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 Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre

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Wagner

Wagner
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Caractéristiques
Vie Vie:
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MessageSujet: Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre   Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre EmptyJeu 16 Aoû 2018 - 1:12

Wagner
Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre
Avatar (nom + origine)
"Citation de votre personnage"
Une phrase qui le caractérise Une cicatrice de plus.

¤ Je rejoins les forces de Arès (le pauvre)
¤ Mon élément de base sera l'élément de base de votre personnage Feu
¤ Je suis principalement parfois violent, bon vivant
¤ Mes origines trouvent leur source en Le Saint-Empire Romain Germanique
¤ Je suis âgé de 22ans
¤ Je considère La joie de se battre. Rire.
¤ Je ne considère pas les traitres
Décrivez-nous la mentalité de votre personnage. Sa manière de penser, de réagir, son caractère, ce qu'il supporte, ne supporte pas... ses tics et manies, etc...
Pas de nombre de lignes obligatoire, mais cela aidera vos lecteurs à mieux cerner votre personnage.
Psychologie



Wagner n’était clairement pas destiné à devenir l’un des gardiens d’un dieu grec, et pourtant le destin peut se montrer étonnant, aussi bien dans sa cruauté, que dans ces joies, que dans sa finalité. Sa destinée avait été scellée dès sa rencontre avec l’espadon Zweihänder une épée maudite allemande, mais il ignorait alors, et il ne s’imaginait pas que l’enfant allemand qu’il était, servirait des dieux dont il l’ignorait l’existence alors que sa famille était Chrétienne.

Le jeune enfant était issu d’une famille reconnue et puissante de noble effacé de l’histoire, d’ailleurs, il était dit qu’elle avait participé à la création d’un style de combat utilisant l’espadon, Zweihänder en allemand. Son père, de son prénom Siegfried, en était un digne représentant, reconnu de tous, considéré comme l’un des meilleurs guerriers d’Europe, et fait exceptionnel pour un noble, il officiait en tant que maître d’arme. Quant à sa mère Sieglind, elle était connue comme étant l’une des plus belles femmes d’Allemagne, sa grâce était digne d’une déesse et sa voie était d’une pureté sans nom. Wagner était fier de ces origines, il se mit ainsi à l’art de l’épée géante dès son plus jeune âge, bien plus tôt que son père s’imaginait, entrainé et élevé suivant le code des chevaliers, l’enfant fut rapidement responsable, d’une grande maturité et d’une musculature étonnante. Son talent était exceptionnel et son potentiel pouvait lui permettre de suivre les traces de son père, voir le dépassé. Pourtant, il n’était pas imbu de lui-même, il possédait le respect de ces adversaires, et il savait que le talent ne faisait pas tout, ce dernier pouvant être surpassé par le travail, alors il s’entrainait davantage que les autres élèves. Une grande force de caractère qui cachait une grande naïveté pourtant. Pour lui, le respect était une chose naturelle et la lâcheté un concept inimaginable, de ce faite, le jeune enfant pensait que tout être humain était comme ça.


Un jour, tandis que Wagner s’entrainait, il entendit une étrange voix qui parlait avec des mots incompréhensibles mais semblant venir d’un autre temps. Au début, l’enfant cru qu’il avait rêvé, et qu’une fois encore, il avait abusé sur son entrainement, ce que ces jambes ne lui cachaient pas, menaçant de céder à chaque instant. Le jeune élève décida de s’arrêter pour le jour, en déposant l’épée d’entrainement, de nouveau la voix se fit entendre, et de manière plus clairement cette fois ci.

« Viens me délivrer, viens mon enfant, écoute ma voix et suis là, je te donnerais de la puissance si tu me sauves… »

Wagner eu un frisson dans le dos, la voix était morbide, elle semblait aussi froide que le vent d’hiver, comme si chaque mot était porté par une peur intense, le paralysant presque. Etrangement, elle semblait venir du bâtiment servant à stocker les armes. Malgré que son instinct lui dictât de ne pas y aller, l’enfant refusa de fuir, ne voulant pas céder à la peur. Ce n’était pas un lâche, et si elle était une chose de naturelle et nécessaire, son père lui avait appris qu’il fallait l’écouter mais ne pas y céder sauf dans certains cas. Malheureusement malgré toute sa maturité, Wagner restait un enfant, inconscient du danger, il ne fit pas la différence entre l’écouter et y céder. Au lieu de fuir, le jeune garçon entra dans la bâtisse et suivis la voix qui continuait à l’appeler. Plus il s’en approchait, plus il avait l’impression d’être lourd, l’air l’entourant lui semblait de plus en plus tangible, l’empêchant d’avancer normalement. En réalité, ce qui l’empêchait d’avancer à sa guise, était la sourde terreur qui grandissait en lui à fur et à mesure qu’il avançait, son instinct de survie lui dictant de ne pas aller plus loin. Wagner remarqua sur un mur, où se trouvait un râtelier d’arme coller au mur, que l’une des pierres était rouge sang, chose qui lui semblait inconcevable car il ne l’avait jamais remarqué, lui qui s’y rendait presque tous les jours. L’enfant hésita, finalement la curiosité l’emportant, posa sa main dessus. Un mécanisme se fit entendre, puis un bruit sourd derrière lui se fit entendre. Il se retourna et vis dans une cavité, un espadon tout rouillé avec une feuille avec une étrange écriture dessus. Ce n’était pas de l’Allemand. Il était partagé entre l’envie de retirer ce mystérieux papier jauni par le temps, ou de s’enfuir au loin avant de vomir de dégout.

Soudain quelqu’un entra. Tout avait disparu, de l’épée à la pierre rouge sang. Wagner était debout, pâle et perturbé. Avait-il rêvé ? Devenait-il fou ? Il sorti précipitamment et tenta d’oublier. Pendant un temps, rien ne se passa. Wagner commença à souffler et à mettre cette étrange histoire sous le compte de la fatigue. Naturellement, suite à ça, il devint plus raisonnable dans son entrainement. Puis, quelques mois plus tard, un soldat de son père mourut dans d’étrange circonstance. L’homme en question aurait quitté sa garde, sous l’œil étonné de son collègue, et s’était rendu dans cette fameuse pièce. On l’avait retrouvé au sol, le visage à moitié arraché par ces propres mains. Puis, un mois plus tard, une servante fut retrouvée, dans cette même pièce en train de manger ces propres mains, tout en criant qu’elle devait manger le pain du seigneur avant que la famine s’installe. La femme décéda dans la nuit. Suite à ce deuxième tragique évènement, la décision fut prise de sceller la porte, mais les gens évitèrent de toute manière le bâtiment.
Deux semaines plus tard, une autre personne disparut. On fouilla partout, nulle trace, puis une autre une semaine après la précédente. Le château commença par être déserté. Des rumeurs commencèrent à enfler allant du simple bandit et d’autre bien plus inquiétante. Comme celles que le seigneur usait de la magie noire ou que sa femme se baignait dans le sang de vierge, telle une Elizabeth Báthory. Bien entendu, cela arriva aux oreilles de l’Empereur et du Prince gouvernant cette partie du Saint Empire. Ce dernier convoqua Siegfried pour s’expliquer et remédier au plus vite au problème. C’est ainsi que Wagner accompagna son père pour la première fois à la cours Princière. Si la situation était tendue, ce dernier semblait amical et serviable. Une armée fut même prêtée. Etrangement, Siegfried semblait de plus en plus sombre, au point de ne plus parler du tout. Ce qui inquiétait l’enfant ne comprenant pas pourquoi son père, au lieu de se réjouir et apprécier la bonté de son Prince, s’énervait. Il était encore trop jeune pour saisir la réalité de la situation. Ces disparitions n’étaient que prétexte, le but réel était de mettre cette région, riche en charbon sous la tutelle du Prince, et qui dans le meilleur des cas, remplacer l’actuel Seigneur par un autre de son choix. Une marionnette de préférence.

Curieux, l’enfant passa beaucoup de temps parmi les soldats prêtés. Ne serait-ce par leur méthode de combat plus moderne que celle encore usité au château, ils étaient intéressants. Il fit tout particulièrement attention au gradé, et étant encore jeune, il passait inaperçu la plupart du temps. Certains lui demandant même de faire certaines corvées. Si ces dernières n’étaient pas intéressantes, cela lui permettait tout de même d’être proche, parfois trop proche. Comme la fois, où il tomba nez à nez avec une femme nue. Une première pour ce jeune garçon, pour qui les relations entre garçons et filles s’arrêtaient à des baisers. Néanmoins, le voyage se passa bien, malgré que le retour était un peu plus long que l’aller avec cette armée.

A leur arrivée, le château était dans un état lamentable. Les disparitions avaient continué durant leur absence. Entre les serviteurs disparus et ceux qui étaient partis, il n’y avait tout simplement plus assez de personnel pour entretenir une telle bâtisse. Les soldats s’établirent à proximité, leur camp s’étalaient et donna l’impression à l’enfant, d’être permanent. Etonnamment, il n’y eut plus de disparition les jours qui suivirent. Et le calme s’installa, toutefois une tension semblait régner dans l’air, prête à éclater.  Ce qui était évident, puisqu’une armée mobilisée inactive pose naturellement des soucis, les gradés ne profitant pas pour faire des exercices afin d’occuper les hommes, qui s’ennuyaient, ou le ne voulait pas.

Le destin se mit en route soudainement et brutalement. C’était une nuit de pleine lune, calme, trop calme. Wagner fut tiré de son lit par sa mère, cette dernière semblait paniquée, essoufflée et sa robe de nuit était déchirée. Mille questions lui venaient en tête. Des cris et des bruits de combat perçaient le calme nocturne. Le jeune homme paniqua à son tour à la vue de tout ça, toutefois il fit oui de la tête à sa mère. Cette dernière ouvra la porte et ce fut là, la déferlante d’horreur et d’incompréhension. Des hommes se battaient à mort partout dans le couloir, des soldats, des gardes, des villageois. Il n’y avait aucune cohérence, on ne pouvait dire qui se battait avec qui. Le sang coulait à flot des blessures, formant une peinture funeste. La puanteur des boyaux et des vessies, qui se vident après la mort, emplissait l’air. Quand un combat à mort se terminait, le survivant passait au suivant. Et surtout, comment ils avaient pu venir jusqu’ici ? Le garçon ramassa une épée qui trainait par terre et avança. Tout le monde les ignorait. Wagner n’osait pas demander pour son père et suivait silencieusement sa mère. En jetant des regards dehors, il vit que le camp était en proie aux flammes, on distinguait aussi des silhouettes s’affronter un peu partout sous la lumière lunaire et des étoiles.

Alors qu’ils allaient sortir du château par une entrée de service, une épée surgit. Wagner para in extremis l’estocade, et fut à son tour engagé dans un combat à mort. Son adversaire, un soldat, était massif, sa façon de se déplacer était étrange et il n’était pas en garde. Son visage était le plus perturbant, son expression était empreinte de folie et dans son regard, une lumière rouge brillait. L’homme bondit et envoya le gamin voltiger contre le mur. A demi conscient, il vit l’homme frapper sa mère à l’estomac tandis que cette dernière voulait rejoindre son fils. La colère l’emporta sur la douleur. Le jeune homme l’embrocha. Wagner se retrouva yeux dans les yeux avec ce soldat. L’incompréhension se lisait dans ce regard. Est-ce qu’il avait imaginé cette étrange lueur ? Puis, son estomac se retourna, il venait de tuer pour sa première fois. Il tomba à genoux, au côté de sa mère. Cette dernière était inconsciente, il essaya de la réveiller, mais impossible. Ils ne pouvaient pas rester ici, à la vue de tous. Il porta sa mère du mieux possible, toutefois le répit ne dura pas longtemps. Et rapidement, trois hommes s’interposèrent, la même lueur étrange brillait dans leurs yeux. Hallucinait-il ?
Impossible de fuir avec sa mère sur le dos, et ces adversaires étaient trois. Lui restait deux choix, fuir en abandonnant sa mère, ou affronter ces trois hommes. La première option n’était pas envisageable, lui restait la seconde qui le mènerait à sa mort, mais au moins en se battant pour protéger une vie. Il lâcha sa mère sans ménagement et tendit son épée près à se battre. Deux se jetèrent sur lui, tandis que le troisième resta en arrière. L’un d’eux, un paysan se battait avec une faucille, tandis que l’autre était un apprenti de son père, dont l’arme était une Zweihänder. Son jeune opposant était un jeune homme plutôt prétentieux, se prenant pour le plus fort, et s’ils ne s’entendaient pas tous les deux, ils avaient aucun contentieux, rien qui ne justifiait de combattre l’un contre l’autre dans un duel à mort. Qu’est ce qui se passait ? Cette question tournait en boucle sans trouver de réponse.
Le combat était difficile, gérer deux adversaires en même temps posait problème, le jeune homme devait se montrer vigilant à chaque instant, sans compter qu’il devait garder un œil sur le troisième qui n’attaquait pas étonnamment. Les blessures commencèrent à s’accumuler, elles étaient pour l’instant légères, mais ce n’était qu’une question de temps avant de tomber. Les deux autres semblaient n’avoir aucune crainte, ni ressentir aucune douleur.
Soudainement, les attaques s’arrêtèrent. Ces deux adversaires poussèrent un cri inhumain avant de se battre l’un contre l’autre, comme si Wagner n’était pas là. Le premier sentiment que le jeune noble eut, était un soulagement, immédiatement remplacé par une inquiétude aigue. Il se tourna vers l’endroit où sa mère devait se trouver. Elle n’était plus là, ni le troisième homme. C’était une diversion pour prendre sa mère, mais comment était-ce possible et pourquoi ? Est-ce que ces adversaires étaient manipulés ? Par qui ? Un démon, cela ne pouvait être qu’un démon. Toute cette folie devait être l’œuvre du diable lui-même. Sa mère devait être un sacrifice, le jeune homme devait la retrouver avant qu’il ne soit trop tard.
Les feux et la fumée empêchaient d’avancer facilement, et ces blessures le gênaient de plus en plus dans ces mouvements. Pour autant, personne ne l’attaquait alors que certains le croisaient en quête d’un autre adversaire, comme si Wagner était invisible. A force de déambuler, il tomba sur son père. Si pendant l’espace d’une seconde, le jeune garçon eut peur de voir son père dans la folie, il fut rapidement soulagé. Ce dernier dirigeait un groupe de soldat protégeant l’accès à la chapelle du château. Soudain, les hommes fous se retournèrent d’un seul bloc face à lui. Comme s’ils étaient contrôlés, leur synchronisation faisait peur à voir. Son dos reçu comme une décharge électrique, son instinct lui dictait de fuir cet endroit immédiatement. Ce qu’il commença à faire en reculant d’un pas. La vingtaine d’hommes se lancèrent aussitôt. Bientôt sa vue commença à se troubler, la douleur de ces nombreuses plaies entravait ces mouvements de plus en plus. L’enfant comprit qu’il avait négligé ces blessures, cela lui coûterait la vie. Wagner trébucha finalement et s’étala de tout son long, une scène comique dans d’autres circonstances. Il ferma les yeux s’attendant à ressentir le mordant du fer, mais rien ne vint. Le jeune homme se retourna doucement et se retrouva nez à nez avec une épée, qui tomba aussitôt sur le côté. Son agresseur avait été transpercé par la lame de son père, c’était le dernier de la place, les autres avaient été tué par la troupe de défenseur. Siegfried releva son fils, tout en le soutenant.

« Je suis heureux de te voir sauf. Mais où est ta mère ? Vous deviez vous enfuir. »

Tout honteux, Wagner baissa les yeux

« Je ne… sais pas…. Elle a… eté kidnappé. »

« Je vois, allons… »

Wagner n’entendit pas la suite, il perdit connaissance à ce moment-là.

Le jeune adolescent se releva brutalement. Immédiatement suivi d’une souffrance intense, toutes les parties de son corps lui faisaient souffrir, au point qu’il faillit s’évanouir de nouveau. Wagner avait de nombreux bandages, l’empêchant de mouvoir ces membres comme il le souhaitait, toutefois la force pour se lever n’était pas en sa possession, ce qu’il savait pertinemment. De nombreux gémissements dans toute la salle lui fit comprendre qu’il n’était pas le seul à être dans un sal état. Une infirmière le remarqua et parti aussitôt, sans doute pour prévenir son père. Son inquiétude pour sa mère, était son principal centre de pensée, malgré la douleur.
Finalement, son père arriva, leur retrouvaille fut très brève. Les problèmes provoqués par cette étrange nuit étaient considérables, en vie humaine et matériel. L’armée du Prince avait perdu un tiers de ces hommes, morts ou gravement blessés. Les dégâts sur les bâtiments étaient énormes et une partie des récoltes perdues. La garde déjà dégarni avait eu son lot aussi, tout comme les villageois. Sans aucune explication possible à ces évènements, autre que le Diable est sûr nous. Politiquement, cela tiendrait du miracle si leur famille ne perdait pas leur titre de noblesse ainsi que leur terre. Religieusement, s’ils ne finissaient pas sur un bucher, alors Dieu les auraient pris en pitié.
Si Wagner comprenait tout ça ainsi que la gravité des évènements, la seule chose qu’il retenait, c’était la disparition de sa mère. Cette dernière n’avait pas été retrouvée, il aurait au moins voulu pleurer sur son corps.

Les jours passèrent, la situation ne s’arrangeait pas. L’évêque vint pour purifier ces terres sous la domination du mal. L’Empereur envoya un représentant le temps que ce dernier vienne, sans doute pas réellement pressé de se rendre dans ce territoire maudit. Quand au Prince, il fit comprendre qu’un meilleur dirigeant l’accompagnerait. En attendant, faute de personne d’autre pour gérer le chaos, son père avait toujours les rennes.
Seule chose positive, Wagner pouvait de nouveau marcher. Encore difficilement, néanmoins, ces blessures guérissaient. Il était encore trop tôt pour que l’adolescent puisse reprendre l’entrainement, pas même les exercices les plus basiques, mais il se faisait un point d’honneur à marcher chaque matin.
Un violent orage frappa une nuit, les éclairs frappaient avec une grande intensité. La tension était extrême, si en temps normal, cela aurait échauffé les esprits, avec ces derniers évènements, nombreux étaient ceux qui priaient ou se signaient. Même l’Evêque ne semblait pas à l’aise. Wagner ne fut pas épargné, d’étranges rêves hantaient ces nuits, un combat entre un homme et un dragon, la malédiction de ce dernier, d’étranges forgerons utilisant le sang du dragon pour forger une énorme épée dotée d’un esprit rageur. Des combats qui dépassaient les capacités humaines entre des guerriers portants d’étranges armures. Des êtres qui semblaient être des Dieux. Et surtout, du sang et de la haine. A son réveil, le garçon eut l’impression de n’avoir pas dormis, son corps le tourmentait et il avait le goût métallique du liquide carmin.  Et chose étonnant, il se souvenait parfaitement de ces songes étrangement cohérents dans leur structure.
Wagner passa son visage à l’eau froide pour effacer tout relent de la nuit et comme à son habitude, marcher un peu avant de prendre son petit déjeuner. Tandis que son esprit était encore occupé par ces rêves, à leur trouver une quelconque signification, un attroupement semblait se former. Intrigué par ce qui pouvait attirer le peu de personnes encore présent et aussi de se libérer de ces sombres pensées, il s’y rendit. Tout le monde se retrouvait devant la tour scellée, toutefois, impossible pour lui de voir le pourquoi, c’est ainsi qu’il alla à la rencontre d’une femme qui venait de sortir de la foule. Quand cette dernière le vit, elle se mit à courir pour le fuir et à crier.

« LE FILS DE LA SORCIERE, C’EST LE FILS DE LA SORCIERE. FUYYYEEEZZZZ, LE DIABLE EST PARMIS NOUS.»

C’est ainsi que la foule s’ouvrit devant lui, les regards à la fois fascinés et effrayés par ce jeune homme, qui ne comprenait pas trop ce qui se passait. Quand finalement, ces yeux fut attiré par une chose que son cerveau refusait d’identifier dans un premier temps. Accroché au mur qui bouchait l’entrée, une croix à l’envers, symbole du mal. Sa mère était clouée à cette croix inversée, complètement nue, ces articulations formaient des angles bizarres, mais son visage avait gardé ces traits magnifiques et semblaient paisible, comme si elle dormait, ce qui rendait la scène encore plus horrible de par son contraste. Quand Wagner prit conscience de ce qu’il voyait, il se rua.

« MEEERRREEEE, MEEEE… »


Avant de l’avoir atteint, Wagner reçut un violent coup sur la tête et perdit connaissance. Le jeune homme se réveilla, son crâne lui donnait l’impression de vouloir exploser à chaque instant. L’adolescent voulu porter sa main à sa tête, mais s’aperçut qu’il avait été attaché et bâillonné. C’est ainsi, qu’il réalisa la situation. Un bucher avait été fait, et à son sommet, son père attaché à un poteau, ainsi que le cadavre de sa mère, sur une croix mais à l’endroit cette fois ci, on l’avait aussi rhabillé. Un prêtre faisait un sermon sur le pêcher originel et que le mal se cache partout, et surtout chez la femme, cruelle tentatrice. L’Evêque, qui se trouvait à côté de Wagner, se rendit compte qu’il avait repris conscience, se pencha sur lui et se mit à chuchoter à son oreille.

« Ton père a tout avoué, tous les crimes de ta mère et les sien. »

Wagner lança un regard d’incompréhension envers l’Evêque. Ces parents avaient fait toute ces choses horribles ? Sous le regard incrédule du garçon, l’homme d’église repris.

« Sous la torture, il n’a rien dit, vraiment un homme brave, mais quand on l’a menacé de te bruler avec eux, il a accepté de dire tout ce que l’on souhaitait. C’était hilarant. Il est peu probable que tes parents soient les vrais coupables, mais ils sont des sacrifices idéals pour renforcer le pouvoir de l’Eglise et de l’Empereur. »

Le garçon, à ses paroles, se mit à se débattre comme un fou, à crier comme il le pouvait toute sa colère. C’est alors que le Religieux s’écarta rapidement de lui.

« REEEGGGGARRRDDDDDEEEZZZZZ, MES FILS, REGARDEZ, LEUR ENFANT, IL EST POSSEDE LUI AUSSI. IL VEUT ME TUER. REGARDEZ COMMENT IL S’AGITE, C’EST LE MAL EN LUI QUI S’AGITE. J’AI BENNI CES CHAINES, DIEU A TRAVERS ELLE, LE BRULE, REGARDEZ CES YEUX INJECTES DE SANG ET DE HAINE. MES ENFANT QUE DEVONS NOUS FAIRE POUR SAUVER CETTE PAUVRE AME ? DITE LE MOI. »

La foule, tout comme les soldats rassemblés se mirent à crier pour la mort de l’enfant. On devait éliminer cette engeance. Quant à l’Evêque, il se tourna vers Wagner, qui vit dans ces yeux, la joie et la frénésie. Tout se passait comme voulu par le religieux. Ce qui l’enrageait encore plus. On érigea un troisième emplacement sur le bucher. Siegfried fut totalement anéanti quand on amena son fils, lui qui avait accepté d’endosser cette histoire, Sacrifié son honneur, sa vie à la seule condition que son enfant soit épargné.
Le feu fut allumé dans une frénésie mortuaire. On voulait les voir mourir, crier sous la souffrance. Pour la première fois de sa vie, Wagner était submerger par la haine et la rage. Il voulait la mort de ce soi-disant homme d’Eglise. Les flammes commencèrent à faire leur office, la chaleur augmenta rapidement et la fumée les étouffaient. Le feu commença à lécher leurs vêtements. Une rafale de vent attisa les flammes, qui d’un coup prirent leur envol. Son père commença à bruler. Son tour n’allait pas tarder, tout comme celui de sa défunte mère. Tout était perdu, pourtant sa rage ne cessait d’augmenter. Une voix se fit soudainement entendre dans sa tête.

« Oui, laisse monter ta colère, ta haine, ta rage. Laisse-les envahir ton corps. »

« Que me veux tu, maudite voix ? Je te reconnais, je ne t’ai jamais oublié, tu es celle par quoi tout à commencer. »

« T’aider. Tu veux te venger, n’est-ce pas ? »

« Plus que tout »

« En dépit de ta vie ? »

« Je vais mourir, alors ma vie… »

Wagner pouvait imaginer un sourire à ce…
Un rayon d’énergie venu du ciel vint frapper l’endroit où se trouvait le jeune homme. Et l’instant d’après, le garçon n’était plus dans ce brasier mais devant l’édifice maudit. Le mur, qui scellait l’entrée, avait été abattu. Une horrible odeur de putréfaction en sortait. Toute personne sensée aurait fui, mais la haine, qui coulait en lui, n’obscurcissait pas son jugement, elle l’était tout simplement. Rien n’aurait pu l’empêcher d’avancer. Deux gardes avaient été placés en faction, du moins ce qui restait d’eux. Leur corps coupé en deux, leurs tripes se répandaient sur le sol, tandis que la terre buvait déjà leurs sangs. Le garçon avança à l’intérieur. Des dizaines de corps s’y trouvaient, sans doute, tout ceux disparus ces derniers temps. Wagner marchait dessus sans même les voir, tout ce qu’il voyait, c’était cette pierre rouge sang. Tout se brouilla autour de lui, comme si son esprit ne commandait plus son corps. Des fragments lui parvenaient, et ce qui voyait le réjouissait. Les gens mouraient autour de lui. Les prêtres avaient été jeté dans les flammes, attrapés par une étrange aura formant une paire d’énormes serres d’oiseau. Quand arriva le tour de l’Evêque, la haine était le seul et unique sentiment existant dans le cœur du garçon. Tandis qu’il le regardait l’aura commença à prendre la forme d’un long cou écaillé, pour finalement finir une tête d’un Dragon apparu. Cette dernière se tourna d’abord vers Wagner. Dans ces yeux, le jeune homme ressentit une grande intelligence, mais aussi une noirceur sans fond, la destruction à l’était pure.
D’un seul coup, tellement rapide que le jeune noble ne réalisa ce qui venait de se passer uniquement par le résultat final. Il ne restait que les membres du pauvre homme gisant dans une mare rouge écarlate. Le buste, ainsi que la tête avaient été engloutis et étaient mastiqués par l’aura. Le bruit des os qui craquaient, le sang qui coulait entre les crocs fantomatiques. Même dans l’état de rage où il se trouvait, Wagner vomit. Tout ces actes lui revinrent en une extrême netteté. Son esprit avait été comme plongé dans un brouillard que la dernière scène l’avait extrait. Sa lucidité n’était que temporaire, il le savait car déjà, il ressentait le besoin de tuer, une soif infinie de vengeance. Non, ce n’était pas à lui ces sentiments. C’était ceux du dragon qui envahissait l’esprit de Wagner et il en était persuadé, il ne resterait plus rien de son esprit. Qu’allait-il devenir ? Non, qu’est ce que le monde allait advenir ? Ce dragon était une calamité que nul homme pourrait détruire. Désespéré, le jeune homme se mit à regarder partout autour de lui, quand finalement il remarqua un espadon dans sa main droite. Pourquoi ne l’avait-il pas remarqué avant alors qu’il la tenait ? Que faisait une Zweihänder ici ? Etait-ce le cœur du Dragon ? Tant de question alors que sa perception de la réalité n’était plus qu’une rai de lumière. Il se savait perdu et abandonna complètement le combat. C’était impossible pour lui de lutter, son esprit était trop faible face à cette bête et à sa rage. La dernière pensée fut pour ces parents avant de plonger dans un sommeil profond et sans doute éternel.


Clang, Clang
Le bruit d’un marteau contre le fer chaud.

Cling Cling
Le bruit d’une pioche contre la pierre.

BOOOUAAARRRGGG
Le dernier crie d’un dragon

Ces trois bruits furent les sons préférés d’un nain. Jamais il ne les oublierait, c’était aussi le symbole de sa plus grande œuvre. Zweihänder.
Aussi de sa plus grande erreur.

Une étrange arme. Ce n’était pas qu’une simple épée, car le fourreau lui-même était une arme. Où plus précisément une armure. Il était fier de sa création. Une folie néanmoins car inutilisable. Il lui manquait une dernière chose, mais impossible de l’obtenir. Comment obtenir le sang d’un guerrier invincible ? C’était impossible. Il était arrivé si loin pourtant.

Il avait fabriqué le meilleur espadon, supérieur même à une arme Divine. Il lui avait offert la puissance d’un dragon en baignent le diamant qui ornait le pommeau dans le sang du dragon. Et pour fabriquer le fourreau, il avait observé un étrange peuple fabriquant des armures pour Odin, il en avait amélioré leur art. Mais voilà, alors que son œuvre devait être parfaite, il comprit trop tard son erreur. Utilisé une pierre précieuse comme réceptacle de la puissance, une bonne idée à première vue, mais une stupide grande idée. La pierre avait non seulement absorbé la puissance du dragon, mais une partie de son âme aussi. Maudissant l’utilisateur. Il avait pu tuer son apprentie juste à temps, quelques secondes ou une petite hésitation et l'esprit du Dragon aurait été libéré. L’apprentie n’était pas une grande perte, de toute manière, le nain comptait le tuer; mais à quoi servait de faire une arme aussi fabuleuse, si cette dernière transformait son propriétaire en dragon fou ? Il réfléchit longtemps sans trouver de solution tandis qu’une aura funèbre autour de l’épée grandissait, presque palpable. La frustration grandissait en lui, au point de vouloir tuer, c’est alors qu’une personne apparue devant lui. D’une arrogance absolue, rodant autour de son chef d’œuvre. L’ignorant dans un premier temps, avant de le suspendre dans les airs. Un nain qui vole, voyez-vous ça, un nain cela a des jambes, pas des ailes, il n’y a que les stupides humains pour vouloir faire comme les oiseaux. Après plusieurs longues minutes, l’étranger tenta de toucher la fusée de l’épée, à la grande horreur du nain. Mais rien ne se passa quand l’homme toucha du bout du doigts l’arme.

« Je vois, il y a une partie de l’âme d’un dragon dedans. Si elle était finalisée, mon maître en serrait ravi. »

Le mystérieux envahisseur daigna enfin se tourner vers lui et le fit redescendre sur la terre ferme. Le nain lâcha une bordée de juron de son cru. Quand il eu fini, l’homme prit la parole.

« Récupère le sang de celui qui a tué ce dragon. Et les deux âmes se battront ensemble, neutralisant l’aura malsaine de ce fichu lézard. Et mieux encore, ton tas de ferraille sera encore plus puissant. »

Et voilà, où en était le nain. Il connaissait la solution à son problème, mais cette solution était un problème insoluble. Celui qui avait tué le dragon, était invincible, personne ne pouvait le blesser. C’était trop frustrant, surtout que maintenant, il ne pouvait plus s’approcher de son amour à moins de 5 mètres. Et chaque jour la distance grandissait. Il était désespéré, il en mourait. Cela faisait déjà deux mois que l’homme mystérieux était venu, deux mois que le nain observait le tueur de dragon en vain. Aucune faille. Même par traitrise ou des flèches, impossible de faire couler la moindre goute de sang. On avait même essayé de l’empoisonner, rien n’y faisait. Invincible.
L’homme revint finalement avec trois enfants, deux filles et un garçon, tout trois dans un état second, hypnotisé sans doute.

« Incapable de nain, voilà le sang qu’il te faut. »

« Mais vous m’avez dit qu’il fallait le sang du tueur du dragon »

« Tu crois quoi ? Qu’un grand guerrier qui passe son temps à se battre reste pure ? Tu parles, quand tu as vu les horreurs de la guerre, tu as besoin de décompresser, et pour ça, rien de mieux qu’une femme et de l’alcool. Bref, voilà, le sang de son sang, trois des nombreux batards du grand héro invincible. Ces trois-là, sont certifié avoir été conçus après la mort du lézard. Sacrifie l’une des filles, garde le garçon pour qu’il perpétue la lignée, et pareil pour la seconde. Au pire, elle pourra servir de deuxième sacrifice si la première ne suffit pas. Si t’en as envie, fait lui un gosse. Peut être que devenir père te fera grandir un peu. Quoi que, ta lignée risque d’être stupide. Oublie ça. »

Le nain n’entendit pas les sarcasmes, il ne retint que le sacrifice d’une des deux filles. Sans même les étudiés, il s’empara de la première, l’égorgea et la poussa le plus fort possible vers l’épée. Le sang se mit à gicler à grand flots et éclaboussa de rouge l’épée, son fourreau et surtout la pierre précieuse. Quelques choses dans l’air était lourd. Le nain eut l’impression qu’une bataille invisible se déroulait devant lui. Et c’était bien le cas, au sein de la pierre se déroulait la lutte entre deux âmes. L’une pour sa survie et l’autre pour la destruction de tout. L’homme approcha de l’épée et fit tomber de la poudre. Aussitôt, l’ensemble devint noir et rouge.

« Bien, Arès sera heureux d’avoir cette armure. Merci le nain, et n’oublie pas de faire perpétuer cette lignée. Ton œuvre servira une grande cause, celle du dieu de la Guerre, le grand Arès. »


L’étranger souleva Zweihänder comme si de rien n’était. Le nain avant même de bouger pour l’en empêcher, avait été immobilisé, ne pouvant que se maudire d’avoir été aussi naïf.

Plus tard, quand le héro soi-disant invincible mourut, le Berzerker de Arès ; qui n’avait jamais cessé de l’observer ; trempa finalement la pierre dans son sang. Ainsi, l’épée fut finie et pris sa réelle forme. En réalité deux longues épées, l’une semblable à une lance et l’autre, tout aussi grande était plate et large, à son bout comme une lame de hallebarde.



Wagner se réveilla, cela n’avait durer qu’un instant, et pourtant cela lui avait semblé si long. Le Dragon mangeait toujours l’Evêque. Le garçon regarda l’épée, qu’il tenait en main. C’était celle du nain, et non pas les deux épées. Il était persuadé d’être le descendant du héro légendaire, tueur de dragons, son sang pouvait sceller le dragon dans cette épée et mettre fin à ce désastre. Pour autant, il n’avait pas la force de la soulever et de se blesser. L’illumination lui vint, il était déjà blessé, ces blessures n’étaient pas encore totalement refermées, et nul doute que les plus profondes s’étaient réouverte dans toute cette agitation. Dans un ultime effort, il arracha le bandage de sa poitrine. Plus rien.

Wagner était frigorifié, il tremblait sous le froid. C’était étrange pour lui de ressentir une telle sensation alors qu’il devait être mort. Du bruit, un son qui résonnait désagréablement dans sa tête à en être douloureux, suivie d’une douleur aigue dans la poitrine qui le fit émerger instantanément. Il ne put s’empêcher de pousser un gémissement, mais impossible pour lui de reprendre totalement conscience. Seule une vague impression d’une conversation.
Soudainement, il se sentit en mouvement et le garçon se retrouva en train de se noyer dans l’eau. Wagner émergea et essaya de sortir, mais le liquide envahissait déjà ces poumons. Quand finalement, on le sorti de là. A bout de souffle, le jeune homme observa son soufre douleur totalement flou. Il ne le reconnu pas immédiatement car le visage devant lui était vague et seuls les traits généraux étaient reconnaissable, néanmoins quand ce fut le cas, ces yeux s’écarquilla d’étonnement. C’était celui qui avait volé l’épée au nain.

« On se réveille enfin ? Tu te crois où là, petit con ? »

Wagner avait l’esprit trop embrumé pour répondre, c’est à peine s’il avait saisi les mots. Sa vue était distordue dans tous les sens. Puis, il se sentit chuter avant d’atterrir brutalement sur le sol. Quelques minutes lui fut nécessaire pour retrouver un minimum ces sens. Le lieu était une grotte immense, dont on ne voyait pas le plafond ni les parois, étrangement alors qu’il n’y avait aucune source de lumière, il ne faisait pas noir. Des piliers naturels se trouvaient un peu partout. Mais ce qui intéressait surtout le garçon, c’était l’étrange scène se trouvant devant lui. Une montagne de trésor avec à son sommet un dragon enchainé, le héros invincible et l’étrange homme, assis tout deux sur une pile d’or. Le tueur de dragon prit la parole en premier.

« Bien, tu l’as peut-être deviné, mais ici, on se trouve dans la pierre. C’est une représentation de la grotte où vivait le dragon et où il trouva la mort par ma lame. Son esprit l’a créé, sans doute par besoin. »

«Assez de blabla. On a fait le boulot pour toi avec la demoiselle, t’es inutile. On aurait dû te laisser crever là-bas. »


Wagner regarda le dragon et les deux hommes successivement. Il comprenait la présence de celui qui était probablement son ancêtre, mais l’envoyé de Arès, non. Et où se trouvait la demoiselle ? Resterait-il avec eux pour l’éternité ? Cette question trouva une réponse à peine l’avait-il formulé dans sa tête.

« Bon, t’attends quoi pour partir ? T’es pas débile à ce point ? »

« Comment veux-tu qu’il le sache ? Ce n’est qu’un enfant qui n’a jamais connu ce qu’était la violence jusqu’à aujourd’hui. »

Le dernier se leva et se dirigea vers Wagner. Rien que par ces déplacements, l’adolescent comprit à quel point c’était un grand guerrier. L’homme posa sa main sur son front.

« Attendez, je voudrais vous remercier, vous et la jeune fille. »

Un grand rire éclata derrière eux, et un bruit de chaine que l’on bouge se fit entendre.

« Elle est là ta chérie. »

Avant de pouvoir répondre quoi ce soit, Wagner fut de retour dans la réalité. Devant lui, se trouvait l’épée et son étrange fourreau. Le jeune homme s’appuya dessus pour se relever et constata avec effroi le résultat de sa folie. Tout n’était que destruction. Autour de lui, régnait que la désolation. Des corps partout, la pierre était noire du feu et le sol était rouge. Qu’avait-il fait ? Il était inutile de se lamenter. Avant toute chose, il devait partir de là, avec cette chose et quelques provisions ainsi que de l’argent et finalement disparaître. Tout cela ferait grands bruits. Un goût de cendre lui vint à la bouche et il ouvrit grand les yeux.

« Qu’est-ce qui m’arrive. Je devrais être horrifié par cette scène à ne plus pouvoir raisonner et pourtant, je suis là en train de réfléchir à mon voyage comme si de rien n’était. »


Wagner fut choqué par lui-même et compris qu’il ne serait plus jamais lui-même. Le dragon l’avait sans doute corrompu partiellement. C’était trop tard pour avoir des regrets, il verrait tout cela plus tard. Pour l’instant, il devait faire ce qu’il avait à faire et s’en inquièterait plus tard. Le garçon n’était plus innocent.

Quelques jours plus tard, tandis qu’il se reposait en bordure de forêt. Wagner entendit des cris, certains étaient de peur et d’autres emplis de violence. Sans doute des bandits qui attaquaient des gens de passage. Par mesure de précautions, il voulut s’éloigner mais quand il posa sa main sur la fusée. Le Fourreau éclata en morceau et vint le revêtir. Son esprit devint embrumé et un rire sadique résonna dans sa tête. Il avait l’impression d’être extérieur à la scène. Ces déplacements étaient trop rapides, ces coups trop puissants. Les bandits furent massacrés sans pouvoir opposé la moindre réelle résistance. L’un d’entre eux essaya tout de même de lui tirer avec un mousquet mais il para la balle d’une seule main et sans blessure. C’était surréaliste comme scène. Puis dans un rire, il partie rapidement, laissant une famille horrifiée par ce qui venait de se passer sous leurs yeux.

Son esprit revint reprendre possession de son corps, mais il s’écroula sous l’épuisement aussitôt. Quand il se réveilla, il était de nouveau dans la grotte face aux deux hommes.

« Pas de bol, t’es son descendant et elle t’a choisi même si t’es pas encore digne d’elle. J’ai du prendre ta place. Remercie-moi, je les ai épargnés. »

Wagner ignora le Berserker et regarda le second. Impossible de lui pardonner la possession de son corps.

« Que s’est-il passé ? »

« Et bien l’armure a suivit ton désir de les aider, mais tu n’en es pas prêt, alors elle a enfermé ton esprit et mis le siens à la place. »

« C’était horrible, ces gens vont être traumatisés. Pourquoi pas vous ? »

« Car j’étais le maître de cette armure, et lui a toujours été là dans le seul but de renforcer le sceau du dragon. Et me fait pas rire, tu as aimé autant que moi ce massacre. La graine de la destruction a germé dans ton cœur. A toi de choisir entre contrôler ton désir de détruire ou d’essayer de le nier pour finalement devenir fou. »

Le garçon se rua vers le voleur, les larmes aux yeux.

« C’est faux. C’EST FAUX. C’EST FAUUUUX, C’ESS… »

Le Berserker le propulsa au loin d’une pichenette.

« Apprends-lui, c’est ton putain de descendant. »

« Ai-je vraiment le choix ? S’il n’apprend pas, le dragon s’échappera de nouveau. »

« Quoi, vous ne l’avez pas scellé pour de bon ? »

« Non. Tu devrais le savoir, il n’y avait qu’une épée originellement. Quand la pierre a bu mon sang, celle qui n’était qu’une devint deux. Et t’es bien placé pour le savoir qu’actuellement, il n’y a qu’une épée. Tu comprends ? »

« Oui, mais pourquoi est-elle redevenue une ? »

« C’est à cause du sceau d’Athéna. Même si ce dernier retenait le dragon et l’avait affaibli, il en était de même pour ces chaines et nous. L’épée a repris sa forme originelle avec le temps. Le dragon s’est alimenté par la haine, ainsi que la peur, il a commencé à reprendre des forces mais personne n’avait réussi à supporter sa rage, il restait donc prisonnier, jusqu’à toi. Toi qui enleva le sceau d’Athéna le libérant. Tu connais la suite, il a voulu s’emparer de toi et détruire ma lignée que représentait encore ta mère. C’est pour cela qu’il lança son aura de folie sur tout les hommes cette nuit de pleine lune. Qu’il insinua l’envie à ce religieux corrompu. Tout cela pour te faire basculer, te donner envie de tuer. Cela devait un délice pour lui, utiliser mon descendant pour revenir. Toutefois, il a puisé trop dans ces forces et a sous-estimé le garçon que tu es. »

L’homme se leva.

« Maintenant, fini de discuter, tu vas devoir t’entrainer à l’art du cosmos. Rendre ce qui est impossible, possible. Quand il sera assez puissant, l’épée redeviendra deux. Si tu échoues, alors tu seras perdu et lui libre. »

Quelques années plus tard. Wagner n’était plus un enfant, il avait été un mercenaire et participé à de nombreuses guerres. En provoquant certaines dans l’ombre. En effet, en grandissant, il accepta pleinement son plaisir de se battre et de tuer. Il avait aussi provoqué la chute du fameux Prince régnant, à l’aide de complot et d’assassinat.
Désormais, il s’ennuyait. Tuer un homme normal ne lui procurait plus aucun plaisir, beaucoup trop simple. Il ne savait pas quoi faire pour y remédier. La réponse lui vint un jour qu’il faisait la sieste. Deux hommes avaient tenté de l’approcher sournoisement. Des voleurs pensait-il, et il trouvait amusant de les prendre à leur propre jeu. Soudain, il ressentit un cosmos s’élever. Instinctivement, il roula sur le côté et évita ainsi de justesse l’attaque surprise. Wagner se releva souplement et observa ces deux assaillants. C’était de jeunes garçons d’une quinzaine d’année estima-t-il. L’un deux se mit à crier avant de l’attaquer de nouveau.

« Mort au Berserker d’Arès »

Un frisson lui parcourra tout le corps. S’il se faisait toucher par ça, le jeune homme risquait d’être blesser. C’était ça, sa réponse. Son armure servait Arès, alors pourquoi pas lui ? Il prit la fusée, décapita celui qui n’avait pas bougé, fit venir à lui sa deuxième épée en forme de lance et l’enfonça dans l’estomac du garçon.

« Mauvais adversaire, petit. Si vous m’aviez laissé tranquille, vous seriez vivant. Maintenant observe le résultat de ta bêtise avant de mourir. Je n’étais qu’un homme sans but, mais vous m’en avez donné un et ton ami est mort par ta faute. Emporte son image avec toi en Enfers. »
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Dernière édition par Angel Heart le Jeu 16 Aoû 2018 - 19:30, édité 1 fois
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Angèle
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MessageSujet: Re: Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre   Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre EmptyJeu 16 Aoû 2018 - 9:36

bouawaaaaaaaaaaaaaaahh

c'est bien


validé Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre 964394671
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Ahina
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MessageSujet: Re: Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre   Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre EmptyJeu 16 Aoû 2018 - 14:40

XD

Lol bon retour^^
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Angèle
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MessageSujet: Re: Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre   Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre EmptySam 18 Aoû 2018 - 19:58

J’ai commencé la lecture! Désolé westworld est passé avant!
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Niké

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MessageSujet: Re: Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre   Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre EmptySam 18 Aoû 2018 - 20:19

O_O

Wouah mazette ce pavé !

Pauvre Angèle :p

Bon retour :)
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Angèle
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MessageSujet: Re: Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre   Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre EmptySam 18 Aoû 2018 - 21:37

J’ai les yeux qui saignent
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Wagner

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MessageSujet: Re: Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre   Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre EmptySam 18 Aoû 2018 - 23:23

Hildegarde a écrit:
O_O

Wouah mazette ce pavé !

Pauvre Angèle :p

Bon retour :)

Angèle n'a pas voulu me valider avec la version courte. C'est bien fait pour elle Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre 2503487294

Mais tout ça, ce n'est que de l'illusion, il y a des blagues de Toto, le scripts d'un film porno et d'autre connerie Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre 3112418776 L'art est illusion Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre 1431470283


Angèle a écrit:
J’ai les yeux qui saignent

Je ne sais pas comment je dois le prendre Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre 2990258427 C'est si nul que ça Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre 2875118577
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MessageSujet: Re: Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre   Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre EmptyDim 19 Aoû 2018 - 9:20

>.< non, c'est que sur le smartphone, ce n'est pas facile de lire
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Ahina
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MessageSujet: Re: Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre   Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre EmptyDim 19 Aoû 2018 - 12:08

Wahhhhhhhhhhh le pavéééééééééééé on dirait moi Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre 1431470283
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Adonaï

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MessageSujet: Re: Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre   Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre EmptyMar 21 Aoû 2018 - 8:41

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Thanatos
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MessageSujet: Re: Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre   Wagner, Le Cavalier Rouge, Berserker de la Guerre EmptyLun 3 Sep 2018 - 12:11

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