Forum de jeu de rôle dans l'univers du manga Saint Seiya, qui se déroule au XXIème siècle dans un climat de dystopie où Hadès règne en maître. |
| | Aratos, Chevalier de Bronze du Poisson Asutral | |
| Auteur | Message |
---|
Aratos Spectre du Balrog de l'Etoile Céleste du Talent
| Sujet: Aratos, Chevalier de Bronze du Poisson Asutral Mer 15 Mai 2013 - 0:18 | |
| MaPrésentation• AGE : 16 ans • PRÉNOM : Aratos• CAMP : Athéna • ARMURE : Poisson Austral • PERSONNAGE SUR VOTRE AVATAR : Pas encore choisi (mais ça ne saurait tarder ^^) • CARACTÉRISTIQUE : Juste. Strict. Il attèle une grande importance à suivre toujours son code de conduite. Il a longtemps été très religieux, et a désormais une grande ferveur pour Athéna. • COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? : Un peu au pif. Google. • NIVEAU DE RP : J'en ai fait pas mal, il y a longtemps (Principalement sur http://www.nindo-no-shinobi.com pour ceux qui connaissent) Mon Histoire...
Une bourgade espagnole, proche de Toledo, dans la Castille profonde. Ce qu’il y a d’étonnant avec cette petite ville c’est que finalement, tout y est absolument normal, à l’exception faite d’un vieil homme un peu fou qui vit à l’extérieur de celle-ci. Peu d’histoires commencent dans un cadre aussi quelconque, n’est-ce pas ? Dans la première maison de la rue principale vivait un couple. Un homme, et une femme, évidemment. L’homme était religieux, limite pieux, voir carrément dévot. Ceci s’expliquait par plusieurs raisons, mais principalement parce que l’Espagne, au beau milieu du dix-huitième siècle était sans doute l’un des lieux où le catholicisme était le plus répandu, à la grande joie du Pape, il va sans dire. La femme, elle, n’avait pas grand-chose de pratiquante. Oh, elle était croyante, évidemment, comme tout le monde, peut-on dire, mais elle ne ressentait pas la nécessité de l’afficher comme son mari. Car oui, ils étaient mariés. Un mariage d’amour ? Peu probable, pour tout vous avouer. Si la demoiselle avait une principale qualité, c’était la richesse de son père. On peut donc avancer sans trop de difficultés qu’il s’agissait d’un mariage arrangé.
Les premières années de ce mariage furent laborieuses. Il faut dire que, si elle était riche, la femme n’avait pas vraiment un caractère commode. A l’humeur changeante, à la limite d’être considérée comme lunatique, elle était plutôt difficile à vivre. Mais c’était le lot de toute femme riche que d’avoir ses inconvénients, je suppose. Se réfugiant dans les livres sacrés, l’homme ne faisait toutefois pas vraiment d’efforts pour rendre cette vie de couple plus agréable.
Comme vous l’avez compris, elle avait un don pour titiller son mari. Enfin, pas seulement ce dernier, mais aussi sa foi, principalement en refusant de lui donner un fils. Ou une fille, ne soyons pas sexistes ! Ceci avait pour principale conséquence de le renvoyer dans ses bouquins de théologie. Et évidemment, de le faire prier. Beaucoup. Trop peut-être. Encore est-il que personne ne semblait répondre à ces dernières, le ventre de sa femme restant plat comme celui d’une jouvencelle.
Voyant que la nature ne suffisait pas à lui donner une progéniture, la femme se mit à prier aussi. Comme je vous l’ai déjà dit ci-dessus, elle n’était pas trop dévote, ou du moins elle n’était pas de celles qui priaient Dieu directement, alors vous comprendrez aisément que ce geste chez elle était une sorte d’appel à l’aide. Et en général, quand on appelle à l’aide, on ne fait pas trop attention d’où elle provient. Pourquoi ce revirement de situation ? C’est plutôt simple. Ne pas donner d’enfant à son mari pouvait être un signe de mauvaise augure pour le mariage, d’autant plus après autant de temps. Ne voulant pas voir son mariage tout simplement abrogé par l’église, la femme dut mettre de l’eau dans son vin.
Après quelques prières formulées à la destination de Dieu, elle se tourna vers de vagues oraisons, sans cible définie. Et le problème, lorsque l’on se retrouve à formuler des conjurations sans trop se soucier de qui va tomber dessus, c’est que parfois, ça atterrit dans de mauvaises oreilles. Dans de très mauvaises oreilles, d’ailleurs. Ce fut donc sans aucune surprise – pour le lecteur, parce que pour le personnage c’est pas trop la même chose – que quelque part, quelqu’un reçut le message. Quelques jours et quelques prières plus tard, un homme encapuchonné se présenta à la femme. Il se présenta comme un émissaire, délégué d’une déité qui préférait rester dans l’anonymat pour l’instant, et qui avait une proposition pour le couple. Si ils le désiraient, l’entité qu’il représentait pouvait agir. En échange de son premier enfant, l’émissaire lui promettait fécondité.
La femme fut horrifiée par la proposition, et claqua la porte au nez de l’envoyé divin. Mais ce dernier savait que la graine du doute avait été plantée dans l’esprit de la mère, et qu’en insistant, il aurait droit à cet enfant. Il revint une semaine plus tard pour se toper à un autre refus, moins virulent cependant. Ce fut donc sans surprise qu’au bout d’un mois, il arracha un « oui » qui condamnait cette famille. Dix ans. Avant de disparaître, comme dans un rêve, l’être donna le temps qu’il attendrait avant de se présenter de nouveau…
La naissance fut vécue comme un miracle par le couple. L’homme n’ayant pas la prétention de donner à son fils un nom d’ange, il se contenta donc de celui d'un poète de Cilicie, région originelle de Saint-Paul : Aratos comme Aratos de Soles, cité par l’apôtre lors de son discours aux Athéniens. L’enfant n’avait … rien de particulier, au grand soulagement de sa mère qui s’attendait peut-être à ce qu’il naisse avec des cornes, des yeux vairons, une queue de démon ou un autre signe distinctif qui menait directement au bûcher. De plus, il fut le premier d’une fratrie de pas loin d’une demi-douzaine d’enfants, pour le plus grand bonheur de leurs parents.
La mère eut une idée pour contrecarrer la funeste destinée qui attendait le garçonnet. Convainquant le père que l’enfant était une sorte de miracle, il était de bon ton de le promettre à une vie ecclésiastique. L’homme, pieux comme peu le sont, accepta sans sourciller. Troquant donc ses culottes courtes par une bure de moine, le jeune garçon se retrouva bien malgré lui, dans un monastère, proche du village. Le bâtiment ressemblait plus à une forteresse qu’à un lieu de culte, pour être honnête. Planté en haut d’une colline, il était aisé de le défendre en cas d’attaque extérieure, sans doute un légat des guerres arabo-chrétiennes de la péninsule Ibérique. Les quatre tours pointaient à une petite quinzaine de mètres de hauteur et tout le mur d’enceinte était garni de meurtrières idéalement placées. Ce lieu était dirigé d’une main de fer par le père supérieur Claudio. Homme strict et droit, il avait recueilli une ribambelle d’enfants qu’il élevait avec une rigueur quasi militaire.
L’éducation reçue par l’enfant fut principalement religieuse. Trois messes par jour, apprentissage de l’ancien et du nouveau testament, multiples prières à connaître sur le bout des doigts. Pas vraiment une vie très rigolote, si vous voulez mon avis.
Mais ce n’était pas là la seule éducation que le jeune garçon connut lors de ses premières années. En plus de travailler son esprit, il travailla son corps. Le père Claudio leur exigeait un entrainement physique éreintant. Un corps sain dans un esprit sain, ou quelque chose comme ça. Mais pourquoi entraîner des enfants qui sont destinés à devenir moines, me demanderez-vous ? Et bien c’est très simple. En cette période, l’inquisition n’avait plus trop la belle côte. Il faut avouer qu’à force de brûler des gens, on a tendance à perdre toute crédibilité. Ce fut donc dans le secret le plus complet que Rome avait décidé de fonder un nouveau bras armé. Une sorte de nouvelle armée, si vous voulez. Ce plan, fomenté et soutenu financièrement par le Vatican, était la raison de sa présence dans cette région écartée de l’Espagne. La région était plutôt pauvre et très pratiquante. Un lieu parfait pour s’atteler à cette tâche, en somme.
Malgré un emploi du temps chargé, les jeunes garçons avaient parfois le droit à un peu de répit. Une sorte de repos du guerrier. Après tout, le but n’était pas non plus de les tuer à la tâche, n’est-ce pas ? Lors de ces rares instants de liberté, le jeune Aratos avait l’habitude d’aller passer son temps libre près d’un grand lac, plein de poissons. Il avait toujours eu une étonnante fascination pour cette race d’animaux. Ils survivaient là où lui ne l’aurait jamais pu, et inversement. Ils étaient en bancs, mais semblaient vivre seuls. Un peu comme lui, au final.
S’il passait son temps à regarder les poissons, c’était aussi parce qu’il n’avait fondamentalement pas grand-chose d’autre à faire. Il ne prêtait pas trop attention aux jeux des autres pensionnaires du monastère, qu’il considérait comme des enfantillages. Il préférait passer son temps-là, assis face à l’eau, à réfléchir sur ce qui pouvait bien avoir poussé ses parents à le dédier à cette vie aussi monotone. Il n’était pas seul pour autant. D’autres enfants aimaient se baigner dans l’eau, perturbant parfois la méditation du jeune castillan. Ils aimaient aussi flâner pas loin de là, près de la maison de l’ermite. Ce dernier n’était pas méchant, aux dires des autres condisciples d’Aratos, mais vivait en totale autarcie, cultivant un petit potager, possédant quelques arbres fruitiers sur son terrain et pêchant probablement un peu de poisson dans le lac.
Ce fut près de ce lac que le garçon, âgé alors de six ans, vit pour la première fois l’ermite. C’était par une chaude soirée d’été. La chaleur étouffante rendait le dormoir invivable, et évidemment, dormir dans ces conditions semblait être impossible. Pourtant la plupart des garçons avaient sombré dans les bras de Morphée. Enfilant sa bure, le jeune moine décida d’aller au lac. S’il ne pouvait dormir, autant méditer. Une fois au bord du lac, il décida de reprendre un peu l’entrainement qu’il effectuait depuis quelques jours : il essayait d’attraper à main nues, depuis le rebord, un poisson quelconque. Malheureusement, la fatigue usa vite le peu de forces qu’il lui restait, et, victime d’un faux mouvement, sombra dans l’eau. S’il était bon nageur d’habitude, les handicaps cumulés du port de la bure et de la fatigue l’empêchaient de nager correctement. Il se sentit de plus, tiré vers le fond de l’eau ? Comment était-ce possible ?
C’est là, vous vous en doutez, qu’intervient l’ermite. Agé d’une soixantaine d’années, il ne doute pas une seconde pourtant à se jeter à l’eau et à en tirer notre héros. Une fois sur l’enfant déposé sur la berge, il lui somma d’aller dormir de nouveau, et ce dernier s’exécuta. Le lendemain, Aratos se présenta chez son sauveur pour le remercier… sans succès. Il semblait avoir disparu.
Si pendant dix ans, l’émissaire n’avait pas donné signe de vie, ce fut le jour même de l’anniversaire de l’enfant qu’il refit surface, comme il l’avait promis. Le père, qui n’était toujours pas au courant, ne compris pas ce que cette personne voulait de lui. Un inconnu qui demandait qu’on lui restitue Aratos ? Qu’est-ce que cela voulait bien signifier? Il n’eut pas vraiment le temps d’y réfléchir, de toute façon, un coup de poing de l’émissaire l’envoyant au tapis illico. Ce dernier n’avait pas de temps à perdre, et s’adressa donc directement à la femme. Où était l’enfant ? Cette dernière comprit vite que, ce que Dieu donne, il le reprend, et que si elle voulait garder en vie sa famille, elle allait devoir fournir la localisation de son aîné. Un sacrifice ? Elle en était capable…
L’émissaire maléfique se présenta donc rapidement au pied du monastère, alors que le soleil se couchait. Il frappa à la porte qui fut ouverte par Claudio presque immédiatement. Ce dernier, membre comme il était de l’inquisition, connaissait l’existence des armées des autres déités. Son organisation n’en était elle-même qu’une pale copie, au final. Ecoutant les revendications de l’homme face à lui, il eut quelques secondes pour réfléchir. Sa cause était plus grande et plus importante pour lui que la vie de cet enfant. Ce fut donc abandonné par sa famille, par ses amis, et par sa propre religion qu’il fut présenté au messager. L’enfant réussit pourtant, à s’échapper. Effectivement, lorsque l’homme avait tenté de le saisir par le poignet, il reçut comme une décharge. Mais comment fuir lorsque votre poursuivant va … infiniment plus vite que vous ? Facile, on ne peut pas. Du moins pas sans aide extérieure, qui ne tarda pas à se manifester, d’ailleurs.
L’ermite ? L’ermite, évidemment. Sortant plus ou moins de nulle part, il s’interposa entre les deux personnages. « J’aimerais ne pas devoir en arriver aux mains, mon ami. » lança-t-il, d’une voix ferme. Mais l’ombre ne semblait pas vouloir en rester là. L’enfant était important pour son dieu, il avait de grands projets pour lui. C’est pour cela que pour seule réponse, son adversaire ne lui adressa rien d’autre qu’une vague d’énergie, supposée tuer un être humain quelconque. Décharge à laquelle l’ermite… résista, au grand étonnement de tout le monde. Et sans attendre, ce dernier contre-attaqua aussitôt.
« MAVROU TRIPA »
Le coup envoya d’un seul coup l’être maléfique dans le domaine d'Hadès. Après quoi, le vieil homme se présenta devant les yeux médusés d’Aratos. « Mon nom est Hector, et je suis un ancien chevalier d’Athéna. » Evidemment, suite à ça quelques explications furent de rigueur, comme vous vous en doutez. L’homme lui expliqua, en plus des formalités de rigueur portant sur les dieux, le cosmos, et tutti quanti, que la chose qui était venue pour le chercher enverrait d’autres sbires. De par ce fait, il ne pouvait l’abandonner ici, car c’était synonyme d’une condamnation à mort et qu’il n’était pas le type de personnes à éliminer sans fléchir un enfant innocent.
Comme vous vous en doutez, l’entrainement ne fut pas une partie de plaisir. Si Aratos était pourtant un élève appliqué, Hector n’en restait pas moins un maître exigeant. Les exercices étaient à la fois physiques et mentaux. Dans un premier temps, Aratos du découvrir et comprendre comment maîtriser son élément. Il s’agissait de l’eau. Manque de chance, ce n’était pas le même que celui d’Hector. Ce qui leur compliqua quelque peu la tache.
Au bout d’un an, certains exercices, compliqués pour l’enfant au début semblaient évidents. Par exemple, marcher sur l’eau ou bien la maintenir sous une forme de sphère dans sa main sans qu’elle ne s’écoule. D’autres, par contre, furent plus compliqués à maîtriser, par exemple utiliser son cosmos pour réussir à respirer sous l’eau.
Cinq ans plus tard, l’enfant était devenu un adolescent, et était prêt. Après six ans d’entrainements, et de petites missions pendant lesquelles il secondait sont maître, ce dernier le jugea apte à s’attaquer à son ultime épreuve, à un détail près. Ni l’un, ni l’autre, ne savaient quelle était la constellation protectrice de l’apprenti, ce qui était plutôt problématique. C’est pourquoi Hector décida d’aller voir un Oracle. Après un long voyage, ce dernier ne put leur répondre que par une phrase. « La tête en bas. »
Si cela n’apportait rien au raisonnement d’Aratos, c’était devenu clair pour son maître. Dans la mythologie, on raconte que pour éviter le déluge du à l’écoulement constant de la jarre des gémeaux, les dieux mirent dans le ciel un poisson tête en bas, proche du courant. Ce poisson avait l’incroyable pouvoir de pouvoir assimiler l’eau sans aucune limite, sa soif étant comme le cours d’eau, inépuisable. Il sut alors où aller pour que le jeune homme puisse affronter son destin.
Au bord de la Grèce, la Fosse de Calypso, au large de Pilos, côte Ouest du Péloponnèse. L’épreuve consistait à descendre au fond de la fosse, à plus de cinq mille mètres de profondeur, et d’en remonter l’armure. Située à une telle profondeur, seul un homme au cœur pur et maîtrisant le cosmos serait capable de la trouver.
Aratos plongea et amorça la descente. Comme pendant son entrainement, il utilisa son cosmos pour réussir à respirer sous l’eau. Mais ce n’était pas tout. Il était devait aussi lutter face à la pression. Comme vous le savez, celle-ci augmentait d’un bar tous les dix mètres … et on parle d’une expédition à plus de cinq mille mètres… Il devait déployer tout son cosmos pour ne pas finir écrasé par le poids de la mer. Au bout d’un certain temps, il comprit qu’il ne pouvait plus descendre, il avait touché le fond… Le fond de la mer. Incroyable mais pourtant vrai. Ce qu’il n’avait pas prévu, par contre, c’était de se retrouver totalement aveugle. Les conditions étaient terribles, et évidemment l’obscurité régnait en maître en ces lieux. Il eut cependant une idée. S’il pouvait utiliser son cosmos pour envoyer un peu d’énergie sur les reliefs, peut-être pourrait en avoir un aperçu de ce dernier ? L’idée semblait fonctionner… Rapidement, il réussit à localiser une boîte métallique gigantesque. C’était forcément ça !
Évidemment, elle était prise au piège dans l’énorme paroi rocheuse de la faille, et forcément, il n’allait pas pouvoir la sortir de là si facilement. Une seule possibilité, il devait faire appel à son cosmos, une dernière fois, mais le tout en maintenant la pression interne de son corps, et sans oublier de lui permettre de respirer sous l’eau… Il devait puiser une dernière dans son cosmos, mais les réserves étaient presque vides.
Il comprit vite qu’il ne pouvait échouer sans y laisser la vie. Aratos fit alors exploser son cosmos, et perdit la conscience, accroché à cette boite gigantesque et métallique… pour se réveiller, un goût de sel dans la bouche. Il portait l’armure, cette armure qui l’avait sans doute sauvé de la noyade. Qui l’avait sauvé d’une mort certaine et probablement pas pour la dernière fois.
L’armure du Poisson Austral. Le Bien ou le Mal? Peut-on réellement choisir le bien ou le mal en tout possession de nos moyens ? A vrai dire, pour Aratos, le bien et le mal n'existent pas, ce sont des concepts biaisés par l'expérience, l'histoire, le camp choisi. Au final il ne s'agit que d'un point de vue totalement subjectif dépendant de la personne qui observe. Ce qui est important pour le jeune chevalier est de reste juste et de continuer à suivre ses préceptes, quels qu'ils soient. Trahir sa vraie nature est bien plus inquiétant que de choisir un camp.© Never-Utopia
Dernière édition par Aratos le Jeu 23 Mai 2013 - 1:05, édité 5 fois |
| | | Milan Sethni Chevalier d'or du Capricorne
| | | | Niké Rôle : Déesse de la Victoire Messages : 6513 | Sujet: Re: Aratos, Chevalier de Bronze du Poisson Asutral Mer 15 Mai 2013 - 11:54 | |
| Bienvenue parmi nous. |
| | | Wellan Rôle : Bronze Saint Messages : 79 | Sujet: Re: Aratos, Chevalier de Bronze du Poisson Asutral Mer 15 Mai 2013 - 12:49 | |
| En effet comme tu l'as dit sur la Chatbox ton armure sort de l'ordinaire bienvenue ! ----------------------------------------Prends garde à la chaîne nébulaire ... |
| | | Poséidon 2 | Sujet: Re: Aratos, Chevalier de Bronze du Poisson Asutral Mer 15 Mai 2013 - 13:22 | |
| Pfff le poisson austral... Comment tu voulais qu'on trouve si l'armure était même pas dans la liste des Bronze hein ? Ah tu nous as bien eus là... *lui tire les oreilles* Quelle honte de voir un poisson chez Athéna ! Je vous jure, ces saints n'ont pas la tête sur les épaules ! Bon, et sinon bienvenue ----------------------------------------Ma fiche ~Mon carnet de voyages poussiéreux" Poséidon, empereur du silence, mémoire de civilisations perdues. Dominé par une colère inextinguible." Je suis le dieu Poséidon, le général Silister, Galaad de Kraken, Fallanster de l'Hippocampe, Daerval de la Sirène maléfique, Aventer de Scylla et Simbad de Scylla. |
| | | Altia Verana Grand Pope
Rôle : Grand Pope et représentant terrestre d'Athéna Messages : 5733 | Sujet: Re: Aratos, Chevalier de Bronze du Poisson Asutral Mer 15 Mai 2013 - 13:27 | |
| Poséidon: Bah, et Chico, t'en fais quoi ? Sinon, bienvenue à toi ! ---------------------------------------- |
| | | Niké Rôle : Déesse de la Victoire Messages : 6513 | Sujet: Re: Aratos, Chevalier de Bronze du Poisson Asutral Mer 15 Mai 2013 - 13:54 | |
| - Citation :
- Quelle honte de voir un poisson chez Athéna ! Je vous jure, ces saints n'ont pas la tête sur les épaules !
Doucement Popo !!! On va pas être copains tous les deux. |
| | | Kiko Rôle : Te les geler... Messages : 255 | Sujet: Re: Aratos, Chevalier de Bronze du Poisson Asutral Mer 15 Mai 2013 - 16:32 | |
| Un espagnol ? Ou juste pour l'histoire ^^ ? En tout cas bienvenue chevalier ! :) ----------------------------------------As-tu déjà ressenti le Zéro Absolu ? |
| | | Aratos Spectre du Balrog de l'Etoile Céleste du Talent
| Sujet: Re: Aratos, Chevalier de Bronze du Poisson Asutral Mer 15 Mai 2013 - 16:34 | |
| Pas que pour l'histoire non . Et merci à tous pour l'accueil ---------------------------------------- |
| | | Lenalee Spectre de la Vouivre de l'étoile Céleste de l'Innocence
| | | | Pandore Thuban | Sujet: Re: Aratos, Chevalier de Bronze du Poisson Asutral Mer 15 Mai 2013 - 17:55 | |
| ----------------------------------------Pandore, personnalité médiane Sem-Thre, la Justice Tsouréki, la Charitéའཁྲིག་པའི་གྱམ།གི།སེམས་འཁྲལ༑ |
| | | Kurayami Membre d'Or
Rôle : Loup Solitaire Messages : 2688 | Sujet: Re: Aratos, Chevalier de Bronze du Poisson Asutral Mer 15 Mai 2013 - 18:57 | |
| Je te souhaite la bienvenue sur le forum !! J'espère que tu t'amuseras bien et que tu passeras de bons moments parmi nous !! :) Ah et très chouette histoire très fluide et vraiment bien écrite je trouve ----------------------------------------Merci à Elyn :3 |
| | | Kazuki Membre d'Or
| Sujet: Re: Aratos, Chevalier de Bronze du Poisson Asutral Mer 15 Mai 2013 - 19:28 | |
| |
| | | Poséidon 2 | Sujet: Re: Aratos, Chevalier de Bronze du Poisson Asutral Mer 15 Mai 2013 - 21:36 | |
| Mais non Chico, toi tu es le représentant officiel de la puissance océanique sur le sol saint \o/ Autrement dit je peux toujours argumenter que j'ai réussi à introduire un espion dans le plus haut rang de la chevalerie athénienne T'es une exception (surtout si tu arbores l'avatar d'Albafica, ta signature me fait baver chaque fois) ----------------------------------------Ma fiche ~Mon carnet de voyages poussiéreux" Poséidon, empereur du silence, mémoire de civilisations perdues. Dominé par une colère inextinguible." Je suis le dieu Poséidon, le général Silister, Galaad de Kraken, Fallanster de l'Hippocampe, Daerval de la Sirène maléfique, Aventer de Scylla et Simbad de Scylla. |
| | | Caelan | Sujet: Re: Aratos, Chevalier de Bronze du Poisson Asutral Mer 15 Mai 2013 - 22:40 | |
| Bienvenue sur le forum ^^. ---------------------------------------- |
| | | Ahina Déesse de la sagesse et de la guerre
Rôle : Staff Messages : 13798 | Sujet: Re: Aratos, Chevalier de Bronze du Poisson Asutral Jeu 16 Mai 2013 - 0:08 | |
| - Poséidon a écrit:
Quelle honte de voir un poisson chez Athéna ! Je vous jure, ces saints n'ont pas la tête sur les épaules !
*lui met un coup de pied au derrière* T'es jamais contente toi ! Arrêtes de ronchonner tonton Poisson Austral ! Punaise je me découvre de nouveaux chevaliers tous les jours Bienvenue parmi nous |
| | | Kiko Rôle : Te les geler... Messages : 255 | | | | Poséidon 2 | Sujet: Re: Aratos, Chevalier de Bronze du Poisson Asutral Jeu 16 Mai 2013 - 13:20 | |
| Attends, je rêve ou ma nièce vient de me frapper ?
*Lance un ouragan sur le Sanctuaire*
Namhéo, je t'ai rien demandé à toi è_é A part Athènes. Et la Terre.
*Va chercher Andromède et l'attache nu à un rocher en attendant que Liam déchaîne le Kraken*
(Note : Je dis nu parce que dans le mythe d'Andromède, elle n'a que des bijoux sur elle lorsque le Kraken vient la manger. Ne me prenez pas pour un obsédé surtout.) ----------------------------------------Ma fiche ~Mon carnet de voyages poussiéreux" Poséidon, empereur du silence, mémoire de civilisations perdues. Dominé par une colère inextinguible." Je suis le dieu Poséidon, le général Silister, Galaad de Kraken, Fallanster de l'Hippocampe, Daerval de la Sirène maléfique, Aventer de Scylla et Simbad de Scylla. |
| | | Biscione Membre d'Or
Rôle : Admin
Messages : 19449 | Sujet: Re: Aratos, Chevalier de Bronze du Poisson Asutral Ven 17 Mai 2013 - 14:23 | |
| Présentation validée ^^
Je te donne tes accès tout de suite et encore bienvenue sur le forum ^^ ----------------------------------------Qui s'y frotte, s'y pique !
Merci à mon grand'papy pour cette magnifique signature - Spoiler:
- Spoiler:
|
| | | Aratos Spectre du Balrog de l'Etoile Céleste du Talent
| Sujet: Re: Aratos, Chevalier de Bronze du Poisson Asutral Ven 17 Mai 2013 - 15:40 | |
| ---------------------------------------- |
| | | Thanatos Dieu de la Mort
Rôle : Fondateur Messages : 19384 | | | | Contenu sponsorisé | Sujet: Re: Aratos, Chevalier de Bronze du Poisson Asutral | |
| |
| | | | Aratos, Chevalier de Bronze du Poisson Asutral | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|