ne fallait pas que j’en arrive à de telles choses. Cette dernière s’approcha trop prêt du tabouret, et en essayant de me sauver, elle le fit tomber. La corde se resserra sur mon cou, commençant à m’étrangler. Ce scénario n’était pas prévu. Si l’autre a mes côté commença à paniquer à l’idée de m’avoir tué sans le faire exprès, ce n’était pas dans mes plan de rendre l’âme aussi bêtement ce cela. Bref, je tentais d’atteindre ma poche, tandis que la femme continuait à crier comme un putois autour de moi, demandant de l’aide qui ne venait malheureusement pas.
Mes doigts rencontrèrent la lame de mon couteau de survie parfait. Je m’en emparais bien vite, avant de commencer à couper la corde. L’effort me valut plusieurs tentatives, avant que finalement les dernier fils ne cèdent. Je tombais mollement, le nez dans l’herbe. Cette garce… Je l’aurais bien tuée sur le champ, cependant il fallait bien que je recouvre mon souffle. Au bout d’un moment, je me relevais pour épousseter mes vêtements, avant de sortir un miroir d’une autre poche. Fort heureusement, je n’avais rien sur mon magnifique visage, c’était déjà ça. La Marquise retrouva elle aussi son comportement hautain, m’accusant de lui avoir provoquer une frayeur sans nom, avant de me crier ce que je voulais entendre depuis quelques minutes déjà.« - VOUS ETES VIRE ! » Ah. Il était temps que je l’entende, cette phrase. Je me confondis encore en excuses avant de faire semblant d’être anéanti par la nouvelle, pleurant pour ce faire à coup de sanglots feintés. Ceci fait, je sortis du domaine afin de mettre au point une idée pour aller enfin au Royaume d’Arès. Je fermais les yeux, faisant doucement augmenter mon cosmos. Avec un peu de chance, je parviendrais à me téléporter. Et c’est ce qu’il se passa. Un cercle apparu sous mes pieds, avant qu’une flamme assez grosse et longue ne viennent me happer, tandis qu’il ne restait rien d’autre qu’une trace de brûlé de la taille de mon cercle. Il était donc temps de rencontrer Arès, où à défaut ses autres protecteurs et par conséquent mes compagnons et futurs frères d’armes.
I'm a berserker to die for. I've got the power ! Et je vais avoir un malin plaisir à tout détruire par les flammes ~~ ♥ Le Bien ou le Mal? Bien ? Mal ? C'est quoi la différence ? Je suis tellement puissant que je peux tout détruire d'un claquement de doigts. D'ailleurs, il n'y a que cela qui m'anime ! Tant que je fais ce que je veux, je m'en balance de savoir si mes actions sont bonnes ou mauvaises. Quoique, dès que l'on parle de détruire et de tuer les gens, il ne faudrait être un imbécile pour ne pas penser que ce que je fais, c'est mal !© Never-Utopia
Dernière édition par Grell le Mar 27 Aoû 2013 - 11:03, édité 9 fois |
| | | Poséidon 2 | Sujet: Re: Grell, Cardinal des flammes [Terminé] Sam 24 Aoû 2013 - 22:14 | |
| Bienvenue à toi Grell. Juste une chose : les dialogues font assez mal aux yeux, pourrais-tu changer de couleur ? ----------------------------------------Ma fiche ~Mon carnet de voyages poussiéreux" Poséidon, empereur du silence, mémoire de civilisations perdues. Dominé par une colère inextinguible." Je suis le dieu Poséidon, le général Silister, Galaad de Kraken, Fallanster de l'Hippocampe, Daerval de la Sirène maléfique, Aventer de Scylla et Simbad de Scylla. |
| | | Caelan | Sujet: Re: Grell, Cardinal des flammes [Terminé] Sam 24 Aoû 2013 - 22:15 | |
| Bienvenue sur le forum ^^. Et oui, le orange tout comme le groupe des Berzek' fait mal aux yeux XD. ---------------------------------------- |
| | | Setesh Spectre Céleste de la Wyvern et juge d'Hadès
| Sujet: Re: Grell, Cardinal des flammes [Terminé] Sam 24 Aoû 2013 - 22:17 | |
| bienvenue à toi, "cradinal" ---------------------------------------- |
| | | Milan Sethni Chevalier d'or du Capricorne
| | | | Perséphone Déesse des Ténèbres
Rôle : Staff
Planter des fleurs sur la tombe d'Alessio et faire des bébés avec Hadès Messages : 10533 | Sujet: Re: Grell, Cardinal des flammes [Terminé] Sam 24 Aoû 2013 - 22:22 | |
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| | | Niké Rôle : Déesse de la Victoire Messages : 6513 | Sujet: Re: Grell, Cardinal des flammes [Terminé] Sam 24 Aoû 2013 - 22:22 | |
| Bienvenue parmi nous |
| | | Invité Invité
| | | | Léandre Chevalier d'or du Capricorne
| Sujet: Re: Grell, Cardinal des flammes [Terminé] Sam 24 Aoû 2013 - 22:51 | |
| Bienvenu à toi !
Présentation très complète mais cette faute de frappe... Puis je te le pardonner ? Tu as mon oui pour ta validation ! |
| | | Askhan | Sujet: Re: Grell, Cardinal des flammes [Terminé] Sam 24 Aoû 2013 - 23:12 | |
| Welcome !! ---------------------------------------- |
| | | Tabris | Sujet: Re: Grell, Cardinal des flammes [Terminé] Dim 25 Aoû 2013 - 0:30 | |
| Sois le bienvenu, cher Grell ! Jolie présentation, de belles perspectives pour le rp. Par contre, ton erreur d'anglais pour le titre est passible de crucifiement avec moi. On ne dit pas "I will to kill someone", tu accordes au futur simple donc c'est "I'll kill someone" ou encore "I'm going to kill" sinon tout au plus et bien plus sadiquement "I would like to kill". /Mode chieur de service off/ |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Grell, Cardinal des flammes [Terminé] Dim 25 Aoû 2013 - 8:33 | |
| Ah j'avais cru - c'est bizarre même que cela ne soit pas le cas - que je l'avais changé hier soir lorsque Alessio m'en a fait part xD Apparemment ce n'était pas le cas, maintenant si ^^
Merci o/
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| | | Altia Verana Grand Pope
Rôle : Grand Pope et représentant terrestre d'Athéna Messages : 5733 | Sujet: Re: Grell, Cardinal des flammes [Terminé] Dim 25 Aoû 2013 - 10:16 | |
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| | | Thanatos Dieu de la Mort
Rôle : Fondateur Messages : 19384 | | | | Gideon | Sujet: Re: Grell, Cardinal des flammes [Terminé] Dim 25 Aoû 2013 - 13:00 | |
| Bienvenue ^__^ Bon choix de personnage |
| | | Contenu sponsorisé | Sujet: Re: Grell, Cardinal des flammes [Terminé] | |
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| | | | Grell, Cardinal des flammes [Terminé] | |
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