[Quête de camp] Le combattant sans gloire - Sparte

Après un voyage sommes toute rapide, les trois guerriers d’Arès arrivèrent au lieu du tournois. Il se déroulait dans un immense colisée ou s’étaient massés une foules innombrables des peuples de la Grèce et d’ailleurs. C’est dans cette foule que les trois personnes se retrouvent presque emportées malgré eux vers l’entrée, pour voir le prochain combat.

La réputation du héros qui irrite tant les berzerkers et qui semble invincible poussent le peuple à remettre en question la suprématie des guerriers d’Arès, ce qui est insupportable aux yeux de celui-ci. Ils arrivent donc à l’entrée ou un vieille homme chenu se tient et fait payer l’entrée du colisée. Plus loin il y a une entrée qui semble descendre sous le bâtiment, sans doute l’entrée des combattants au vue du petit nombre de personne qui s’y dirige et du nombre de garde qui en interdisent l’accès. Le vieil homme les interpelle.

Bonjours mes seigneurs, vous êtes là pour assister au combat d’Orthros l’invincible ? Ou peut-être cherchez-vous à relever son défi ? Sachez que tout ce que vous puissiez vouloir faire, le vieux Sotiris peux vous aider, vous n’avez qu’à demander. Alors que puis-je faire pour vous ?

Le vieil et avenant bonhomme leur offre un sourire franc et sincère, leur laissant le choix d’observer ou de participer au combat contre le guerrier que personne ne semble pouvoir vaincre. La foule derrière eux se presse car le combat va bientôt commencer et tous trépignent d’impatience à l’idée de profiter du spectacle.

--Note MJ--
Vous allez devoir choisir entre une confrontation avec le guerrier, l'observation de son combat ou poser des questions au guichetier.
Le MJ reste seul juge de ce qui est donné comme réponse. Merci de respecter cela.

Nous rappelons que vous pouvez arranger les tours de jeu comme bon vous semble entre vous.

nb : le MJ est susceptible d'intervenir n'importe quand, sans suivre l'ordre du tour. Ainsi nous vous demandons de laisser un jour de battement entre deux posts, de manière à nous laisser la possibilité de réagir si besoin. Si 24h irl après votre post il n'y a aucune réaction, cela ne voudra pas dire pour autant que votre action/parole est vaine, mais le second joueur pourra poster sans attendre.

Après une aventure inoubliable sur le continent africain, Katharina arriva avec le cardinal des flammes à Spartes, une ville guerrière renommée, ou se déroulait un tournoi important réunissant des combattants redoutables venues de contrées lointaines. Les voyageurs avaient du mal à se frayer un chemin parmi la foule bruyante et impatiente qui se ruait vers le colisée afin de regarder les combats acharnés faisant vibrer les spectateurs survoltés.

Les deux berzerkers virent une taverne et pénétrèrent dans la salle bondée de mercenaires qui braillaient en tenant une pinte de cervoise à la main. Ils s’avancèrent vers une table et s’assirent sur un banc en bois, un serveur leur apporta une collation copieuse. Katharina mit quelques pièces de monnaie dans la main du garçon pour payer les déjeuners, puis ils quittèrent la buvette en direction de l’amphithéâtre.

Sur le chemin, la jeune femme observa les marchands qui vendaient différents articles comme des bijoux, des fruits, de la poterie ou bien des armes. Ils arrivèrent devant le monument et virent un vieil homme souriant qui fait payer l’accès au colisée, Il s’approcha et s’adressa aux soldats d’Arès :

Bonjours mes seigneurs, vous êtes là pour assister au combat d’Orthros l’invincible ? Ou peut-être cherchez-vous à relever son défi ? Sachez que tout ce que vous puissiez vouloir faire, le vieux Sotiris peut vous aider, vous n’avez qu’à demander. Alors que puis-je faire pour vous ?

Katharina décida de représenter le camp des berzerkers dans cette arène et s’exprima avec véhémence au vieil homme :

Je relève son défi ! Je veux combattre ce guerrier impudent et rétablir notre réputation entachée par les propos du peuple !

L’homme chenu lui fit un signe de la main de le suivre et se dirigea vers un chemin souterrain creusé dans la roche. Les gardes les laissèrent passer et ils pénétrèrent dans un couloir sombre descendant en pente douce vers une salle où attendirent les combattants pressés de faire couler le sang car s’ils sont vaincus, une mort cruelle s’abattra sur eux. Certains prononcèrent quelques mots en latin pour leur salut, les autres restèrent silencieux et la tension était palpable.

Katharina sortit son armure d’un sac en toile et revêtit la cuirasse étincelante du Berzerker de l’incendie, elle s’approcha de la herse et observa des crânes éparpillés sur le sol ainsi que des corps décapités répandant l’hémoglobine sur le sable brûlant. Se sentant épiée, elle croisa le regard froid d’Orthros l’invincible portant un bouclier massif, un glaive tranchant et un heaume blindé puis la jeune femme vit la grille se lever lentement.

Toi qui est initié aux arcanes cosmiques pour lire en moi comme dans un livre ouvert, salutation. Je suis l'âme du Héraut de Guerre, l'âme du Roi Dragon, contenue dans chacune des pièces de l'armure du Bahamut. Mon sujet : Sieghart Von Todt, qui me porte humblement sur ses épaules.

Monté sur son destrier noir, Sieghart traverse Sparte au pas. Il est vêtu de bottes et d'un pantalon de cuir marron foncé. En haut, un maillot blanc et un gilet de cuir marron clair. J'ai recouvert les membres de sa monture et lui sert d'harnachement. Il s'achemine droit vers le colisée.

Les hommes de la phalange du Bahamut l'ont informé du feu qui anime la cité en ces jours de printemps. Un guerrier invaincu défie les berserkers d'Arès et une bonne part du peuple a la faiblesse de croire qu'il les surpasse. Certains l'espèrent de tout leur coeur, les Spartiates sont ainsi faits, leur allégeance va toujours au plus fort et beaucoup d'entre-eux aiment voir le sang des chefs versé et renouvelé. Ce matin, un berserker et un cardinal ont pris le chemin de la cité. Sa curiosité piquée, Sieghart a sellé sa jument quelques heures après leur départ.

A son passage, personne n'ignore à quelle race d'homme appartient mon cher Sieghart. Son aura d'acier le précède et sa traîne glace les âmes. A chaque pas de Noire, le cliquetis de mes pièces de gammanium qui s'amplifie entre les tempes de ces petits mortels saisis d'un doute sacrilège. On chuchotte, on s'écarte, on observe en silence. Ces deux-là ricannent et Sieghart n'y prête pas attention quand l'un d'eux bondit et se place sur son chemin. Il n'a pas 15 ans et force sa voix d'adolescent.

Vous ferez moins l'fier contre Orthros ! J'serais là quand vous aurez la tête éclatée sous son pied ! Mouhahahaha !

Tu l'as entendu celui-là ? Piétine-le donc !

Mais mon cher Héraut ne change pas d'allure, et quand le gamin s'écarte il se penche vivement pour l'attraper d'une main au collet, le soulève et le met en selle entre ses bras. Le garçon fronce les sourcils et sa bouche s'assèche. Il blanchit à vue d'oeil.

Ainsi donc tu l'épargnes ? Vous les humains et vos progénitures... Chez les Dragons, qu'un jeune manque de respect à un ainé et il deviendra cendre en moins de rien. Votre race m'a toujours paru très laxiste sur la question de l'éducation. Un homme interpelle Sieghart.

Seigneur ! Pardonnez-le, je vous implore seigneur !

Mais nous sommes déjà loin. Droit devant, une foule de badauds. La queue pour le colisée démarre ici. Lorsque Sieghart approche, la populace s'exclame, les yeux luisant d'excitation. Les Spartiates se félicitent de l'arrivé d'un troisième guerrier d'Arès et l'accueillent avec chaleur. Ils s'écartent, se montrent respectueux. Toutefois, certains visages sont déformés par une sauvagerie qui n'a rien de bienveillante. Ceux-là ne veulent qu'une chose, voir mon beau cavalier mordre la poussière dans l'arène.

Le Héraut stoppe face aux gardes et au guichetier. Fluide, il descend de cheval et attrape le sale gosse aux reins pour le déposer devant lui. Il pose ses puissantes mains sur ces petites épaules et place ses yeux déteints dans ceux du vieil homme.

Au nom d'Arès, je viens voir celui qu'on nomme Orthros.

Sèchement, il pousse le gamin devant lui et remet les reines de sa jument à l'un des gardes. Que l'un d'eux s'avise de lui barrer la route et il se retrouvera très sévèrement plaqué contre la pierre de taille. A l'intérieur, Sieghart prendra place avec son jeune prisonnier pour se faire une opinion sur ce combattant. Et sur ses nouveaux frères d'arme.

J'étais là, assis dans les gradins de l'arène Spartiate. Assis au milieu d'une foule en délire, je bougonnais. J'étais enfin de retour après une longue absence et aussitôt que j'eu mis pied sur les terres d'Arès; on me fit savoir que j'étais attendu à Sparte. Une mission d'Assassinat. Je devais trouver puis tuer un certain Orthros. Pourquoi donc ? Cette question ne se posait pas. Un ordre en était un, point.

Mais... revenons en au début, j'étais assis dans les gradins de l'arène. Qu'y faisais-je ? J'écoutais les paysans autour de moi qui parlaient. Certains racontaient que ma cible était issue d'une lignée descendante d'Apollon, d'autres disaient qu'Orthros avait été allaité par une lionne. Tout ça, je m'en fichait pas mal. Même s'il était la réincarnation de je ne sais qui, je le tuerai. Nous n'étions venu que pour ça nous les Berzekers.

Orthros ne m'avait pas encore "excité", il n'avait pas encore attiser cette curiosité qui me pousserait à venir l'affronter. Et c'est à ça qu'allait servir la belle Kat-Chaaan. Elle allait être la première personne à affronter la "bête". Et si elle n'arrivait pas y mettre un terme, j'interviendrai et mettrai fin à cet homme. En parlant d'elle, elle devrait être la prochaine candidate de l'arène et devait se préparer en ce moment même, dans quelques secondes, elle sortira et fera notre fierté. Je me levai, et commencer ma marche en direction d'un point de vue mieux placé. On pu me voir habillé d'une tunique noire aux bordures rouges qui s'arrêtait jusqu'à la moitié de mes jambes ainsi qu'un pantalon d'entraînement que portait la majorité des Berzerks et enfin le sac dans lequel se trouvait ma cuirasse de Berzeker. #

- Oyoyo, les grilles commencent à se lever...

Ainsi la jeune femme avait relevé le défi et allait faire face au terrible Orthros dans une arène balayer par les vents et sous les cris d’une foule excité par la promesse du sang. Elle s’était préparée à affronter le champion de ce tournoi et là, dans l’ombre de l’antichambre du cirque, elle entendait son nom qu’on appelait à venir sur l’arène. Une fois au centre, un autre cri dans la foule retenti, suivis par tous les autres, on appelait maintenant, son adversaire.

La grille de l’autre côté de l’étendu de sable se levât tout doucement dans un grincement sinistre. La clameur de la foule redoublât, ils tapaient des mains et s’égosillait dans un vacarme assourdissant. Bientôt, se déplaçant lourdement, Orthros apparut. Pour le berzerker qui se trouvait dans les gradins, comme pour celle qui allait le combattre, ce fut un choc de le voir d’un bond, rapide comme l’éclair, rejoindre la guerrière d’Arès.

Dans les gradins, un homme à côté d’Ayol l’interpellât.

Vous aussi vous êtes un fidèle des combats d’Orthros ou vous venez le découvrir ?
Rhaaa ! Il est incroyable, on le dit immortel, si bien que beaucoup disent que le dieu de la guerre en personne ne pourrait pas le tuer.

Sans un mot sans rien dire, il levât son imposante épée pour l’abattre sur son adversaire. La fendit l’air avec un sifflement strident avant de percuter l’armure de la jeune femme avec violence, soulevant dans l’action un énorme nuage de poussière. Le combat était lancer et le champion invincible avait un titre à défendre.

Attaque Sword smash 40 cs
PV =???
CS = -40 =???

--Note MJ--
Le joueur dans les gradins va pouvoir soit observer le combat à la recherche d'une faille ou interroger les spectateur
Le joueur qui combat ne souffre pas des limitations de combats (peut lancer une spetième sens de suite ou trois fois la même attaque.) Les coups en CS sont toujours prit en compte.
Le MJ reste seul juge de ce qui est donné comme réponse. Merci de respecter cela.

Nous rappelons que vous pouvez arranger les tours de jeu comme bon vous semble entre vous.

nb : le MJ est susceptible d'intervenir n'importe quand, sans suivre l'ordre du tour. Ainsi nous vous demandons de laisser un jour de battement entre deux posts, de manière à nous laisser la possibilité de réagir si besoin. Si 24h irl après votre post il n'y a aucune réaction, cela ne voudra pas dire pour autant que votre action/parole est vaine, mais le second joueur pourra poster sans attendre.

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