Sujet: [Retour] Eyros, Cardinal de la Terreur [En cours] Mar 7 Juil 2015 - 13:02
Eyros
Cardinal de la Terreur
Avatar : Berserker // Fate/Zero
Bats-toi avec honneur !
¤ Je rejoins les forces de Arès ¤ Mon élément de base sera l'Ombre ¤ Je suis principalement froid, plein de rage, avide d'affrontement. ¤ Mes origines trouvent leur source en Angleterre ¤ Je suis âgé de 25 ans ¤ Je considère les vrais guerriers ¤ Je ne considère pas la lâcheté
Honneur, courage, fidélité, froideur. Voilà les quatre mots qualifiant parfaitement le Cardinal. Bras armé de la Terreur, Eyros porte un intérêt plus que prononcé pour les affrontements, bien qu'il représente la Terreur, il l'utilise que très peu, et lors d'affrontements à la régulière. Il combat à la manière des chevaliers, avec honneur et courage. Il ne porte jamais de coups dans le dos, et n'utilise jamais les faiblesses psychologiques d'un adversaire ayant les mêmes valeurs que lui. A contrario, il aura tendance à détester les lâches qui se servent de coups bas pour vaincre et par conséquant, il ne respectera lui non plus aucune règle et cherchera à les massacrer par tout les moyens nécessaire.
Hors des conflits, Eyros est un personnage pour le moins atypique, avec ses camarades, il ne parlera pas beaucoup, plaçant ses phrases uniquement lorsqu'il aura besoin de le dire. Certains pourront le voir comme étant renfermé, et bien ils auront raison, le Berserker ne fait pas ami-ami même avec ces frères d'armes, il les respecte uniquement par leur faits d'armes. Mais au-delà de ça, il ne partage aucun lien réel
Il ne supportera que très peu le manquement aux ordres venant d'Arès ou de ses fils. Si un membre de son régiment commet une faute grave, le dirigeant du régiment mettra un point d'honneur à corriger le guerrier en question.
Psychologie
Le jeune Eyros eut une enfance normale, sans tracas, sans soucis notables. Sa mère s'occupait de lui conjointement avec son grand père tandis que le père travaillait dans les champs, fournissant nourriture à la petite famille heureuse, une vie simple et sans problèmes.
Alors que l'enfant passa le cap des huit ans, une tragédie se déroula dans les champs. De trop fortes intempéries avaient balayés les cultures du père du grec. Ainsi, sans argent et sans nourriture, ils subsistèrent tant bien que mal. Malheureusement le vieux grand-père décéda en premier. Les deux parents, voulant éviter que leur fils périsse si jeune; décidèrent de se séparer de lui à contrecœur en envoyant le jeune garçon chez sa tante, une jeune femme ayant épousé un riche Anglais. La bas, le couple parental savait qu'il vivrait heureux et sans les tracas du manque de nourriture.
Mais, ce fut différent, une fois arrivé à Londres, sa vie dans la capitale ne fut pas toute belle, il dut se confronter à pleins de soucis. A commencer par sa nouvelle famille, une tante, un oncle, et une "sœur"; Eyros eut un mal fou à s'y habituer, la vie était nettement différente, et cela engendrait un inconfort pour lui. D'autant plus que son oncle ne l'aimait pas, et se privait pas de lui faire sentir; invoquant tous les prétextes pour le punir, le railler. Il eut toutefois la possibilité d'intégrer une école prestigieuse du milieu londonien, mais le jeune garçon avait beaucoup de difficultés à s'intégrer là-bas. Ses camarades ne manquaient pas de lui rappeler qu'à la base, ce n'était qu'un fils des champs.
Bien que cette situation était dur à vivre pour lui, Eyros pouvait trouver du réconfort auprès de sa préceptrice qui prenait soin de lui comme de son propre fils, même si cela lui attirait les foudres de son époux; ainsi qu'auprès d'Alice, sa cousine.
Ainsi Eyros put vivre correctement, bien que ses parents lui manquent énormément, il parvenait à en faire abstraction avec beaucoup de peine. Le jeune anglais était tout de même impulsif et très réceptif vis-à-vis des autres, n'hésitant jamais à se défendre, lui ou bien Alice. Il se faisait que très peu d'ami, mais ne s'en soucier guère. Il vivat ainsi pendant pas mal d'années or tout se mit à basculer à partir de 15 ans...
En effet, la situation avait beaucoup changé pour Eyros, beaucoup de bouleversements en tous genres, ainsi il avait découvert les légendes concernant les dieux grecs, plus particulièrement celles d'Arès, le dieu de la Guerre et de la violence. Son père était contre toutes ces légendes farfelues et dès qu’Eyros en lisait chez lui, il devait immédiatement arrêter lorsque son oncle lui disait.
Mais un jour, il y’eut un vrai problème qui changea Eyros progressivement. Avec Alice, il avait développé une complicité très importante, à un tel point qu’il s’aimait, bien que c’était contraire aux préceptes moraux. Cet amour fut tenu secret, le père d’Alice avait lui décidé qu’un mariage arrangé aurait lieu, que sa fille soit contente ou pas. Elle ne voulait pas du tout de ce mariage, surtout avec la personne qu’elle était censé épouser. Un jeune homme arrogant du nom de James qui étudiait avec le jeune homme, une animosité sans pareil existait entre les deux, causant de nombreuses disputes en général.
Une après-midi, alors qu’une sorte de sortie scolaire se déroulait, James et sa bande avait pris à part Eyros. Ce dernier n’avait rien vu venir, comme d’habitude, le fameux James prit la parole d’un ton moqueur :
« - Et bien alors, t’es pas dans les champs entrain de t’amuser avec des petites plantes, bouseux. »
« - Je t’ai rien demandé, laisse-moi tranquille » lui répondit Eyros avec une pointe de haine
« - Oh, c’est qu’il s’énerve le petit bouseux, oublie pas que t’es tout seul, alors que nous, nous sommes plusieurs, à moins que tu ais envie de te faire remettre à ta place ? » lâcha l’autre sur un ton condescendant
Le jeune garçon entouré par les autres ne broncha pas, il serra les poings, l’air visiblement énervé. Il n’avait qu’une envie, s’approcher de James, et juste le massacrer, pas seulement deux, trois coups ; non une rage inhumaine habitait le corps d’Eyros à ce moment, les yeux de l’anglais semblaient luire de par la haine qu’il ressentait. Et sans crier gare, il se jeta sur son vis-à-vis, lui assénant des coups violents dans la mesure du possible, avant que la petite bande ne s’empare de l’agresseur.
« - Toi, je te promets qu’on ne va pas en rester là, tu vas me le payer, quand j’aurais épousé Alice, je te promets que je forcerais ton oncle à te jeter à la rue ! » cracha James enragé.
D’ailleurs, ce dernier présentait des blessures graves, il saignait au visage, les vêtements déchirés, mais toujours un air haineux, plein de colère. Mais notre jeune protagoniste lui, n’avait pas le même avis, si le groupe de son ennemi n’était pas là ; personne aurait pu décrire comment Eyros aurait continué son petit massacre, le futur Berserker n’aurait pas fait de quartier, et aurait tué James. Mais seulement…
Or il n’était pas au bout de ses peines, deux jours plus tard, Eyros devait se rendre dans le bureau de son tuteur, lorsqu’il entra dans la pièce. L’adulte faisait face à une fenêtre, silencieux, l’air pâle, les mains croisées derrière le dos. Il se tourna vers son fils adoptif, et commença calmement.
« - J’en ai assez Eyros, tu comprends n’est-ce pas ? »
« - Mais c’est lui qui commence à chaque fois, pas moi, il avait qu’à se taire ce chien peureux ! » répliqua l’adolescent
« - Te ficherais-tu de moi, adopte un langage correct en ma présence, un résultat de ton éducation ça… Je savais que j’aurais dû te laisser mourir avec tes parents dans votre campagne ! Je t’ai recueilli, et maintenant tu me fais honte, tu me déshonore de jour en jour. Comment dois-je me justifier envers le père de James, tu peux me le dire, comme vais-je pouvoir marier Alice à cause de toi »
« - Comment osez-vous, m’insulter moi et mes parents, ainsi qu’imposer ce chien de James à Alice, n’avez-vous donc pas honte d’être ainsi. Rendre malheureuse votre fille pour vos intérêts »
« - Cela suffit, je ne veux plus de toi ici, sors de cette maison, ne reviens plus jamais, sois maudis. »
« Je vous hais, j'aimerais vous tuer, mais ainsi, je rendrais Alice triste, et moi contrairement à vous, je l'aime, elle mérite le bien. Et non pas vos choix, vous représentez la corruption et l'avidité de l'homme »
« - Il y'a une légende anglaise, la légende de Lancelot du Lac. Ce fut un homme qui lui avait tué ses frères d'armes, et qui avait poussé la femme de son roi à l'adultère. Et bien tu es comme lui dans le fond, je ne sais pas comment j'ai pu te garder. Disparais maintenant, et ne reviens pas ! »
Eyros, sortit du bureau, claquant la porte, réunissa deux trois affaires, et s'avança vers la porte d'entrée, et là Alice l'attendait. Eyros entama alors la discussion.
« Je n'ai pas le choix, je dois m'en aller, ça me peine, je t'aimerais éternellement. Alice, où que je sois, tu seras toujours dans mon coeur, je te débarasserais de James avant de disparaître de Londres »
« Eyros, ne fait pas ça, je t'en prie, ne prends pas autant de risque, tu n'es pas obligé, je t'en supplie, reste à Londres, et trouve la paix, ne part pas loin de moi... »
« Je ne peux pas, je suis profondément désolé Alice... »
Une larme coula le long de sa joue, et il ouvrit la porte et sortit de cette maison, le coeur plein de peine, de tristesse, et de rage...
Histoire
Avide de vengeance, plein de rage, Eyros errait dans la capitale anglaise, il avait une idée en tête, tuer James, recevoir sa vengeance. Il l'avait attendu dans une rue adjacante à la rue où son ''ennemi'' habitait. Alors que ce dernier sortit de son logement, Eyros l'attrapa par le bras. L'autre jeune homme était visiblement apeuré, il balbutia alors
" - Qu'est-ce que tu fous là ? Laisse moi tranquille ! "
Eyros le jeta par terre, le regarda avec un air condescendant, il ne s'exprima pas, avançant vers James pour lui asséner un violent coup de pied dans la hanche droite. Son homologue cria de part la douleur, tandis qu'il s'appuyait sur ses bras et ses jambes pour reculer; alors qu'Eyros ne faisait qu'approcher, et frapper le jeune homme à terre une nouvelle fois. Le jeune homme " déchu " portait des coups à maintes reprises, l'autre anglais lui, gémissait de peur et tremblait, déclara alors à son antagoniste
" - Arrêtes, mais t'es devenu malade. Si tu continues, tu vas me le payer. "
" - Oh, et bien essaye, si tu le peux "
Un sourire sadique s'empara du visage de l'adolescent, une mystérieuse brume noire, froide entoura alors le violent personnage, il s'avança doucement de son " opposant " et lui porta un terrible coup de pied au visage, le corps du garçon à terre pivota légèrement, ce dernier semblait saigner. Des hématomes et des contusions plein le corps. Il reprit la parole d'une voix faible, tremblotante :
" - Arrêtes, je t'en supplie, je ferais tout ce que tu voudras. Mais par pitié arrêtes... "
Eyros poussa un rire sardonique, cette mystérieuse brume noir semblait devenir plus dense, une puissante énergie s'empara de son corps, il souleva James, et le plaqua contre un mur, le tenait par le cou, non pas sans l'étrangler. L'autre se débatit autant qu'il le put, cria, mais rien ne fit. Ce fut sous les rires du meurtrier que James perdit la vie. Le dernier restant le lâcha et marcha dans la ruelle.
Une fine pluie commença à tomber sur la ville. Mais une lumière terne attira Eyros, plus il s'approcha, plus une chose devenait nette. Lorsqu'il fut à un mètre, il put discerner une armure d'un noir ébène. Qui dégageait une impression froide et maléfique. Toujours emporté par la rage, la colère, et la poussée d'adrénaline, il la toucha, et soudain, il tombât à terre, se tenant les mains contre la tête. Ses plus grandes frayeurs lui vinrent en tête, il eut l'impression de devenir fou, aliéné par cette peur illusoire. Une image qui se répétait en boucle. Ce ne fut qu'au bout de quelques minutes, que les mains d'Eyros retombèrent. L'armure brilla et éclata pour prendre forme sur lui. Afin de se libérer de ces images, Eyros avait décidé de renier son passé, comme tout brûler, plus rien, plus de souvenirs, plus de peur. Ce fut comme une épreuve de réussi. Sans le savoir, il avait réussi l'épreuve imposé par l'armure du Cardinal de la Terreur. Ceci le prédestinait à devenir un Berserker dès plus puissant. C'était devenu une évidence et maintenant, il allait accomplir ce destin.
Sous les impulsions de l'armure, il put rejoindre le domaine d'Arès. Le dieu de la guerre, là-bas, les gens fut étonnés de voir quelqu'un comme lui, si jeune, si inexpérimenté. Mais le voir avec cette protection était comme un signe, alors il eut un entraînement intensif :
Maniement des armes, combat au corps à corps, endurance, technique de défense, et les arts cosmiques. Rapidement, il devint un combattant de plus en plus fort.
Alors qu'il eut 23 ans, il reçut enfin la distinction de Cardinal de la Terreur. Puissant combattant maniant l'épée, la hache, et les illusions pour imprimer un seul sentiment dans le cœur des autres, la terreur...
Or la vie d'un Berserker n'est pas sans repos... Tandis que le Berserker s'était entraîné pour combattre; Eyros comprit que l'entraînement ne servait pas toujours, lors de la Guerre Sainte entre les Enfers et Arès, il affronta le Spectre de la Putréfaction, et durant ce combat mémorable pour le Cardinal, il perdit la vie.
Toutefois, ses péripéties dans le Royaume d'Hadès lui permirent de revenir sur la terre des vivants, en étant diminué et perdu. Bien que le goût de la défaite était amer, Eyros n'était pas découragé pour autant, empli d'une rage encore plus forte, le Cardinal s'était mis en route pour les Terres d'Arès, afin de reprendre son poste au sein de l'armée du dieu de la Guerre, animé par un nouveau désir, celui de s'endurcir et de vaincre à son tour. Armé de sa fidèle lame Arondnight, le guerrier de la Terreur s'entraîna seul un long moment avant de rentrer chez lui, auprès de ses frères d'armes. Prêt à répondre à l'appel de l'Olympien de la Guerre, Eyros se tient dans l'ombre de l'Antre de la Terreur, prêt à combattre sous la bannière des Berserkers...
Allégeance
HRP
Vous et le forum
► Comment avez-vous connu le forum ? Je reviens après une petite disparition ^^ ► Quel âge avez-vous ? Toujours 18 ► Double compte ? Nope ► Avez-vous pensé à lire et signer les règles ? Bien sûr que oui
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Dernière édition par Eyros le Mar 14 Juil 2015 - 10:27, édité 3 fois
Perséphone
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Sujet: Re: [Retour] Eyros, Cardinal de la Terreur [En cours] Mar 7 Juil 2015 - 14:05
Sujet: Re: [Retour] Eyros, Cardinal de la Terreur [En cours] Sam 11 Juil 2015 - 16:00
Je pense avoir fini, j'ai modifié quelques parties, notamment la psychologie. L'histoire et l'allégeance sont sensiblement la même, j'ai rajouté deux nouveaux paragraphes décrivant l'après GS pour Eyros. Si jamais ce n'est pas assez, et bien je modifierai volontiers !
Merci d'avance ^^
Irène
Membre d'Or
Messages : 4698
Sujet: Re: [Retour] Eyros, Cardinal de la Terreur [En cours] Sam 11 Juil 2015 - 20:07
Bon retour
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Qui que je sois au fond de moi... On ne peut me juger… Que par mes actes.
Spoiler:
Guerrier dont la bravoure n'a d'égale que sa puissance, fonçant vers le danger sans réfléchir pour protéger autrui.
Angèle
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Sujet: Re: [Retour] Eyros, Cardinal de la Terreur [En cours] Dim 12 Juil 2015 - 11:06