Card Duncan, Psyché de la beauté, armés des roses blanches [ok]

Londre, Angleterre, année 1703…

Tout à commencé par cette nuit bien sombre, une nuit sans lune et dont les étoiles du firmament s’étaient évaporées de pars leur timidités derrière les courageux nuages d’orage qui baignait le royaume d’une pluie grasse et glacée à même de frigorifier jusqu’aux os les malheureux qui s’aventureraient sous la violence des éléments… Cette nuit là, la seule lumière sortant des ténèbres était le bombardement violent des fureurs divine, plus communément nommées « éclair » ? Le tonnerre lui n’était pas audible tant la pluie battante faisait résonner les pavés des routes et les toiture des maisons fastueuses ainsi que des manoirs aristocratiques de la belle ville anglaise. Cependant on pouvait entendre de si et là les cries des pauvres gens vivant dans la misère et dont la tempête d’une rare violence pour cette région du monde avait arraché les toits et brisée les vitres des fenêtres des petits maison insalubres qui longeait les bord de la vielle ville comme une muraille de pauvreté autour d’un joyaux précieux ou siégeait les riches et les nobles londoniens…

En cette nuit peu enclin à la guetté, on s’afférait fébrilement dans un manoir du centre ville. Une grande demeure de près d’une cinquantaine de pièces richement décorées de tableaux d’ancêtre et de bibliothèque dons les livres enluminés de gravures d’or et d’argent avaient plus une valeur pécuniaire qu’un quelconque intérêt littéraire, sauf peut être bien sur pour un aristocrate voulant paraître cultivé, se ventant de les avoir tous lu quand des invités se présentent dans les salons de la noble maison… Mais le temps n’était pas à la lecture pour le maître de maison, il se passait quelque chose de bien plus important dans la chambre de sa dame et les crie de douleur de celle-ci le faisait frémir de peur à chaque que celle si s’époumonait de par la souffrance qu’elle ressentait actuellement…

Lord Duncan faisait les cent pas devant la porte devant les appartement de sa femme, attendant fébrilement et observant le va et vient perpétuel des servantes apportant draps propres et eau chaude tandis que d’autre repartaient de la chambre avec des draps souillés de sang… En effet Lady Duncan en était à son neuvième mois de grossesse et le travaille avait commencé ce matin. Le docteur Foster était vite arrivé sur place pour que l’accouchement se passe dans les meilleures conditions, cependant il avait du vite constaté que cela n’allait pas être aussi simple. En effet à son plus grand damne, il ne put que constater que l’ossature du bassin de la lady était trop étroit pour procédé à un accouchement par la vois naturel. Il ne restait donc que la chirurgie pour sauver ce qui pouvait l’être…

Alors que les heures défilaient et que le jour se levait bien que toujours cacher par l’orage incessant, les cries de la lady se turent laissant passé un long silence bientôt remplacé par les cries d’un bébé… Lord Duncan était fébrile, il avait besoin d’un héritier et espérait de tout cœur que son enfant soit un garçon… Alors quand la porte s’ouvrit et que le docteur Foster sortie de la chambre quelques minute plus tard avec l’enfant emmailloté dans un linge propre, Lord Duncan se jeta sur lui attendant la réponse si importante à ses yeux… « Un garçon »… Ces deux petits mots le comblèrent de joie. Non pas car il était heureux d’avoir un enfant, mais belle et bien qu’il avait « son héritier »… Un peu « sa chose » qui sera le représentant de la famille Duncan dès qu’il sera adulte. Mais c’était tout et le Lord ne prit même pas cas quand les servantes de la famille sortaient de la chambre en pleurant, ne remarquant même pas que sa femme ne disait mots et que de toute façon elle n’ouvrirait plus jamais la bouche pour dire je t’aime à son enfant, un magnifique garçon déjà orphelin sans le savoir mais dont le destin était bien plus somptueux que celui que lui voyait son père indigne qui de toute façon, payera bientôt le manque de respect envers la mère défunte de celui né sous la tempête mais dont la venue apportait le soleil et le calme… En effet dehors, le soleil s’était désormais totalement levé et les nuages, la pluie et les éclaires avaient laissés place au beau temps radieux comme si les dieux venait bénir celui qui venait de voir le jour dans la douleur de celle dont il ne retrouvera plus jamais la douce chaleur…

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Les années sont passées, rapide et inexorable le temps fait son office. Le jeune Lord Card Duncan est devenu un beau jeune homme dons le regard mystérieux n’a de cesse d’interpeller les jeunes filles comme les femmes de la coure royal où il passe le plus clair de son temps, traîné ici par son père voulant se faire remarqué par la famille régnante se servant de son fils comme faire valoir… En effet, tout réussi au jeune Card, il est beau, toujours élégamment vêtue, faisant presque croire de par ses tenues sombres et parfaitement ajustées qu’il serait un jeune homme d’une vingtaine d’années alors que ce n’est qu’un enfant de quinze ans… Le jeune homme bien que élevé dans la strict éducation religieuse, n’avait aucun mal à s’écarter de la voie de la religion et de cette chasteté forcé pour aller s’adonner au plaisir de la chair avec celle de son age mais aussi avec les dames mariées de la coure en cachette, se servant de ses charmes pour obtenir tout ce qu’il désirait, que cela soit simple plaisir et aventure d’une nuit ou plus subtilement arrivé à manipuler ceux au celles qui pouvaient influer sur les entreprises de son père…

En effet, le jeune Card prenait bien plus de plaisir à nuire à son père que de profité du corps d’une jeune ne pouvant se refusé au magnétisme du garçon qui lui-même ne comprenait pas comment il pouvait avoir tant de succès au près de la gente féminine et même masculin, bien qu’il ne mangeait pas de se pain là… Il ne le comprenait pas, mais il savait que il lui suffisait presque uniquement de regarder une personne dans les yeux pour que celle-ci ne tombe amoureuse de lui en l’instant… Et c’est bien pour cela qu’il en voulait à son père, du moins en partie pour cela. En effet, son père était le seul qu’il n’arrivait pas à manipuler comme il le désirait, celui-ci échappant à cette étrange magie. Mais Card n’avait pas que cela contre lui, il lui reprochait aussi son indifférence envers la mère du jeune garçon, la seul femme que Card aurait aimé connaître sans pour autant vouloir la manipuler, il aurait simplement voulut l’aimer comme tout enfant aime sa mère… Mais cela ne lui était plus possible, elle était morte en lui donnant naissance… Mais le Lord, son père n’avait que faire du sacrifice de sa femme et ne voulait qu plus de pouvoir dans le royaume anglais… Ce qui faisait bouillir de haine Card qui préparait lentement sa vengeance… Et cette vengeance allait prendre corps rapidement, Card avait profité de la présence un jour au manoir familial du général royal en charge des parties de chasse du roi du pays pour convaincre celui-ci de convier la famille Duncan à la chasse royale… Il allait de soit que le général ne put lui refusé cela, incapable de dire non aux yeux mystérieux du jeune garçon, comme hypnotisé par Card qui lentement laissait les pièces du puzzle de sa vengeance s’imbriquer méthodiquement. Mais bien sur, Card n’avait pas informé le général qu’un accident tragique allait avoir lieu le jour de la chasse, il fallait garder la surprise… Une douce surprise en plomb propulsée par un mousquet de haute qualité, l’une des premières armes à feu véritablement capable de tuer à 200 mètres… Et Card en possédait un qu’il avait obtenue en s’accordant les bonnes grâces de la fille de l’armurier du roi. Joindre l’utile à l’agréable, voila la devise du jeune Lord…

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Le jour de la chasse était enfin venu et le Lord Card préparait son arme avec méticulosité. Une seul balle allait suffire et il n’avait pas envie de louper son coup car il sera très dure de faire croire à un accident autrement… Il faisait beau et Card profitait du soleil sur son cheval un peu à l’écart de la troupe de chasseur, gardant juste un oeil sur son père pour s’assurer de toujours l’avoir en vu et à porter de tire pour ne pas le louper… Cependant, à son plus grand damne, Card ne trouvait pas l’occasion de venir à ses fins, trop de personnes se trouvant autour de son père, lui cachant le dos de son géniteur et lui empêchant ainsi un tir précis et mortel… Le jeune garçon observait toujours, suivant la troupe au loin sur son cheval ne se rendant pas compte qu’il entrait dans une forêt dense et tortueuse. Bien rapidement, perdant de vu la troupe de chasse, il s’égara sans vraiment comprendre comment cela était possible tant le chemin qu’il suivait sembla disparaître par magie sans laissé de trace… Le jeune homme ne comprenait pas et surtout ne retrouvait pas son chemin, et ici, son charme n’avait aucun effet sur la nature environnante…

Errant toute la journée, la nuit finit par tombée sur le jeune homme qui gardait étrangement son calme, il suivait son instinct comme guidé par une douce voix qui résonnait dans sa tête depuis plusieurs heures…

Viens…

Viens à moi…

Toi qui inspire l’amour et la luxure…

Toi dons le pouvoir insoupçonné ne demande qu’a se réveillé…

Viens à moi mon aimé…

Card ne cherchait plus à comprendre et se laissait guider par cette voix comme si pour une fois, c’était lui qui succombait à un charme incompréhensible et incommensurable… Doucement, au loin devant lui, alors que la nuit était tombée depuis longtemps, un scintillement argenté attirait son regard, le guidant dans la pénombre sordide de cette forêt sans âme… Au bout d’un long moment, il arriva dans une vaste clairière, le sol était recouvert de rose blanche à perte de vue tel le jardin d’éden tant la beauté du lieu était magnifique et que bien des hommes se seraient brûlé les yeux par tant de beauté… Doucement il descendit de son cheval et laissa son fusil dans son fourreau, solidement harnaché à la selle de la monture… Card avança à travers le champs de fleurs, celles-ci semblants s’écarter devant lui comme pour évitées de se faire piétiner par les bottes d’équitations du jeune homme… Son regard se porta alors sur le centre de la clairière où se trouvait une étrange statue brillante comme du platine, représentant un homme assis sur une pierre, les jambes croisées et contemplant une rose blanche elle aussi en métal… La statut était en taille réelle et semblait vibrer de plus en plus à même que Card s’en approchait… La voix repris de plus belle tandis qu’une silhouette de femme apparaissait derrière l’armure…



Te voila enfin…

Il est temps de réveiller ton pouvoir…

Laisse libre coure à tes envies…

Laisse toi submerger par la volupté divine…

Laisse toi guidé par ta beauté…

Toi qui commande à la beauté et à la volupté…

Revêts ta Psyché…

Tu es la beauté incarnée, Card Duncan, Psyché de la beauté, armés des roses blanches…

Card, j’ai besoin de toi, viens à moi, rejoints moi, je suis ta déesse…

Je suis Aphrodite, déesse de l’amour…

La vision disparut presque aussi vite que qu’elle était apparut, laissant le jeune homme un peu perplexe mais toujours étrangement calme en vue de la situation bien mystérieuse… Devant lui la statue sembla littéralement exploser, se scindant en maintes parties qui vinrent se poser sur le corps du jeune homme tel une armure de chevaliers ancestraux… Le jeune garçon regardait cela faire presque incrédule souriant, presque comme si il avait toujours su que cela allait arrivé un jour…

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Plusieurs jours plus tard, les journaux titraient la disparition de la famille Duncan, je jeune Card Duncan alliant disparut lors d’une partie de chasse et la mort du Lord, assassiné par un homme inconnue dans le manoir, les témoins ayant parler d’un homme en armure blanche et qui aurait laissé une rose blanche sur les lieux du crime… La police à conclue à l’acte d’un détraqué se prenant pour un chevalier du moyen age, l’enquête pourtant n’est pas encore bouclé…