Sujet: Ayol, Hérault de Deimos Mar 5 Mai 2015 - 5:35
Oya Oya mina, je fais mon retour sur Antho' et voici la présentation du new perso que j'interprète.
Nom(s) Prénom(s) : Ayol
Rang convoité : Berseker d'Ifrit
>Avatar : Zeref (Fairy Tail )
¤ Je rejoins les forces de Arès ¤ Mon élément de base sera Le feu ¤ Je suis principalement Borné,Courageux,Fier et Bienveillant ¤ Mes origines trouvent leur source en Grèce ¤ Je suis âgé/e de 25 printemps ¤ Je considère Mes Compagnons,Les Valeureux Adversaires et mes Leaders ¤ Je ne considère pas Les Traîtres, Lâches
Le Patient Ayol est tout sauf calme, il n’est pas fou, n’est pas antisocial. Il a une personnalité qu’on pourrait qualifier « d’extrême ». Il peut passer du chaud au froid en une seconde, sans que l’on sache pourquoi. Mais l’un des points forts du héraut est qu’il a avait un sens de la fidélité sans limite. Près à donner sa vie pour sauver ses compagnons et honorer son seigneur Deimos.
Lors des combats, Ayol est comme un enfant devant un jouet, fasciné et complètement excité par l’inconnu. C’était un guerrier qui était fier, il ne fuira jamais un combat. Mais je vous le disais, c’est un enfant, il ne finira jamais un combat en un coup, il préfère torturer et tuer son adversaire à petit feu.
Alors que l’adversaire est « valeureux », il fera tout pour finir le combat dignement. Qu’il gagne ou qu’il perde, le Berzeker d’Ifrit recherche l’adversaire ultime. Une personne avec qui il pourra se battre jusqu’à la fin de sa vie ou de celle de son adversaire.
Psychologie
On le nommait Ayol. Auparavant, ses compagnons, ses amis ainsi que sa famille l’appelaient Iraj alors que son nom de naissance était Mir. Pourquoi : « Auparavant » ? Je dis auparavant car ce jeune métis né d’un amour interdit entre une femme Grecque et un jeune prince Perse qui s’était tenu devant moi il y a quelques semaines n’étaient en aucun cas ce jeune guerrier perse, dévasté, qui avaient réalisé bien trop tard ses origines…
Notre Hérault vint au jour lors d’un orage en 1735 à Kition, une des villes du Sud-Est de la Grèce qui se situait aux bordures du territoire Perse dans un petit fait en pierre qui lui, se situait au dessus d’une petite colline verdoyante à l’écart de toute population A peine était-il né, que Mir prenait déjà la vie de sa mère : une certaine Iris fille d’un noble paysan seulement âgée de 23 ans. Rien n’allait car lorsque son jeune père Ashem apprit la triste nouvelle, il fut dévasté par le désespoir ainsi que la haine. Sa tendre épouse était morte, morte tué par l’enfant qu’il attendait tant ! Son futur successeur.
Ashem se referma sur lui même pendant 3 longues semaines, 3 longues semaines où il ne daigna parlé ou regardé ce monstre de fils qu’il avait du amener avec lui en Perse. Il était dévasté et les soldats autour de lui le remarquèrent tous. Le jour où Ashem redevint la personne qu’il était fut le jour où il « tua » son enfant de sans froid. Il ne l’assassina pas, il décida juste d’aller une nuit dans la chambre du bébé, de le prendre, le mettre dans un panier et enfin de le laisser en dehors de la ville, il ne le tuera pas malgré son envie. Ashem ne le tuera pas, en « l’honneur » d’Iris. Lui ne le fera pas mais les chacals qui rodent la nuit le feront sans remords.
Malheureusement pour le futur Roi, une des nourrices du bébé le vit et décida avec son mari, un paysan de garder le bébé et de l’élever comme leur propre enfant en commençant par le baptiser Iraj.
Iraj passa son enfance sans grand encombre, fils de paysan, il ne grandit pas avec une cuillère d’argent dans la bouche. Mais avec le peu que ses parents gagnaient. Il était humble et faisait du mieux qu’il pouvait pour aider ses parents. Surtout son père dans les champs ou encore au marché. C’est au début de son adolescence que tout change pour notre Hérault, son père tomba malade et sa famille n’avait pas assez de revenu pour subvenir à ses soins. Il n’avait plus qu’une solution, et c’est ainsi qu’à 15 ans, Iraj décida d’intégrer la garde impériale pour sauver son père adoptif.
Ces débuts dans l’armée furent durs, les entraînements matinaux, la faim qui tiraillai son ventre ainsi que la solitude mais malgré les obstacles, Iraj se démarqua de ces compagnons dans presque toutes les catégories, son corps était plus « endurci » que celui des autres. Il était plus rapide, plus fort. Il était l’Alpha. Et bientôt ces supérieurs le remarquèrent et notre guerrier Perse devint Sergent faisant la fierté de sa famille.
Avec ce salaire, il avait commencer à payer les soins son père mais ne pu rester avec eux car leur Royaume entra en guerre avec la ville de Kition et toutes les nouvelles recrues furent déportés. Ils voyagèrent pendant 1 semaine en direction de la frontière. Au sein des rangs, personnes ne savaient pourquoi ils entraient en Guerre certaines rumeurs parlaient d’un caprice du Roi Ashem d’autres disaient que le Roi avait la folie des grandeurs et voulait commencer une conquête de la Grèce entière. Malgré ces rumeurs, les soldats étaient forcés de se battre sous peine de mort. Aucun de ces jeunes ne savaient que leurs vies allaient changer du tout lors de cette guerre, du moins les survivants. Et se fut vrai, la guerre qui opposa le Royaume d’Ashem à Kition dura 3 longues années. 3 années qui changèrent le jeune Iraj à vie. Il avait vu toutes sortes d’horreurs pendant ces 3 longues années. Il avait vu des compagnons morts dans des mares de sang, des mères et leur filles violés jusqu’à ce qu’elle soit brisée mentalement devant leurs Maris, frères ou pères qui eux furent égorgés en deux temps. Il avait entendu les cris de détresses et les pleurs des orphelins grecs. Un cauchemar qu’aucun enfant de 15 ans ne devrait voir. Un cauchemar qui le brisa à l'intérieur. Il n'aimait pas l'admettre mais la bête qui se créa en lui adorait le sang.
Les prouesses d’Ayol durant la guerre le fit grimper les échelons à vitesse grand V. A 18 ans, le jeune garçon était devenu colonel et à son retour de guerre, il fut mené au Roi qui voulait rencontrer le jeune prodige de son armée. Mais que fut son état quand Ashem rencontra Iraj. Le roi fut complètement dévasté ! Des sueurs avaient commencées à perler sur son front, Ashem venait de reconnaître l’enfant « mangé » par les loups il y a 18 ans de cela. Comment avait-il pu le reconnaître ??? C’était simple, Ashem ne pourrait jamais oublier ses yeux rouges sangs qui l’avaient fait tombé amoureux d’Iris, la mère d’Iraj. Comment avait-il survécu ?
Iraj ne comprenait rien, qu’avait le roi ? Faisait-il un malaise ? Le jeune colonel ne pu réfléchir encore car Ashem avait repris des couleurs. Le roi du royaume le convia à diner avec sa famille. Et tout se déroula à peu près comme sur des roulettes. A peu près car le roi ne fit que poser des questions à Iraj, où avait-il a vécu ? Qui était ces parents etc… Et Iraj, fier déballa tout, sa mère, la nourrice du palais. Son père paysan du royaume.
La nuit tomba et lorsqu’Iraj tenta de retourner chez lui pour la première fois en 3 ans, il fut attaqué par une horde de gardes du Roi, que se passait-il ?? Pourquoi l’attaquaient-ils ? Qu’avait-t-il fait ? Il ne pouvait gagner, il le savait, s’il se battait, il mourra. Iraj décida donc de fuir après avoir créer une brèche. Il sauta par une des fenêtres et fui. Il couru et tomba par mégarde sous un pont. Chute qui lui permit de survivre et échapper à ses assaillants. Il se releva avec difficultés et marcha en faillant tomber tous les 3 pas vers sa maison pour voir ce triste spectacle : Ses deux parents au centre de leur salon couchés l’un sur l’autre baignant dans le liquide rougeâtre qu’était leur sang.Il avait crié ! Il s’était rapproché et avait vu sa mère le regarder droit dans les yeux et lui faire signe d’aller ouvrir la grande mallette doré qui trônait dans la même pièce. Il y couru, l’ouvrit et vit une lettre… Une lettre de sa mère. Une lettre qui lui raconta en fond et en large qui Iraj était.
Iraj était bouleversé ! Son père avait tenté de le tuer… et il avait rater sa chance… Maintenant c’était à lui de tenter sa chance et de tuer Ashem. Iraj malgré ces blessures, se mit à genou et commença à prier. Implorer ce dieu de la guerre que les soldats Perses imploraient à chaque bataille. Mais cette fois Iraj souhaita le carnage, il voulait tuer Ashem et toute sa famille ainsi que tous ses partisans. Il ne savait pas comment il allait faire, mais il jura sur sa fierté d’homme de parvenir à réduire à l‘état de cendre
Histoire
Iraj s’en alla, ses blessures maintenant toutes pansées. Il marcha dans la cité, son épée en main, le regard vide et le visage pale. Le jeune colonel n’avait qu’un seul objectif, tuer son père.
On le regardait bizarrement dans la rue, les passants préféraient quitter devant lui. Mieux valait ne pas énerver quelqu’un comme lui. Le prince déchu n’était pas lui-même. Il n’avait qu’une chose à l’esprit : tuer. Iraj marcha jusqu’aux portes du château et se mit en face des gardes. Il ne les laissa aucunement le temps aux autres de bouger ou encore de crier, deux coups d’épées bien placés firent le travail. Il pénétra dans le château sans se faire remarquer, à cette heure les soldats devaient encore dormir ou étaient parti faire leur ronde. Il continua sa route dans les longs couloirs, tournant parfois à gauche puis à droite.
Mais se fut lorsqu’il arriva devant les portes de la chambre royale qu’il fut surpris. Aucun garde ne se tenait là, qu’est-ce qui clochait ? Quand il sortit un coup de croisse lui fit perdre connaissance.
Il ouvrit les yeux quelques heures plus tard, du bruit, du monde. Le héraut se trouvait sur la grande place du royaume. En face de lui, se tenait une la quasi-totalité des nobles du royaume ainsi que son père, entouré de la garde royale. Ce n’est qu’après quelques minutes qu’il réalisa la pression sur sa gorge, une corde. Allait-il se faire pendre ? Rien n’allait.
Iraj bouillonnait de rage, il n’allait pas mourir pas temps qu’il n’aurait pas tuer cet homme nauséabonde qui le servait de père. Le fidèle représentant de Deimos commença encore une fois à prier les dieux, surtout ce dieu…Arès. L’heure de son exécution arriva et la trappe en dessous de lui s’affaissa. 1,2 puis 3 secondes, il ne sentait toujours rien. La mort n’arrivait pas. Et bientôt la corde lâcha et le colonel tomba au sol. Bel et bien vivant, un cosmos rouge avait commencé à jaillir de son corps sans qu’il ne le remarque. Un genre de minotaure venait d’apparaître sous forme d’un tatouage dans son dos. Il se sentait fort, la puissance coulait dans ses veines… Etait-ce ça la bénédiction d’Arès ? Il ne le savait guère mais au fil de sa marche en direction de son père et des gardes, des parties d’amure vinrent s’équiper à son corps. AU début, il ne comprenait pas ce qu’il arrivait mais au fur et à mesure qu’il combattait les gardes, des informations s’ajoutaient dans sa tête. Il pouvait user du Cosmos et grâce à ça, rien ne pouvait l’arrêter.
Iraj , d’un mouvement de main, brula tous les gardes qui étaient venus pour le tuer. Il marcha en souriant vers son père et sa « famille », donnant un coup de pied par-ci, un coup de lame par là, jusqu’à enfin arrivé à son père. Père, qu’il souleva sans tendresse avec une main autour de sa gorge. Il commença à presser sur cette gorge avec délicatesse pour ne rater aucun moment de la mort de son père. Soudain, le héraut eu une idée. Il relâcha son géniteur et se retourna comme pour partir. Comme s’il avait fini ce qu’il voulait faire. Ashem, lui commença à pleurer, remerciant les dieux mais ce qu’il ne vu pas venir ce fut Iraj qui l’empala avec force le torse à l’aide des cornes qui se trouvait sur le dos de son armure. Le roi mourût bien vite et Iraj, ayant déjà tué la quasi-totalité des personnes qui avait assisté à sa pendaison (Gardes + Famille Royale). Décida de retourner là, où il devait être. A la suite de Deimos.
Deimos ?? Il ne savait pas pourquoi mais il avait un sentiment de loyauté envers lui, de servitude. Pourquoi donc ? Peut-être qu’il le saura un jour… Et notre héraut, le su bien vite car au fil de son périple, les informations continuèrent à affluer dans son cerveau. Des informations qu’avaient amassées tous les porteurs de l’Armure. Elles affluaient si bien qu’à son arrivée au temple de Deimos. Il savait déjà tout de sa fonction et de son nouveau nom : Ayol…
Allégeance
HRP
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► Comment avez-vous connu le forum ? Google ?? ► Quel âge avez-vous ? 15 ans ► Double compte ? Nope► Avez-vous pensé à lire et signer les règles ? Il ya 2 ans ? Je compte le refaire
Merci à Frosty Blue de Never Utopia pour le codage de cette fiche
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Dernière édition par Ayol le Sam 16 Mai 2015 - 13:20, édité 1 fois
Alectryon
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Sujet: Re: Ayol, Hérault de Deimos Mar 5 Mai 2015 - 6:57
Bienvenue futur camarade!
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Kazuki
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Sujet: Re: Ayol, Hérault de Deimos Mar 5 Mai 2015 - 9:20
Bon retour, même si j'ai plus trop souvenir de toi lol
Kyrian
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Sujet: Re: Ayol, Hérault de Deimos Mar 5 Mai 2015 - 10:04
Bon retour^^
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Mina Claw
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Sujet: Re: Ayol, Hérault de Deimos Mar 5 Mai 2015 - 10:12
Bienvenue
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Viens donc te perdre entre mes griffes !
Thanatos
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Sujet: Re: Ayol, Hérault de Deimos Mar 5 Mai 2015 - 11:35