Alectryon Membre d'Or
Rôle : Cardinal Du Feu
Messages : 1180 | Sujet: Alectryon Cardinal du feu Mer 29 Oct 2014 - 15:09 | |
| Alectryon Rang convoité (Cardinal du Feu ) Avatar (Rin Okumura Blue Exorcist) "Citation de votre personnage"
Let's Burn! ¤ Je rejoins les forces de Arès ¤ Mon élément de base sera Le feu ¤ Je suis principalement Franc et loyal, je suis un bon compagnon bien qu'ayant une tendance à l'irascibilité. Un tempérament de feu, quoi! ¤ Mes origines trouvent leur source en Macédoine ¤ Je suis âgé/e de 22 ans ¤ Je considère Arès et ses enfants sont mes seuls maître, je respect mes compagnons d'armes du moment que c'est réciproque. ¤ Je ne considère pas Les lâches, les traître, les ingrats et les gens qui ne savent pas suivre une simple chaine de commandement. Décrire psychologiquement Alectryon n'est pas bien palpitant, il n'a rien à voir avec les personnages sombres et torturé de la série d'origine, il ne s'est jamais fait violé ou brûlé vif, on ne l'a jamais forcé à dévorer vivante sa petite soeur qui par hasard se trouvait être sa fille... non j'exagère, mais ce que je tente de faire comprendre c'est que psychologiquement il est loin d'être toqué ou tourmenté.
Alec est un jeune homme simple et, pas simple d'esprit, il ne se pose pas de question inutile et agit en fonction de ce qu'exige les circonstances. Son enfance certes difficile ne l'obsède pas, il ne s'appesantit pas sur les ombres du passé, lui préférant la promesse de l'avenir. Ce qu'il aurait pu être, les autres chemins qui auraient pu se dessiner devant lui ne lui importe peu, il est précisément là où il souhaitait être et au service de ceux qu'il voulait servir.
Il a été élevé dans l'amour et la vénération d'Arès et ce, depuis sa plus tendre enfance et, d'une certaine manière, Arès est plus sa famille que n'importe qui sur cette terre. Il Lui a juré loyauté et obéissance jusqu'à son dernier souffle, serment qu'il compte bien honoré. Cependant, il ne se considère absolument pas comme le fils de son dieu, il n'en sera jamais digne mais, avec fierté, il servira ses enfants, porteur du terrible héritage divin.
Il ne porte d'animosité contre personne et, réserve son jugement, les personnes qu'il rencontre sont jugées sur leurs actes présents et jamais par le passé. Tout homme peut avoir un passé sombre et ne pas souhaiter être condamné sans que l'on prenne en compte un repentir sincère. Cependant, se moquer d'Alectryon n'est pas sans risque, car il s'énerve et, il s'énerve vite, des fois même pour rien. En général on le verra présenter un front calme et soudain, tout change, il faut le voir quand la boule de sa glace lui tombe sur les genoux, c'est un autel dressé au culte de la barbarie. Dans ces moments-là, il vaut mieux se tenir à l'écart.
Ses relations avec les humains sont comme pour le reste, calme dans l'ensemble, attendu qu'on le respecte. Il ne les considère pas comme moindre mais, les sais plus en sécurité de se tenir éloigner des tribulations des affaires des dieux. Les innocents se doivent d'ignorer les tumultes de la guerre s'ils veulent une vie longue et prospère. Interagir avec eux n'est pas un problème mais, s'ils viennent à connaitre ce monde il n'auront qu'à s'en prendre à eux-mêmes si cela bouleverse leur vie.
Psychologie -Félicitations monseigneur, c'est un magnifique garçon.-Un Autre? Qu'Hadès soit maudit, je ne peut donc espéré avoir la famille que je mérite? -Je ne comprend pas, c'est un bel enfant en bonne santé, il viendra rejoindre ses deux frères.-ASSEZ ! Vous n'êtes qu'un médecin, vous ne savez pas ce que je veux vieillard et, encore moins quoi me conseiller. Contentez-vous de faire votre travail, assurez-vous que ma femme va bien et portez cette chose loin de mon regard.Un grognement se fit entendre, lourd et pesant puis devenant une plainte, il gagnait en force tandis qu'il se mua en cris. -Le travail n'est pas terminé. Objecta le médecin. Il reste un enfant!-Je croyais qu'elle ne devait mettre au monde qu'un enfant ? Quel ...Il s'interrompit, le médecin, visiblement affairé, ne prêtant manifestement plus attention à ses imprécations, s'échinait à accompagner ce nouveau miracle vers la vie qui lui tendait les bras. Après quelques minutes de souffrances et de violents efforts, le vieil homme tint enfin dans ses bras le petit être. Il aurait voulu féliciter de nouveau le père mais, ne sachant pas sa réaction, il préféra cette fois-ci se contenter d'un : -C'est une fille monsieur. Dois-je en disposer ?-Vous n'y pensez pas ! Clama le père . Les dieux m'ont fait une cruelle plaisanterie mais m'ont quand même accordé une fille je peux enfin me vanter d'avoir la même famille que le dieu que je sers. Quant à cette chose, si vous le souhaitez, je vous le donne. Et pour être sûr qu'il ne représentera jamais la famille Avrora, je le nomme Alectryon, un nom qui le couvrira de honte pour tous les serviteurs d'Arès.Le brave vieil homme allait protester mais, se ravisa, il prit le garçon et quitta la demeure. Malgré son éviction de la cellule familiale, l'enfant fut choyé par le médecin et sa femme, en effet ceux-ci n'aillant jamais eu d'enfants, ils virent en lui un moyen de dépenser toute la chaleur et la tendresse que ces braves personnes pouvaient offrir. Il grandit dans un foyer rempli d'amour et de rire, il garda son prénom qui selon ses parents adoptifs, lui allait comme un gant. Il reçut une bonne éducation et on lui inculqua le respect d'Arès et ce, malgré l'interdit de sa famille d'origine. Un jour, dans sa sixième année, il demanda de pouvoir faire ses dévotions dans le temple d'Arès comme tout le monde. D'ordinaire ses vieux, comme ils les appelaient affectueusement, lui refusait cette faveur, car, il craignait la colère de son père biologique. Cependant, cette fois-ci ils lui donnèrent le droit de les accompagner dans leur messe. Le temps, pensaient-ils, avait suffisamment fait son œuvre et la présence du petit garçon ne devrait plus être intolérable. Après tout il avait le droit de pratiquer son culte et, son père l'ayant rejeté, quel droit aurait-il de lui interdire un lieu de prière? Ils partirent donc ensemble pour le temple, une fois là-bas, ils s'installèrent sur un banc et se joignirent aux autres pour l'office. Tout semblait se dérouler pour le mieux jusqu'à la fin, les ouailles se retirant les uns après les autres. Il laissa ses parents adoptifs un instant pour aller prendre l'air un moment. Une fois dehors, il vit tout un groupe de personnes qui avait l'air fort admiratif. Il s'approcha pour voir de quoi il s'agissait et, les vis, les enfants de la famille Avrora, sa famille d'origine, les enfants du père qui l'avait si indignement rejeté. Il avait beau être jeune, il comprenait bien ce qui lui était arrivé et, même s'il aimait très fort ses "vieux", il s'était toujours posé la question; Pourquoi mon père n'a-t-il pas voulus de moi. Gidéon, son père de substitution et, médecin, ne s'était jamais appesantit à ce sujet, peut être pour préserver cet enfant qu'il aimait aussi bien que s'il avait été de son propre sang. Soudain l'un des trois enfants regarda vers lui, il eut une mine de dégoût et un air tellement méprisant qu'il mit le garçonnet mal à l'aise et, bientôt, il vint à sa rencontre. Il était blond avec des yeux d'un bleu profond et froid. Il semblait plus vieux d'au moins deux ans et avançait d'un pas rapide et déterminer. Le genre de pas qui n'annoncent rien de bon, forçant Alec à faire un pas en arrière d'appréhension. Bientôt il arriva devant lui, se campa fièrement comme pour le dominer. -Je sais qui tu es, bâtard, rejeton rejeté! Lui dit-il d'un ton sec. Tu n'as rien à faire ici, ce lieu est pour les vrais serviteurs de dieu de la guerre. Toi et tes stupide parents devriez partir.-Mes parents et moi sommes aussi des serviteurs d'Arès! Répliqua le petit garçon manifestement intimidé. Il essaya de reprendre un semblant de consistance suite à cet assaut verbal. -Et pourquoi me parles-tu comme ça, qu'est-ce que je t'ais fais?-Ta présence est un affront à la famille, père aurait dû te tuer, les bons à rien ne mérite pas de vivre.Alectryon resta muet devant une telle déclaration, il se mordit la lèvre pour ne pas pleurer mais, ses yeux s'embuèrent de larmes bien malgré lui. -Qu'y a-t-il ? Tu vas pleurer? Tu devrais pourtant accepter ton sort. Et c'est une grâce que te fit mon père en t'épargnant, bien que vu la famille que tu as récupérée, il aurait mieux valu la mort.Cette fois la vue du garçonnet se brouilla, les larmes coulaient toujours plus mais, pas de tristesse, juste de la rage, en témoigna le violent cris qu'il poussa avant de se ruer sur son adversaire de deux ans son ainé. Il fit pleuvoir des coups rageur sur le m'as-tu-vu qui a osé insulter ses vieux. On peut se moquer de lui, bien que les blessures d'un enfant le suivent mais, on ne touche pas à ceux qui lui ont donné tout l'amour possible. Il dominait largement son adversaire lorsqu'il reçut un violent coup de pied dans le dos. Il se retourna, seulement pour se voir assener une rafale de coup de pied dans l'abdomen. Un garçon d'au moins dix ans, lui administrait une violente correction et s'il n'y avait eu une voix impérieuse au loin, rappelant la brute à l'ordre, dieu sais ce qu'il serait advenu de lui. Il se redressa au bout d'un moment assisté par les mains chaleureuses de Gidéon, qui le prit dans ses bras et, le serra fort contre son coeur. -Ne dis rien mon garçon. Il prit sa main dans la sienne et comme il partait il lui dit. Il faudra dire à ta mère que tu as gagné. Et ils rentrèrent chez eux en riant. Il ne revit quasiment jamais la famille Avrora et, ne s'en porta pas plus mal. Ce n'est qu'avec l'adolescence qu'il fut mis à nouveau devant son passé. Lors des fêtes de mars , dans sa quatorzième année, il y eut un grand tumulte, tout le pays était convié à la cérémonie rituel du choix d'Arès, les jeunes gens de la contrée devaient se présenter devant la statue du dieu et voir lequel d'entre eux serait choisis pour le servir et qui sais peut-être même devenir un de ses guerrier. Partout, les gens se murmuraient entre eux que le fils ainé de la famille Avrora allait être choisi et qu'il serait surement celui qui revêtirait l'un des surplis tant convoité et que personne dans la région n'avait mérité depuis plus de deux cents ans. Contre l'avis de ses parents, le jeune homme avait décidé de participer quand même à cet examen, il voulait prouver à ses prétentieux que lui aussi était un digne serviteur d'Arès. Il le savait depuis toujours, il est lié au dieu de la guerre, il le sentait au plus profond de lui-même et, si la statue le désigne, alors il aura prouvé que les médisant ne sont pas la seule référence en matière de dévotion. Le jour de la cérémonie, il se leva tôt, ce qui était difficile pour lui qui n'était pas matinale du tout. Il commença par revêtir la toge rituelle. Il mit une manche, puis l'autre mais, au moment de mettre la tête, il se rendit compte qu'elle était un peu serrée. Il essaya tant bien que mal de passer avec la méthode douce mais rien n'y fit. Il forçat un peu plus et là, il entendit un craquement. Il venait de déchirer sa toge. Dans le voisinage et même dans la plaine en contrebas, tout le monde entendit les rugissements d'obscénités proférés par notre tempétueux jeune homme. Après que sa mère de coeur eut, de ses mains expertes, réparé le vêtement de son fils, celui-ci put se présenter à la cérémonie, en retard. Les gens lui envoyèrent un regard d'indignation qu'il n'aurait su s'il devait l'attribuer au fait qu'il se mettait en travers des ambitions de la famille renommée ou à son retard. Sans doute un peu des deux. Il se recueillit en silence tout comme les autres, il y eut de longues prières et litanies puis, vint l'heure du choix. On fit lever les jeunes gens et chacun passèrent devant la statue. Bientôt ce fut le tour de l'ainé de la famille Avrora. Son cadet devant servir dans la reprise des affaires familiales, tous les espoirs de la noble lignée reposait sur ses épaules, bien que personne ne doutât du fait qu'il fut choisi. Il se présenta devant la statue, si les yeux de celle-ci brillait, deux magnifique rubis, alors il serait élus. Tous attendait en silence, fébrilement, quand soudain les yeux de la statue scintillèrent. Le fils héritier venait de passer le test avec succès. Ce fut donc au tour d'Alectryon. Il y avait eu dans l'histoire un ou plusieurs élus et cela n'aurait choqué personne mais, aucun n'attendais le fils rejeté, dont le nom était en lui-même une honte pour Arès. Il se présentât devant la statue le coeur gonflé d'espoir. Mais, après quelques minutes, rien ne se passa. Il entendit l'ainé de lignée noble pouffer de rire alors que le visage d'alec s'assombrissait de plus en plus. L'officiant le prit par le bras et commença à le tirer, lorsque les yeux de la statue s'embrasèrent, diffusant une lumière encore jamais vue. Il venait d'être choisi, lui aussi. Le prêtre lui lâchât le bras et le présenta à la foule. -Mesdames et Messieurs, notre dieux a choisit deux serviteurs cette année. Il le fit mettre à côté de son bourreau d'autrefois. Voici les élus d'Arès, puissent-ils apporter sur notre pays honneur et gloire. Histoire Huit années s'étaient écoulées et Alectryon est maintenant un homme fort et robuste. Ses parents étaient fiers de lui, fierté exacerbée par sa réussite à la cérémonie du choix de leur dieux tutélaire. Réussite qui leur avait permis de gagner en statut social, ce qui avait grandement agacée une certaine famille. Il s'entraînait depuis de nombreuse années, un devoir pour les serviteurs d'Arès qui se devaient de toujours être martialement prêt. Pugilat, pancrace et autres discipline faisait partie de ses exercices quotidiens. Exercices qu'il pratiquait avec comme partenaire Hephicles, son condisciple depuis la cérémonie d'il y a quelques années. L'eau avait beau avoir coulée sous les ponts, la haine que lui vouait celui-ci n'avait pas changé. Et chaque jour, il s'employait à lui rappeler avec violence. Un jour alors qu'Alec arrivait pour l'entraînement et, pensant recevoir sa raclée quotidienne, il s'aperçut que son éternel rival n'était pas là. Il demanda au prêtre des nouvelles mais, le vieil homme ne voulut pas répondre, lui rappelant qu'il avait encore bien du travail avant d'être un parfait serviteur du dieu de la guerre. Deux semaines s'étaient égrainer si vite et, pourtant toujours pas de nouvelle d'Hephicles. Non que son habituel méchanceté manquait au jeune homme mais, cette soudaine disparition et le manque d'inquiétude des gens à ce sujet, piquait sa curiosité. Il refusa de faire ses exercices tant que le prêtre ne répondait pas à ses questions. - Où est parti Hephicles et pourquoi personne ne semble s'en préoccuper?L'officiant levas la main comme s'il était prêt à lui donner une gifle mais, il se ravisa et, dans un soupire lui répondit. - Il est partit chercher un surplis, une armure de chevalier d'Arès. C'est pour ça qu'il n'est plus là et que personne ne s'en inquiète. Tout le monde espère qu'il reviendra bientôt avec l'armure et apportera la renommée sur le pays.- Une armure? Mais vous savez où elle se trouve?-Oui elle est dans le col des Euripides à trois jours de marche, c'est un voyage périlleux que seul un serviteur parfaitement entraîner peut entreprendre.-Trois jours aller, trois jours retour. Il ne faut pas une semaine je suppose pour prendre et revêtir une armure. Il lui est sûrement arrivé quelque chose! Protesta Alectryon. Il faut organiser une patrouille et aller le chercher.-C'est hors de question! Répliqua le maître. Seul les initiés comme lui et toi peuvent prendre le chemin qui mène au surplis.-Alors, pourquoi ne pas m'envoyer moi? S'étonna le jeune homme. -Parce que s'il s'avère qu'il est vraiment en difficulté, lui envoyer son rival, serait une humiliation.Là le novice ne comprit plus, comment, pour une raison de fierté pouvait-on laisser une personne en danger. -J'irais le chercher! Et vous ne pourrez pas m'arrêter.Le prêtre vit sa détermination et céda à sa requête. Il lui remit un plan montrant le chemin que son condisciple avait pris et lui fit une bénédiction pour que lui et son compagnon reviennent en vie. Le lendemain, il partit donc pour le col, priant Arès qu'il ne soit pas trop tard. Hephiclès était certes, un imbécile mais, aucun homme, si antipathique soit-il, ne mérite de mourir seul, loin des siens. Il prit donc la route avec la ferme intention de ramener ce corniaud chez ses parents. La route était magnifique au début du périple, les champs et les plaines se succédaient, colorant le trajet et, offrant un échantillonnage de parfum des plus agréable. Mais, bientôt, les difficultés arrivèrent. Le chemin obliqua sur la droite en une pente d'une déclivité si forte que chaque pas donnaient l'impression de peser une tonne. Cette pente, bien que raide, fut vite oublié lorsque le chemin s'arrêta devant un pic. Il fallait l'escalader pour pouvoir poursuivre la route et là, se fut l'enfer. Les pans de roches étaient soit, si friable qu'ils tombaient en poussière, faisant perdre l'équilibre, soit des lames de rasoirs épuisant notre pauvre héros. Après bien des souffrances, il vit enfin un temple, au pied d'un arpent rocheux de chaque côté duquel, brûlait d'immense torchères. Alors qu'il s'en approchait, il vit une silhouette se détacher de l'ombre d'un pilier. En se mouvant aux abords de celle-ci, Alec vit qu'il s'agissait d'Hephicles, gisant, mort. La neige avait commencée à le couvrir, ce qui amena le jeune homme à penser qu'il était mort peu de temps avant son arrivée. Il se maudit de n'avoir pu arriver plus tôt. Si seulement Le prêtre l'avait prévenu plus tôt. Il essuya une larme pour son rival qui n'avait pas mérité de finir ainsi et, vit une lettre dans la poche. Père, Mère,
Je n'ai pas été à la hauteur et, croyez bien que je le regrette. J'avais pourtant réussi les épreuves mais, au moment de prendre l'armure, un dernier piège je suppose, je reçu une violente douleur, une pointe de lance dans l'abdomen et, la frustration de l'échec. Qu'est-ce qui a pu décevoir mon dieu, j'ai fait tout ce qu'il attendait de moi. Je n'avais jamais douté jusqu'à maintenant. Et là, alors que je sent que la mort va venir me prendre, que je rejoindrait bientôt les rivages d'Hadès, mes pensées vont vers vous mes chers parents. J'écris ceci sans savoir si vous ne pourrez jamais lire mes mots mais, je me sent moins seul de les écrire et de penser qu'ils pourraient peut-être un jour vous être remis. Je regrette tellement...La lettre se terminait là et la gorge d'Alectryon se nouait si fort qu'il aurait pu en vomir. Ainsi son adversaire aussi était un jeune plein de doutes et, dont le seul désir était de rendre ses parents fiers de lui. Il ferma les yeux de son rival et prit la lettre, il renversa des braises sur le sol pour y faire fondre la neige et rendre la terre plus meuble, il pourrait donc donner une sépulture décente au défunt. Après cela il entra dans le temple, ce ne fut qu'une formalité de parvenir à l'armure, car, les pièges avaient bel et bien été retirés. Il vit le surplis, une armure somptueuse, aux détails surprenant qui irradiait d'une lueur rouge, comme si le feu jaillissait de chaque sillon. Il se mit à genoux devant elle et pria. -Arès, seigneur de la guerre, pourquoi as-tu laissé un de tes enfants périr de la sorte, qu'elle avait été son erreur pour que tu lui refuse si cruellement ton service.Après un moment de silence, une marque se fit dans la pierre du temple, derrière le surplis. Des sillons de la pierre sortait une lumière vive. Bientôt les marques formèrent un message. Il n'était pas un mauvais serviteur mais, ses raisons de devenir chevalier n'étaient pas bonne. Toi qui comprend que la guerre s'est aussi prendre soin de ses compagnons, toi tu peux porter l'armure. Revêt-la et, devient le symbole du pouvoir d'Arès en ce monde. Va! Il y eut un flash immense et aveuglant puis une sensation étrange et, Alec perdit connaissance. Lorsqu'il se réveilla, il était équipé de l'armure et dans le temple où il y a peu, il faisait son entraînement. En sortant il vit la foule des gens du pays qui s'étaient massés devant le temple. Une voix tonna dans le ciel et tout le monde s'inclina. -Peuple des croyants du seigneur Arès, Voici Alectryon, le cardinal du feu De la guerre.Allégeance HRP Vous et le forum ► Comment avez-vous connu le forum ? Par un ami ► Quel âge avez-vous ? 28 ans ► Double compte ? non ► Avez-vous pensé à lire et signer les règles ? Ben voui^^ Merci à Frosty Blue de Never Utopia pour le codage de cette fiche
Dernière édition par Maheloas le Ven 31 Oct 2014 - 12:12, édité 3 fois |
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