Bonsoir ! J'essaye de faire mon retour sur le forum, après 3, 4 longues années où mes études m'ont pris pas mal de temps et inefficacité d'orange à me mettre une livebox dans un appartement ! Ex joueur de titan, je reviens donc vers eux.
Ma Présentation
• NOM ET PRÉNOM : Helios • CAMP : Titan • ARMURE : Helios Sama • PERSONNAGE SUR VOTRE AVATAR : Création • CARACTÉRISTIQUE : Blondinet qui navigue au dessus des nuages à la vitesse du soleil ! • NIVEAU DE RP : Gros Retour au niveau débutant !
Mon Histoire...
L'enfant unique
Grêce, en territoire non répertorié..
Alors que le jour se levait, le monde accueille un nouveau né, un nouveau né entre tant d'autres, qu'importe. Les parents tout excités avaient déjà pensé à son nom, Suna. Le soleil brillait dès l'aube, rien ne semblait pouvoir l'arrêter tout comme la nouvelle progéniture. C'était leur premier enfant, mais aussi le dernier car Corise, la mère, ne voulait pas exténuer son corps à mettre au monde une multitude de gamins. C'était l'enfant unique, son avenir devait être le plus radieux possible pour qu'il puisse porter le poids de sa famille dans les années futures.
Un avenir déjà tracé
Plusieurs années plus tard..
La progéniture avait grandi, il avait une dizaine d'été. Sa mère ne travaillant plus s'occupa de lui autant qu'elle le pouvait. Corise était aux services de son fils et cela se faisait déjà ressentir. L'enfant avait l'allure d'un homme. Ses cheveux blonds flottaient dans l'air comme la coque d'un bateau engloutissait les vagues, son visage fin allait parfaitement avec son corps aiguisé et très peu musclé. Son regard vous faisait partir en voyage dans les différentes contrés du pays, on sentait en lui une personne sereine et charismatique voir quelques peu manipulateur pour les pessimistes qui se méfient. Sa culture dépassait tous les autres enfants de son âge, sa mère, une ancienne littéraire en était pour beaucoup. Mais l'âge de l'enfant gâté qui ne se cassait pas un ongle devait s'interrompre. Son père, Constant, éleveur de chevaux, une vingtaine, pour les « hauts placés » voulait maintenant le former à son métier pour ainsi lui laisser le fardeau. Il était nécessaire pour eux, pour leur survenir qu'il y parvienne et même améliore le système de son père. La première semaine se passa, un changement de rythme que le blondinet eu du mal à accepter. Ne plus voir sa mère en continu lui manquait, un lien étrange s'était formé entre eux. Des confidences, une confiance. Mais ceci devait cesser. Maintenant il était apprenti, apprenti à son père. Le programme n'était pourtant pas surcharger, Suna brossait les cheveux, leur donner une certaine ration que son père confectionnait de part ses champs. Le dressage n'était pas encore à son niveau, Costant préfère l’entraîner sur un poulain. La deuxième semaine fût plus agitée. Alors que son père était parti monter son meilleur animal et que Suna brossait le cheval qui devait être vendu dans la journée, un gémisement d'une des femelles se fit entendre. Suna, terrorisé, alla voir. La jument perdit une poche d'eau, une mise bas imprévue allait se produire, dans les minutes suivantes..
* Mais, mais.. Père ne m'avait pas tenu au courant ! *
Les autres chevaux faisaient raisonner le bruit de leurs sabots contre le sol des enclos, Suna était complètement abasourdi, il ne savait pas où était son père. Il regardait la scène, impuissant et paralysé, les yeux aussi grand que des pommes, les poils se dressèrent, le froid le pris. Il avait peur. Tout à coup son corps ne lui répondait plus, il se mit à avancer vers la bête. Il était comme un esprit enfermé dans un autre être. Sa main lissa le ventre de la jument. Une voix retentit dans l'enclos :
« Pyroïs, Eoos, Aethon, Phlégon.. »
Cette voix sorti de nulle part, Suna réussit à reprendre le contrôle de ses membres et se projeta contre le mur. Il était seul ici avec l'animal, qui d'autre avait pu parler ?! Un mystère, nul ne sait. C'est alors que la jument mis bas, seule, dans d'atroce souffrances. 4 poulains sortirent, une chose invraisemblable. Une portée aussi grande ne peut être possible, la jument succomba par les efforts effectués, elle succomba des séquelles d'une telle mise bas dans les minutes qui suivirent. Constant arrivé dans l'heure qui suivait, paniqué par la non- présence de son fis il se précipita dans tous les enclos pour trouver son fils. C'est alors qu'il le retrouva dans un enclos, coller contre un mur, une jument morte, mais quatre poulains vivants, ils étaient tous dotés d'une blancheur immaculé et d'une crinière dorée.
« Suna, que c'est-il passé ? »
«Pyroïs, Eoos, Aethon, Phlégon.. » répondit le fils d'une voix paniquée..
Une passion, un métier, une balade, un passage..
Huit été passèrent..
Déjà huit ans que Constant forme Suna, les quatre poulains datant sont devenus de braves bêtes. Les deux hommes se sont juré de ne pas les vendre, un signe ? Sûrement, Suna ne voulait pas les voir partir, ils étaient tellement beaux.. Constant a réussi à entraîner son fils au dressage grâce à ses bêtes. Mais quelque chose le préoccupait. Ils n'avaient pas l'air de vieillir, leurs souffles ne s'épuisaient pas, les chevaux étaient comme divins. Tellement Divins que Suna ne vivaient que pour eux, comme s'il était en attente de quelque chose, de quelqu'un. Un jour d'été, comme toutes les autres matinées il partit dans les montagnes pour promener ses bêtes. Au programme une des plus hautes montagnes de la compté, un endroit très peu convoiter où une ambiance de solitude règne. Comme toutes les autre fois qui précédaient Suna et ses chevaux gravirent les plus grosses pentes. Mais c'est alors qu'un accident lui arriva, un pied mal posé, une chute assurée de plusieurs mètres, son attention avait trop baissé. À l'arrivée, Suna ne voyait plus, ses yeux étaient ouverts ,mais il ne voyait plus rien, la douleur était atroce et personne ne pouvait l'aider dans ses montagnes abandonnées. Les chevaux étaient redescendus vers leur maître. Alors qu'il hurlait de douleur, une présence futile se fut ressentir. L'homme et ses chevaux n'étaient plus seules. Pourtant, les chevaux ne paniquèrent pas alors que le blond était fou.
Une voix qu'il avait déjà entendu, il y a de cela huit ans. Malgré la douleur il parvint à la diserné.
« Qui êtes vous, que me voulez vous, aidez moi ! »
« Je suis le propriétaire de ses chevaux, celui qui veilla sur eux, ainsi que sur toi. Mais maintenant, c'est à toi de me faire une faveur. Comme tu as dû t'en apercevoir ta vue a quelques problèmes, n'est ce pas ? »
Suna était fou, fou que cette personne croit que ses chevaux étaient les siens, mais aussi que l'on se moque de ce qu'il vient de subir. Dans une voix où on pouvait percevoir une douleur infinie
« Mais que me veux-tu, viens en mon aide plutôt que de t'éterniser.. Aide moi à me relever, à me soigner de ses blessures et aide moi à apprécier la beauté de mes chevaux ! »
« Comme tu voudras, mais ceci ne t'apportera que l'oubli de ton passé, tu préfères vivre pour voir ses chevaux que vivre ta vie sans eux ? »
« Rien ne vaux cette beauté éblouissante... »
Des larmes vinrent sortir de ce beau visage, lui de Suna. Il ne le savait pas , mais il avait ainsi scellé son existence.. Pendant un cours instant le blondinet ne senti plus rien, le passage d'hôte était en train de s'effectuer. Hélios avait prévu son retour et ce depuis le début. L'ancien dieu emprisonné au Tartare avec ses frères, sœurs et parents avait tout organisé dès la naissance de ses chevaux. Ses bêtes étaient devenues folles, comme si la venu de Helios dans un hôte était une délivrance, une renaissance. Ses chevaux étaient bien immortels.. Helios était aussi le garant du don de la vue, il n'eut pas de mal à retrouver ce don dans le corps de son hôte. Suna n'était plus, son esprit ne combattait pas Helios, il eut ce qu'il voulait, pouvoir regarder ses cheveux pendant une éternité. Il avait renié à toute vie pour ces animaux qu'y l' avaient tellement tourmenté par leurs beautés et leurs côtés mystérieux. On pouvait voir dans une partie du regard du corps hôte de Helios une fascination pour ses chevaux.
* Idiot que tu es, maintenant regarde bien ses chevaux et laisse-moi prendre possession de ce corps, être humain.*
C'est alors qu'Helios invoqua son char, y attacha ses cheveux et partir vers l'occident à la vitesse du soleil qui était en train de se coucher..
Ps : Désolé si la syntaxe n'est pas terrible, je dois améliorer tout ça. Et la fin de l'histoire est assez spécial. Le changement d'hôte j'ai vraiment du mal !
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~~ Déchu ~~
Spoiler:
Dernière édition par Baalzébuth le Lun 6 Oct 2014 - 18:48, édité 2 fois