RASTABAN
« Athéna »
¤ Je suis né(e) un... jour inconnue ¤ Dans le pays... Jordanie ¤ L'Armure que je porte... Scorpion ¤ Mon élément de base... Mort ¤ Mes vertus... Loyal, bienveillant, généreux ¤ Mes mauvais côtés... Taciturne, cynique
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VOTRE HISTOIRE
Dans le désert de Jordanie un clan règne sans partage; on le nomme "les étoiles filantes" car très rapide, très mobiles ces hommes s'étaient rendus redoutables a travers les contrées désertiques. Ce clan possédait une forteresse perdue au milieu de grottes a l'orée du désert. C'est là que naquit Rastaban, il était le seul fils du chef du clan des étoiles filantes et dés lors son héritier, amené a prendre la tête du clan et contrôler ses richesse amassées au fil des années, au fil des commerces et attaques de caravanes. Et, comme souvent dans les héritages de pouvoir et de richesse il y avait autour du jeune Rastaban de la jalousie; en effet il avait des oncles et des tantes qui, tandis que le garçon grandissait, ourdissaient de plus en plus clairement des projets pour se débarrasser du jeune héritier. Ce dernier ne se doutait absolument pas de tout cela, en outre il ne se montrait pas arrogant, présomptueux comme peuvent l' être les jeunes héritiers de la sorte..... Rastaban est certes protégé, ménagé par son père et le clan, mais dans le même temps il est préparé a la rudesse du climat désertique, entrainé a se battre, a résisté physiquement. Il grandit dans une forme d’insouciance et de sérénité tandis que ses oncles et tantes le servent avec hypocrisie car ils attendent, ils guettent la moindre opportunité de l'éliminer. Ils se rencontraient parfois ensemble pour comploter.
Une occasion se présenta alors que Rastaban, pour la première fois, devait partir au combat avec le clan et ceci avec ses oncles et sans son père! une occasion idéale pour se débarrasser du jeune fils du chef afin de pouvoir se disputer l'héritage du clan par la suite. Rastaban, lui, partait en toute confiance, il aimait sa famille et ne se doutait de rien. Le combat s'engagea avec une caravane que les étoiles filantes voutait voler. Le combat tourna a l'avantage du clan agresseur et Rastaban prenait sa part avec ardeur a la lutte. Soudain un violent coup a l'arrière du crane, il s'effondre, inerte. Un oncle va pour achever le jeune garçon mais un cri l’arrête soudain: une des tantes , venue prendre part a l'escouade, s'écria de ne pas tuer Rastaban, que son meurtre amènerait la malédiction sur son clan. Il fut suggéré alors de le perdre dans le désert; en effet, bien que formé aux rudesses du désert il était jugé trop jeune pour retrouver son chemin s'il se perdait dans les sables. C'est ce que la famille fit : elle prétexta la mort du jeune Rastaban et on l'emmena a l'insu de tous, inanimé, au milieu du désert. De retour auprès de leur chef les membres de la famille, jouant les oncles et tantes éplorés, prétendirent a son père que Rastaban, avec l'inconscience de son jeune age, s'était élancé sans raison un peur trop en avant dans le combat et avait été tué sans que personne ne puisse intervenir pour l’empêcher. Le pauvre père ploya sous le poids de la terrible nouvelle et se retira. Il ne fut jamais le même par la suite, affecté au plus profond de l’âme par la disparition tragique de son seul fils tandis que le reste de la famille se réjouissait de leur forfait.
Rastaban, bien vivant, s'éveilla quelques heures après avoir été assommé, et se retrouva seul, perdu au milieu du désert. Il demeura un temps en proie a la tristesse , a une forme de crainte: que s'était il passé? Que faire? Après quelques émois il reprit courage, réfléchissant a sa situation il décida de se mettre en marche, conscient qu'il ne pouvait pas rester immobile trop longtemps au cœur du désert. Il regarda la ciel, se souvenant de quelques leçons apprises sur la façon de se repérer grâce aux étoiles Il y avait cet horizon , cette vision morne a perte de vue qui pouvait terrifier n'importe qui perdu dans ces lieux, y compris un jeune garçon né dans cet environnement. Mais Rastaban marcha, ne sachant pas trop ou se rendre , quelle direction prendre, car il ne savait pas s'il pouvait même retrouver le chemin du repaire du clan; et puis il lui semblait, au plus profond de lui, que de toutes les façons il ne fallait pas retrouver les siens, il fallait rester en vie avant tout peu importe dans quelle direction. Et c'est ainsi que le jeune garçon erra dans le désert, survivant sans trop savoir comment, prenant a chaque instant son courage a deux mains en tentant de songer que, au bout de cette errance il retrouverait sans doute son père, sa mère....il ne perdait pas des yeux la seule boussole que le désert lui offrait: le ciel et les étoiles et il lui semblait parfois, a force de le scruter, de le guetter, que les étoiles le guidaient effectivement et lui montrait le chemin, motivées par le désir de quelque destin que devait le maintenir en vie. Les heures passèrent ainsi, les jours, les mois....en vérité le jeune homme ne mesurait plus trop le temps; son seul objectif de se maintenir en vie et de trouver une issue a cette situation dramatique qui était la sienne lui faisait oublier le reste. Il survivait de l'eau qu'il pouvait trouver, glaner des caravanes généreuses. Il devenait un ermite, malgré lui, s’endurcissait physiquement et psychologiquement a son insu pour l'essentiel.
Un jour Rastaban parvint jusqu’à un point central dans le désert: un puit ou venait s'abreuver les caravanes, les nomades, les bergers.....il réussit a boire en puisant un bon seau dans le puits. Il décida ensuite de se reposer avant de reprendre sa marche, d'observer d’éventuels personnes généreuses qui pourrait l'aider. Il pouvait aussi épier, entendre les conversations autour de ce puits. Une jeune bergère s'approcha du puits et s’apprêtait a puiser lorsque brusquement des hommes l'interrompirent,l'écartant violemment ils s'emparèrent du seau que la bergère venait du puiser et burent toute l'eau. Rastaban ressentit une rage sourde face a cette injustice, a ce comportement détestable et il s'avança au devant des hommes, lançant
Misérable qui êtes vous pour traiter les autres de la sorte!Les hommes posèrent les yeux sur cet intrus qui les interpelait, puis, se regardant l'un l'autre ils éclatèrent de rire et l’un d'eux s'approcha de Rastaban et le jeta littéralement sur le sol
Mêles toi de tes affaites étranger!Le jeune homme se releva lentement tandis que les hommes, fiers de leur forfait riaient aux éclats et s'en retournaient . Rastaban , armé de son bâton dont il se servait pour aider sa progression, tapa du doigt sur l'épaule d'un des hommes, dans son dos. L'homme se retourna dans un juron et reçut un violent coup de bâton. Avant de pouvoir se rendre compte de sa douleur, Rastaban, l'auteur de ce coup, enchaina en balayant les jambes de sa victime avant de lui asséner un nouveau coup au visage. Cette action fut vive et rapide, il leva les yeux vers les deux autres hommes qui se regardaient avec stupeur . Rastaban les fixait du regard, sans un mot. Soudain les deux hommes se précipitent ensemble sur le jeune homme qui avec une souplesse et une vivacité étonnante assomma les deux assaillants en quelques coups de bâtons assénés avec force et précision. Les trois hommes gisant au sol , Rastaban jeta un regard alentour, puis il entreprit de puiser un seau d'eau au puits et le donna a la bergère qui avait assister sans un mot a cet épisode. Après cela il adressa un sourire a la jeune fille et s'en alla. Soudain , quelques mètres plus loin , une voix interrompit Rastaban dans sa progression
Jeune homme! lança une voix âgée
Rastaban s’arrêta et se tourna vers l'origine de la voix pour voir un petit homme trapu, un peu rondelet mais dont les yeux , le regard était vif, étrange, quasi magnétique. De ce vieillard émanait un charisme singulier. Rastaban interrogea
Qui es tu? Que me veux tu?Mog, je me nomme Mog répondit le vieil homme avec un grand sourire,
ce que je te veux? .... je veuc t'aider a accomplir ta destinée Rastabain
Le jeune homme resta un court instant interdit
Tu connais mon nom? Et bien d'autres choses. Je viens de voir ce que tu viens de faire a ces hommes....et j'ai été convaincu dés lors que tu es la personne que je cherche
Que je cherche? Mog considéra le jeune homme qui demeurait immobile, ne comprenant guère ce qui se passait
Rassures toi, tu sauras tout en temps voulu; fais moi confiance, je te demande de me suivre si tu veux accomplir ton destin....mais tu peux refuser évidemment et poursuivre ton errance dans le désert.... a toi de déciderAyant dit cela Mog tourna les talons et s'éloigna. Rastaban lui était en proie au doute: suivre cet inconnu qui semblait en connaitre beaucoup sur lui? faire confiance? ou bien oublier tout cela et en effet poursuivre son chemin sans but précis. Brusquement le jeune homme se précipita vers Mog dont la silhouette s'éloignait de plus en plus au loin dans le sable.Celui ci sentant Rastaban s'approcher arbora un sourire satisfait et poursuivit sa route. Les deux hommes atteignirent bientôt une grotte qui semblait perdue la, creusée on ne sait comment dans un sable un peu plus consistant. Mog invita le jeune homme a entrer
Voici ta nouvelle demeure pour un temps mon jeune amiRastabant jeta un regard perplexe avant de pénétrer dans la grotte.
Celle ci s'avéra accueillante, plutot vaste, bien éclairée par des torches et s'enfoncant plus profondément a travers un réseau de galeries. Mog entreprit d'expliquer a Rastaban ce qu'il attendait de lui, expliquant ainsi bientot la notion de cosmos, les conflits entre les dieux....Rastaban au début demeura incrédule se contenta de profiter de ce logis qui, après tout a défaut d'autre chose, lui convenait parfaitement. Après quelques jours le jeune homme devint convaincu, intneressé, motivé par le vieil homme et celui ci entreprit de passer a l'entrainement physique de son jeune disciple.Ainsi Rastaban fut il soumis a un entrainement très dur au coeur de cette grotte, parfois dans le désert, dans des conditions terribles, exigentes..... le jeune homme se plia sans broncher a ce traitement et suivit le consignes: courses,marches pénibles, épreuves de vitesse et de dexterité.... rien ne fut épargner a Rastaban. Mog l'observait, ne lui faisait que peu de remontrances . Chaque soir, après cet entrainement harassant Mog poursuivait ses explications sur le monde des dieux, effleurant le récit de sa propre histoire. Rastaban écoutait, n'interrogeant pas, trop fatigué souvent pour esquisser la moindre syllabe.Mog, un jour, fit démonstration de ce qu'était le cosmos, le matérialisant dans sa main sous le regard médusé de son disciple
Tu maitriseras ceci toi aussi et mieux que moi, Rastaban, cette énergie est une partie de ton destin, une fois que tu en auras appris et maitrisé parfaitement les usages; alors tu pourras te dire que le temps du départ sera venue et qu'une nouvelle étape t'attend, celle ou tu devrais te confronter a ton passé, ce passé qui t'a échappé a un moment donné. A ce moment viendra ce choix décisif que tu devras faire, tu connaitras cet instant, cet instant ou tu devrais choisir ta voieRastaban allait pour une fois interroger le vieil homme mais celui ci fit un geste de la main avec un sourire
Mais ce moment n'est pas encore arrivé, je te le dirai alorsRastaban hocha la tete et ainsi se poursuivit l'entrainement du jeune homme: ainsi que son errance dans le désert, il ne savait pas combien de jours, combien de mois, car, comme lors de son chemin dans l'inconnu il gardait un objectif et semblait motiver quoiqu'il arrive par un destin que Mog confirmait chaque jour dans ses propos. Par la suite l'entrainement accède a un niveau supérieur ou Rastaban va etre véritablement et concretement initié a son pouvoir et savoir explioiter son potentiel cosmique. Celui ci sera tellement intensie que Mog mettra son disciple sous une foirme d'hypnose, de létargie consciente durant laquelle il enseigne la partie la plus dangereuse et la plus mysterieuse de son entrainement. Rastaban ne se souvient donc pas et ne pourra jamais se souvneir de ce mystère, mais un beau soir, après une nouvelle séance, Mog annonce avec un sourire a son élève
Tu es pret! A présent je vais te donner le secret ultime de ton destin qui va te mener a la suite du chemin. Tu te souviens de ton errance dans le désert? Tu t'es repéré grâce aux étoiles pour évoluer n'est ce pas? Quelle étoile as tu scruté en particulier pour ce faire?L'étoile du berger répondit machinalement Rastaban
Et tu as eu raison, seulement.... A tes yeux dans le ciel ce n'est pas l'étoile du berger qui brille le plus et qui guide tes pas..... c'est Antarès!Rastaban écarquilla les yeux
Eh oui mon garçon, tes pas sont guidés par Antarès, la constellation du Scorpion.... c'est elle qui régit ton destin et depuis le débuit de ta vie. Je n'ai pas le temps de t'expliquer en détail de ce mystère tu dois juste savoir qu'au plus profond de de cette grotte, au fond de la galerie du nord la plus profonde....le scorpion t'attend. Rastaban reste un instant face a son maitre, les yeux pleins de questions, d'émotion. Mog fait signe a son disciple de se rendre dans la galerie et le jeune homme s’exécute. Il connait a présent parfaitement la grotte mais ne s'est jamais aventuré, en conscience, dans la galerie du nord qui s'enfonce profondément dans le sol et dans la pénombre. Rastaban n'hésite pas, se précipite malgré le chemin étroit et sombre, il butte, chancèle, se relève....soudain il débouche dans une alcôve, éclairée elle, légèrement et ce par un cube d'or qui semble posé au centre de l’alcôve, un or étincelant qui éblouit le jeune homme. Soudain le cube semble s’ouvrir d'un coup et une forme en sort, s'elevant légerment dans les airs: un scorpion en or, et soudain tout fait sens, d'un coup, dans l'esprit de Rastaban: Mog lui a en effet parlé de ces chevaliers parés d'or qui protègent la paix et la terre.... ces armures représentant les constellations du zodiaque. Rastaban murmura alors
An....tarèsBrusquement alors le scorpion d'or en un instant se disloqua et se posa sur le corps du jeune homme qui n'esquissa aucun mouvement.. Après quelques instants de stupeur et une forme d'émerveillement, le jeune scorpion retourne auprès de son maitre qui l'accueille avec un sourire et un hochement de tête satisfait avant de reprendre assez vite un air grave
A présent il est temps pour toi de te confronter a ton passer, étape essentielle pour ton évolution. Tu n'as pas besoin de ton armure pour cela; va, tu reviendras la récupérer ensuite. Rastaban s'empresse d'obéir et s'élance en direction de la région qui l'a vu grandir, en direction du repaire de son clan.Il n'a étrangement nul besoin de repère, tout ses pas sont calculés, rapides et déterminés. Il ne lui faut que quelques jours pour atteindre le palais de son enfance. De l’extérieur la bâtisse n'a pas changée, mais Rastaban se rend compte immédiatement que le palais n'est plus dominé par sa famille; de nouveaux gardes, de nouvelles armes, de nouvelles couleurs.....Arrivé a l'entrée il entreprend de passer pour un riche marchand et de rencontrer le maitre des lieux qui n'est plus son père: Après quelques instants de conversation,le jeune homme apprend en effet que son clan a été vaincu et sa domination réduite a néant jusqu'au palais qui a été pris par le nouveau "propriétaire", un voleur cupide et vulgaire et sa bande de guerriers sauvages. Il apprend en outre que des membres de sa famille sont encore prisonniers dans le palais et qu'il pourra les voir le soir même lors d'un banquet auquel il est invité. Rastaban attend donc le soir, patiemment, il replonge dans le passé de ces murs, dans son enfance. Le maitre des lieux vient a lui apprendre que l'ancien chef du clan a été succédé par ses frères et sœurs car il n'avait pas d'enfant: Rastaban ne réagit pas mais comprit que ses oncles l'ont effacé de l'histoire et sont dés lors responsable de son malheur passé. Mais il ne dit rien et attend de les voir le soir venant. Ainsi arriva le banquet et la maitre des lieux, comme promis, amena ses prisonniers pour les exhiber fièrement a son invité. Rastaban aperçut ainsi ce qu'il restait de sa famille, enchainé et maltraité.... il ne put guère cacher son émotion et eut un élan vers l'oncle et la tante qui restaient vivant, les reliquats de sa gloire passé. Ces derniers le virent et le reconnurent; son oncle cria son nom; sa tante commença a pleurer tandis que le jeune homme se tenait non loin d'eux et les toisait. Son hôte lança
Tiens, il semble qu'ils te connaissent.... qui es tu donc?Rastaban répondit sans quitter sa famille des yeux
Je suis Rastaban, seul héritier des étoiles filantes, trompé par sa propre famille!Un rire sourd accueillit cette réponse et le maitre des lieux reprit
Eh bien, Rastaban, je t'offre de te venger , tiens prend ce sabre et exécute ces prisonniers, ils ne me sont d'aucune utilité de toutes les façons....allez fais toi plaisirPuis le tintement d'un sabre jeté au sol résonna dans tout le palais, atterrissant aux pieds de Rastaban. Ce dernier fixait toujours son oncle et sa tante, fixait son passé et sa déchéance. Lentement il se pencha et ramassa le sabre sans quitter des yeux sa famille. Son oncle ne supplia pas, sa tante elle suppliait des yeux d’où des larmes coulaient
Vas yhurla -t-on dans le dos du jeune homme qui brusquement brandit le sabre, a cet instant un cri déchirant le fit s’arrêter net : ce cri il le reconnu, il l'avait entendu des années auparavant, il y a longtemps; ce cri qui lui avait sauvé la vie jadis; ce cri lui fit se souvenir aussi des paroles de son maitre sur le choix qu'il aurait a faire et Rastaban comprit que ce choix était celui de la vie ou de la mort, ce choix tenait dans sa main. Aussi lança t il le sabre qui retomba lourdement dans un bruit sourd, glaçant sur le sol. Rastaban laissa échapper une larme en posant ses yeux sur sa tante qui lui avait sauvé la vie, a cet instant le maitre des lieux hurla
lâche! emparez vous de lui il va rejoindre sa famille!Aussitôt des hommes se précipitent sur Rastaban, celui ce esquisse un sourire en coin car en un instant il mit les assaillants hors de combat a mains nues sans que l'assistance ne comprit vraiment ce qui s'était passé. Puis le jeune homme se dirigea vers celui qui avait prit la place de son père
Tu vas quitter ce monde , ce palais est celui de ma famille, ru n'as pas le droit d'en faire ta demeureSon interlocuteur n'eut pas le temps de répondre, Rastaban avait appuyé deux doigts sur son front ce qui sembla plonger instantanément le chef de clan dans une douleur intense qui le fit s'effondrer inconscient en quelques secondes. Cet incident fit s’égayer l'assistance en tout sens. Rastaban libéra les siens et dit a sa tante de reprendre ce qui avait appartenu a son père, sans pour autant poser les yeux sur son oncle qui ne dit mot.
Rastaban, comme prévu, revint vers son maitre et , récupérant l'armure du scorpion revenue dans son coffre d'or il salua son maitre avec émotion
Mon destin m'appelle maitre Mog, je vous remercie de tout coeur de m'avoir aider et avoir fait de moi ce que je suis. Je reviendrai vers vous n'en doutez pasMog hocha la tête, les yeux clos
Rends toi sans tarder en Grèce, au sanctuaire pour y prendre ta place dit il la voix quelque peu étreinte par l'émotionRastaban acquiesça et s'élança en direction de la Grèce, en direction de son nouveau destin.
A suivre....
MES INFOS +
De part son parcours Rastaban a connu le meilleur et le pire des relations humaines: presque vénéré il fut trahis, rejeté.... il en a développé une méfiance face a autrui et un pessimisme initiale face aux premières rencontres. Il garde cependant un cœur ardent comme le soleil du désert ou il a erré et vécu. Il ne supporte pas la violence gratuite, le mensonge, la corruption... qui ont marqués sa propre vie. Il a un regard perçant, qui semble sonder les âmes, une aura étrange . On peut en outre le croire sournois, arborant parfois un sourire malicieux , tout cela indiquant pourquoi on le nomma Rastaban: "tête de Serpent' . Or toute cette attitude cette posture sont autant de bouclier pour masquer sa bienveillance profonde qu'il a parfois pris lui même pour de la faiblesse. Il se montre ainsi souvent solitaire, taciturne. Il a le soucis de la loyauté du cœur, au mépris parfois de la raison.
¤ Votre avatar : Rei (Hokuto no Ken) ¤ Avez-vous pensé à lire et signer les règles ? Oui ¤ Le mot de la fin ? See ya !
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