Arrivé à bon port ... ou presque.

Finalement, la traversée s’est passé s’en trop d’encombre, il faut dire que j’ai vite calmé l’équipage lorsque le second du capitaine à essayer me voler Azoth, pour le punir, je lui ais tranché la main qui a touché le pommeau de mon arme, je me souviens bien de son nom : Hoock, je m’en souviens parce-qu’il n’arrêtait pas de se faire chambrer par un jeune moussaillon d’à peine dix ans qui répondait au nom de Peter. A mon avis ces deux là allaient se battre pendant encore longtemps et puis la rivalité entre un pseudo-pirate et un gamin immature est bien le dernier de mes soucis, à cette allure, nous allons arriver cette nuit, pourtant il m’a été informé de notre débarquement que demain dans la matinée. Je soupçonne que la grande partie des marins à bords veulent me faire la peau durant mon sommeil.

Apres une longue réflexion, je décide de débarquer en pleine nuit, je préfère éviter de me faire trop remarquer en faisant couler le sang. Je quitte ma cabine après avoir rajusté ma cape et monte sur le pont quand soudain je me retrouve nez à nez avec la quasi totalité des matelots tous armés jusqu’aux dents. Bon…tans pis pour le départ discret, c’est dans un bain de sang que j’allais quitter le navire.

J’ai beau ne plus pouvoir me servir de mon cosmos, je ne suis pas moins un combattent aguerri, je dégaine mon épée si rapidement qu’une tête roule déjà au sol, le combat qui s’en suivi ne fut qu’une démonstration de la dextérité dont je manier ma lame, je suis sur que même Milan Sethni aurait été impressionné s’il avait été là. A la fin de la bataille, la lame souillée du sang de l’équipage se retrouva sous la gorge du capitaine du vaisseau.


Un bruit de choc contre du bois après un son de métal m’assura que le crane du flibustier avait quitter le reste de son corps, je vérifie que tous le monde est bien mort, j’aperçois une ombre au loin, que ce soit un pleutre, le gamin ou le second a qu j’ai couper la main, je m’en moque, il sait maintenant le genre d’homme que je suis, ce n’est sûrement pas lui qui va m’empêcher de quitter l’embarcation, je rengaine mon arme dans son fourreau et commence à descendre la passerelle lorsque je ressens une sensation étrange me comprimé la poitrine, je vacille et arrive tant bien que mal à rejoindre la terre ferme.

Une vision suivi cette sensation oppressante, une femme se tient courbée sur un rocher dans ce qui semble être une grotte au bord de la mer, Je distingue maintenant parfaitement cette femme à la chevelure d’ébène et aux vêtements de lambeaux ou plutôt cet ange car une paire d’ailes couvre son dos. Au loin, le clocher d’une église qui sonne sept fois, les sept même fois qui me rappelle à mes souvenirs de chasse. Je ne vis que cela de l’entité car un flash me fait voir un village de pêcheurs situé une petite île recouverte d’oliviers.

Je ne sais pas pourquoi j’ais reçu cette vision, mais mon instinct me dis de reprendre la chasse à l’entité en priorité. Afin d’ère sur de ne pas perdre de temps je ressors mon épée et demande à Azoth s’il peut m’aider.



Malédiction de l’âme : 13

Azoth, pour une fois et malgré la même jovialité que l’on partage, fut plus enclin à me répondre, il est vrai que des îles parsemés d’oliviers dans le coin, c’est pas ce qui manque… donc mon épée du savoir veux avoir plus de détail, soit :


Je reprends mon souffle un instant et remarque que je parle à voix haute à mon épée, heureusement que nous sommes en pleine nuit et qu’il n’y a personne, personne à part celui qui m’observe depuis le bateau, mais à qui pourrait-il raconter qu’il a vu un homme massacré tous un équipage avant de discuté avec son arme. Je reprends donc ma conversation avec Azoth.




Malédiction de l’âme : 12

La réponse de la lame du savoir fut courte, pour elle, l’île de Malte, au vu de ses nombreuses grottes de ses oliviers en profusion et de sa population issue de nombreuses cultures est celle qui correspond le mieux à ma description, il ne me reste plus qu’une chose à faire….m’y rendre.

Par chance, le bateau qui m’avait amené ici était encore à quai, il faut dire qu’il n’en pouvait pas être autrement, comme seul équipage il ne doit rester que le second du capitaine auquel j’ai coupé la main, le petit moussaillon et quelques marins qui ont préférés se cacher lors du combat. Je remonte vite à bord et chope celui que j’ai repéré : c’est bien le capitaine en second qui m’observe depuis tout à l’heure, cet idiot s’est ficelé un crochet de harpon au bras peut-être pour m’égorger mais lorsque je m’approche, c’est la peur que je lis dans ses yeux.


Pas un mot ne sortit de la bouche du marin, dus moins pas avant, qu’il ne se mette à hurler le rassemblement des ses mousses et de donner l’ordre de quitter le port et de naviguer vers ma destination, le reste de l’équipage ne chercha pas à se mutiner lorsqu’ils virent les cadavres encore chaud qui maculés le pont, sans perdre de temps le navire hissa les voilà et parti en direction des cotes de Malte.

Île de Malte


Malédiction de l’âme : 11