Enfin le bateau arrive au port, je saute de ce dernier en courant vite, derrière moi le capitaine hurle, je n'ai pas payé mon voyage. Je cours si vite qu'il ne me voit plus, je porte mon masque que j'ai gagné sur l'île de la mort, j'arrive au village de Rodorio. Les gens me regardent tous avec un haïr étonné, où ils rigolent tous de moi. Tout le monde s'agite en ma présence, c'est bizarre, mais je remarque qu'il y a des saints de bronze. Mais aucun d'argent dans le village, il porte leurs armures, c'est pour la frime. Vu qu'il y a aucun danger dans le village. Un saint de bronze me bouscule sans faire exprès, il me demande pardon. Je me relève tout le monde me fixe, le saint me tend la main un brave type. Mais j'ai une réputation à tenir, j'enlève le masque tout le monde remarque que c'est moi. Ils reculent tous de peur, même le saint de bronze recule devant moi. Ses amis viennent le rejoindre, ils essayent de me persuader de ne pas faire de problème. Bande de lâches ! J'ai honte de vous ! Vous avez de la chance que je n'aie pas le droit de vous exterminer gratuitement, mais une leçon s'impose non pour m'avoir fait tomber, mais pour avoir voulu négocier avec votre punition. Je sors mon Katana, ils se mettent en position de combat. Ils ne sont pas plus de trois saints de bronze, je tourne ma lame dans le sens des aiguille d'une montre. Le vent qu'elle produit emporte au loin les saints de bronze, ils sont tous les trois envoyés dans les murs du village. Tout le monde rigolent des saints de bronze, je range ma lame puis je repars vers le sanctuaire. Avec les trois idiots en ma compagnie, ils doivent recevoir un entraînement digne de ce nom même capable d'esquivez une technique aussi basique, l'entrainement ne sera pas de ma part, je n'ai pas le temps, mais de la part d'autres saints d'argent, ils ne foutent rien apparemment.